Le venin du cône Conus geographus comtient de l'insuline qui provoque une hypoglycémie chez la proie. Le poisson se déplace alors lentement et le cône peut alors l'attraper avec son rostrum étiré.
Un nouveau traitement des AVC, la thrombectomie mécanique, augmenterait de 65% les chances de récupération sans séquelle.
Bien qu’il vive à ses côtés, Allen Zderad n’avait pas vu son épouse Carmen depuis dix ans. Cet Américain de 68 ans est atteint de rétinite pigmentaire, une variante génétique de la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge). Diagnostiquée il y a une vingtaine d’années, sa pathologie lui a fait perdre progressivement la vue.
Grâce à un œil bionique, ce retraité du Minnesota a pourtant pu redécouvrir les traits du visage de sa femme, et les contours de son environnement. Une vidéo diffusée par la Mayo Clinic, où il a été opéré, immortalise cet instant privilégié
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Vous adorez aller au restaurant découvrir de nouveaux plats, un nouveau talent, de nouvelles tendances gastronomiques, mais le temps vous manque pour balayer toutes les adresses qui vous tentent ? Cette nouvelle tendance risque de vous séduire.
Deux espèces de cônes – des gastéropodes marins – possèdent un venin riche en insuline qui provoque une hypoglycémie chez leur proies.
Le venin du cône Conus geographus comtient de l'insuline qui provoque une hypoglycémie chez la proie. Le poisson se déplace alors lentement et le cône peut alors l'attraper avec son rostrum étiré.
Qu’est ce que c’est ?
Il s’agit d’une arthrose touchant les articulations inter-phalangiennes proximales et distales des doigts (articulations entre les phalanges). L’arthrose est une affection dégénérative liée à une usure du cartilage qui recouvre les os au niveau d’une articulation. Quand le cartilage est usé celui-ci disparaît entrainant le frottement direct des os l’un contre l’autre. Il s’en suit des douleurs , une déformation et une raideur.
Celle-ci est souvent associée à une rhizarthrose (arthrose de la base du pouce).
Quelle Origine ?
Il s’agit d’une affection dégénérative d’origine souvent génétique ce qui explique que celle-ci puisse se développer à un âge relativement jeune. L’activité manuelle joue également un certain rôle.
Avant le traitement
Le bilan comporte la réalisation de radiographies permettant de faire le diagnostic, d’écarter une autre cause ( cal vicieux) et de classifier l’importance et l’étendue de l’arthrose. Ceci permettra de proposer le traitement le plus adapté.
Une échographie peut montrer un épaississement de l’articulation, la présence de liquide et d’écarter d’autres diagnostics comme une tendinite des fléchisseurs.
Un scanner ou une IRM peuvent être utiles dans certains cas atypiques
Quel Traitement ?
Le traitement dans un 1er temps est toujours constitué de médicaments pour lutter contre la douleur comme des anti-inflammatoires ou des antalgiques (Paracetamol…). Une orthèse statique de protection peut être confectionnée, en fonction de la périodicité des douleurs et de l’impotence que ces douleurs entraînent dans votre activité de tous les jours. Si ce traitement ne devait pas être suffisant, un traitement chirurgical pourra alors être envisagé dans un 2ème temps. Le traitement chirurgical est en général envisagé lorsque la douleur devient insupportable et résistante au traitement médical ou s’il devait y avoir une instabilité au niveau des doigts ou une importante déformation.
Le traitement a pour but de diminuer la douleur. Plusieurs traitements chirurgicaux peuvent être envisagés en fonction de l’atteinte que vous présentez, de l’intensité de la symptomatologie, de votre âge et de votre activité manuelle.
Ainsi, vous pouvez bénéficier d’une opération de dénervation de l’articulation inter-phalangienne qui correspond en fait à une section des petites branches nerveuses à destinée de l’articulation, permettant de conserver la force et la sensibilité mais tout en entraînant la disparition ou une diminution importante de la douleur. Celle ci est en général efficace, d’effet rapide mais on ne peut exclure une réapparition des douleurs à plus ou moins long terme, d’autre part la déformation et l’éventuelle instabilité persiste.
Une arthrodèse ou une arthroplastie (l’arthrodèse est la suppression de l’articulation inter-phalangienne distale des doigts ou de l’articulation inter-phalangienne du pouce en bloquant les 2èmes et 3èmes phalanges) peut être réalisée.
L’intervention est réalisée en mettant soit une ou deux vis ou éventuellement des broches qui devront être enlevées quelques semaines après l’intervention chirurgicale.
Au niveau des articulations entre les 1ères et 2èmes phalanges il est possible également d’effectuer une arthrodèse mais on peut également mettre en place une prothèse (arthroplastie) permettant de récupérer une certaine mobilité mais qui reste inférieure à une mobilité normale.
Il s’agit d’une intervention fragilisant le doigt ce qui fait que les mouvements de force devront après cette intervention être évités afin d’éviter de fragiliser la prothèse.
L’avantage de cette opération est la récupération d’une certaine mobilité (variable en fonction des gens et des types de prothèses) mais avec pour inconvénient un risque de descèlement (la prothèse se détache de l’os), de fracture des os, de luxation nécessitant éventuellement de changer alors la prothèse ou de bloquer le doigt (arthrodèse). La durée de vie d’une prothèse est également limitée actuellement au niveau des doigts, on peut estimer cette durée à 5 ou 10 ans.
Ces interventions ont des indications bien préçises qui vous seront préçisées en cours de consultation, et qui sont fonction de l’âge, de l’activité, et du type d’arthrose, et de vos besoins.
L’intervention se déroule sous anesthésie loco-régionale au bloc opératoire et en chirurgie ambulatoire, puis vous pouvez rentrer à la maison, accompagné (e).
Et après ?
Votre chirurgien vous reverra pour surveiller l’évolution de l’intervention, surveiller la cicatrisation et répondre aux éventuelles questions que vous vous posez.
La suite des soins, les pansements tous les 2 à 3 jours ainsi que l’ablation des fils au bout d’une dizaine de jours sera réalisée par votre médecin traitant. Je reste bien entendu à votre disposition pour vous recevoir à tout moment. La mobilisation après l’intervention chirurgicale est encouragée en évitant à la fois de trop forcer ou de ne rien faire ! Parfois notamment dans le cas des arthrodèses une immobilisation par orthèse est mise en place. L’activité doit être reprise progressivement.
La récupération de la force est progressive, la reprise du travail dépend de l’activité professionnelle et varie selon les patients et l’activité.
Complications ?
Comme dans toute chirurgie, des complications peuvent survenir. Il faut savoir que ces complications sont rares, comme par exemple, une infection, un hématome ou une algodystrophie (inflammation pouvant survenir après une opération tel le canal carpien, la mise en place d’un plâtre, une entorse ou une fracture…). Celle-ci a pour principal inconvénient de ralentir la récupération avec un risque d’enraidissement des doigts si la mobilisation n’est pas suffisante.
Un traitement, en général, par de la rééducation, permet d’obtenir une amélioration de la symptomatologie.
Si vous avez déjà fait une algodystrophie il faut alors le signaler au chirurgien.
Le fait de fumer semble favoriser ces complications. D’autres complications exceptionnelles, comme la section d’un nerf, d’une artère ou d’un tendon, pourraient survenir.
Si vous êtes inquiet revenez voir votre chirurgien car vos chances de récupération en dépendent.
J’espère que ces renseignements vous seront utile et je reste à votre disposition pour des renseignements complémentaires.
http://www.main-chirurgie.fr/fr/arthrose-doigts.php
Convalescence et rééducation
Quelles précautions prendre après l'intervention ?
Après la mise en place d'une prothèse (quelle que soit la prothèse):
• la convalescence doit être paisible et harmonieuse afin de reprendre tranquillement une vie normale sans excès ni démesure. Reposez-vous jusqu'à la consultation avec le chirurgien ;
• nous conseillons la poursuite du traitement antalgique quelques jours, et éventuellement le "glaçage" du membre opéré et sa surélévation pour diminuer le gonflement réactionnel ;
il est nécessaire de prendre soin de votre cicatrice, de la garder propre et au sec (pas de bain ou douche avant complète cicatrisation). Les fils sont enlevés habituellement vers le 15e jour, par l'infirmière du centre de convalescence ou par une infirmière libérale qui viendra chez vous (il est nécessaire de penser à acheter le petit matériel pour l'ablation des fils : ciseaux, pince à épiler, alcool à 70°, compresses, pansements, etc.) ;
• les mouvements exagérés et les positions forcées liés à certaines activités quotidiennes ou sportives doivent être évités les premiers mois car ce sont des mouvements "luxants". Ces gestes vous seront expliqués par l'équipe soignante lors de votre hospitalisation (cf. annexes) ;
• la rééducation doit être douce, non douloureuse et progressive, sans forcer et adaptée à la prescription du chirurgien ;
• pour les prothèses du membre inférieur (hanche, genou, cheville), il est habituel de marcher avec une ou deux cannes pendant plusieurs jours ; pour les prothèses du membre supérieur (épaule, coude, main-poignet), l'articulation est le plus souvent immobilisée entre les séances de rééducation ;
• la reprise de l'activité sexuelle s'envisage lorsque vous vous sentez prêt(e), en évitant les positions acrobatiques.
Les autres précautions sont en fait très variables en fonction du type de prothèse. Par exemple, si vous avez une prothèse de la hanche :
• après votre sortie de l'hôpital, les bas de contention doivent être mis sur les deux jambes, jour et nuit, jusqu'à la première consultation avec le chirurgien pour éviter les thromboses veineuses (cf. question 35) qui pourraient survenir du fait de l'immobilisation du membre opéré ;
• en cas de retour à domicile : il est préférable d'aménager votre habitat. Ainsi, il faut éviter les escaliers, parfois dangereux avec les cannes, donc dormir au rez-de-chaussée si votre chambre est à l'étage, mettre un rehausseur de toilettes, barres d'appui dans la douche et les toilettes, un tapis de douche antidérapant et un siège de douche avec des embouts antidérapants (les bains sont déconseillés au début), marcher avec de bonnes pantoufles aux semelles antidérapantes, faire attention aux sols glissants les premières semaines, salles de bain, cuisine, hall d'entrée, enfin préférer les sièges hauts avec accoudoirs (cf. annexes) ;
• si vous allez dans un centre de convalescence, ces précautions ne seront plus indispensables ; lors du retour à domicile, au début, elles peuvent être source de confort ;
• il est souvent nécessaire de poursuivre le traitement anticoagulant pendant quelques semaines : piqûres (injections sous-cutanées tous les jours d'une héparine de bas poids moléculaire) ou prise de comprimés (antivitamines K : AVK). Pour surveiller ces traitements, des prises de sang sont nécessaires : pour les héparines, il faut surveiller les plaquettes 2 fois par semaine (elles doivent rester au-dessus de 150000/mm3) et pour les AVK, il faut surveiller l'INR (International Normal Ratio) qui doit se situer entre 2 et 3 (au-delà de 5, il y a un risque de saignement et en dessous de 2, c'est inefficace) ou un Temps de Quick (TP) voisin de 30 % ; le résultat doit être montré à votre médecin.
NOTRE AVIS Quelques précautions étaient nécessaires avant l'intervention, quelques précautions sont nécessaires après l'intervention. Elles sont fonction du type de prothèse, de la voie d'abord et de votre état de santé. Nous vous proposons de poser toutes vos questions à votre chirurgien pour connaître les précautions qui vous sont propres : durée des médicaments, traitements antalgiques, "glaçage" de l'articulation opérée, date de l'ablation des fils, possibilité de prendre une douche ou un bain, durée du traitement anticoagulant, de l'utilisation des cannes, des bas de contention, durée de la rééducation, possibilité de reprendre une vie sexuelle normale, prises de sang nécessaires...
Combien de temps dure l'arrêt de travail ?
Tout dépend de votre âge, de votre travail (travailleur de force, travailleur manuel), des trajets à effectuer pour travailler, de votre passé, de votre état général, du type de prothèse implantée, de la technique... Il est généralement de 3 mois ; parfois un peu plus court pour les prothèses du membre supérieur (épaule, coude, doigts, etc.), en cas d'activité professionnelle peu physique, parfois plus long si vous êtes travailleur manuel ou de force, ou lorsque les trajets pour accéder au lieu de travail sont importants.
NOTRE AVIS L'arrêt de travail est d'environ 3 mois, mais chaque cas est particulier. Parlez-en suffisamment tôt à votre médecin pour anticiper, vous organiser et prévenir votre employeur. Lorsque vous serez hospitalisée), envoyez un bulletin d'hospitalisation dans les 48 heures à votre employeur et à la Sécurité sociale (cela équivaut à un arrêt de travail).
Quelle est la place de la rééducation ?
Dans l'idéal la rééducation encadre l'acte opératoire :
NOTRE CONSEIL La kinésithérapie est souvent bénéfique, mais elle n'est pas toujours indispensable. La rééducation est fondamentale pour les prothèses de genou et d'épaule. La prescription de kinésithérapie en centre et en libéral est facultative sauf dans les cas compliqués. La reprise de la marche est un excellent exercice. Suivez les conseils de votre chirurgien et prenez rendez-vous auprès d'un kinésithérapeute expérimenté, connaissant bien ce type de chirurgie, si vous rentrez chez vous après Tinter' vention. Si des séances sont prescrites.
Faut-il aller en centre de convalescence ou de rééducation après l'intervention ?
Casser quelques semaines dans un centre de convalescence ou de rééducation (soin de suite et de réadaptation) n'est pas indispensable, mais souvent conseillé.
Selon l'avis chirurgical, en fonction de votre état de santé, de vos préférences, de vos proches, de votre environnement, du type de prothèse, la rééducation pourra être poursuivie en centre ou à la maison. Par exemple, pour une prothèse de genou ou d'épaule, le chirurgien pourra vous conseiller de partir environ 3 à 4 semaines en centre pour récupérer vos amplitudes articulaires car la rééducation est importante pour retrouver une bonne mobilité. La durée totale du séjour dépend de votre âge, de vos progrès, de votre état de santé et est différente selon chacun.
Pour une prothèse de la hanche, si vous êtes seul(e), fatigué(e) par l'hospitalisation, malhabile avec vos cannes ou si vous habitez dans un immeuble sans ascenseur, il est également recommandé d'aller dans un centre de rééducation.
Pour les autres personnes opérées des doigts, les personnes très jeunes en bonne santé opérées de la hanche, les personnes très entourées, il est habituel de rentrer à la maison tout en continuant la rééducation avec un professionnel (kinésithérapeute) expérimenté.
NOTRE AVIS Lors de la consultation avec le chirurgien, il est nécessaire d'envisager la nécessité d'un séjour en centre de convalescence ou de suite de soins et de réadaptation car il vaut mieux réserver une place de principe avant l'intervention. En effet, il est préférable d'être entouré(e)) par des professionnels pendant cette période pour améliorer la souplesse de votre articulation et progresser efficacement en respectant les consignes du chirurgien. Il faut reprendre confiance et récupérer vos amplitudes articulaires tranquillement : il ne faut en faire ni trop (pas de rééducation trop "musclée") ni trop peu, et éviter les erreurs. Un séjour en centre de convalescence ou de soins de suite et de réadaptation est souvent proposé aux personnes opérées du genou, du coude ou de l'épaule, car la récupération des amplitudes nécessite une rééducation soutenue et spécialisée, ou aux personnes fatiguées par une intervention de la hanche. Pour les autres personnes, l'indication est fonction de chaque cas particulier.
Pourquoi faire de la rééducation ?
La finalité de la chirurgie prothétique est le retour à une fonction "quasi-normale". Pour que la fonction soit normale, après la mise en place de la prothèse, il faut non seulement que l'articulation artificielle reproduise une articulation naturelle normale, mais aussi que les ligaments, les tendons et les muscles soient intègres. Des tendons rétractés limitent les mouvements. Des muscles affaiblis compromettent la stabilité articulaire. Les douleurs et la limitation d'activité avant l'intervention ont conduit à une dégradation de toutes ces structures.
NOTRE AVIS L'articulation change mais les muscles et leurs tendons ont été affaiblis par la maladie et "sidérés" par l'intervention. La kinésithérapie accompagne la chirurgie. Elle intervient avant la chirurgie pour préparer l'intervention et après la chirurgie, afin d'accéder plus vite et mieux à l'objectif de la mise en place d'une prothèse : retrouver une fonction... une vie la plus normale possible. Le but de la rééducation est donc de permettre au membre opéré de retrouver une bonne fonction Csouplesse, stabilité).
Si la rééducation est nécessaire, est-elle remboursée ?
La rééducation est prise en charge qu'elle soit faite par un kinésithérapeute à l'hôpital, en ville ou en centre de rééducation. Néanmoins, une contribution personnelle est possible si vous êtes accueilli dans une structure privée qui demande des honoraires complémentaires ou si vous avez des exigences particulières (par exemple le désir d'occuper une chambre individuelle). Certaines mutuelles remboursent ces compléments avec des plafonds fixés dans votre contrat. Cependant, si vous allez dans un centre de "remise en forme" ou un centre de thalassothérapie parce que vous en éprouvez le besoin, la sécurité sociale ne participe pas du tout au financement de votre séjour. Si elle ne prend pas en charge ces soins, alors la mutuelle ne rembourse rien.
NOTRE AVIS La rééducation est habituellement prise en charge en grande partie ou totalement. Quand il y a des compléments d'honoraires, il faut vous renseigner auprès de la mutuelle sur ses plafonds de remboursement. Pour tout renseignement, vous pouvez solliciter l'aide d'un(e) assistant(e) social(e). Ne confondez pas centre de rééducation et centre de thalassothérapie ou de remise en forme : sur le plan financier, c'est radicalement différent...
Suite sur http://orthopedie-cochin.org/fr/affiche_texte.php?idp=8
Le fer est essentiel pour notre organisme : il assure le transport de l’oxygène dans le sang et la formation des globules rouges. Selon l’OMS, 25% de la population mondiale manquerait de fer. En cas de carence en fer, on parle d’anémie ferriprive. Pour s’en prémunir, nous vous proposons 10 aliments riches en fer.
Bébés 0-6 mois = 0,27 mg
Bébés 7-12 mois= 11 mg
Bébés 1-3 ans = 7 mg
Enfants 4-8 ans = 10 mg
Garçons/filles 9-13 ans = 8 mg
Garçons 14-18 ans = 11 mg
Filles 14-18 ans = 15 mg
Femmes 19-50 ans = 18 mg
Femmes 50 ans et plus = 8 mg
Femmes enceintes = 27 mg
Hommes 19-50 ans = 8 mg
Hommes 50 ans et plus = 8 mg
Comment concilier le besoin de surfaces bâties pour les activités de bureaux et la nécessité de se nourrir face à un étalement urbain croissant qui déplace les surfaces agricoles toujours plus loin des centres villes et contribue à augmenter les émissions de gaz à effet de serre liées au transport ? La nécessité de rapprocher habitats et bureaux des lieux de production alimentaire est vitale.
Face à ce constat, des chercheurs et entrepreneurs développent des solutions innovantes afin de végétaliser les villes et développer l’agriculture urbaine sous toutes ses formes.
Audition Le professeur Patrick Tran Ba Huy, chef du service ORL de l'hôpital Lariboisière à Paris, explique quels sont les facteurs prédisposant à une perte d'audition chez l'adulte. Il s'agit de l'âge qui cause la presbyacousie et des traumatismes sonores accumulés au fil des ans. Il faut aussi ajouter certains facteurs médicamenteux et des facteurs métaboliques comme l'athérosclérose ou diabète. Les premiers signes de la perte d'audition sont la gène à la compréhension notamment en atmosphère bruyante, l'intolérance aux bruits forts et éventuellement les acouphènes.
Certains signes doivent vous alerter :
L'un ou l'autre de ces signes impose de consulter un médecin dans l'heure qui suit.
Elle peut survenir après un coup ou un choc sur la tête. Mais elle peut survenir aussi spontanément. Les causes sont surtout la perforation du tympan, qui impose de voir un ORL en urgence, ou d'autres causes qui se soignent très bien à domicile : bouchage de la trompe d'Eustache après un rhume,furoncle du conduit auditif externe, mastoïdite ,maladie de Ménière , otite aiguë . Les causes vasculaires sont également assez fréquentes, et peuvent témoigner d'un trouble circulatoire dans l'oreille interne ; la sensation de surdité s'accompagne alors souvent de sifflements.
Les causes les plus fréquentes sont le bouchon de cérumen, l'otite séreuse (touchant surtout les enfants), l'otosclérose (tympan qui se durcit), l'intoxication par certains antibiotiques, neurinome de l'acoustique (tumeur du conduit auditif interne).
Le bouchon de cérumen et l'otosclérose sont les causes principales.
Ce sont des sifflements, ou des bourdonnements qu'on appelle des acouphènes .
Une personne qui parle fort a en général une surdité de perception qui peut être dû à l'âge, à l'intoxication par certains médicaments, la maladie de Ménière , et surtout l'utilisation fréquente du walkman.
C'est le témoin d'une surdité de transmission : la personne entend sa voix très fort et donc parle bas. C'est le cas dans les otites, les problèmes de trompe d'Eustache et les bouchons de cérumen.
http://www.docteurclic.com/symptome/troubles-de-l-audition.aspx
Un comité d'experts aux États-Unis ne fixe plus de limite au cholestérol que l'on peut selon eux absorber sans risque pour la santé en consommant des aliments qui en sont riches, comme les oeufs ou le beurre.
Les médicaments prescrits dans le traitement du cancer de la vessie ne sont presque plus disponibles en Europe depuis quelques mois. En Belgique, trois patients ont déjà dû interrompre leur thérapie, peut-on lire dans Le Soir et De Standaard mercredi.
Je dois avouer que mon diabète me " pourrit " la vie mais je ne me laisse pas faire !
J'ai envie d'un autre enfant et depuis 1 an je suis dans l'attente tous les mois de la bonne nouvelle. Je commence à désespérer, je l'avoue....
Mais ma plus grande joie c'est que pour l'instant mon fils n'a pas déclaré de diabète. Il me voit me piquer 4 fois par jour et à chaque fois c'est la même question : " Pourquoi tu fais ça maman ? "
Crédit photo: © ivolodina - Fotolia.com
Photo d'illustration
http://www.afd.asso.fr/node/2244
A titre d’exemple, les français (qui n’en sont pas un justement en ce domaine), achètent en moyenne 35 kilos de sucre par an, alors que la moyenne mondiale est de 20 kg. La situation est la même au Canada, où une calorie ingérée sur cinq provient du sucre de manière directe ou indirecte (biscuits, boissons, etc…).
Dans les pays industrialisés, la consommation journalière de sucre est très importante. Elle avoisine les 100g de sucre par jour par habitant, alors qu’elle ne devrait pas dépasser 50g dans le cadre d’une alimentation équilibrée, c’est-à-dire lorsque l’apport calorique journalier recommandé se situe entre 1800 et 2600 calories (variable selon le sexe, le poids, la taille, l’activité, etc…).
Suite à l’article sur la conservation du poisson, des lecteurs du blog m’ont demandé dans quel cas il était préférable de conserver son poisson sous vide. Est-ce vraiment efficace? Comment marche une machine à vide? Est-ce facile à utiliser? Combien ça coute ?
Mettre son poisson sous vide permet de le conserver plus longtemps. L’absence d’air empêche le plus grand nombre des micro-organismes responsables de la dégradation de se développer. Au retour du marché c’est efficace pour conserver vos achats sur plusieurs jours ou pour congeler. On garde les qualités gustatives, les vitamines,
les sels minéraux. Et quand on congèle, on empêche la formation de cristaux de glace et l’on évite la brûlure du froid extrême. De plus on multiplie par 4 le temps de stockage au congélateur. Passer de 3 à 4 mois à 10 à 12 mois va vous permettre de profiter plus sereinement des opportunités que vous offre votre poissonnier. Voyons ensemble comment ça marche dans une courte vidéo.
Très clairement, ce conditionnement n’est pas nécessaire si vous décidez de déguster votre poisson le jour même ou le lendemain. L’intérêt est plus évident pour des conservations de long terme, comme pour la congélation par exemple.
Son utilisation est ultra simple. D’un coté une machine à vide, de l’autre coté des sacs de conditionnement prévus à cet effet. Les produits de la mer étant humide il est nécessaire de veiller à bien rabattre les bords du sac d’au moins 5cm, avant d’y introduire vos produits.
Le poisson est ensaché, vous remettez les bords du sac en place. Puis vous présentez son côté à souder devant la machine dont vous soulevez le couvercle. Ensuite, vous avancez le sac jusqu’à la chambre sous vide, puis vous refermez le couvercle. Vous êtes prêt pour le conditionnement de votre produit.
On presse le bouton d’alimentation. La pompe se met en marche, puis on va appuyer sur le couvercle pour activer la mise sous vide. La pompe est suffisamment puissante pour évacuer tout l’air du sac.
Le voyant rouge indiquant le soudage automatique du sac, pendant que la machine continue d’aspirer pour retirer l’air résiduel.
La machine s’arrête automatiquement et déverrouille le couvercle. Vous pouvez maintenant retirer votre sac. Votre produit est prêt pour le réfrigérateur ou la congélation.
J’apprécie particulièrement son utilisation pour la congélation, car cela empêche l’assèchement et les brulures de la surgélation. Et plaisir suprême, cela me permet de consommer des produits de la mer dont ce n’est plus la saison. Par exemple, des coquilles Saint Jacques en été.
Chez tompress.com, un des leaders de ce marché, les tarifs s’échelonnent de 120 à 820 euros pour une utilisation domestique. Tout dépend, de vos besoins, de vos envies, et de votre budget.
Les conditionnements sont vendus en rouleaux ou en sacs par 100. Comptez entre 15 euros et une quarantaine d’euros en fonction des modèles choisis.
Credits photo: chezmonpoissonnier.fr
Crédit web: Tompress.com et Reber. tous droits réservés.
http://chezmonpoissonnier.fr/comment-mettre-le-poisson-sous-vide/
L’offre en matière d’activités sportives se diversifie de plus en plus. Ces dernières années, la tendance est à l’association de différents sports pour en créer un nouveau. L’aquabike en est la preuve puisqu’il s’agit d’une combinaison entre les sports aquatiques et le vélo stationnaire.
Également connu sous le nom d’aquabiking, aquacycling ou aquaspinning, l'aquabike connaît une popularité croissante. Le principe est simple : un vélo stationnaire, conçu pour ce type d’activité, est disposé dans la partie peu profonde d’une piscine. La personne, une fois assise, se retrouve immergée jusqu’à la hauteur de la poitrine. Les séances se déroulent généralement en groupe dirigé par un entraîneur qualifié. Celui-ci guide les participants et, à la manière d’un cours de spinning, fait varier le niveau d’intensité.
De nombreuses thérapies ont été conçues en tenant compte des bienfaits de l’eau, que ce soit la balnéothérapie, l’hydrothérapie ou la thalassothérapie. En terme d'activité physique, l'eau a deux avantages : la résistance qu’elle crée et sa capacité d’apesanteur. La pression hydrostatique et la flottabilité facilitent la circulation sanguine, ce qui est idéal en cas de problème d'insuffisance veineuse. Pour le même degré d’effort, le cœur produira 10 battements de moins par minute que lors d’une activité pratiquée au sol telle que la bicyclette.
Dans un article paru dans le journal La Presse, Andrée Dionne, kinésiologue et responsable des programmes d'entraînement à l'UQAM, exposait certains des impacts positifs de l’aquabiking. « L'eau refroidit le corps, crée un effet de massage, diminue l'oedème, réduit les courbatures et les impacts sur les articulations des membres inférieurs. Pendant et après l'entraînement, la perception de fatigue est diminuée, car la flottabilité réduit les sollicitations musculaires qui agissent sur le système musculosquelettique. Cela permet une plus grande relaxation des muscles gravitationnels et la conservation de l'énergie. Même le temps de récupération de l'exercice est amélioré, car les déchets produits au cours de l'exercice sont éliminés plus rapidement », a-t-elle indiqué.
Comme toute activité physique, l’aquabike permet d’augmenter sa capacité cardiovasculaire tout en tonifiant les muscles sollicités par l’exercice. Dans ce cas, ce sont surtout les muscles du bas du corps qui travaillent (grands fessiers, ischio-jambiers, mollets, quadriceps), mais également certains muscles stabilisateurs comme les abdominaux. Le mouvement des jambes dans l’eau engendre une circulation qui a pour effet de produire un hydromassage. Ce type de massage est notamment efficace pour lutter contre la cellulite et les amas de masse grasse.
Une activité pour tousLes personnes qui ne savent pas nager ou qui craignent l’eau peuvent pratiquer l’aquabike en toute confiance puisque la tête demeure toujours hors de l’eau. De plus, cette activité ne nécessite pas beaucoup d’équipement : un maillot de bain et des chaussures antidérapantes, dont la plupart des centres font la location. Un autre point positif est l’absence de transpiration. Comme la température de l’eau permet de stabiliser celle du corps, l’énergie est redirigée dans la force et la précision du mouvement |
http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/DossierComplexe.aspx?doc=aquabike&utm_source=intern&utm_campaign=quotidienne&utm_medium
Si l’on ne devait choisir qu’une seule huile essentielle ce serait celle-ci ! Que l’on parte en voyage ou tout simplement chez soi, c’est un « must have ». L’huile essentielle d’arbre de thé possède de nombreuses propriétés, et se trouve souvent sous son nom anglais « tea tree oil».
L’huile essentielle d’arbre de thé vient de la distillation des feuilles de l’arbre à thé – ou Melaleuca alternifolia selon son nom botanique. Communément trouvé en Australie et utilisé comme remède par les aborigènes, c’est un petit arbuste pas plus haut que 6 mètres de haut avec des feuilles aciculaires, c’est à dire en forme de petites aiguilles. Il fleurit de mi-octobre à fin novembre donnant naissance à des petites fleurs blanches.
C’est une des huiles essentielles les plus connues car elle possède de nombreux effets bénéfiques allant de l’anti-fatigue à la cicatrisation. Elle est antiseptique, antifongique, cicatrisante, décongestionnante, antibactérienne, et stimule le système immunitaire.
Elle peut donc être utilisée pour lutter contre l’acné, les champignons, l’eczéma, les poux, les infections muqueuses buccales, les pellicules, les maux de gorge, les plaies, les tiques et dégager les voies respiratoires.
De manière générale il faut toujours faire attention lors de son application pure et la diluer avec de l’eau avant utilisation. Plus de précisions sur l’utilisation des huiles essentielles et les précautions à prendre.
Son utilisation est très large :
Cette huile peut également être utilisée avec d’autres huiles comme la lavande (régulatrice), le pin, le citron, le romarin, la sauge.
Voici une liste non exhaustive d’exemples d’utilisation :
Mélanger de la calamine (argile rose apaisante), de l’huile de raisin (antioxydant donc coup d’éclat), huile de noisette (régulatrice et resserre les tissus), et quelques gouttes d’huile essentielle d’arbre à thé (antibactérienne et cicatrisante). Laisser poser entre 5 et 10 minutes. Peut se faire une fois par semaine. Attention à ne pas laisser le masque sécher complètement sur la peau. Ne pas mettre de l’huile essentielle pure sur l’acné, mais favoriser un masque ou de l’eau tonique à base d’arbre de thé.
http://www.consoglobe.com/arbre-de-the-huile-essentielle-cg?
Les vertus de l'optimisme sont connues : les personnes confiantes en l'avenir seraient en meilleure santé, vivraient plus longtemps et gagneraient mieux leur vie. Et bonne nouvelle pour les défaitistes, l'état d'esprit optimiste, que nous aurions acquis à la naissance, peut aussi s'apprendre.