• Quatre vies, quatre histoires de patients qui ont mené un combat contre le cancer aux Cliniques universitaires Saint-Luc et qui, aujourd'hui, profitent pleinement de la vie. Des liens uniques tissés au coeur de l'hôpital, où soignants-soignés forment une alliance

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • Les traitements de l'aponévrosite plantaire sont :

    • Suppression de la chaussure responsable, et mise au repos de la zone lésée (semelles orthopédiques, semelles en mousse).
    • Anti-inflammatoires et antalgiques (médicaments contre la douleur).
    • Tentative d'utilisation d'orthèse nocturne (appareil permettant d'empêcher l'aponévrose de continuer à se rétracter).
    • Mésothérapie (sans utilisation de dérivés de la cortisone).
    • Radiothérapie (utilisation des rayons à faibles doses et à faible intensité).
    • Quelquefois un soulagement est obtenu avec l'ionisation calcique.
    • Plus récemment ont été proposés des séances d'onde de choc ou une lithotritie extracorporelle avec résultats variables.
    • Des massages profonds de l'aponévrose plantaire apportent un certain soulagement.
    • Injection de corticoïdes directement dans l'aponévrose sous contrôle de l'échographie ou du scanner.
    • Utilisation de la chirurgie pour les formes rebelles. Elle consiste à inciser l'aponévrose : aponévrectomie. Elle a pour but de libérer l'aponévrose, le tissu pathologique est excisé (enlevé),  et ainsi que l'épine calcanéenne. Le patient est autorisé à poser le pied dès la cicatrisation, c'est-à-dire dès la troisième semaine. Les résultats sont généralement bons. Certaines équipes ont observé cependant un affaiblissement de la voûte plantaire.

    Complications de la maladie

    Les complications de l'aponévrosite plantaire sont :

    • Rupture de l'aponévrose.
    • Présence de nodules.
    • Présence de cavités ressemblant à des kystes.

    Symptomes

    • Une douleur modérée, mais dont l'intensité augmente au fil du temps (des mois, voire des années).
    • On constate une limitation du périmètre de marche (la distance effectuée par le patient est de moins en moins importante).
    • Certains patients nécessitent un dérouillage matinal.
    • Quelquefois le patient déclare une symptomatologie douloureuse nocturne (survenue de douleurs la nuit).
    • Chez le sportif de haut niveau, on constate une impotence fonctionnelle majeure.

    Physiopathologie 

    C'est l'aponévrose moyenne, qui est le plus souvent enflammée en cas d'aponévrosite plantaire (sportif, danseur, anomalies anatomiques). 

    • La maladie de Ledderhose, correspondant à une rétraction de l'aponévrose plantaire, est l'équivalent de la rétraction de l'aponévrose palmaire de la main (pathologie entraînant une flexion des doigts).
    • Quand cette anomalie touche la main, elle porte le nom de maladie de Dupuytren, et maintient les doigts en flexion (repliés). 

     

    Diagnostic différentiel 

    Il ne faut pas confondre l'aponévrosite plantaire avec la talalgie (douleur du talon) quelquefois secondaire à une fracture de fatigue du calcanéum.

     
    Examen médical
     
    • C'est essentiellement l'I.R.M. qui est l'examen d'imagerie le plus performant. Néanmoins, il présente un inconvénient : son coût. Pourtant, chez les sportifs (en particulier de haut niveau), ou chez un sujet sédentaire il peut montrer les différents types d'anomalies de l'aponévrose concernée.
    • Certaines équipes médicales font une injection de gadolinium, ce qui permet un rehaussement du signal reçu par I.R.M. Celui-ci est d'autant plus important que la lésion est fraîche.
    • En présence d'une myo-aponévrosite chronique on note quelquefois une aponévrose qui est épaissie et irrégulière.
    • Il existe quelquefois des microruptures qui apparaissent en hypersignal  T2 ou qui sont rehaussées en T1 après injection de gadolinium. 
    • L'échographie objective une augmentation d'épaisseur de l'aponévrose plantaire en cas d'aponévrosite plantaire. Elle mesure alors 5 mm en moyenne contre 3 mm habituellement. Dans la majorité des cas, les spécialistes relèvent qu'il existe un aspect hypoéchogène.
    • D'autre part, l'échographie permet de mettre en évidence des sortes de kystes
    • La radiographie et la scintigraphie osseuse mettent en évidence l'épine calcanéenne et l'enthésopathie.  L'enthèse est la zone d'insertion des tendons et des ligaments sur un os. L'enthésopathie (ou enthésiopathie) est habituellement d'origine inflammatoire. La radiographie permet également de mettre en évidence des calcifications (dépôts de carbonate de calcium) près de la face inférieure de calcanéum.

    Consultation médecin 

    L'examen clinique note quelquefois des éléments négatifs, c'est-à-dire l'absence de douleurs au niveau des articulations tibiotarsiennes (vers le milieu du pied), et sous-astragaliennes (en dessous du talon).

    Le plus souvent, on constate à la palpation, des douleurs localisées à la face plantaire du talon, et quelquefois à la face latérale interne qu'il est possible quelquefois de déclencher en appuyant sur le dessous du pied, ou en serrant le talon, ou l'arrière pied dans sa main.

     
     

    Cause 

    Dans la quasi-totalité des cas, l'aponévrose plantaire survient chez un sportif, au cours d'une marche prolongée, après des microtraumatismes répétitifs avec une chaussure inadaptée. Elle peut également faire suite à :

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  •  
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • COMMANDE FREESTYLE LIBRE

     

    PHARMACIENS, VOUS SOUHAITEZ PASSER COMMANDE ?

    Sélectionner le cas de figure correspondant à votre situation.

    JE NE SUIS PAS CLIENT ABBOTT DIABETES CARE

    Je crée mon compte client

     

    CONTINUER

     

     

    JE SUIS CLIENT ABBOTT DIABETES CARE

    Je passe commande

     

    CONTINUER

     

    http://www.freestylediabete.fr/commande

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • Alors que l’été se dessine et que les vacances scolaires se profilent à l’horizon, il reste encore une étape importante à franchir pour de nombreux élèves ou étudiants : les examens. Brevet, bac, concours, ou autre examen : c’est toujours un événement difficile dont la réussite est bien sûr conditionnée par le travail. Et qui peut être compliqué par le diabète dont la gestion ne s’arrête pas pendant l’épreuve (besoin de contrôler sa glycémie, de se resucrer si nécessaire, etc), ce qui peut avoir une conséquence sur le temps dédié à l’examen. Voici nos conseils pour passer ses examens dans de bonnes conditions et optimiser ainsi ses chances de réussite.

    ENVISAGER UNE DEMANDE DE TEMPS D’EXAMEN MAJORÉ EN CAS DE DIABÈTE

    Toutes les personnes souffrant d’une maladie dont les conséquences pourraient entraver le bon déroulement d’épreuves d’examen peuvent bénéficier d’un aménagement du temps d’examen. L’objectif : permettre aux postulants de passer leurs examens dans des conditions favorables prenant en compte leurs contraintes (1,2). Un atout pour les personnes atteintes de diabète ! En principe, le temps d’examen dédié à une ou plusieurs épreuves peut être augmenté au maximum du tiers du temps initialement prévu pour l’épreuve. De quoi permettre au candidat de gérer son temps d’examen tout en contrôlant sa glycémie si cela est nécessaire. Dans certains cas exceptionnels le temps peut encore être prolongé sur demande du médecin.

     

    QUELS SONT LES EXAMENS CONCERNÉS PAR CETTE MESURE (2,3)?

    Le « tiers temps », comme il est fréquemment appelé, peut être accordé lors de tous les examens ou concours de l'enseignement scolaire et de l'enseignement supérieur organisés par le ministre chargé de l'éducation et le ministre chargé de l'enseignement supérieur ou par des établissements sous tutelle ou services dépendant de ces ministres (1,2).

    LA DEMANDE DE TEMPS MAJORÉ, EN PRATIQUE

    Pour effectuer une demande de temps majoré, il faut en premier lieu se procurer un dossier dédié auprès du rectorat dont vous dépendez. Une fois rempli et complété par votre médecin pour la partie médicale, vous devrez adresser ce dossier à l’un des médecins désignés par la commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH). Ce médecin vous communiquera son avis, et adressera également ses conclusions à l’autorité administrative compétente, qui pourra alors ouvrir et organiser l’examen ou le concours concerné en intégrant les aménagements souhaités. Cette demande d’aménagement doit, dans l’idéal, être initiée au moment de l’inscription à l’examen, afin de permettre à chaque partie de bénéficier du temps nécessaire à la mise en place de l’organisation (2 ,4). Alors, anticipez !

    Plus d’information concernant le temps majoré, cliquez-ici

    MAÎTRISER SON STRESS POUR MIEUX CONTRÔLER SA GLYCÉMIE

    Vous le savez, les examens ou concours sont souvent générateurs d’inquiétude et de stress. En cas de diabète, il est important d’être vigilant : le stress pourrait avoir un impact sur la régulation de la glycémie (5). Pendant la période de révision, la méditation, la pratique d’une activité sportive, et le respect de temps de pause permettent de recharger les batteries et de se faire plaisir. Le jour J, il est primordial de contrôler sa glycémie avant l’examen, d’emporter son traitement avec soi, ainsi que de quoi se resucrer ou s’hydrater si nécessaire (2).

    Voilà pour la gestion des contraintes liées au diabète. Il reste bien entendu à travailler pour se donner toutes les chances de réussir : bon courage et bonne chance !

    1. Code de l’éducation. Article D112-1 modifié par Décret n°2013-756 du 19 août 2013 - art. 7.
    2. AJD. La scolarité. http://www.ajd-diabete.fr/le-diabete/vivre-avec-le-diabete/la-scolarite/ Site consulté le 04/05/2017.
    3. Code de l’éducation. Article D351-27.
    4. Ministère de l’éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la recherche. Examens et concours de l'enseignement scolaire et de l'enseignement supérieur. Organisation pour les candidats présentant un handicap.http://www.education.gouv.fr/pid285/bulletin_officiel.html?cid_bo=91832. Site consulté le 04/05/2017.
    5. Surwit RS et al. Stress and diabetes mellitus. Diabetes Care. 1992 Oct;15(10):1413-22.
    INSTIT2405ADC316a-Mai 2017
    http://www.freestylediabete.fr/diabete/brevet-bac-concours-r%C3%A9ussir-ses-examens-quand-un-diab%C3%A8te
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • L’arthrose altère le quotidien de nombreux Français. Si cette dégradation du cartilage touche souvent la hanche ou les genoux, elle affecte également les mains, 3ème localisation la plus fréquente. Le Pr Francis Berenbaum, chef du service de rhumatologie de l’hôpital Saint-Antoine (Paris), dresse la liste des symptômes à ne pas négliger.

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • Lisbonne, Portugal — Que peuvent apporter les nouvelles insulines pour la gestion du diabète ? La question était posée durant une session du 19ème congrès européen d'endocrinologie (ECE) [1] .

    « En plus de réduire le risque d'hypoglycémie nocturne, les nouvelles insulines basales à durée d'action prolongée, comme la glargine concentrée (Toujeo®, Sanofi), offrent une meilleure flexibilité dans le traitement du diabète » a répondu le Pr Jean-Fran çois Gautier (Hôpital Lariboisière, AP-HP, Paris).

    « Près de 10% des patients atteints d'un diabète de type 2 sous traitement ont expérimenté au moins une hypoglycémie sévère dans l'année écoulée », a rappelé le diabétologue. Concernant le diabète de type 1, « les études rapportent une moyenne de 0,6 hypoglycémie sévère par patient et par an ».

    Glargine U300 : une durée d’action de 30 heures

    Parmi les insulines basales, de nouveaux produits à libération très lente sont apparus, pour stabiliser et prolonger le contrôle glycémique. Disponible depuis 2016 en France, la glargine concentrée à 300U/L (Toujeo®, Sanofi) n'est pas une nouvelle insuline en soi, mais une formulation trois fois plus concentrée que la classique glargine 100U/L (Lantus®, Sanofi).

     

    Si le principe actif du médicament reste le même, le mécanisme de diffusion apparait différent, en raison notamment d'un plus faible volume à injecter. Le dépôt se formant sous la peau étant plus compact, la libération de l'insuline est ralentie.

    En conséquence, « le profil pharmacocinétique apparait plus plat et l'action de l'insuline est prolongée », a précisé le Pr Gautier, en s'appuyant sur les résultats d'une étude comparative [2]. A doses équivalentes, l'exposition à l'insuline glargine apparait plus faible de 17% avec Toujeo®, par rapport à Lantus®, mais perdure au-delà de 24 heures, pendant près de 30 heures.

    En termes de réduction de l'HbA1c, la glargine U300 présente une efficacité comparable à celle de la glargine U100. En revanche, les études de phase 3 (EDITION 1 et EDITION 2) ont révélé une baisse de près de 20% du risque d'hypoglycémie nocturne, chez les patients avec diabète de type 2, déjà traités par insuline [3,4]. Dans le cas du diabète de type 1, la fréquence des hypoglycémies apparait similaire.

    Les promesses des insulines intelligentes

    Parmi les insulines en développement figurent les insulines dites intelligentes, brièvement évoquées par le Pr Gautier. Les recherches n’en sont qu’à leur début, mais ces insulines pourraient bien révolutionner le traitement du diabète, estime le diabétologue. Au point même de rendre les pompes à insuline inutiles.

    L’insuline intelligente est une insuline modifiée, liée à une molécule sensible au glucose. L’une d’entre elles, actuellement à l’essai, porte ainsi un groupement d’acide phénylboronique. Après administration, elle peut rester inactive et circuler dans le sang. En cas de hausse de glycémie, le glucose réagit avec le groupement acide, libérant ainsi l’hormone.

    « Les études sur l’animal ont validé le principe. Après injection, l’insuline modifiée prévient la hausse de la glycémie et apparait plus efficace qu’une insuline standard ». Les essais cliniques devraient être prochainement lancés.

     

    De plus en plus prescrit

    Toujeo® est recommandé en première intention dans la prise en charge du diabète de type 1 et en deuxième intention dans le diabète de type 2, en « alternative à une insuline d’action intermédiaire (NPH) si le risque d’hypoglycémie nocturne sévère est préoccupant », précise la Haute autorité de santé (HAS), dans un avis de la commission de la transparence.

    En raison du profil pharmacologique de cette nouvelle spécialité, le patient dispose de davantage de flexibilité dans l'injection de sa dose quotidienne d'insuline basale. Même s'il est recommandé de s'administrer le produit à heure fixe, il est possible d'avoir des intervalles variables entre les injections, ce qui devrait rendre le traitement plus acceptable.

    Compte tenu de ces avantages et d'un prix similaire à celui de la glargine U100, « la glargine U300 est de plus en plus utilisée », a souligné le Pr Gautier, auprès de Medscape édition française. « Personnellement, je la prescris lorsque la dose d'insuline à administrer est supérieure à 30 unités ».

     

    Faute d’une amélioration du service médical rendu (ASMR) suffisante, la question du prix reste un facteur clé dans l’adoption des nouvelles insulines. Un autre analogue à action lente, l'insuline dégludec (Tresiba®, Novo Nordisk), n'est d'ailleurs toujours pas commercialisé en France, malgré une AMM européenne, en raison d'un désaccord avec le fabriquant sur le prix, selon le diabétologue.

    Le dégludec disponible en association

    L'insuline dégludec a pourtant été associée à une légère baisse du risque d'hypoglycémie nocturne, pour les deux types de diabète, précise-t-il. Mais, en l'absence d'amélioration du contrôle glycémique, par rapport aux autres analogues lents disponibles (Lantus® et Levemir®), cette différence sur le risque d'hypoglycémie ne semble pas apporter une plus-value suffisante pour justifier un prix élevé.

    Depuis fin 2016, cette insuline est toutefois présente sur le marché hexagonal, mais en association avec le liraglutide, un analogue du Glucagon Like Peptide (GLP-1), sous le nom de Xultophy® (Novo Nordisk). La spécialité est indiquée dans le traitement du diabète de type 2 de l’adulte pour améliorer le contrôle glycémique, en association avec des antidiabétiques oraux.

     

    Dans l'étude randomisée DUAL V, l'efficacité de l'association a été comparée à celle de la glargine U100, chez 557 patients diabétiques de type 2, traités par insuline glargine [5]. A 26 semaines, 28,4% des patients traités par Xultophy® ont eu des hypoglycémies confirmées, contre 49,1% des patients du groupe insuline glargine.

    La longue demi-vie de l'insuline dégludec (25 heures contre 12 heures pour la glargine U100) et son mécanisme de libération lente, lié à sa structure moléculaire, permet de limiter les variations de la basale, après injection sous-cutanée. Là encore, les injections peuvent êtres espacées de manière variable.

    Traitement combiné à venir: le Suliqua®

    Une autre combinaison devrait bientôt arriver sur le marché dans le traitement du diabète de type 2. Il s'agit de l 'association de l'insuline glargine basale 100U et du lixisénatide , un agoniste des récepteurs du GLP-1 (Suliqua®, Sanofi), qui agit comme amplificateur de la sécrétion d’insuline par les cellule bêta du pancréas. Le médicament a obtenu une AMM début 2017.

     

    Cette nouvelle spécialité à base d'insuline à longue durée d'action est autorisée dans le traitement des adultes diabétiques de type 2, en association avec la metformine pour améliorer un contrôle glycémique insuffisant sous metformine seule ou associée à un autre antidiabétique oral.

     

    « Comparativement à la glargine U100 seule, l'association avec le lixisénatide est apparue plus efficace dans le contrôle glycémique, avec un risque moindre d’hypoglycémie », a souligné le Pr Gautier [6]. Comme pour l’association thérapeutique précédente, le traitement induit aussi une perte de poids.

     

     

     
     
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • La réforme de la tarification des maisons de retraite, adoptée par le précédent gouvernement, va entraîner à terme une baisse de 200 millions d'euros des dotations annuelles selon la FHF.

     

    La réforme de la tarification des maisons de retraite, adoptée par le précédent gouvernement, va entraîner à terme une baisse de 200 millions d'euros des dotations annuelles selon la FHF. | Fotolia

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • FreeStyle Libre et contrôles aéroportuaires

    Vous portez un capteur FreeStyle Libre et vous vous apprêtez à  prendre l'avion pour partir en vacances ?

    Ceci vous concerne !

    Avant votre départ, il est conseillé de faire compléter l'attestation ci-jointe Airport Certifi... par votre médecin diabétologue de manière à passer les contrôles aéroportuaires sans encombres.  En effet, afin de garantir le fonctionnement des capteurs de rechange, ceux-ci ne peuvent passer dans le contrôle de sécurité des objets (Rx).

    Le passage dans les portiques de sécurité classiques pour passagers ne pose aucun problème. Plus d'informations sur le Freestyle libre sur le site http://www.abbottdiabetescare.be/

     

    http://www.diabete-abd.be/actualites/freestyle-libre-et-controles-aeroportuaires.aspx

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • Il ne faut pas confondre la mort cérébrale et le coma. La mort cérébrale correspond à l'arrêt des fonctions cérébrales, et donc de la respiration et du cœur, alors que ces fonctions peuvent être conservées dans le coma.

    La mort cérébrale est un stade, autrefois qualifié de « coma dépassé », dans lequel le cerveau ne fonctionne plus. Comme le cerveau contrôle de nombreuses fonctions vitales, le patient ne peut plus respirer seul. Une respiration artificielle peut permettre à la circulation sanguine d'alimenter les organes. Le cœur peut continuer à battre temporairement avec l'assistance de la réanimation.

    Le coma correspond à une altération de la conscience qui peut faire suite à un traumatisme crânien, une ischémie cérébrale, un AVC hémorragique, une encéphalite, une tumeur du cerveau... C'est un état transitoire qui conduit au décès dans les cas graves. Le retour à la conscience peut être assez rapide ou plus progressif. Il peut passer par d'autres états de conscience altérée comme l'état végétatif dans lequel le patient ouvre les yeux.

     

    Prélever des organes en état de mort cérébrale

    Le coma est bien différent de la mort cérébrale car, dans le coma, le sang continue à circuler dans le cerveau, ce qui permet de maintenir certaines fonctions. La différence entre coma et mort cérébrale est importante car seules les personnes en état de mort cérébrale peuvent être des donneurs d’organes. L'assistance technique est maintenue sur des personnes en mort cérébrale susceptibles de donner leurs organes afin de conserver ces derniers en bon état.

    Pour savoir si le patient est en état de mort cérébrale, plusieurs tests sont effectués : absence d'activité musculaire spontanée, pas de réflexe, pas de réaction à la douleur, absence de respiration, électroencéphalogrammes montrant l'absence d'activité électrique du cerveau et angiographie (absence de circulation sanguine).

     

    http://www.futura-sciences.com/sante/questions-reponses/corps-humain-mort-cerebrale-coma-difference-3570/?

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • Le 2 juin 2017 par Iris Makoto

    Piéger les guêpes avec modération

    Les guêpes font partie de la biodiversité et ont bien sûr leur utilité et leur place dans la chaîne alimentaire. Redoutables prédatrices d'insectes, elles débarrassent le jardin de mouches, larves diverses, moustiques ou chenilles.

    Guêpe
    GuêpeAgrandir l'image

     

    Elles ne sont agressives envers les humains que si elles se sentent attaquées, et ne piquent que lorsqu'elles sont coincées par accident. La piqûre est très douloureuse mais reste bénigne excepté pour les personnes allergiques aux hyménoptères, chez qui, elle peut être fatale. Lors des repas, les guêpes viennent simplement prélever un morceau dans les assiettes puis s'en vont, inutile donc de s'agiter au risque de les rendre agressives. Cependant, lorsque la colonie devient trop importante et que chaque repas devient un enfer, il est temps de cesser la cohabitation et de créer un piège.

    Pièges à partir d'une bouteille

    Il existe deux types de pièges à guêpes facilement réalisables à partir d'une simple bouteille d'eau en plastique.

    Fabrication d'un piège à guêpe
    Fabrication d'un piège à guêpeAgrandir l'image

     

    Piège classique

    Très simple à réaliser, ce piège est d'une efficacité redoutable.

    Matériel nécessaire :

    • une bouteille d'eau en plastique ;
    • un cutter ;
    • une ficelle ;
    • une aiguille à tricoter ;
    • un briquet.

    Comment procéder ?

    1. Coupez le tiers supérieur de la bouteille sur tout son diamètre à l'aide d'un cutter bien aiguisé. Vous obtiendrez un entonnoir. Ôtez le bouchon.
    2. Chauffez la pointe de l'aiguille à tricoter avec la flamme du briquet puis effectuez 4 trous répartis harmonieusement en haut des 2/3 restants de la bouteille. Ces trous serviront à accrocher le piège.
    3. Insérez la ficelle dans les trous.
    4. Remplissez la partie basse de bière et de sirop de fruits.
    5. Placez l'entonnoir dans la partie basse de la bouteille, goulot vers le bas.
    6. Installez votre piège non loin de la zone de repas ou dans le verger. 
    Piège à guêpe
    Piège à guêpeAgrandir l'image

     

    Piège à fenêtres

    Encore plus facile à réaliser, cette version a pour avantage de ne pas se remplir en cas de pluie.

    Matériel nécessaire :

    • une bouteille d'eau en plastique ;
    • un cutter bien aiguisé ;
    • de la ficelle.

    Comment procéder ?

    • Avec le cutter, découpez 4 fenêtres sur les parois de la partie supérieure de la bouteille.
    • Remplissez la bouteille d'un mélange de bière et de sirop.
    • Enroulez une ficelle autour du bouchon afin de suspendre votre piège.

    Astuce qui amusera les enfants : demandez-leur de peindre le bouchon et le tour des fenêtres en jaune, couleur qui attire les guêpes.

    Leurre

    Si l'idée de tuer des guêpes vous insupporte, vous pouvez tenter de les éloigner avec un leurre ressemblant à s'y méprendre à un nid d'une colonie inconnue. Les enfants apprécieront la technique du papier mâché !

    Nid de guêpe
    Nid de guêpeAgrandir l'image



    Matériel nécessaire :

    • un sac en papier kraft ;
    • papier journal ;
    • un ballon à gonfler ;
    • farine ;
    • sucre ;
    • eau ;
    • casserole ;
    • fouet.

    Comment procéder ?

    1. Préparez une colle naturelle à base de 3 cuillères à soupe de farine, 1 cuillère à café de sucre en poudre et d'un petit verre d'eau.
    2. Placez les ingrédients dans un casserole sur feu doux et remuez. Ajoutez de l'eau peu à peu jusqu'à ce que la colle prenne l'aspect d'une béchamel.
    3. Laissez refroidir avant d'y plonger des lanières de papier journal.
    4. Gonflez un ballon (type anniversaire) et collez les lanières de papier dessus pour totalement le recouvrir. Faites plusieurs couches puis terminez par une couche de papier kraft.
    5. Laissez sécher et placez votre faux nid près de la zone de repas ou au verger pour dissuader les guêpes de venir.

    >> Lire aussi : Oiseaux, guêpes, fourmis : protégez les récoltes du potager

    Sujets :

    http://www.gerbeaud.com/jardin/fiches/piege-guepes,1966.html?

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • En apéritif ou en plat, ces cakes à la feta et à la sauge seront parfaits accompagnés d'une salade du jardin. 

     

     

     
     
     

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • Pour vivre sainement... faites comme si vous aviez le diabète

     

    Le diabète est une pathologie mondialement répandue, en croissance, et grave. Il en existe différentes formes. Sans tomber dans la restriction, les recommandations en termes d’hygiène de vie pour les patients diabétiques peuvent être préconisées pour tout un chacun avec profit, dans leurs grandes lignes directrices.

    Eviter le diabète, c’est éviter beaucoup d’autres maladies

     
     

    La forme du diabète la plus répandue, le diabète sucré, est liée à une défaillance des mécanismes biologiques de régulation de la concentration de glucose dans le sang. Il est dit « sucré » car il conduit à une hyperglycémie. A trop fortes doses dans le sang, le glucose cause des lésions d’organes, de la rétine, des artères coronaires ou des reins. Il entraîne un besoin d’urine et de boire important, une prise de nourriture abondante, de la fatigue, des troubles de la vision, de l’irritabilité…

     

    Cette maladie est toutefois aujourd’hui de mieux en mieux prise en charge. Son traitement repose en partie sur un suivi nutritionnel personnalisé, mais qui, dans ses grandes lignes, devrait être suivi par tous : réduire fortement les sucres rapides et les graisses saturées, ne pas fumer, éviter l’alcool et pratiquer une activité physique adaptée à son niveau et à ses préférences.

    Les 9 règles de vie des diabétiques que tout le monde devrait suivre

    1. Réduire les sucres rapides et cachés : de plus en plus, les méfaits des glucides rapides comme le saccharose et le sirop de glucose-fructose sont dénoncés. Favorisant le surpoids, les caries ou l’inflammation, ils sont à éviter au maximum.
    2. Pour vivre en meilleure santé, il faut avoir l’oeil : si éviter le rayon confiseries nous paraît évident, on est moins familier des sucres cachés dans les plats préparés et on oublie facilement les quantités astronomiques de sucre que l’on avale en buvant un verre de soda, et un verre de jus de fruits. Rappelons qu’un nouveau type de cirrhose due au sucre vient de faire son apparition.
    3. Réduire les graisses saturées : on les soupçonne de favoriser l’athérosclérose, et d’avoir un impact négatif sur le système cardio-vasculaire. A éviter, donc, les charcuteries grasses et hyper salées ! Il faut consommer sans excès le beurre, les fromages et autres produits laitiers riches, ainsi que les morceaux de viande particulièrement caloriques, telles que côte de boeuf, agneau, ou travers de porc. On privilégiera les viandes blanches (poulet, dinde) et les poissons gras (saumon, maquereau, sardine…).
    4. Bannir les graisses trans : attention aux margarines hydrogénées et aux plats préparés qui en contiennent, heureusement de moins en moins.
    5. Privilégier les bons acides gras : monoinsaturés comme l’huile d’olive, et polyinsaturés, riches en oméga 3 : colza, noix, lin. Il est tout à fait possible de mélanger les huiles. Vous pouvez aussi utiliser une huile comme l’olive pour la cuisson, et assaisonner vos salades avec une huile neutre comme la colza. D’autres huiles au goût prononcé comme la noix font des miracles associées à l’endive ou la betterave. Attention ! plus une huile est insaturée, plus elle est fragile et sensible à l’action de l’oxygène en présence de lumière. Ne gardez pas une huile entamée trop longtemps et conservez la à l’abri de la lumière, voire au réfrigérateur.
    6. Adopter les fruits et légumes de saison : riches en eau, en fibres et en vitamines, ils sont l’atout d’une bonne santé. Préférez-les bio pour profiter au mieux de leurs bienfaits.
    7. User et abuser des céréales complètes et des légumineuses, riches en oligo-éléments qui sont perdus dans les produits raffinés, en fibres et en protéines végétales
    8. Eviter l’alcool : pour des raisons évidentes.
    9. Pratiquer une activité physique quotidienne : 30 mn de marche par jour minimum, et/ou au moins trois heures par semaine. La pratique d’une activité sportive fait baisser la glycémie de façon très efficace !

    Ce type de régime, proche du régime méditerranéen et de celui d’Okinawa, n’a plus besoin de faire ses preuves. Alors, à vos assiettes !

    L’avis de la diététicienne

    Le problème du diabète est que les glucides sont la source principale d’énergie du corps. Donc les diabétiques ne peuvent pas se priver de glucides. La solution : choisir les bons glucides, et les bonnes quantités quand il s’agit de diabète insulino-dépendant.

    Choisir les” bons” glucides

    Ces « bons » glucides sont ceux qui possèdent un index glycémique (IG) bas : ils ne font pas monter la glycémie très vite et très haute, mais doucement et lentement. Avec pour autres conséquences de maintenir une satiété plus longue, donc de manger moins souvent, ce qui est parfait pour réguler aussi les problèmes de poids, que l’on soit diabétique ou pas.

    Où trouver des glucides à index glycémique bas ?
    • Céréales et pseudo céréales complètes : blé sous forme de farine et de pains, riz, pâtes, quinoa, sarrasin, millet, etc.
    • Légumes secs : lentilles, pois chiches, haricots blancs ou rouges ou verts secs.
    • Fruits : les moins mûrs possibles, une banane mûre aura un IG haut, tandis qu’une banane presque verte aura un IG bas.
    • La cuisson permet aussi de jouer sur les IG :
    • les pâtes al dente ont un IG bas, pas les pâtes molles ;
    • les pommes de terre froides ont un IG bas, pas les chaudes.

    N’hésitez pas à mettre tous ces aliments dans votre assiette, que vous soyez diabétiques ou pas. Et pour vous guider dans vos quantités : la faim et la satiété. Elles sont valables pour tout le monde, y compris pour les diabétiques.

    Cette alimentation riche en fruits et légumes surtout de saison, en féculents et légumes secs, pauvre en produits très sucrés et en produits animaux ressemble effectivement beaucoup à l’alimentation méditerranéenne. Et reprend aussi les recommandations du PNNS, le Plan National Nutrition Santé. Des concordances qui ne sont pas un hasard et qui vont vers plus de santé. Mangez comme les diabétiques, et vous ne le deviendrez pas !

    A lire aussi :

     

    https://www.consoglobe.com/vivre-sainement-diabete-cg

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • Des chercheurs ont développé une semelle équipée de valves gérant électroniquement la pression sous la voûte plantaire. Elle pourrait prévenir l'amputation chez les diabétiques. 

    Diabète : une chaussure connectée pour éviter l'amputation

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  •  
    J-7 > Echangez avec une infirmière prestataire de santé, le lundi 12 juin à 17 h

    Chère Amie, Cher Ami,

     

    Vous avez été nombreux à suivre notre dernière visioconférence et nous vous en remercions.

     

    Aussi nous vous donnons RDV, lundi prochain 12 juin à 17 h, pour notre prochaine visioconférence lors de laquelle vous pourrez dialoguer en direct avec notre invité Jeanne Besinet, infirmière référente diabète, sur la thématique :

     

    " Trucs et astuces pour porter la pompe "

     

    Carine, diabétique de type 1, interviendra au côté du prestataire de santé pour partager son vécu avec une pompe à insuline.

     

    Dès aujourd'hui, posez vos questions via le formulaire suivant (en précisant dans l'objet du message : Visioconférence 2-2017)  ou en direct le 12 juin 2017.

     

    Abonnez-vous à notre chaîne Youtube  et déposez vos questions sur cette page : Visioconférence : " Trucs et astuces pour porter la pompe " 

     

    Vous pourrez dans tous les cas, suivre la visioconférence en direct sur notre chaîne Youtube  ou sur notre site mapompeainsuline.fr 

     

    Nous vous attendons nombreux !

    L'Equipe de la Fédération Française des Diabétiques

     

    Fédération Française des Diabétiques  FÉDÉRATION FRANCAISE DES DIABÉTIQUES
    37-39, avenue Ledru Rollin - 75012 Paris
    Tél. : 01 40 09 24 25 • www.federationdesdiabetiques.org 
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • La sixième semaine nationale de prévention du diabète a lieu du 2 au 9 juin. L'occasion pour la Fédération française des diabétiques de rappeler qu’en adoptant des habitudes de vie équilibrées, il est possible de se protéger du diabète.

    Par Stéphany Mocquery

    Rédigé le 05/06/2017, mis à jour le 02/06/2017 à 17:08

    Diabète : une alimentation équilibrée et de l’exercice pour prévenir la maladie

    Diabète : une alimentation équilibrée et de l’exercice pour prévenir la maladie

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • Insuffisance veineuse, jambes lourdes, varices… les troubles des vaisseaux ne sont pas à prendre par-dessus la jambe. Certains peuvent ainsi dégénérer en maladie graves : phlébite, embolie… Pour prendre en charge ces pathologies, la consultation d'un spécialiste, l'angiologue peut s'avérer nécessaire.

     
     

    1 - Qu'est-ce que l'angiologie ?

    angiologueL'angiologie, ou médecine vasculaire, est la discipline médicale qui s'intéresse à l'ensemble des maladies affectant les vaisseaux : artères, veines, capillaires et lymphatiques.

    2 - Quelles sont les maladies que traitent l'angiologue ?

    3 - A quel moment consulter un angiologue ?

    Après consultation de votre médecin généraliste, vous pouvez vous rendre chez un angiologue si vous avez les jambes lourdes ou les chevilles enflées ou si vous ressentez des fourmillements dans les membres ou des sensations de chaleur. Consultez également en cas de crampes régulières, souvent dues au manque d'oxygène des muscles que les artères vascularisent moins bien.

    4 - Quelles sont les personnes les plus à risque ?

    Les personnes âgées, les fumeurs ou les personnes souffrant d'hypertension, d' insuffisance cardiaque et de diabète sont plus susceptibles que les autres de souffrir de pathologies vasculaires. Mais les personnes à risque sont aussi celles dont le métier les force à rester dans la même position (debout ou assise) toute la journée. Mais certaines professions sont plus à risque que d'autres, c'est le cas des coiffeurs, des serveurs ou des infirmières qui piétinent beaucoup dans des atmosphères surchauffées.

     

    5 - Préparez votre consultation

    • Antécédents familiaux : répertoriez qui dans votre famille souffre de problèmes circulatoires.
    • Antécédents personnels : faites la liste de tous vos facteurs aggravants tels que le surpoids, le tabagisme, la consommation d'alcool ou le manque d'activité physique ;
    • Symptômes : listez-les (avez-vous des crampes, des fourmillements, une sensation de chaleur ou de lourdeur dans les jambes) et souvenez-vous de la date de leur apparition et de la façon dont ils ont évolué ;
    • Traitement médical : indiquez les médicaments qui vous sont régulièrement prescrits.

    6 - Comment se déroule la consultation ?

    Après un interrogatoire sur les antécédents du patient et notamment en ce qui concerne les varices (si un des parents a des varices, l'enfant a 45 % de risque d'en souffrir. Si les deux parents en ont, le risque s'élève à 75 %. Il est quasi-automatique si les quatre grands-parents en ont eu). Après les questions, vient l'examen clinique. Le patient est debout en sous-vêtements. Après des palpations de la jambe, le médecin réalise un doppler qui étudie la vitesse d'écoulement du sang, destinée à évaluer l'état du réseau vasculaire. La consultation dure en moyenne une demi-heure.

    7 - Les mots clés à connaître :

    • Les capillaires sont des vaisseaux fins à paroi très mince. Ils relient les artérioles aux veinules et forment au sein des tissus un réseau très dense et très serré ;
    • La circulation lymphatique , s'appuie sur un réseau différent des veines qui draine la lymphe. Ce liquide proche du plasma joue un rôle important dans le système immunitaire. Pour en savoir plus, reportez-vous aux planches de notre atlas médical ;
    • Le drainage lymphatique est une technique manuelle destinée à drainer les liquides excédentaires dans les tissus et à améliorer la circulation de retour ;
    • L'écho doppler veineux ou artériel permet de visualiser les veines ou les artères et les flux sanguins qui les parcourent, en temps réel. Le médecin peut alors par exemple diagnostiquer une phlébite ;
    • Les varices sont des veines dilatées et tortueuses qui ont perdues leur élasticité et donc leur rôle de faire remonter le sang au coeur.

    8 - L'angiologie en chiffres

    • En France, 18 millions de personnes souffrent d'insuffisance veineuse. Si les femmes sont majoritairement touchées avant la ménopause, elles sont à égalité avec les hommes après 60 ans ;
    • Sur les 3,7 millions d'hommes concernés par des problèmes circulatoires, seuls 13,6 % consultent un spécialiste ;
    • Les maladies veineuses représentent plus de 2 % des budgets de santé des pays occidentaux. Et 2.6 % en France ;
    • Avec les cardiologues, les angiologues représentent 5 000 médecins en France sur les 92 000 spécialistes que compte le conseil de l'ordre des médecins.

    Ecrit par:

    Karine Hurstel

     

    http://www.doctissimo.fr/html/sante/medecins-specialistes/angiologue.htm

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • L’utilisation d’un défibrillateur automatique par toute personne non médecin permet à 28% des personnes en arrêt cardiaque d’arriver vivantes à l’hôpital contre 14% quand il n’y a pas de défibrillateur.

    Arrêts cardiaques : les défibrillateurs automatiques doublent la survie
    REVELLI-BEAUMONT/SIPA
     
     
     
     

    Depuis le 4 mai 2007, l'utilisation des défibrillateurs automatiques est autorisée pour toute personne non médecin et ces dispositifs ont donc commencé à être mis à la disposition du grand public dans les gares, les mairies, les lycées, les théâtres ... Une étude présentée cette semaine au congrès de la Société française d'anesthésie et de réanimation à Paris et reprise par l'Agence de presse APM confirme l'intérêt de cette diffusion des défibrillateurs dans de plus en plus de lieux publics.


    Entre juillet 2011 et décembre 2012, les trois quarts des 6510 arrêts cardiaques recencés par les 91 Samu-Smur participants sont survenus à domicile et moins des deux tiers en présence de la famille. Un massage cardiaque immédiat a été réalisé dans 37,8% des cas, une fois sur deux sur conseil téléphonique des professionnels de secours.


    Un défibrillateur automatique était présent dans 4,5% des cas, soit 256 arrêts cardiaques. Il a été utilisé pour les trois quarts de ces arrêts cardiaques, dont 15% sur les conseils des services de secours. Dans la grande majorité des cas, l'utilisateur avait bénéficié d'une formation à l'utilisation de l'appareil. La survie a été significativement augmentée lors de l'utilisation d'un défibrillateur automatique, avec 28% de survie au moment de l'admission à l’hôpital contre 14,3% pour les arrêts cardiaques n'ayant pas bénéficié de l'utilisation d'un tel appareil. Trente jours après l’accident cardiaque, le différentiel était encore plus grand : 12,4% de personnes choquées par un défibrillateur avaient survécu contre 3,7% pour celles qui n’avaient pas de défibrillateurs à proximité. En revanche, il n’y avait pas de différence au niveau des séquelles neurologiques que les survivants aient bénéficié ou non de l'utilisation d'un défibrillateur automatique.


    Bien que ces données soient encore partielles et non représentatives de l'ensemble du territoire français, « elles confirment clairement l'intérêt de la diffusion des défibrillateurs automatiques grand public, que ce soit par l'efficacité de la défibrillation précoce permise par leur mise en place ou plus indirectement par la mobilisation du public autour de la réanimation cardio-pulmonaire initiée à l'occasion de cette démarche de santé publique », a conclu Hervé Hubert, responsable du registre RéAC (Registre électronique des arrêts cardiaques) et auteur de l’étude.

     

    https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/3679-Arrets-cardiaques-les-defibrillateurs-automatiques-doublent-la-survie

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • Mieux diagnostiquer et traiter l’ostéoporose

    PUBLIÉ LE JEUDI 1 JUIN 2017 À 17 H 17

    Un médecin parle à une patiente. Il tient une brochure qui dit : Ostéoporose, êtes-vous à risque?Deux millions de Canadiens sont atteints d’ostéoporose. Photo : iStock/BSIP
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks




    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique