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  • Cuisiner des muffins salés est un moyen pour faire manger les légumes aux plus réticents et aux enfants. Voici une recette de muffins aux courgettes et basilic, à servir à l'heure de l'apéritif ou en entrée.

     
    Muffins aux courgettes et au basilic

    Muffins aux courgettes et au basilic

    Cuisiner des muffins salés est un moyen pour faire manger les légumes aux plus réticents et aux enfants. Voici une recette de muffins aux courgettes et basilic, à servir à l'heure de l'apéritif ou en entrée.

     

    Ingrédients

    Pour 6 personnes

    • 2 petites courgettes bio
    • 180 g de farine de blé ou de froment + moule
    • 1 sachet de levure chimique
    • 80 g de parmesan râpé
    • œufs
    • 2 petits-suisses ou l’équivalent en yaourt type velouté
    • 10 cl d’huile d’olive
    • 1 cuillère à soupe de basilic ciselé
    • 20 g de gros poivre à la cardamome

     

     

    Préparation

    1. Préchauffer le four à 180 °C (th. 6).
    2. Laver et râper les courgettes sans les peler. Saupoudrer de gros sel et les laisser égoutter pendant 10 min pour les faire dégorger. Les éponger et les réserver.
    3. Tamiser la farine avec la levure chimique au-dessus d’un saladier. Ajouter le parmesan râpé. Fouetter les petits-suisses dans un autre saladier avec les œufs et l’huile. Ajouter le râpé de courgettes, ensuite incorporer le basilic ciselé. Poivrer. Mélanger cette préparation aux ingrédients secs avec une cuillère en bois.
    4. Beurrer et fariner des moules à muffins (sauf si vous utilisez des moules en silicone).  Y verser la pâte aux deux tiers.
    5. Enfourner les muffins aux courgettes pendant 20 min : les muffins doivent être gonflés et dorés. Vérifier la cuisson.
    6. Laisser refroidir avant de démouler.
    7. Servir tiède ou froid.

     

    https://www.rustica.fr/entrees/muffins-courgettes-basilic,17539.html

     

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  • Ces fractures se rencontrent après un traumatisme violent, un accident de la route ou un traumatisme sportif. En fonction de la stabilité et de l’atteinte et de sa localisation, le traitement sera chirurgical ou fonctionnel. La kinésithérapie sera essentielle pour retrouver les fonctions de marche et la stabilité du membre inférieur.

    ANATOMIE

    Le bassin est constitué de 3 pièces osseuses : l’iliaque, l’ischion et le pubis. L’ensemble est solidarisé par de puissants ligaments en arrière et en avant. Le sacrum unit en arrière les 2 os coxaux avec les 2 articulations sacro-iliaques. En avant on retrouve la symphyse pubienne avec ses puissants ligaments et le fibro cartilage.

    Le bassin présente plusieurs articulations dédiées à la mobilité et à la station debout :

    • l’articulation de la hanche : l’articulation coxo-fémorale
    • l’articulation sacro-iliaque
    • la symphyse pubienne

    Les muscles qui croisent la région anatomique sont extrêmement puissants et nombreux.

    Les grands groupes musculaires sont :

    • les muscles pelvi-trochantériens: piriforme, jumeaux, obturateur interne, obturateur externe, carré fémoral
    • les fessiers : petit glutéal, moyen glutéal, grand glutéal
    • les fléchisseurs: droit fémoral, iliaque, psoas, sartorius, TFL
    • les adducteurs: gracile, pectiné, long adducteur, moyen adducteur, grand adducteur

    Les fractures du bassin sont classées en 3 grand types :

    • les lésions stables avec respect des organes du petit bassin : Ce sont des fractures de l’aile iliaque, de l’ischion, du sacrum ou du coccyx, sans retentissement sur la fonction des membres inférieurs et les capacités de marche.
    • les lésion partiellement stables avec des rotations des segments fracturaires mais avec le respect des organes du petit bassin: ces fractures rompent totalement ou non l’anneau pelvien. Elles surviennent après un choc violent ou une chute en hauteur (comme une chute depuis une échelle par exemple). Elles sont souvent associées avec d’autres lésions et donnent des tableaux de polytraumatisés.
    • les lésions instables avec rupture complète de l’arc postérieur et des lésions organiques du plancher pelvien associés: les lésions complexes du bassin sont à l’origine de fractures complètes associées à des déplacements des fragments osseux qui peuvent entraîner des complications sur les organes du petit bassin. On retrouve classiquement des lésions nerveuses notamment la lésion des branches du plexus lombaire et des branches du nerf sciatique, des lésions vasculaires, des lésions urinaires (ruptures de la vessie, lésion de l’urètre), lésions cutanées et des lésions graves du périnée.

    Les fractures articulaires sont les plus fréquentes et doivent faire craindre des retentissements fonctionnels importants.

    EXAMEN CLINIQUE

    En pratique le praticien recherche les douleurs de la région iliaque en mobilisant les articulations coxo-fémorales. On recherche aussi les douleurs à la compression des ailes iliaques et à l’écartement des ailes iliaques.

    BILAN IMAGERIE

     

    Les radiographies standards de face, de profil et de ¾ permettent de visualiser les premières lésions. Des incidences spécifiques permettent de dégager les principales zones osseuses fracturées.
    Elles seront obligatoirement complétées par le scanner (éventuellement avec reconstruction 3D) qui permettra de bien visualiser les traits de fractures et les déplacements éventuels.

    TRAITEMENTS

    Le traitement des fractures du bassin est toujours secondaire par rapport aux traitements des lésions associées et des urgences lors des saignements et des lésions organiques.
    La prise en charge d’un traumatisme du bassin est avant tout celui d’un malade sous choc, parfois polytraumatisé, avec une prise en charge en urgence. Le malade doit être réanimé, et pour lequel une hémostase doit être immédiatement mis en place.
    Les bilans radiologiques, sanguins et scannographiques doivent être instaurés en urgence.
    Sur le plan orthopédique, les fractures du bessin consolident en général bien en 2 mois.

    En revanche les complications peuvent être nombreuses :

    • complications immédiates: lésion nerveuse, vasculaire, cutanée, urinaire et gynécologique
    • complications secondaires: sepsis si le traitement a été chirurgical, phlébite
    • complications tardives: coxarthrose d’apparition rapide, raccourcissement du membre inférieur, complications obstétricales chez la femme, ossifications péri fracturaires, cals vicieux, les disjonctions des sacro-iliaques ou de la symphyse pubienne peuvent donner des douleurs persistantes en cas de diagnostic retardé.

    Si la fracture est stable, le repos alité pendant 6 à 8 semaines permet d’obtenir une bonne consolidation.
    Le traitement orthopédique par traction suspension du membre inférieur est proposé pour les fractures stables sans déplacements mais avec la présence d’une disjonction symphysaire. C’est le traitement le plus utilisé car les fractures sont la plupart du temps stables et non déplacées.
    Le traitement chirurgical est utilisé en raison de la violence des traumatismes et des lésions occasionnées.

    Voici les options les plus fréquemment rencontrées :

    • ostéosynthèse: elle est de plus en plus souvent utilisée car elle permet une stabilité immédiate de la fracture, une rééducation précoce et l’évitement de la position alitée prolongée qui est sources de problématiques dont le traitement est parfois plus long que la fracture elle-même: perte des schémas moteurs, fonte musculaire, enraidissement articulaire, encombrement bronchique, difficulté à digérer, à uriner et à aller à la selle (constipation fonctionnelle). Les techniques les plus souvent rencontrées sont les plaques vissées, les visses trans osseuses,
    • les fixateurs externes qui peuvent être utiles pour éviter d’ouvrir le foyer la fracture. Ils sont de plus en plus utilisés en pratique car ils permettent de stabiliser la fracture puis de traiter les urgences vasculaires et nerveuses.

    Le traitement kinésithérapique sera instauré en fonction du traitement médical et chirurgical mis en place. En l’absence de complications et dans le cas d’une ostéosynthèse chirurgicale alors le malade sera immédiatement pris en charge par le kinésithérapeute pour entreprendre une rééducation précoce mais douce. Les lésions vont consolider en général en 2 mois et il ne faut pas sacrifier la stabilité de la fracture au profit d’une mobilité précoce. L’objectif essentiel reste la bonne consolidation osseuse et la récupération des fonctions des membres inférieurs.

    Rééducation d’une fracture de l’acétabulum :

    L’acétabulum est la cavité articulation de l’os coxal qui répond à la tête fémorale du fémur.

    Cette lésion est très fréquente et comme il s’agit d’une fracture articulaire, la prise en charge est d’autant plus précautionneuse et importante.
    Le traitement instauré est chirurgical avec plaques vissées la plupart du temps, ou orthopédique en fonction du type de fracture.

    Les malades se présentent aux urgences en état de choc. La douleur de la hanche et la douleur à la mobilisation de la hanche doivent faire rechercher une fracture du bassin et plus précisément à l’articulation coxo-fémorale.
    En cas de luxation de la tête fémorale associée il faut rechercher les complications immédiates décrites ci-dessous :

    • Complications viscérales du petit bassin (vessie, urètre, organes gynécologiques),
    • Complications vasculaires : pertes de sang importantes
    • Complications urinaires: impossibilité d’uriner, ou présence de sang dans les urines
    • Complications neurologiques, la plus commune est la compression du nerf sciatique, avec parfois une urgence chirurgicale pour dégager le nerf sciatique.

    Le diagnostic est fait par les radiographies avec des clichés de face et des clichés obliques à 45°.
    Le scanner complète toujours le bilan radiologique car il permet d’étudier les traits de fracture, les déplacements et les éventuelles lésions osseuses associées.

    Les fractures de l’acétabulum (anciennement “cotyle”) sont classées selon la classification de JUDET et LETOURNEL :

    • fractures de la paroi postérieure
    • fractures de la colonne postérieure
    • fractures de la paroi antérieure
    • fractures de la colonne antérieure
    • fractures en T
    • fractures transversales
    • fractures complexes, associant plusieurs autres types de fractures

    Le traitement orthopédique consiste à effectuer une traction dans l’axe du fémur et à le suspendre pendant toute la durée de la consolidation.
    Le traitement chirurgical consiste en une ostéosynthèse soit par vissage, soit par plaques vissées.

    Rééducation fonctionnelle :

    Phases non consolidée : de J1 à J90

    Objectifs thérapeutiques :

    • Il s’agit d’une phase où l’appui sur le membre inférieur n’est pas autorisé. le respect strict de cette phase conditionne la récupération fonctionnelle. Les risques encourus sont : une nécrose, un cal vicieux, un retard de consolidation, une coxarthrose primitive (arthrose de la hanche).
    • respect des consignes post opératoires: pas de mobilisation au delà de 90° de flexion, pas de travail musculaire dynamique, pas d’élévation jambe tendue en raison des contraintes sur la tête fémorale.
    • apprentissage du béquillage
    • autonomisation du patient
    • lutte contre les douleurs et les phénomènes trophiques
    • restaurer 50% des amplitudes articulaires, sans jamais forcer
    • prévenir les attitudes vicieuses et les flexum antalgiques dans le lit
    • entretien musculaire en statique
    • lutter contre les rétractions musculaires de la chaîne postérieure
    • prévenir les signes de phlébite, les troubles de la sensibilité dans les territoires nerveux du nerf sciatique et crural

    Techniques utilisées :

    • apprentissage des transferts allongé/assis, assis/debout avec les cannes
    • apprentissage du pas simulé avec les cannes béquilles
    • correction des boiteries
    • contractions en chaîne des muscles extenseurs
    • massages à visée circulatoire
    • drainage lymphatique manuel
    • bas de contention avant de se lever
    • massages à visée décontracturante de l’ensemble du membre inférieur
    • lutte contre l’installation des flexums de genou
    • mobilisation douces du fémur et du bassin sans contraintes
    • utilisation des mobilisations bassin sur fémur avec l’aide du membre inférieur opposé
    • entretien articulaire de toutes les articulations des membres inférieurs et supérieurs pour éviter l’enraidissement de décubitus
    • entretien musculaire du côté opposé et des membres supérieurs pour éviter la perte musculaire de décubitus
    • travail musculaire statique sans résistance, en privilégiant le travail musculaire en poutre composite

    Phase consolidée : après J90

    Objectifs thérapeutiques :

    • apprentissage d’une reprise d’appui progressive
    • correction des boiteries: boiterie d’esquive du pas, asymétrie de la longueur de pas, compensations des étages sus et sous jacents, mauvais déroulement du pas au sol.
    • travail sur la sensibilité de la pression du poids du corps sur le membre inférieur en reprise d’appui avec l’aide d’une balance
    • réentrainement à l’effort, réathlétisation
    • lutte contre les compensations lombaires et ré-apprentissage de la sensation du mouvement lombo-pelvi-fémoral
    • reprise d’une vie normale et reprise du sport en sécurité

    Techniques utilisées :

    • massages à visée décontracturantes
    • levées de tension des muscles contracturés
    • lutte contre la rétraction musculaires des chaînes postérieures
    • massages et mobilisations de l’ensemble des membres inférieurs pour restaurer la totalité des capacités articulaires de la hanche et du bassin
    • lutte contre le flexum de hanche et le flexum de genou par des techniques de postures douces et des mobilisations spécifiques des articulations.
    • techniques de décompression de la coxo-fémorale dans l’axe de la diaphyse et dans l’axe du col fémoral
    • étirement de tous les plans musculo-aponévrotiques de la région
    • apprentissage de techniques auto-passives de mobilisations et d’étirements
    • travail musculaire en progression en intensité, travail en chaîne ouverte et en chaîne fermée avec des résistances manuelles et instrumentales progressives
    • travail de l’endurance musculaire et de la puissance des muscles de la région
    • travail proprioceptif sur des plans stables et instables
    • réentrainement à l’effort: travail sur vélo, tapis de marche et de course,
    • musculation sur la presse, squats, exercices unipodal, pliométrie
    • la récupération fonctionnelle s’étend sur 3 mois après l’autorisation de l’appui donc il faudra doser les exercices et intensifier progressivement les sollicitations.
    • travail de la stabilité de la hanche et du bassin en incluant le travail sur le rachis lombaire
    • montée et descente des escaliers, franchissement d’obstacles

    ARTICLE RÉDIGÉ PAR IK

     

    IK est un réseau de cabinets de kinésithérapie avec une équipe de praticiens hyper spécialisés pour une prise en charge complète au même endroit.

     

     

    À LIRE ÉGALEMENT

    https://www.institut-kinesitherapie.paris/actualites/fracture-bassin/# 

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  • Journée mondiale du diabète : de la sensibilisation au CHRSM d'Auvelais

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  • SANOFI

     

    Ces données ont été présentées au Congrès annuel de la Société internationale du diabète de l'enfant et l'adolescent (ISPAD), qui se tient à Rotterdam aux Pays-Bas, et publiées dans The New England Journal of Medicine.

    Selon ces données, le Tzield a permis de ralentir significativement la baisse des taux de peptides C -- le critère d'évaluation primaire --, comparativement au placebo chez des enfants et adolescents âgés de 8 à 17 ans chez lesquels un diabète de type 1 auto-immun de stade 3 avait été diagnostiqué au cours des six semaines précédentes.

    Les données de cet essai de phase 3 représentent une première étape importante pour Sanofi depuis son acquisition en avril de Provention Bio pour 2,9 milliards de dollars, qui lui a permis d'obtenir les droits mondiaux du Tzield, a indiqué le groupe.

    Le Tzield est le premier et le seul médicament modificateur de l'évolution du diabète de type 1 auto-immun. Il a été approuvé par la Food and Drug Administration (FDA), l'autorité sanitaire américaine, en novembre 2022 afin de retarder l'installation d'un diabète de type 1 de stade 3 (ou clinique) chez l'adulte et l'enfant à partir de 8 ans chez lesquels un diabète de type 1 de stade 2 a été diagnostiqué.

    -Pierre-Jean Lepagnot, Agefi-Dow Jones; +33 (0)1 41 27 47 39; pjlepagnot@agefi.fr ed: LBO

    Agefi-Dow Jones The financial newswire

    Dow Jones Newswires

    October 18, 2023 05:27 ET (09:27 GMT)

     

    https://investir.lesechos.fr/actu-des-valeurs/la-vie-des-actions/sanofi-presente-de-nouvelles-donnees-encourageantes-sur-le-tzield-contre-le-diabete-1987969

    SOCIÉTÉS CITÉES

     

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    • ÉTAPE 1

      langue

      Le Bouillon : Rincer la langue à l'eau froide. Mettre tous les ingrédients dans une marmite d’eau froide, et ajouter la langue de bœuf; couvrir et faire cuire 3 h.

    • Après la cuisson, enlever la langue; laisser refroidir puis retirer la peau. Mettre la langue et le bouillon au frigo pour la nuit.

    •  

      La Sauce : Faire fondre le beurre, puis incorporer la farine; laisser brunir tout en remuant (faire un roux brun).

    •  
       

      Ajouter, louche par louche, une partie du bouillon en évitant les grumeaux (5 louches); verser la sauce tomate et ajouter l’échalote et les cornichons.

    • Rajouter du bouillon afin d’obtenir une sauce assez liquide.

    • Le plat : Couper la langue en tranches, et les disposer dans la sauce.
    • Rajouter éventuellement du bouillon pour recouvrir la langue; laisser mijoter 1 h

    • https://www.marmiton.org/recettes/recette_langue-de-boeuf-sauce-cornichons_52680.aspx.

     

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  • Quel pain manger quand on fait de l’hypertension ?

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  • COMMUNIQUÉ DE PRESSE

    A l’aube d’une inquiétante pénurie des agonistes du récepteur au GLP1 pour les personnes diabétiques ? L’Association du Diabète s’alarme !

    Bruxelles, le 5 septembre 2023 - Depuis septembre 2022, les personnes atteintes de diabète de type 2 font face à des pénuries de plusieurs médicaments dues à l’augmentation des prescriptions pour la perte de poids chez les personnes non-diabétiques, donc hors indication diabète de type 2. Il s'agit notamment de l’analogue du récepteur GLP1 (GLP1-ra), le semaglutide de chez Novo Nordisk (Ozempic®/Rybelsus®).

    L’Association du Diabète et son association soeur néerlandophone, la Diabetes Liga, ont été alertées de ce mésusage dès la fin 2022. L’inquiétude des médecins diabétologues face au risque de pénurie a été abondamment commentée dans tous les médias belges, ainsi que dans les revues professionnelles et patients des associations concernées. 

    Faute de traitement comparable, les stratégies thérapeutiques pour lutter contre le diabète ont dû être modifiées, très souvent en urgence. Cette situation a accru considérablement les tensions entre patients et pharmaciens et a augmenté les contraintes thérapeutiques et administratives des médecins. Par effet domino, les autres GLP1-ra sur le marché, indiqués dans la thérapie du diabète, ont aussi été en pénurie, aggravant de fait l’approvisionnement de milliers d’autres patients. Les firmes commercialisant les GLP1-ra ont même été contraintes de demander aux médecins de ne plus débuter de traitement, en particulier chez de nouveaux patients diabétiques !

    Cette pénurie risque de s’emballer plus encore depuis la publication des résultats de l’étude SELECT (Août 2023) qui ont montré que le semaglutide à haute dose entraîne, outre une perte de poids très significative chez les personnes en surpoids ou obèses non diabétiques, une amélioration des paramètres cardiovasculaires. Commercialisée par la firme Novo Nordisk sous le nom de Wegovy®, cette forme hautement dosée de semaglutide n’est pas encore disponible en Belgique. La société déclare néanmoins qu'elle déposera prochainement une demande d'indication pour les personnes en surpoids et obèses aux États-Unis et en Europe. Mais il n’y a aucune garantie actuellement quant à l’adéquation entre la production du médicament et les demandes énormes de ce marché.

    L’Association du Diabète tient à exprimer ses plus vives inquiétudes face à ce comportement de prescription et de délivrance de cette classe de médicaments chez les personnes non-diabétiques dans notre pays, alors que des recommandations claires avaient été adressées aux médecins et aux pharmaciens dès 2022 (*).

    En collaboration avec l’AFMPS, l’INAMI, les mutuelles, l’ordre des médecins et des pharmaciens et les industriels concernés, l’Association du Diabète demande que tant que la pénurie persiste, des mesures drastiques soient prises afin de répondre à l’exigence d’une prise en charge thérapeutique durable des personnes diabétiques de type 2.

    Il est clair que si les prescriptions hors diabète se multiplient, les personnes diabétiques seront privées d'une thérapie majeure qui a fait ses preuves, en réduisant les complications cardiovasculaires et rénales liées à la maladie. Ce recul thérapeutique, particulièrement dommageable, aura donc inévitablement des conséquences sur les personnes affectées par la maladie.

    L’Association du Diabète exhorte donc toutes les personnes concernées à adopter dès à présent un comportement responsable et en phase avec les recommandations émises, afin d'éviter un recul thérapeutique inacceptable.

     

    https://www.diabete.be/actualites-et-agenda-6/actualite-196/penuries-de-medicaments-ladd-salarme-710#gsc.tab=0

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  • Les hypoglycémies font malheureusement partie des complications bien connues des personnes diabétiques. Celles-ci se déclarent lorsque le taux de sucre sanguin est trop bas. Il est très important pour la personne diabétique et son entourage de pouvoir en repérer les symptômes et savoir comment réagir en conséquence. Surtout si les choses se compliquent... Valérie Heuvelmans, infirmière spécialisée en diabétologie à l’Association, vous montre les gestes à adopter si vous êtes témoin d’une hypoglycémie sévère. Retrouvez plus d'infos sur notre site www.diabete.be

     

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  • Qu’est-ce que le FreeStyle Libre 2 vous apportera de plus ?

    Le capteur FreeStyle Libre 2 mesure les taux de glucose dans le liquide interstitiel. Il peut être porté pendant un maximum de 14 jours. Le capteur FreeStyle Libre 2 est compatible avec l’application FreeStyle LibreLink et le lecteur FreeStyle Libre 2. Le capteur FreeStyle Libre 2 est également compatible avec le lecteur de la première génération de FreeStyle Libre, mais uniquement s’il a été mis à jour. Pour faire la mise à jour, cliquez ici. Les alarmes de glucose optionnelles ne seront toutefois pas disponibles sur le lecteur la première génération de lecteur FreeStyle Libre.
    • Des alarmes de glucose optionnelles

      Soyez avertis lorsque vous êtes en hypo- ou hyperglycémie grâce aux alarmes de glucose optionnelles personnalisables.

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      L’application FreeStyle LibreLink vous permet de remplacer votre lecteur FreeStyle Libre et plus encore : profitez des codes couleurs pour vos différents scans, commentez librement vos taux de glucose, vérifiez votre taux d’hémoglobine glyquée estimée directement via l’app…

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      La nouvelle génération de capteur est encore plus précise sur vos résultats de glucose.

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    • Petite taille (35 mm x 5 mm). Discret et pratique à porter en dessous des vêtements.
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    L'app FreeStyle LibreLink vous permettra de scanner votre capteur FreeStyle Libre 2 et vous alertera, si vous le souhaitez, lorsque vous êtes en hypo- ou hyper-glycémie.

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    Capteur FreeStyle Libre 2

    Le capteur FreeStyle Libre 2 est compatible avec l’application FreeStyle LibreLink et le lecteur FreeStyle Libre 2. Le capteur FreeStyle Libre 2 est également compatible avec le lecteur FreeStyle Libre de première génération, mais uniquement s’il a été mis à jour. Pour faire la mise à jour, cliquez ici. Les alarmes de glucose optionnelles ne seront toutefois pas disponibles sur le lecteur FreeStyle Libre de première génération.

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    4) Faites défiler les valeurs pour sélectionner la valeur de glucose bas en-dessous de laquelle l’alarme se déclenchera.
    5) Dans l’onglet Sons, cliquez sur Tonalité d'alarme et choisissez le son qui sera émis.
    6) Activez votre alarme de glucose élevé en choisissant Alarme glucose élevé et en répétant les mêmes étapes.

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    75 - Questions fréquentes

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    https://myfreestyle.be/fr/produit/freestyle-libre-2/

     

    Le FreeStyle Libre 3 d'Abbott, est désormais disponible en ...

     
    diabete-infos.fr
    https://diabete-infos.fr › freestyle-libre-3-abbott
     
    22 mars 2022 — Le système de mesure en continu du glucose FreeStyle Libre 3, destiné aux personnes diabétiques est désormais disponible en France.
     
     
     
     

     

     

     
     
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  • Dans la mesure où on ne peut traiter qu’une petite quantité de sang à la fois et que plusieurs passages dans le dialyseur sont nécessaires, il faut que la durée et la fréquence de la dialyse soit suffisante pour assurer l’efficacité du traitement.

    Il existe plusieurs fréquences et durées possibles pour l’hémodialyse, notamment :

    • 4 à 5 heures, trois fois par semaine (modalité de loin la plus répandue),
    • 2 à 3 heures, six jours par semaine (on parle d’hémodialyse quotidienne)
    • 6 à 8 heures, trois nuits par semaine (on parle d’hémodialyse longue nocturne). La dialyse longue peut aussi parfois avoir lieu durant la journée.

    A ces temps de dialyse, il faut ajouter le cas échéant le temps de transport, l’attente éventuelle, la préparation (pesée, branchement, etc.), le débranchement, et celui du retour, le temps consacré à l’éducation lorsque le patient apprend à être autonome…

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  • Ces modalités d’hémodialyse sont normalement destinées à des patients ayant des problèmes de santé importants et nécessitant une surveillance rapprochée, ou encore à ceux qui, pour différentes raisons, ne peuvent pas ou ne souhaitent pas réaliser eux-mêmes les gestes relatifs à leur dialyse.

    L’ensemble du traitement est réalisé par le personnel soignant. Il y a, en principe, une infirmière pour quatre patients. Un néphrologue est présent à chaque séance dans les centres. Dans les UDM, une consultation est prévue une fois par semaine, mais son intervention reste possible à tout moment en cas de besoin, parfois en ayant recours à la télémédecine.

    Les centres sont à proximité ou à l’intérieur d’un centre hospitalier : ils sont de ce fait peu nombreux et souvent éloignés du domicile des patients. Les temps de transport peuvent être longs.

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  • Il existe plusieurs types d’unités de dialyse, en fonction du degré d’autonomie des personnes et de leur état de santé.

    Les séances durent dans leur grande majorité quatre à cinq heures, lundi – mercredi – vendredi ou mardi – jeudi – samedi, en matinée ou l’après midi, à heures fixes. Il existe en général peu de souplesse sur les horaires.

    Quelques structures proposent parfois des séances du soir, voire des dialyses longues nocturnes, ou encore de l’hémodialyse quotidienne, ce qui permet de mieux personnaliser le traitement.

    Des déplacements et donc des temps de transports sont à prévoir, en fonction de la distance entre le domicile et la structure de dialyse. Les transports se font en véhicule individuel, taxi, VSL ou ambulance, sur prescription médicale. Ils sont pris en charge à 100% par l’Assurance Maladie.

    Lorsque plusieurs structures de dialyse sont disponibles localement, à une distance raisonnable du domicile, il ne faut pas hésiter à se renseigner sur chacune d’entre elles et à demander à les visiter afin de choisir celle qui conviendra le mieux.

     

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  • L’autodialyse, initialement prévue comme un « substitut du domicile », peut constituer une alternative intéressante, pour les personnes qui souhaitent une certaine autonomie sans pour autant pouvoir ou vouloir opter pour le domicile. Les unités d’autodialyse sont souvent de petites structures, de proximité, en général conviviales.

    Une infirmière est présente pour six à huit patients, en fonction de leur degré d’autonomie, en autodialyse autonome ou assistée. Le patient peut assurer le montage et le démontage du générateur ou simplement aider à la préparation. La pose des aiguilles peut être assurée par une infirmière.

    Il n’y a pas de néphrologue sur place, mais des consultations périodiques sont programmées pour le suivi. Un néphrologue de garde reste joignable et a parfois la possibilité de consulter par télésurveillance les paramètres de la dialyse.

    En pratique, en fonction des établissements, les contraintes de l’autodialyse restent souvent importantes : peu de liberté des horaires, peu de souplesse quant à la durée et à la fréquence du traitement et une autonomie qui reste limitée.

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  • L’alimentation et la diététique en dialyse

    Pour conserver un bon état physique en dialyse, il est essentiel de bien se nourrir et d’avoir une alimentation variée. Cependant, certains constituants des aliments que le rein élimine lorsqu’il fonctionne normalement peuvent s’accumuler dans l’organisme et provoquer divers problèmes de santé.

    Certaines règles diététiques doivent donc être suivies. Elles doivent être adaptées en fonction des besoins nutritionnels des patients, de la qualité de la dialyse qu’ils reçoivent, de leur éventuelle fonction rénale résiduelle et de leurs résultats biologiques.

    Certaines structures de dialyse proposent l’aide d’une diététicienne.

    L’apport en minéraux

    Le potassium et le phosphore sont des minéraux très présents dans l’alimentation, nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme, mais qui peuvent s’y accumuler avec des conséquences parfois graves lorsqu’on est dialysé.
    Le potassium est présent en grande quantité dans les légumes secs, les fruits secs, les oléagineux, certains légumes et fruits frais, le chocolat, les boissons instantanées. En hémodialyse, ces aliments sont à limiter. Les sels de remplacement sont contre-indiqués.

    Le phosphore est présent en grande quantité dans les fromages à pâte dure et les fromages fondus, les abats, les poissons en conserve, les fruits oléagineux, les aliments industriels contenant des additifs phosphatés (certains plats cuisinés, certaines charcuteries). Certains sodas apportent du phosphore sous forme d’acide phosphorique. En dialyse, ces aliments sont à limiter.

    Il existe des médicaments spécifiques, appelés chélateurs, qui peuvent empêcher l’absorption intestinale du potassium et du phosphore et donc être utilisés en complément du régime alimentaire. Même si ces mesures sont suivies, il est important de prendre ces traitements, qui peuvent alléger les contraintes alimentaires.

    L’apport en eau

    Lorsque les reins fonctionnent moins bien ou plus du tout, l’eau ne peut plus être correctement éliminée. Elle s’accumule dans les tissus de l’organisme, provoquant des œdèmes (principalement dans les chevilles et sous les yeux) allant parfois jusqu’à l’œdème pulmonaire. La dialyse corrige cette accumulation, à condition que les apports hydriques entre deux séances soient modérés.
    Ces restrictions en liquides peuvent être difficiles à supporter, car on ne boit pas « à sa soif ». Certaines mesures permettent de limiter la sensation de soif, manger peu salé. Quelques astuces peuvent aider : boire dans des petits contenants, par petites gorgées et sucer des glaçons (qui désaltèrent malgré un faible volume de liquide).

    L’apport en sel

    Il y a deux raisons principales qui peuvent conduire à l’établissement d’un régime pauvre en sel : l’existence d’une hypertension, qui est relativement fréquente en dialyse, et la restriction en eau, puisque le sel donne soif. Concrètement, il s’agit de cuisiner sans sel, mais avec saveur, de ne pas rajouter de sel aux aliments, d’éviter les aliments salés, voire de consommer du pain sans sel.

    En hémodialyse,
    Bien se nourrir, c’est consommer :

    • Des fruits et légumes : 4 par jour : 1 légume cru, un légume cuit, un fruit frais, un fruit cuit
    • Des féculents et / ou du pain : à chaque repas
    • De la viande ou poisson ou œufs : 2 fois par jour
    • Des produits laitiers : 2 à 3 par jour
    • Des matières grasses : à chaque repas. Privilégier les matières grasses végétales (huile de colza, soja, olive…, margarines à teneur garantie en oméga 3)
    • Des produits sucrés : avec modération, ce qui n’empêche pas de se faire plaisir

    L’apport hydrique

    En hémodialyse, la quantité de boisson conseillée est de 500 ml + le volume de la diurèse quotidienne
    Pour les personnes qui n’urinent plus, le volume de boisson est de 750 ml par jour

    Spécificités diététiques en dialyse péritonéale (domicile)

    Tant qu’une fonction rénale résiduelle est préservée, ce qui est souvent le cas, de manière durable, en dialyse péritonéale, le régime est plus souple. Grâce aux échanges quotidiens, l’alimentation n’est pas restreinte en potassium.
    En revanche, la solution de dialyse péritonéale contient du sucre, ce qui impose une limitation des apports en sucre (sauf chez la personne âgée). Les apports en sel doivent aussi être contrôlés.

    Pour éviter la dénutrition, le patient en hémodialyse ou en dialyse péritonéale doit avoir des apports énergétiques et protidiques corrects. Viande, poisson, œufs ou jambon doivent figurer aux deux repas : déjeuner et diner.

    Spécificité de la première heure d’hémodialyse

    La première heure d’hémodialyse permet de profiter des aliments habituellement limités, très salés ou riches en potassium principalement. En effet ces minéraux seront éliminés durant la suite du traitement. Il s’agit de moments de plaisir et de convivialité qui ne doivent pas être négligés.

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