• Lancement d’«Allo diabète»

    Objectif : permettre au grand public de disposer d’une information actualisée, fiable et précise sur la maladie




    Lancement d’«Allo diabète»
     
    Accéder à une information fiable et actualisée sur les médecins spécialistes du diabète. Tel est l’objectif de la base gratuite “Allo diabète” qui vient d’être lancée en ligne par Africa Diabetes pour faciliter le contact avec les endocrinologues en exercice au Maroc.
    Vous avez besoin d’une consultation médicale ou de l’avis d’un spécialiste du diabète concernant une maladie liée aux hormones et aux glandes? Plus besoin de se perdre parmi les annuaires et les moteurs de recherche. La société www.africa-diabetes.com a mis en ligne gratuitement la base électronique la plus exhaustive  des spécialistes du diabète au Maroc, en l’occurrence les endocrinologues.
    Objectif: permettre au grand public, aux parents des diabétiques et aux acteurs médicaux et paramédicaux de disposer d’une information actualisée, fiable et précise relative aux médecins spécialistes en endocrinologie et métabolisme, capables de prendre en charge les maladies liées aux hormones et aux glandes, notamment le diabète.
    Au Maroc, cette maladie chronique concerne plus de 2 millions de personnes et le nombre de personnes atteintes continue d’augmenter. Le diabète se développe souvent silencieusement au début et peut être à l’origine de complications sérieuses.
    Concrètement, la base “Allo diabète” consultable à travers la rubrique annuaire du site www.africa-diabetes.com recense plus de 200 endocrinologues du secteur privé à travers le Maroc en fournissant de  l’information sur l’adresse physique du cabinet du médecin spécialiste, son tél, fax et adresse et ville.
    Entreprise sociale, Africa Diabetes met gratuitement à disposition des patients diabétiques et leurs proches, surtout de type 1, cette base pour les aider à repérer l’endocrinologue le plus proche pour intervenir y compris en cas de déplacement ou d’urgence. Plus intéressant, les patients peuvent utiliser le moteur de recherche intégré de l’annuaire et contacter directement par email les médecins recensés à travers un formulaire électronique dédié, que ce soit pour la demande d’un rendez-vous ou pour un conseil médical.
    A propos de Africa Diabetes
    Créée par les parents d’un enfant diabétique, Africa Diabetes www.africa-diabetes.com est une société sociale qui  se propose d'accompagner les personnes atteintes de diabète de tout âge, qu'elles soient de type 1 ou de type 2, dans la prise en charge et la gestion de leur maladie.
    L’offre d’accompagnement qui cible aussi bien les patients que l’écosystème des professionnels de la santé couvre la vente en ligne de produits paramédicaux, les prestations personnalisées de conseil, de formation, de coaching patient, d’organisation de séminaires, d’ateliers et de salons au profit des diabétiques.
     

     

    http://www.libe.ma/Lancement-d-Allo-diabete_a83031.html 
    Samedi 28 Janvier 2017
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  • L'ordre des médecins s'oppose à cet affichage anti-CMU./Photo DDM, archivesL'ordre des médecins s'oppose à cet affichage anti-CMU./Photo DDM, archives

    Des médecins refusent de prendre en charge les patients les plus pauvres. Certains mêmes font figurer leur refus sur des sites de rendez-vous. Le Défenseur des droits a été saisi.

    C'est écrit en toutes lettres : «Pas de CMU» ou encore «pas d'AME»*.

    On savait que les SDF, les migrants, ou tout simplement les personnes en grande précarité ne sont pas les bienvenus dans les cabinets de certains médecins. Mais de là à annoncer la couleur du refus sur les sites de rendez-vous, il y avait un pas que certains praticiens n'ont pas hésité à franchir.

    Voilà qui scandalise les associations d'aide aux personnes les plus fragiles. Médecins du Monde, la Fédération des acteurs de la solidarité (Fnars) et le collectif interassociatif sur la santé ont saisi Jacques Toubon, le Défenseur des droits, sur ce qu'ils dénoncent comme des «refus affichés et assumés.»

    Or, la loi oblige les médecins à soigner ces patients, et à leur appliquer les tarifs conventionnés, sans dépassements d'honoraires.

    Selon la Fnars, «ces refus de soins sont massifs et répétitifs». Et la fédération s'indigne surtout de cet affichage : «La démarche de rejet est décomplexée.»

    «Sanction immédiate»

    Il n'est pas rare que les bénéficiaires de la CMU soient mis à l'écart. Des opérations de testing ont montré qu'un cinquième des médecins refusent la CMU, et ce taux grimpe jusqu'à 50 % à Paris.

    «Les personnes en grande précarité nous racontent effectivement qu'elles ont parfois beaucoup de difficultés à obtenir des rendez-vous, ou bien que ces rendez-vous sont pour des dates très lointaines, explique Hélène, responsable du secteur Santé au Secours populaire de la Haute-Garonne. Nous, nous avons mis en place des «relais santé» où nous orientons les personnes vers les PASS, les permanences d'accès aux soins de santé que l'on trouve dans les hôpitaux, ou bien vers les réseaux de médecins qui sont dans l'esprit de leur serment.» Un serment qui précise : «Je donnerai mes soins à l'indigent et à quiconque me le demandera.»

    Mais ce qui est nouveau, c'est donc de voir que refus est clairement affiché sur les sites de rendez-vous.

    «Nous n'avons pas eu de signalement de ces mentions «Pas de CMU» ou «pas d'AME» en Haute-Garonne, indique Jean Thévenot, président du conseil départemental de l'ordre des Médecins. Mais si on nous le signalait, alors, le médecin en question serait immédiatement convoqué devant l'Ordre, d'une part pour lui faire enlever cette mention, d'autre part, pour être sanctionné. Car une telle pratique est non seulement contraire à la loi, elle est aussi contraire à notre déontologie : on sera très strict là-dessus.»

    Jean Thévenot apporte juste une petite nuance : «En revanche, si la mention indique aux bénéficiaires de la CMU qu'ils doivent apporter tous les documents nécessaires, là, c'est autre chose, car il est vrai que l'on rencontre souvent des difficultés à ce niveau-là !»

    Le président veut ainsi souligner qu'avec les bénéficiaires de la CMU, l'exercice de la médecine n'est pas toujours un long fleuve tranquille.

    * CMU : Couverture'maladie universelle

    AME : Aide médicale de l'état


    CMU : qu'est-ce qui coince ?

    Si certains médecins refusent la CMU, c'est qu'elle peut présenter pour eux des inconvénients. C'est lui qui va faire l'avance des frais en attendant d'être remboursé par la Sécurité sociale. Et les délais de paiement peuvent s'allonger si la carte Vitale n'est pas à jour ou si le patient n'a aucun papier. Autre difficulté, si le patient n'a pas respecté le parcours de soins, en passant d'abord par la case généraliste, alors, c'est le spécialiste qui est moins remboursé.

    Enfin, certains patients très «désocialisés» arrivent dans la salle d'attente sans rendez-vous, avec des chiens…

     

    http://www.ladepeche.fr/article/2017/01/28/2506277-ces-medecins-qui-ne-veulent-pas-soigner-les-pauvres.html

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    • INFOGRAPHIE-Les suivis sur dix ou vingt ans ne sont pas assez nombreux ni complets.

      En 2014, 47.000 opérations de chirurgie bariatrique ont été pratiquées en France, quatre fois plus qu’en 2006! Entre 2006 et 2017, 450.000 obèses environ auront ainsi été opérés dans notre pays. Des pertes de poids parfois spectaculaires et la régression de maladies liées à l’obésité comme le diabète expliquent cet engouement.

      Cette chirurgie ne s’adresse qu’à des obésités massives, quand l’IMC * est supérieur à 40, ou 35 en cas de maladies associées, diabète, hypertension, etc. «Chaque obésité est singulière et s’installe en vingt à trente ans selon une trajectoire individuelle dont tous les paramètres, comportementaux, sociaux, économiques, doivent être analysés, intégrés dans le raisonnement médical avant d’envisager une chirurgie. Cela prend du temps, c’est pourquoi la Haute Autorité de santé recommande une prise en charge médicale de six à douze mois avant toute intervention», rappelle le Pr Arnaud Basdevant, nutritionniste-diabétologue (université Paris-VI). Cette prise en charge doit être assurée par une équipe pluridisciplinaire de médecins, chirurgiens, diététiciens, psychologues pour pouvoir proposer la technique la mieux adaptée à chaque patient et le préparer à cet acte qui impose un changement d’alimentation et un suivi médical à vie.

       

       

      Trois techniques prédominent. Dans la plus classique, un anneau gastrique diminue le volume utile de l’estomac par un serrage ajustable. Dans celle dite de la sleeve, la poche de l’estomac est agrafée et coupée dans sa longueur, le réduisant à un manchon. Enfin, dans le bypass gastrique, l’estomac est divisé en deux: une petite poche supérieure où passent les aliments, sur laquelle on raccorde l’intestin grêle en court-circuitant son début, et le reste de l’estomac, où les aliments ne passent plus mais qui déverse ses sucs dans l’intestin. Une variante plus facile, le mini-bypass ou bypass en oméga, repose sur le même principe: diminuer l’apport d’aliments en réduisant le volume de l’estomac et limiter l’absorption en réduisant la longueur utile de l’intestin.

      «L’anneau gastrique n’est pas une mau­vaise technique : c’est une bonne technique chez une catégorie très précise de patients. »

      Pr Jean-Marc Chevallier, chirurgien digestif (HEGP, Paris)

      Après un fort enthousiasme en France, l’anneau est en net recul. «On en enlève désormais plus qu’on n’en pose. Une étude montre qu’après dix-huit ans, 42 % des anneaux ont été ôtés pour complications, reprise de poids ou intolérance, explique le Pr Olivier Ziegler, diabétologue-nutritionniste (CHRU Nancy). Mais certaines équipes obtiennent de bons résultats en gonflant peu l’anneau, avec une perte de poids très lente.» Même avis du Pr Jean-Marc Chevallier, chirurgien digestif (HEGP, Paris): «Ce n’est pas une mauvaise technique: c’est une bonne technique chez une catégorie très précise de patients.» La même déconvenue pourrait, selon lui, concerner un jour la sleeve, apparue en 2007 et qui représente déjà plus de 60 % des interventions. Plus simple, plus rapide que le bypass, elle réduirait le risque de carences. «Mais nous n’avons pas beaucoup de recul. Des travaux récents suggèrent des reprises de poids et, à dix ans, des reflux responsables de brûlures. Faute de réflexion au long cours, nous jouons un peu avec le feu.»

      Or la plupart des études portent au mieux sur 60-70 % des patients, dont beaucoup sont perdus de vue. Les études à long terme sont rares. «La plus fiable est l’étude SOS sur le registre suédois des chirurgies de l’obésité, qui fait état d’une perte de poids moyenne de 27 % après vingt ans pour le bypass, l’intervention la plus pratiquée, indique le Pr Ziegler. Publiée en 2016, une étude américaine solide confirme ces données, avec une perte de poids moyenne de 28,6 %, dix ans après bypass.» Elle compare aussi les résultats des trois techniques: «Après quatre ans, la perte de poids moyenne avec un bypass est de 30 %, de 20 % avec la sleeve et de 10-12 % avec l’anneau.»

      La qualité du suivi, un vrai sujet de préoccupation

      Pour le Pr Basdevant, «les facteurs prédictifs du succès sont clairs: la reprise de l’activité physique et l’adhésion aux conseils nutritionnels, ainsi que la qualité du suivi, qui est un vrai sujet de préoccupation». La perte de poids se produit pour l’essentiel les deux premières années. «Beaucoup d’études montrent une reprise de poids ensuite. Dans l’étude SOS, un tiers du poids perdu est repris entre deux et huit ans après l’intervention», indique le Pr Ziegler. Cette reprise n’excède guère 20 % du poids perdu. «Mais il y a aussi des patients qui ne maigrissent pas ou reprennent très vite, souvent faute de suivi nutritionnel», précise le Pr Sébastien Czernichow, médecin nutritionniste (HEGP, Paris).

      Très efficace, la chirurgie change souvent la vie des obèses. Mais pour le Pr Chevallier, «on a laissé s’installer une confusion entre chirurgie vitale et chirurgie esthétique. Cette chirurgie a été développée pour traiter l’obésité-maladie, ramener l’IMC au-dessous de 35 parce qu’au-dessus, ces personnes sont bien plus exposées que la population générale à des risques graves. Pour une femme de 140 kg, cela signifie descendre à 90 kg, pas à 60 kg. Même avec un peu de poids repris, si l’IMC reste au-dessous de 35 après vingt ans, c’est un succès».

      * L’IMC, indice de masse corporelle, se calcule en divisant le poids en kilogrammes par la taille au carré exprimée en mètres (IMC = poids/taille 2).

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    • Le diabète est une maladie chronique dont le suivi au long cours répond à des protocoles bien établis qui font appel à de nombreux professionnels de santé, tels que le diabétologue. Le respect de ces protocoles détermine la prise en charge à 100 % des examens et des traitements du diabète par l'assurance-maladie.

      Consulter le médecin traitant avant le diabétologue

      Sauf coma inaugural, c'est le médecin traitant qui dépiste ou Diagnostic un diabète quel qu'en soit le type. Tout au long de l'évolution du diabète, il va jouer un rôle central :

      • il assure la surveillance de base : poids, pression artérielle, glycémies notées sur le carnet d'autosurveillance, recherche de troubles de sensibilité des pieds, etc. ;
      • il planifie les examens et bilans de surveillance mensuels, ainsi que les examens annuels spécialisés : cardiologue, ophtalmologue, néphrologue, diabétologue, podologue selon les besoins ;
      • il centralise les résultats et les informations fournies par le laboratoire et les différents spécialistes ;
      • il surveille le traitement, le renouvelle ou l'ajuste en fonction de l'évolution ;
      • il gère quelques situations aiguës comme les malaises hypoglycémiques ;
      • il traite les autres maladies aiguës (infections) ou complications chroniques en fonction du diabète qu'il surveille.

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    • L’agence américaine sonne l’alarme

      Il y a quelques jours, l’agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (FDA) a émis une alerte à cause de plusieurs failles de sécurité découvertes dans le système des stimulateurs cardiaques (pacemakers) et des défibrillateurs implantables, ainsi que dans celui des appareils de surveillance à distance utilisés pour contrôler ces pacemakers.

      Déchargement de la batterie, stimulations électriques…

      En clair,  si ces failles de sécurité étaient exploitées par des personnes malveillantes non autorisées, elles pourraient leur permettre d’avoir accès à la fréquence radio de l’appareil implanté dans le corps et prendre les commandes de programmation de l’appareil implanté. Ceci pourrait alors avoir pour conséquences soit de lui permettre de  décharger rapidement la batterie de l’appareil implanté, ou encore, de provoquer des stimulations électriques qui pourraient entraîner la mort du patient. On voit ainsi les conséquences  que ces objets connectés peuvent avoir sur la santé des personnes pour le meilleur ou le pire. La sécurité des informations était d’ailleurs le thème du congrès national sur les objets connectés de santé à Dijon en novembre 2015 et en octobre 2016, et qui avait conclu à l’impérieuse nécessité de leur évaluation tant éthique que médicale.

      La nécessité d’évaluer avant de commercialiser

      Cette affaire rappelle une nouvelle fois la nécessité d’évaluer ces objets connectés de santé. Heureusement, des sociétés ont compris ces enjeux dont la société CEN Connect, lancée jeudi soir à Dijon, et dont l’une des activités est l’évaluation de la sécurité médicale et technique des objets connectés de santé afin de garantir aux patients leur sécurité d’emploi.

      http://www.dijon-sante.fr/2017/01/22/pacemaker-une-faille-de-securite-pourrait-etre-mortelle-16155/?

       

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    • Par Marie-Céline Jacquier, Futura

      Alternative à l'amalgame dentaire pour soigner une carie : stimuler les capacités naturelles de la dent à se réparer elle-même, en activant les cellules souches de la pulpe. C'est ce que pourrait faire le Tideglusib, un médicament anti-Alzheimer capable de régénérer la dent chez des souris.

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    • crepes-allegees

       

      La Chandeleur c'est le 2 février (soit 40 jours après Noël) ... et qu'est ce qu'on mange ?
      Des crêpes allégées bien sûr et si possible des crêpes sans sucre ajouté si l'on a du diabète...
      et si l'on veut faire ça dans la tradition, prenez un Louis D'or et faîtes sauter !.
      Ultra simples à préparer... nous nous sommes juste un peu compliqué la vie pour les faire les plus allégées possibles !

       

      farine de lupin

      Farine de lupin

      Des crêpes légères, peu caloriques,...  elle le seront vraiment si vous limitez l'apport en sucre dans leur garniture.
      Mais pourquoi se priver ?
      Il suffit de connaître l'apport en glucides de chaque crêpe: dans notre recette, c'est 10g.
      Et de compléter avec une garniture sucrée ou salée s'adaptant à vos besoins.
      Pour ma petite fille diabétiques, j'ai osé un peu de Nutella et de la confiture allégée.

       

      Essayez avec nos versions allégées de pâtes à tartiner au chocolat façon Nutella !

      Achat en ligne Farine de Lupin



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      potee-auvergnate
      Un bon plat chaud et traditionnel pour l’hiver, ça vous dit ?
      Pour ce Week-End une version Auvergnate de la Potée avec ces choux et généreuse en viandes.
       Un festival de viandes de Porc Demi sel (qui a donc été conservée un certain temps dans du gros sel… a acheté déjà préparée).
      Bien entendu on la dessalera au moment de la préparation et on allégera en gras.
      La viande de porc (hors gras) est une viande maigre !
      L’apport en légumes est important car riche en fibre et indispensable pour un bon équilibre alimentaire.

      Recette de Potée Auvergnate aux 2 choux

      • PRODUIT: 1 plat (8 Portions)
      • PRÉPARATION:  30 mins
      • CUISSON:  2 hrs 5 mins
      • PRÊT DANS:  2 hrs 35 mins

      Les glucides (sucres complexes) se trouvent dans les pommes de terre de cette potée auvergnate. Compter 30g par personne

      Ingrédients

      Instructions

      1. Dans un grand (très grand) fait-tout mettre les morceaux de porc demi sel et couvrir d'eau. Cuire 1/2 heure puis les sortir et vider l'eau. (cela permet de dessaler et de facilité le retrait du gras)
      2. Enlever un peu de gras des morceaux de viande et remettre dans un grand volume d'eau avec le bouquet garni, l'oignon piqué des clous de girofle et cuire à petits bouillons pendant 1H.
      3. Ajouter les légumes coupés en 4, les saucisses fumées et continuer la cuisson 35mn ( ou plus si les pommes de terre ne sont pas cuites)
      4. Servir dans un grand plat en en terre... Adapter les parts de pommes de terre pour les diabétiques... et conserver le jus pour un bouillon du soir... Au service, enlever le gras pour ceux qui doivent s'en passer...
      5. Vous pouvez préparer cette potée à l'avance... c'est encore bon réchauffé !
      • TYPE DE PLAT:
      • NIVEAU DE DIFFICULTÉ:


      Read more at http://www.recette-pour-diabetique.com/potee-auvergnate-aux-2-choux/#DRupYluXjt87Imk7.99

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    • Les cicatrices ne seront bientôt plus qu’un lointain souvenir

      Le 17 janvier 2017.

      Une équipe de chercheurs de l’Université de Pennsylvanie (États-Unis) a trouvé le moyen de régénérer la peau avant qu’elle ne cicatrise.

       

       

      Transformer les myofibroblastes en adipocytes 

       

      Après une coupure, un accident ou encore un accouchement, la peau garde une trace de la lésion, c’est ce qu’on appelle une cicatrice. Souvent disgracieuses, ces cicatrices pourraient très prochainement disparaître. C’est en tout cas ce que promettent des chercheurs américains, qui expliquent avoir trouvé le moyen de transformer les myofibroblastes (les cellules du tissu cicatriciel) en adipocytes (des cellules graisseuses). 

       

      Selon ces travaux, publiés dans la revue Science, c’est parce qu’il ne contient pas de cellules de graisse ou de follicules pileux que le tissu cicatriciel laisse une empreinte sur la peau. Si la peau parvenait à se régénérer avec des cellules graisseuses, alors il n’y aurait plus de cicatrices, la peau redeviendrait aussi lisse et douce qu’avant l’opération ou l’accident. Les poils peuvent même repousser à l’endroit de la lésion, assurent les chercheurs.

       

      Obtenir une régénération de la peau plutôt qu’une cicatrice

       

      « Nous pouvons manipuler la guérison des plaies de sorte qu'elle mène à la régénération de la peau plutôt qu'à des cicatrices », a précisé le Pr. George Cotsarelis, de l'université de Pennsylvanie, dans la revue Science Alert. « Le secret est de régénérer les follicules pileux d'abord. Après cela, la graisse va se régénérer en réponse aux signaux de ces follicules ».

       

      Pour le moment, cette expérimentation n’a pu être tentée que sur des rongeurs et sur des cellules humaines in vitro, mais les chercheurs ont bon espoir de pouvoir faire disparaître toute cicatrice du corps humain dans les années à venir. Tout cela grâce à une protéine une protéine, BMP (Bone Morphogenetic Protein), qui convertit les myofibroblastes en adipocytes. Cette découverte aurait des incidences intéressante pour la médecine esthétique mais aussi dermatologique.

       

      À lire aussi : Comment traiter une cicatrice ?

      http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?

       

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    • Comment et avec quoi calmer mes fringales ?

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    • À 28 ans, un Bordelais invente un logiciel révolutionnaire pour éviter les erreurs de médicaments

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      Une société israélienne a fabriqué un fauteuil d’un nouveau genre, du jamais vu puisqu’il s’agit d’un fauteuil pour handicapé permettant la position verticale. Cette invention est prévue pour faciliter la vie des handicapés moteurs, condamnés à la position assise qui rend leur quotidien semé d’embuches.

      La société Upnride, basée en Israël, est spécialisée dans les appareils destinés aux handicapés permettant une bonne mobilité en intérieur comme en extérieur, en position assise bien sûr et plus surprenant, également en position debout. Le fauteuil vertical est une grande première qui n’a pas fini de faire parler d’elle et elle permet de « switcher » de la position assise à la position debout aisément.

       

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    • Une prise de sang suffira bientôt à prédire certaines maladies

      Le 12 janvier 2017.

      Ceux qui se souviennent du début du film "Bienvenue à Gattaca" seront à peine étonnés par la nouvelle. Une étude publiée dans la revue scientifique de référence Aging Cell, par une équipe de chercheurs de l'université de Boston (États-Unis), envisage la possibilité de prédire et donc prévenir des dizaines de maladies à l'aide d'une simple prise de sang.

       

      Pouvoir prédire une maladie avec huit ans d'avance

      Selon ces chercheurs, le sang des personnes qui vont développer un jour un diabète, ou encore, souffrir de maladies cardio-vasculaires, contient des bio-marqueurs annonciateurs de ces maladies des années auparavant. On retrouverait aussi d'ailleurs certains de ces marqueurs dans leurs urines.

      Pour parvenir à cette conclusion, ces chercheurs rappellent que l'on trouve ces bio-marqueurs dans le sang et les urines des patients qui souffrent de ces maladies. Ils sont en cours d'identification par plusieurs équipes dans le monde. Conséquence, selon eux, quand ces marqueurs seront tous connus, il sera possible de les rechercher chez Monsieur (et Madame) tout le monde. Et donc d'en déduire de manière assez fiable quelles pathologies Monsieur (et Madame) tout le monde risquent de développer... Ce qui permettrait d'anticiper et de traiter le mal avec des années d'avance.

      Médecine prédictive : 26 marqueurs biologiques déjà identifiés

      À ce jour, quelques 26 marqueurs biologiques ont été identifiés. L'association de plusieurs d'entre eux permet déjà de prédire avec une grande fiabilité le risque de diabète de type 2, ou encore, de pathologie vasculaire. I

      ls pourraient aussi permettre à terme d'évaluer à l'avance si un traitement sera efficace ou non, là encore, en fonction des associations de marqueurs et des données recueillies auprès des malades chez qui ils sont recensés. 

      Jean-Baptiste Giraud

       

      http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?

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    • Alors que de nombreux métiers leur restent interdits, les quelque 4 millions de diabétiques lancent aujourd'hui une pétition réclamant la fin des "discriminations" professionnelles dont ils font l'objet. "Aujourd'hui, si comme Alizée, Pacôme ou Maximilien, vous avez un diabète, vous ne pouvez pas être ingénieur des mines, marin, policier, hôtesse de l'air, contrôleur de la SNCF, contrôleur de la sécurité sociale...", souligne la pétition intitulée "choisir le métier de mes rêves avec mon diabète" et disponible sur le site http://jefaisunvoeu.fr.

      La pétition réclame que les professions interdites soient réévaluées une fois par an par un groupe interministériel en tenant compte des "évolutions technologiques et médicamenteuses". Pour Gérard Raymond, président de la Fédération française des diabétiques (FFD), il est urgent de modifier les textes réglementaires qui interdisent ou limitent certains métiers aux diabétiques. Les associations de diabétiques entendent par ailleurs interpeller les candidats à l'élection présidentielle dans les prochaines semaines.

      Le diabète est un trouble d'assimilation des sucres par l'organisme qui, s'il n'est pas correctement traité, peut aboutir à la cécité ou à des amputations. Il favorise également les maladies cardiovasculaires. Il existe sous deux formes : le diabète de type 2, de loin le plus courant (90% des cas de diabète), qui se développe progressivement chez des personnes de plus de 40-50 ans qui ont déjà intégré le monde du travail.

      Le diabète de type 1 apparaît en revanche brutalement chez l'enfant ou le jeune adulte, et est dû à la destruction des cellules du pancréas productrices d'insuline. Il est le plus touché par les interdictions.

       

      http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2017/01/09/97002-20170109FILWWW00012-metiers-discrimines-les-diabetiques-se-mobilisent.php

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    • Les bienfaits des légumes verts sur le cerveau

      Le 4 janvier 2017.

      Selon une étude menée par une équipe de chercheurs de l’université de l’Illinois, aux États-Unis, les légumes verts ne seraient pas seulement bons pour la ligne, ils seraient aussi excellents pour le cerveau.

       

      Perdre du poids et prendre soin de son cerveau

      Comme une grande majorité des Français, vous avez décidé de perdre du poids en ce début d’année. Pour tenir cette bonne résolution, vous serez bien inspiré de vous tourner vers les légumes verts. Non seulement ils vous permettront de purifier votre organisme, mais ils sont aussi excellents pour votre cerveau. C’est en tout cas ce que révèle une étude publiée dans la revue Frontiers in Aging Neuroscience.

      Selon ces travaux, c’est la lutéine présente dans ces aliments qui permettrait de renforcer les capacités cognitives du cerveau. Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont suivi 122 personnes, âgées de 65 à 75 ans. Ils ont examiné avec attention les contours de leur cortex cérébral, par Imagerie par Résonnance Magnétique (IRM), et ont prélevé des échantillons de sang afin de déterminer leurs niveaux de lutéine.

      Augmenter son taux de lutéine

      Résultat : plus les taux de lutéine étaient importants, plus les résultats au test d’intelligence étaient bons et plus la matière grise qui se trouve dans le cortex était épaisse. Mais comment l’expliquer ? Selon les auteurs de cette étude, ce serait les vertus anti-oxydantes de la lutéine qui lui permettraient d’être un puissant neuro-protecteur.

      Les légumes verts foncés, comme les épinards, les brocolis ou le chou vert frisé, sont les aliments qui renferment le plus de lutéine. Il ne faut plus hésiter, pour perdre du poids et garder l’esprit clair, il faut se faire une cure de légumes verts. Mais ne soyez pas surpris si vous deviez rencontrer quelques petites perturbations gastriques, manger des fibres entraîne immanquablement des ballonnements et des gaz.

      Vous aimerez aussi : 5 aliments pour un cerveau en forme !

       

      http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?

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    • galette sans sucre

       

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    • 1. Qu’est ce qu'une fracture de la partie supérieure de l'humérus ?

      Ces fractures peuvent survenir essentiellement dans deux régions différentes de l’extrémité supérieure de l’humérus :

      • les tubérosités où s’insèrent les muscles qui permettent à l’épaule de bouger
      • la région articulaire qui sert au coulissement correct entre les deux pièces osseuses que sont l’humérus et l’acromion (partie articulaire de l’omoplate).

      Elles peuvent souvent s’accompagner d’une dislocation de l’épaule.

      Certaines fractures peuvent évoluées vers une mort de la tête de l’humérus (nommée ostéonécrose), si la couronne vasculaire, qui assure sa vascularisation et fait le tour du col, est lésée lors de la fracture.

      Le nerf qui commande le principal moteur de l’épaule (le deltoïde) passe juste en dessous du col de l’humérus et peut être lésé lors de ce type de fracture.

      Les fractures de l’extrémité supérieure de l’humérus se traduisent essentiellement soit par une fracture isolée de la grosse tubérosité (trochiter), soit par une fracture du col et des tubérosités (céphalo-tubérositaires).

      Extrêmité supérieure de l'humérus, vue latérale
      Figure 1 : Extrémité supérieure de l'humérus, vue latérale

      Nerfs et artères de l'épaule, vue antérieure
      Figure 2 : réseau vasculo-nerveux de l'épaule, vue antérieure

       

       

      2. 

      Une douleur vive, une perte totale de fonction , et un œdème du bras.

       

       

      3. Quels sont les examens à passer ?

      • Une radiographie qui confirmera la fracture
      • Un scanner qui permettra de faire un meilleur bilan de la fracture pour choisir le traitement le plus approprié.

      Reconstruction au scanner 3D d'une fracture 
            céphalo-tubérositaire de l'humérus
      Figure 3 : Reconstruction au scanner 3D d'une fracture céphalo-tubérositaire de l'humérus

      Reconstruction au scanner 3D d'une fracture 
            céphalo-tubérositaire de l'humérus
      Figure 4 : Reconstruction au scanner 3D d'une fracture céphalo-tubérositaire de l'humérus

       

       

      4. Quel traitement pratiquer ?

      La prise en charge est variable en fonction de l’âge des patients, de la localisation, , de leur activité physique, des complications éventuellement rencontrées.

      a) Les fractures du trochiter

      Si la fracture n’est pas déplacée, le traitement consiste en une immobilisation simple (par orthèse bras au corps), mais totale, dont le but est d’obtenir la fusion du massif osseux.
      Au bout de 6 semaines, on commencera une rééducation douce pour restaurer progressivement les mobilités (en moyenne 3 mois) et la force (généralement 6 mois).

      Si la fracture est déplacée, la réalisation d’un scanner est indispensable pour évaluer la taille des fragments.
      Il faudra également réaliser une intervention chirurgicale consistant à fixer ces fragments par exemple au moyen de vis ou de broches. Puis les suites sont identiques au traitement sans opération.

      b) Les fractures céphalo-tubérositaires

      fracture réduite par la pose d'un clou huméral
      Figure 5 : fracture réduite par la pose d'un clou huméral

      Si la fracture n’est pas ou peu déplacée, le traitement est le même que celui des factures du trochiter : une immobilisation simple (par orthèse bras au corps) mais totale, dont le but est d’obtenir la fusion du massif osseux.
      Au bout de 6 semaines, on commencera une rééducation douce pour restaurer progressivement les mobilité (en moyenne 3 mois) et la force (6 mois).

      Si la fracture est déplacée, le traitement dépend de l’âge, de la fonction du patient et de l’importance du déplacement. Si le patient est jeune, on essaiera de conserver l’anatomie par une intervention visant à réduire la fracture et à la stabiliser par mise en place d’un clou huméral.

      Après l’intervention les suites consistent à mettre un bandage bras au corps pendant 6 à 10 semaines, puis à suivre une rééducation douce pour restaurer progressivement les mobilités (en moyenne 3 mois) et la force (6 mois).

      Si le patient a plus de 65 ans et que les fragments sont multiples et déplacés, on pourra remplacer l’articulation par une prothèse d’épaule anatomique ou inversée, en fonction de l’état des tendons et des massifs osseux.

       

       

      5. Quelles sont les complications possibles ?

      Les complications possibles, inhérentes à tout acte de chirurgie, sont notamment les risques d'infection, d'hématome, de lésion vasculo-nerveuse. Cette liste n'est pas exhaustive.

      Lors d'une intervention chirurgicale relative à une fracture du trochiter, la principale complication spécifique à cette pathologie est une absence de consolidation, avec nécessite d’une greffe osseuse secondaire .

      Lors d'une intervention chirurgicale relative à une fracture céphalo-tubérositaire, les principales complications spécifiques à cette pathologie sont le déplacement secondaire de la fracture lié à une qualité d’os médiocre, une ostéonécrose (mort de la tête de l’humérus), un enraidissement de l’épaule.

      http://chirurgie-epaule-fontvert.fr/fracture_humerus.html

       

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