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  • Ingrédients pour 4 personnes

    400 g de quorn

    3 càs de farine

    3 càs de curry en poudre

    3 pommes golden

    2 bananes

    800g de tomates pelées

    1 cube de bouillon dégraissé

    200g de riz cru

    3 càs de noix de coco râpée

    Safran, sel, poivre  

    Technique de préparation

    • Faire dorer le quorn dans un plat allant au four
    • Couper les pommes en dés et les bananes en rondelles
    • Saupoudrer le quorn du mélange de farine et de curry
    • Ajouter les tomates pelées, les fruits, le cube délayé et le poivre
    • Laisser cuire 45 min à four chaud
    • Faire cuire le riz dans l'eau salée
    • Egouter et ajouter le safran
    • Poser le quorn dans un plat et saupoudrez de noix de coco râpée
    • Servir bien chaud accompagné de riz au safran

    Valeurs nutritionnelles

    (pour 1/4 de l'ensemble)

    • Energie 485kcal ou 2030kJ
    • Protéines 22g
    • Glucides 75g
    • Lipides 11g
    • Fibres 13g
    • Cholestérol 0

     

     
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  • Les produits emblématiques de Noël (les huîtres, le foie gras, le poisson et la clémentine) sont revisités dans des recettes originales pour profiter de leurs bienfaits.

     

     

     

     

     

    Un menu inspiré de la cuisine libanaise, dans laquelle les herbes aromatiques et les épices sont souvent à l’honneur : idéal pour relever les plats végétariens !

     

     

     

     

    Ingrédients :
    • 400 g de tomates
    • 400 g de pastèque
    • 1/2 bouquet de menthe
    • 2 bouquets de persil
    • 1 petit oignon blanc
    • 1 citron
    • 2 cuillères à soupe d’huile d’olive
    • Poivre
    1
    Laver et couper la pastèque et les tomates en petits dés. Réserver les tomates dans un saladier et la pastèque dans une passoire.
    2
    Couper l’oignon en dés aussi petits et les ajouter dans le saladier. Ajouter le jus de citron, l’huile d’olive et poivrer.
    3
    Laver le persil et la menthe et les sécher les passant dans l'essoreuse. Hacher les feuilles très finement et les ajouter dans le saladier. Mélanger soigneusement et réserver au frais 20 minutes avant de déguster.
    Equivalence en glucides :

    40 g de pain ou 1 grande tranche de pain de mie, 100 g de riz, pâtes ou pommes de terre cuits

     

    https://www.federationdesdiabetiques.org/diabete/recettes/taboule-fraicheur
     

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  • Timothée 29 ans, sous injection d’insuline, Isabelle, 64 ans, sous médicament, nous expliquent que le fait de se mettre à table à noël n’est pas une crainte ou une angoisse ; et le diabète est ni plus ni moins présent dans leurs pensées. C’est un repas « particulier pour tout le monde mais ça n’a rien à voir avec le diabète » précise Isabelle. Même si cela reste toutefois, pour Timothée, une gestion plus importante qu’un repas du quotidien parce que « ce sont des repas qui durent dans le temps, riche en graisse, avec du vin, donc je ne dis pas que c’est hyper facile à gérer ».

    Un travail d’anticipation pour adapter la dose d’insuline

    Pour Timothée, le « diabète n’est pas une tare, je le mets même en avant, à mon boulot tout le monde le sait, et pour moi c’est plutôt une force même ». Il n’est pas gêné de faire son injection d’insuline à l’instant où le repas est servi, « j’ai aucune honte, le diabète ça fait partie de moi donc je n’ai pas à m’en cacher ». Pendant les longs repas familiaux qu’il n’organise pas lui-même, il se laisse porter mais face à son plat, « je calcule les glucides grosso modo et j’adapte la dose d’insuline de ma pompe en fonction, car c’est un peu compliqué de demander aux gens ce qu’ils ont prévu de A à Z ». Cela implique un petit travail d’anticipation à chaque étape du repas, explique Timothée.

    Apprendre à s’accorder des « bulles de respiration »

    Isabelle sait qu’elle ne mangera pas de grosses quantités, elle fait attention : « je sais que je ne vais pas boire beaucoup de champagne, prendre seulement un peu de foie gras et puis c’est tout. Je sais que le lendemain je ferai plus attention. C’est comme tout un chacun en fait ». Ce serait plutôt son diabétologue qui l’inciterait à s’accorder quelques « bulles de respiration » tant que cela reste occasionnel : « il me dit qu’il faut vivre, qu’il faut profiter de la vie ! ».

    Timothée ne se prive pas à noël car justement, « je me suis bien régulé cette année, donc ce n’est pas grave si je fais un écart de temps en temps, au pire je fais une hyperglycémie après, mais j’ai toujours mon insuline sur moi pour corriger ».

    Avec le bon outil, c’est plus simple de passer un bon noël !

    Il y a 6 ans, quand Timothée était sous stylo d’injection d’insuline, ce n’était pas la même chose. Pour gérer son diabète au moment des repas des fêtes de fin d’année, « il fallait avoir sa petite aiguille avec soi, son stylo, lever son t-shirt pour se piquer dans le ventre et si on avait de la lipodystrophie c’était dans la cuisse ». Aujourd’hui, grâce à sa pompe à insuline, il peut « tenir une conversation avec quelqu’un et appuyer en même temps sur les boutons ».

    « Comment ça va ton diabète ?! »

    Pour Isabelle, à Noël, pas question de parler du diabète à table : « on ne parle pas de ça à table nous ! ». Sauf parfois au jour de l’an, avec une amie, diabétique elle-aussi, mais « pas plus que ça ». La discussion ne dure jamais longtemps parce « qu’on ne passe pas notre temps à parler de ça ». Isabelle donne simplement sont avis à son amie concernant la gestion de son diabète mais cela s’arrête là.

    « Ils se soucient simplement de mon bien-être »

    Du fait que Timothée ne cache pas son diabète, le sujet arrive rarement sur la table, car « c’est quelque chose de banal ». Il y seulement une personne en particulier qui aborde le sujet assez régulièrement : « c’est quelqu’un qui s’appelle la maman ! », dit-il en riant. C’est la seule, avec certains oncles et cousins, à lui demander comment va son diabète assez fréquemment, notamment pendant les repas familiaux. Et Timothée ne le ressent pas comme une lourdeur, « ils se soucient simplement de mon bien-être ».

     

    Découvrez le menu marin de Noël sur le site de la Fédération

    https://diabetelab.federationdesdiabetiques.org/noel-repas/

     

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  • De par les changements d’horaires et d’habitudes alimentaires qu’ils impliquent, un départ et un séjour à l’étranger doivent être préparés faute de quoi le diabète risque de se déséquilibrer. Il est conseillé d’informer votre médecin diabétologue suffisamment tôt de votre projet, surtout si vous êtes traité(e) à l’insuline. Lui seul vous expliquera comment adapter vos doses en fonction du décalage horaire éventuel. Renseignez-vous aussi avant votre départ sur les habitudes alimentaires locales et discutez-en au préalable avec votre diététicien(ne).  

    En plus de vos documents d’identité et d’assurance-santé, passeport ou visa, il pourra être utile de vous munir de votre carnet de vaccination ou, en fonction du pays de destination, de faire certains vaccins spécifiques.

    A ce sujet, le site www.vacciweb.be pourra vous apporter quelques informations utiles, tout comme celui de l’Institut de médecine tropicale www.itg.be.

    Que l’on soit sous antidiabétiques oraux et/ou sous insuline, il ne faudra jamais interrompre son traitement. Une préparation minutieuse de ses bagages est indispensable.

    Il importe donc d’avoir en quantité suffisante en fonction de la durée du séjour :

    • tout le matériel nécessaire pour l’autocontrôle, en vérifiant que tout est en état de marche.
    • Prévoyez éventuellement des piles de rechange pour votre lecteur de glycémie et si possible un lecteur de réserve. Notez le numéro de téléphone du fabricant de votre lecteur auquel vous pourriez vous adresser en cas de difficulté. Si vous portez un capteur FreeStyle Libre (Abbott) et que vous vous apprêtez à prendre l’avion, veillez à ne pas placer vos capteurs sur le tapis détecteur rayons x. Le passage dans les portiques de sécurité classiques pour passagers ne pose par contre aucun problème (une attestation spéciale du fabricant FSL Airport Certificate 2018) est disponible ici.
    • votre insuline et/ou vos comprimés pour toute la durée du séjour et même un peu plus au cas où les doses devraient être augmentées ou en cas d’imprévu
    • des prescriptions médicales de réserve précisant la DCI (dénomination commune internationale) ou le nom générique de vos médicaments et/ou et le type d’insuline ou de médicament injectable que vous utilisez habituellement. Si possible, vérifiez la disponibilité de l’insuline utilisée dans votre pays de destination
    • des médicaments dits « de vacances » comme des antidouleurs, antidiarrhéiques, etc.
    • si vous prenez l’avion, demandez à votre médecin une attestation, si possible en anglais (un modèle est disponible ici), autorisant le transport de votre insuline, stylo injecteur, aiguilles de rechange avec vous en cabine. Cela vous évitera les ennuis aux contrôles aéroportuaires.
    • Veillez à ne jamais placer l’insuline dans la soute à bagages de l’avion car elle risquerait de geler et donc d’être inefficace. Il est impératif de la prendre avec vous en cabine en la stockant dans une trousse isothermique.
    • Pensez également aux pertes de bagages qui vous priveraient de votre insuline…
    • L’insuline ne peut pas non plus être exposée à des températures trop chaudes. Dans des conditions inhabituelles de température, ne laissez jamais votre insuline dans une voiture ou un car lorsque vous faites une pause.
    • si vous utilisez une pompe à insuline, prévoyez suffisamment de consommables afin de pallier à tout imprévu ainsi qu’un traitement de substitution en cas de problème ;
    • lors du départ et une fois sur place, ayez toujours sur vous carte d’identité diabétique, votre carnet d’autocontrôle et de quoi vous resucrer (collation) ainsi qu’un GlucaGen®Hypokit (glucagon)
    • notez le numéro de téléphone de votre médecin diabétologue et/ou du centre de convention qui vous soigne.

     

    Pensez à avoir une assistance voyage adaptée !

    Les formules classiques ne couvrent pas toujours les problèmes liés aux maladies préexistantes comme le diabète. Renseignez-vous auprès de votre compagnie d’assurance. Il vous faudra peut-être souscrire une assistance adaptée. Pour en savoir plus, rendez-vous sur notre site dans la page "problèmes sociaux".

     
     
     
     
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  • Le diabète de type 1 est une condition où votre corps ne peut pas produire d’insuline. L’insuline est une hormone qui favorise l’absorption du glucose par les cellules de votre corps pour le transformer en énergie. Si votre corps ne peut pas produire d’insuline, les conséquences peuvent être dangereuses.

    Si vous souffrez de diabète de type 1, vous avez besoin d’une insulinothérapie. C’est là qu’intervient la pompe à insuline, fournissant une méthode utile et régulière d’administration de cette hormone essentielle dans votre circulation sanguine. Il garantit que votre glycémie reste dans une plage sûre et saine. 

     

    Qu’est-ce qu’une pompe à insuline ? 

    Une pompe à insuline est un petit instrument informatisé attaché à votre corps qui délivre de l’insuline au besoin, simulant un pancréas sain. C’est un moyen utile de prévenir l’hypoglycémie¹ (faible taux de sucre dans le sang) tout en gérant l’hyperglycémie (taux élevé de sucre dans le sang), qui peut entraîner des convulsions et une perte de conscience potentiellement mortelles.

    Les pompes à insuline ont été commercialisées pour la première fois dans les années 1970 et ont considérablement progressé depuis lors. 

    Une pompe à insuline peut prévenir de nombreux problèmes résultant d’un déséquilibre de la glycémie. Une pompe réduit le risque d’hypoglycémie sévère et les inquiétudes associées. Il élimine également le besoin d’injections continues.

     Pourquoi utilise-t-on des pompes à insuline ? 

    Les pompes à insuline sont une méthode automatisée d’administration d’insuline afin que vous puissiez continuer votre vie. La pompe est une alternative aux autres méthodes d’administration, telles que les injections continues, qui peuvent être inconfortables et peu pratiques dans certaines situations. Ces méthodes prennent également du temps puisque vous devez mesurer votre glycémie avant chaque dose. 

    Votre corps décompose les glucides en glucose pour produire de l’énergie. Votre pancréas produit régulièrement de l’insuline, une hormone clé qui permet au glucose sanguin de pénétrer dans de nombreuses cellules du corps. Certaines cellules n’ont pas besoin d’insuline, comme les neurones. 

    Maintenir votre glycémie dans une fourchette normale est crucial. Dans le diabète de type 1, votre pancréas ne produit pas d’insuline pour réguler votre glycémie, elle s’accumule donc dans la circulation sanguine, provoquant une hyperglycémie. 

    Si vous souffrez de diabète de type 1, l’obtention d’insuline auprès d’une source externe est obligatoire. Cette source externe peut être des injections régulières d’insuline ou une pompe à insuline. 

     Qui devrait utiliser une pompe à insuline ? 

    La pompe à insuline convient aux personnes de tout âge atteintes de diabète de type 1. Cependant, déterminer qui est admissible au traitement par pompe à insuline nécessite une évaluation minutieuse. 

    Vous devez assumer la responsabilité de la gestion de la pompe. Cela comprend l’utilisation de la technologie, la mesure de vos niveaux de glucides et la compréhension de la façon de surveiller votre glycémie. 

    Les pompes à insuline sont idéales pour les personnes ayant un mauvais contrôle glycémique, même avec plusieurs injections quotidiennes. Le traitement par pompe est également courant chez les femmes qui envisagent une grossesse afin qu’elles puissent atteindre des objectifs glycémiques plus stricts. 

    Si vous voyagez fréquemment ou faites de l’exercice physique rigoureux, les pompes à insuline vous offrent plus de flexibilité.

     Caractéristiques d’une pompe à insuline 

    Une pompe à insuline est un mini appareil informatisé pesant environ 100 g. La pompe fournit des quantités exactes d’insuline 24 heures sur 24 pour répondre à vos besoins spécifiques.

     Il y parvient de deux manières : 

    Basal délivre constamment de faibles niveaux d’insuline pour reproduire la production naturelle d’insuline par le pancréas.

    Le bolus fournit de l’insuline supplémentaire pour correspondre à la nourriture que vous êtes sur le point de consommer ou pour gérer une glycémie excessive. Cette méthode simule la libération régulière d’insuline par l’organisme. 

     Spécificités techniques de la pompe 

    Les pompes à insuline ont un écran, un composant de stockage d’insuline et un système de pompage. Ils sont contrôlés par une puce informatique et sont alimentés par batterie ou rechargeables avec un câble.

    Bien qu’une pompe puisse concerner certaines personnes pour des raisons pratiques ou esthétiques, l’appareil est petit et vous pouvez le porter à la ceinture ou le placer dans une poche. 

    L’insuline est pompée à travers un tube en plastique appelé cathéter. Le cathéter se termine par une fine aiguille appelée canule. Vous insérez la canule dans votre peau et utilisez un morceau de ruban adhésif pour la maintenir en place.

    Le point d’insertion doit être une zone avec beaucoup de tissu adipeux, généralement dans le ventre. 

    L’appareil à cathéter et à aiguille s’appelle le set de perfusion et vous devez le changer tous les trois jours. 

    L’avantage de la pompe, c’est qu’elle n’est pas fixe : vous pouvez la retirer et la remettre à tout moment. 

     Quel est le meilleur type de pompe à insuline ? 

    Les pompes à insuline nécessitent généralement une ordonnance et vous devez toujours consulter votre médecin avant de choisir une pompe. 

    Le type de pompe dont vous avez besoin dépend de nombreux facteurs. Les pompes à insuline évoluent constamment, vous devez donc vous assurer que votre équipe de soins du diabète comprend comment utiliser et surveiller la pompe que vous avez choisie. Ils devront vous assister en cas de difficultés ou de dysfonctionnements. 

     Pompe à insuline traditionnelle vs pompe patch 

    Deux principaux types de pompes à insuline sont disponibles :

     Pompe attachée 

    Vous connectez la pompe à la canule (le petit tube qui traverse la peau) à l’aide d’une longueur de tube fin, et vous transportez la pompe dans votre poche ou un sac, ou vous pouvez l’accrocher à une ceinture. 

    Certaines personnes craignent d’accrocher et de tendre la ligne de connexion entre la canule et la pompe. L’avantage de la pompe attachée est que vous pouvez facilement la dissimuler. 

     Pompe patch (ou micropompe) 

    Une pompe à patch est généralement attachée à la peau et n’a pas de tube ou un petit tube. Grâce à cette caractéristique, la pompe est plus petite et plus légère, ce qui la rend nettement plus confortable. Cependant, ce type de pompe est encore visible sous les vêtements. 

    Les pompes patch sont généralement préférées par de nombreuses personnes atteintes de diabète de type 1. 

     Autres types de pompes à insuline 

    Les pompes étanches telles que la pompe OmniPod fonctionnent sous l’eau jusqu’à 7,5 mètres de profondeur. Cette pompe est fantastique si vous pratiquez des sports nautiques comme la natation ou le surf. Cependant, il n’est pas adapté à la plongée sous-marine car il ne peut être utilisé qu’une heure dans l’eau et est limité à des profondeurs relativement faibles.

    Les pompes intelligentes peuvent s’intégrer aux systèmes de surveillance continue du glucose (CGM) pour détecter efficacement les niveaux de glucose. 

    Les pompes dotées de fonctions de contrôle automatique peuvent détecter de faibles niveaux de glucose et arrêter immédiatement de pomper de l’insuline. Ceci est particulièrement utile si vous êtes à risque d’hypoglycémie la nuit. Un exemple de ce type de pompe est le Medtronic MiniMed 640G. 

     Comment fonctionnent les pompes à insuline pour le diabète de type 1 ? 

    La pompe à insuline prévient les complications lorsque la glycémie dépasse les limites. 

    Si la glycémie est élevée, des complications aiguës et chroniques peuvent survenir, notamment :

    • Vaisseaux sanguins endommagés

    • Problèmes rénaux

    • Miction fréquente due à un excès de glucose dans le sang

    • L’acidocétose diabétique survient lorsque le corps brûle des graisses au lieu de glucose pour produire de l’énergie

    Vous pouvez également remarquer une déshydratation, une fatigue et une perte de poids. 

    Le diabète de type 1 est beaucoup moins fréquent que le diabète de type 2, qui diffère du type 1 en ce que le pancréas produit de l’insuline mais ne l’utilise pas correctement. 

    Le diabète de type 1 débute généralement pendant l’enfance ou l’adolescence; c’est pourquoi les gens l’appellent souvent le diabète juvénile. Cependant, cela peut affecter n’importe qui à tout âge. Des études² pointent vers des facteurs génétiques et environnementaux provoquant la destruction auto-immune des cellules pancréatiques.

     La thérapie par pompe à insuline est-elle efficace dans le diabète de type 1 ? 

    Bien que les pompes à insuline semblent fournir une solution pour administrer des quantités appropriées d’insuline, la recherche doit encore établir leur efficacité par rapport à d’autres méthodes d’administration. 

    Une étude³ a analysé l’efficacité des pompes par rapport aux injections d’insuline chez les patients plus jeunes. Il a établi un lien entre l’utilisation de la pompe et une diminution de l’acidocétose diabétique et de l’hypoglycémie sévère. Les pompes ont également fourni un meilleur contrôle glycémique. 

    En revanche, une autre enquête⁴ a révélé que les pompes ne produisaient pas toujours de meilleurs résultats de traitement, souvent en raison d’une défaillance de la pompe. Les injections étaient souvent tout aussi efficaces pour contrôler la glycémie.

    Cela a conduit à une recommandation de n’envisager des pompes que si les injections n’ont pas réussi à améliorer votre gestion de l’hypoglycémie. Néanmoins, les personnes qui ont utilisé des pompes dans l’étude ont signalé une plus grande satisfaction au traitement, une plus grande indépendance alimentaire et moins de soucis quotidiens.

    En fin de compte, l’utilisation ou non d’une pompe à insuline dépend de vous, de votre situation de vie, de vos intérêts, de vos préférences et du diagnostic spécifique de diabète de type 1. 

     Avantages de l’utilisation d’une pompe à insuline 

    L’utilisation d’une pompe à insuline apporte de nombreux avantages, dont certains incluent :

    • Dosage d’insuline constant, que vous pouvez ajuster si nécessaire

    • Livraison qui imite le fonctionnement naturel du pancréas

    • Moins de dépendance aux injections d’insuline

    • Adaptabilité accrue pour le sport : La pompe vous permet d’ajuster votre dose d’insuline basale pour réduire le risque de baisse de la glycémie.

    • Plus de flexibilité autour des habitudes alimentaires par rapport aux injections

    • Dosage plus précis de l’insuline par rapport aux injections

    • Sensation d’intimité accrue avec une pompe puisque vous pouvez la cacher de la vue

    • Amélioration du sommeil car vous n’avez pas besoin de vous réveiller pendant la nuit pour injecter de l’insuline si les niveaux sont bas

     Inconvénients de l’utilisation d’une pompe à insuline 

    Bien qu’une pompe à insuline offre une méthode automatisée de réception de l’insuline, elle n’élimine pas la nécessité de vérifier manuellement votre glycémie. C’est la responsabilité de vous et de votre système de soutien. 

    Cela garantit que la pompe fonctionne correctement et pompe l’insuline. Si la pompe ou le set de perfusion cesse de fonctionner, une glycémie élevée et même une acidocétose diabétique peuvent survenir. 

    Cependant, la surveillance régulière de votre glycémie garantit que les corps cétoniques ne se développent pas. Vous devez être prêt à injecter de l’insuline chaque fois que nécessaire si la pompe se détache ou se brise d’une manière ou d’une autre. 

    Un autre inconvénient est que vous devez porter un appareil qui est attaché à votre corps presque 24 heures sur 24.

     Parmi les autres inconvénients des pompes à insuline, citons : 

    • Certaines pompes sont difficiles à cacher, supprimant l’élément d’intimité.

    • Les pompes à insuline coûtent beaucoup plus cher que les injections : une analyse⁵ a révélé qu’une pompe coûte 20 500 $ de plus par personne sur trois ans.

    • La pompe peut se casser si elle se desserre, en particulier au niveau du site d’insertion.

    • Le réservoir de la pompe peut fuir de l’insuline si les joints sont endommagés.

    • Si vous ne retirez pas complètement l’air de la tubulure lors de la configuration de la pompe, des bulles peuvent se former, affectant l’administration d’insuline. 

     Comment utiliser une pompe à insuline pour le diabète de type 1 

    Si vous envisagez de gérer le diabète de type 1 avec une pompe à insuline, vous devez tenir compte de certains facteurs.

    Les pompes à insuline ne sont pas bon marché ; ils peuvent coûter entre 4 995 $ et 5 495 $. 

    Heureusement, de nombreuses compagnies d’assurance couvrent les coûts associés aux pompes à insuline, mais vous devez vérifier votre police pour déterminer quelles pompes sont disponibles. 

    Vous devez surveiller attentivement votre glycémie et vous avez toujours besoin d’injections en cas de panne de la pompe ou si vous décidez d’arrêter le traitement par pompe à insuline.  

    Vous aurez besoin d’une équipe de professionnels du diabète composée d’un endocrinologue, d’une infirmière spécialisée en diabète et d’un diététicien. Votre médecin généraliste (GP) joue un rôle essentiel dans cette équipe, il doit donc être familiarisé avec la terminologie de la pompe à insuline.

     Autres facteurs à considérer 

    Les traitements médicaux ne sont pas sans risques, et la pompe à insuline ne fait pas exception. Bien que les pompes soient généralement considérées comme sûres, elles peuvent ne pas convenir à tout le monde. 

    Cependant, comprendre comment utiliser une pompe à insuline peut éviter les problèmes typiques et améliorer les résultats.

     Quand devriez-vous consulter un médecin? 

    Les médecins sont une partie essentielle de l’équipe de soins pour les personnes atteintes de diabète de type 1. Vous aurez besoin de leur aide à de nombreuses étapes de votre parcours patient.

    Si vous envisagez d’utiliser une pompe, un médecin vous indiquera si le traitement par pompe vous convient et quelle pompe est le bon choix. 

    Des consultations régulières sont également utiles pour surveiller l’utilisation correcte de la pompe et vérifier si vous répondez de manière appropriée à la posologie prescrite. 

    Si vous pensez que la pompe fuit ou est cassée, consultez votre médecin dès que possible. 

    Si la pompe a été débranchée pendant plus de 4 à 6 heures, vous devez vous auto-injecter de l’insuline pour éviter l’acidocétose. Si cela se produit, consultez un médecin. 

    Si vous rencontrez des difficultés techniques avec votre pompe, demandez conseil à votre équipe soignante ou à votre médecin. 

    Parfois, votre médecin devra vous administrer une dose d’insuline appropriée par injection pour rétablir rapidement votre glycémie. 

    Il est important de noter que si vos niveaux de cétones sont anormalement élevés ou si des vomissements se produisent, vous devez consulter un médecin d’urgence. 

     La vérité 

    Les pompes à insuline sont une excellente option de traitement pour le diabète de type 1, car elles injectent de l’insuline de manière fiable et maintiennent votre glycémie dans une fourchette saine. Un avantage important de l’utilisation d’une pompe à insuline est la flexibilité permise par la pompe. 

    De nombreux utilisateurs préfèrent les pompes à insuline car elles suppriment l’exigence de routines quotidiennes strictes d’injections et offrent une plus grande flexibilité de style de vie. La technologie des pompes à insuline s’est considérablement améliorée.

    Si vous optez pour une pompe, vous et vos professionnels de la santé devrez suivre les progrès pour vous assurer que vous utilisez correctement votre pompe. 

     

     

    Dr. Peter Gesund, MD

    Bonjour et bienvenue chez Gesund MD!

    Le médecin spécialiste, le Dr. Peter Gesund, MD , possède une vaste expérience en angiologie et en chirurgie vasculaire.

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    Pompe à insuline pour le diabète de type 1 - Gesundmd

     

     

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  • Choucroute de la mer

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  • Vous êtes enceinte et votre médecin vous a annoncé que vous étiez atteinte de diabète gestationnel.

    La grossesse est déjà en elle-même source d’angoisses et cette menace qui pèse sur vous et votre enfant à naître peut s’avérer difficile à vivre. Dès l’annonce du diagnostic, vous allez devoir apprendre à contrôler votre glycémie, à composer des menus quilibrés en choisissant les aliments les plus adaptés et dans certains cas, vous devrez vous injecter de l’insuline. Pas de panique ! Avec un diabète équilibré et un suivi adapté, tout va bien se passer

    ! Rappel : Selon l’OMS*, le diabète gestationnel est un trouble de la tolérance glucidique conduisant à une hyperglycémie de sévérité variable, débutant ou diagnostiqué pour la première fois pendant la grossesse.

    Quels sont les principaux risques pour mon bébé et pour moi ?

    Le risque le plus important pour votre bébé, c’est la macrosomie, c’est à dire un poids de naissance trop important, supérieur à 4 kg, qui entraîne un accouchement difficile et des complications comme la dystocie des épaules. Pour la future maman, le risque le plus important est la pré-éclampsie ou toxémie gravidique (associant hypertension artérielle, œdèmes, prise de poids rapide).

     Quels sont les traitements du diabète gestationnel ?

    A l’aide d’un lecteur de glycémie qui vous est prescrit par votre médecin, vous allez mesurer votre taux de glycémie 4 à 6 fois par jour. C’est ce qu’on appelle l’autosurveillance. En fonction des résultats obtenus, vous pourrez dans certains cas, si les mesures hygiéno-diététiques ne suffisent pas, vous voir prescrire des injections d’insuline afin d’obtenir des glycémies dans les objectifs. Le premier traitement du diabète gestationnel est la prise en charge diététique personnalisée, avec calcul de la ration calorique, répartition de la prise de glucides au cours de la journée (3 repas, 2 collations), en privilégiant les éléments à faible index glycémique (qui font peu monter la glycémie).

    La prise de fibres est également importante car elles ralentissent l’absorption des glucides et donc le pic d'hyperglycémie post-prandiale (après le repas).

    Si vous ne présentez pas de contre-indication obstétricale, commencez ou poursuivez une activité physique adaptée. Il est recommandé de pratiquer cette activité environ 30 minutes de trois à cinq fois par semaine.

    Nous vous proposons des conseils et des exemples d’activités physiques.

    Quel suivi spécifique pour les futures mamans atteintes de diabète gestationnel ?

    Il est souhaitable qu’une équipe pluridisciplinaire de professionnels de santé (médecin généraliste, gynécologue, nutritionniste, diabétologue. suive votre grossesse et votre diabète.

    En fonction de l’équipe médicale qui vous suit, il pourra vous être proposé des ateliers d’éducation thérapeutique où vous apprendrez en groupe, avec d’autres patientes présentant la même pathologie, à adapter votre alimentation pour parvenir à atteindre les objectifs glycémiques qui vous sont fixés.

    Votre objectif sera de garder jusqu’à la fin de votre grossesse une glycémie inférieure à 0,95 g/L à jeun et inférieure à 1,2 g/L deux heures après le début du repas (glycémie post-prandiale).

    D’un point de vue obstétrical, avec un diabète bien équilibré, le suivi de votre grossesse ne sera pas très différent de celui d'une femme non diabétique.

    Une échographie supplémentaire pourra être faite en fin de grossesse pour évaluer la taille de votre bébé. Si votre diabète est difficilement équilibré ou que vous présentez d'autres facteurs de risques, comme l’hypertension artérielle, par exemple, le suivi sera plus rapproché et d'autres examens pourront être prescrits pour vérifier la vitalité du fœtus.

    Comment va se dérouler mon accouchement avec un diabète gestationnel ?

    Une femme atteinte de diabète gestationnel peut accoucher dans une maternité de proximité (niveau 1), sauf en cas de prématurité, de malformation grave ou de troubles importants de la croissance fœtale.

    En l’absence de facteurs de risques, si le diabète gestationnel est bien équilibré, la grossesse est prise en charge comme une grossesse normale.

    Une césarienne pourra être proposée si le poids de votre bébé est estimé à plus de 4,200 kg.

    En cas de diabète gestationnel déséquilibré, un déclenchement avant terme sera envisagé, dans la mesure du possible après 39 SA (semaines d'aménorrhée) en tenant compte des risques et bénéfices pour vous et pour votre enfant.

    Et après la naissance ?

    Durant le post-partum, votre glycémie sera surveillée afin de vérifier que le diabète disparaît.

    Attention, le diabète gestationnel récidive fréquemment lors des grossesses ultérieures, sans que la fréquence soit précisément connue (30 à 84% des cas).

    Après la naissance, le risque principal pour votre bébé est l'hypoglycémie.

    Ce risque est plus important si vous avez reçu de l'insuline ou si votre nouveau-né a un très petit ou un très gros poids de naissance. (90e percentile).

    Le cas échéant, votre bébé doit être nourri le plus tôt possible après la naissance et toutes les 2/3 heures. Sa glycémie sera surveillée, en l'absence de signes cliniques d'hypoglycémie, juste avant la tétée, à partir de la 2e tétée.

    Les risques de diabète de type 2 Si vous avez eu un diabète gestationnel, vous avez 7 fois plus de risques de développer un diabète de type 2 dans les années à venir et un dépistage de celui-ci est fortement conseillé, lors de la consultation post-natale, puis tous les 1 à 3 ans, pendant au moins 25 ans.

    Ce dépistage peut être effectué avec une glycémie à jeun ou une HGPO (Hyperglycémie Provoquée par voie Orale).

    Pour réduire le risque de développer un diabète de type 2, il est important de continuer après la grossesse à avoir une alimentation équilibrée, de contrôler son poids et de pratiquer une activité physique régulière.

    Apprivoiser le diabète gestationnel et en parler une des difficultés des femmes atteintes de diabète gestationnel est qu'elles doivent, en quelques semaines, acquérir une « culture » du diabète, savoir mesurer et interpréter leur glycémie, modifier et contrôler leur alimentation, vivre avec la crainte d'une conséquence sur la santé de leur bébé de ce diabète.

    Le soutien et partage, entre paires, ou bien l'aide de diabétiques plus habituées à la gestion quotidienne du diabète peut être une aide précieuse.

    Notes et crédits photos *OMS : Organisation Mondiale de la Santé Liens utiles Plateforme de suivi télé-médical consacrée au suivi du diabète gestationnel MyDiabby

    Sur la chaîne YouTube de l'AFD : la playlist dédiée au diabète gestationnel : une série de vidéos présentées par le Pr Altman, chef du service de diabétologie à l'Hôpital Européen Georges Pompidou (HEGP) à Paris.

    Le site du Service de diabétologie du Professeur Jean-Jacques Altman, Hôpital Européen Georges Pompidou http://www.hegp.fr/diabeto/gynecogrossessepb.html

     

    Diabète femme enceinte : risque du diabète gestationnel

     

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  • Lors des Questions au Gouvernement de ce jour, j’ai interrogé la Ministre de la Santé et de l’Accès aux Soins, Madame Geneviève Darrieussecq, sur la prise en charge des patients atteints de diabète de type 2 qui se verraient touchés par une amputation du pied diabétique (Photo : sly/www.imazpress.com)

     

    À La Réunion, ce sont plus de 25 personnes par mois qui subissent cette opération, soit une amputation par jour pour un total d’environ 360 amputations par an.

    Nous avons une prévalence deux fois plus élevée que nos compatriotes hexagonaux : 13% à La Réunion, 12% en Guadeloupe, 11,5% à la Martinique, 10% en Nouvelle-Calédonie ou encore 8 à 10% en Guyane ! Pourtant, un traitement existe : il s’agit de l’Heberprot-P qui existe depuis 2016 et qui a été testé dans plus de 25 pays avec des taux de réussite plus qu’encourageant !

    Ma question du jour adressée à la Ministre de la Santé a pour but de faire en sorte que ce traitement soit disponible en France et, a fortiori, en Outre-mer grâce à des essais cliniques qui pourraient réduire de manière considérable les amputations.

    Madame la Ministre s’est dite prête à travailler ensemble pour lutter contre le diabète et en discuter lors d’un prochain rendez-vous, nous continuerons donc la discussion pour que la demande d’autorisation de mise sur le marché soit faite par les laboratoires.

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  •  

    La liste des actions ci-dessous est basée sur les informations qui nous ont été communiquées par les différentes structures de soins. Elle sera complétée au fur et à mesure que les informations nous parviennent. Elle n’est donc pas nécessairement exhaustive et il se peut que d’autres actions de sensibilisation et dépistage soient organisées près de chez vous. Renseignez-vous auprès de l’hôpital le plus proche !  

    A Bruxelles

    • Hôpital Etterbeek- Ixelles (rue Jean Paquot 63 à 1050 Bruxelles) :  le 14/11 en matinée (de 9h00 à 12h30) - séances d'information sur le diabète et dépistages (tests capillaires) + information sur l’alimentation saine et équilibrée.
    • Hôpital Molière (rue Marconi 142 à 1190 Bruxelles), entrée principale, côté cafetéria : le 18/11 en matinée (de 9h00 à 14h00) : séances d'information sur le diabète et dépistages (tests capillaires) + information sur l’alimentation saine et équilibrée.
    • Hôpital Bracops (rue du Dr Huet 79 à 1070 Bruxelles), entrée principale : le 18/11 en matinée (de 9h00 à 12h00) : séances d'information sur le diabète et dépistages (tests capillaires) + information sur l’alimentation saine et équilibrée.
    • Le Réseau Santé Diabète de Bruxelles propose diverses activités le 14/11 : le Réseau accompagné de ses membres, profitera de ce moment dans le quartier des Marolles pour sensibiliser au diabète. Une soupe préparée par Le Huitième Jour sera proposée aux passants et des stands d’information seront animés par ses membres.  Une conférence est également proposée de 13h à 15h à l’hôpital César de Paepe (rue des Alexiens 11 à 1000 Bruxelles), intitulée : « La santé bucco-dentaire, miroir du diabète ? ». Un interprète en langue des signes sera présent pour la traduction de la conférence.
    • Lancement du Café Diabète : le Café Diabète est un groupe de parole destiné aux personnes atteintes de diabète de type 2 et/ou leurs proches. Le lancement sera le 18 novembre 2024, de 9h30 à 11h30, à la Samaritaine (41 rue de la Samaritaine, 1000 Bruxelles). Un groupe WhatsApp a été créé pour permettre d'avoir un meilleur moyen de communication entre les participant.es :  Groupe Café Diabète.
    • L'hôpital CHIREC Delta (Bd du Triomphe 201 à 1160 Bruxelles) propose un dépistage gratuit le 14/11 de 09h00 à 13h00.

    Dans la Province de Namur

    • Centre hospitalier régional Sambre et Meuse (CHRSM) – site Meuse (avenue Albert 1er 185 à 5000 Namur) : le 14/11 en matinée (de 9h00 à 13h00), devant la cafetéria : évaluation du risque de diabète, information et conseils
    • Centre hospitalier régional Sambre et Meuse (CHRSM) - site Auvelais (rue Chère Voie 75 à 5060 Sambreville) : le 14/11 de 9h00 à 16h00 : évaluation du risque de diabète, information et conseils
    • Le Centre hospitalier de Dinant propose le 14/11 (rue Saint Jacques 501 à 5500 Dinant) un dépistage gratuit et un stand d'information sur le diabète ainsi que 2 ateliers pour lesquels l'inscription est obligatoire (13h30 : l'anxiété associée au diagnostic de diabète ; 15h00 : le dialogue avec les professionnels de la santé); RDV route 895 (niveau -2, salle de réunion attenante au restaurant)
    • Le CHU de Mont Godinne (avenue G. Therasse 1 à 5530 Yvoir) propose le 14/11 durant toute la journée un stand de sensibilisation au sein de l'entrée A (entrée piano)
    • La Clinique Ste Elisabeth de Namur (place Louise Godin 15 à 5000 Namur) proposera durant la matinée un stand de sensibilisation dans le hall d'accueil
    • Le RLM UOAD propose en collaboration avec l'administration communale de Ciney des tests de dépistage et une information sur le diabète le 14/11 de 9h à 12h (salle du conseil communal, rue du Centre 35 à Ciney)
    • Le RLM UOAD propose en collaboation avec l'administration communale de Rochefort des tests de dépistage et une information sur le diabète le 14/11 de 13h30 à 16h00 à la Maison citoyenne de Rochefort (rue Sauvenière 16 à Rochefort)
    • La pharmacie BOXUS-BOUXIN (route de Postil 17 à 5070 Fosses-la-Ville) organise en collaboration avec ler RLM Cegeno une action de sensibilisation le 14/11 de 13h à 17h
    • La pharmacie Du Stock (rue du Cimetière 7 à 5070 Fosses-la-Ville) organise en collaboration avec le RLm Cegeno une action de sensibilisation le 14/11 de 9h à 12h
    • Séance de sensiibilisation organisée par le RLM Cegeno à la Maison communale de Fosses-la-Ville, espace Wilson, de 9h à 12h
    • Séance de sensibilisation organisée par le RLM Cegeno au Cabinet médical de la Rosière (chaussée de Namur 19 à 5070 Fosses-la-Ville) le 14/11 de 9h à 17h
    • Séance de sensibilisation organisée par le RLM Cegeno au Delhaize de Fosses-la-Ville (rue du Cimetière 5) le 14/11 de 13h30 à 16h30

    Dans le Brabant wallon

    • Le Réseau Local Multidisciplinaire du Brabant wallon (RLM-Bw) organise une action de sensibilisation au diabète en tenant un stand à l’Esplanade de Louvain-la-Neuve le jeudi 14 novembre de 10h à 18h et au Douaire d'Ottignies le vendredi 22 novembre de 10 à 14h. Objectifs de ces deux journées :
      - Sensibiliser les visiteurs au risque de développer un diabète de type 2 en présentant les facteurs de risques (âge, surpoids, tabac, sédentarité) à travers des flyers et affiches.
      - Proposer aux visiteurs qui le souhaitent de remplir un questionnaire Findrisc  et de réaliser un test glycémique 
      - Accompagner au mieux les personnes dans les démarches à suivre si le risque de développer un diabète est avéré et/ou si la personne est déjà diabétique (retour vers le médecin traitant si nécessaire) 
      - Donner de la visibilité au RLM Brabant wallon en présentant ses projets (Trajets de Démarrage et de Soins). 
    • Le RLM Bw tiendra également un stand d'information et de sensibilisation au diabète en collaboration avec Solidaris  le mardi 19 novembre à Court St Etienne de 9h00 à 12h30 (rue Emile Henricot 64/8) et  le vendredi 6 décembre à Jodoigne de 9h00 à 12h30 (Avenue des Commandants Borlée, 33).
    • La Maison Médicale de la Thyle (place Baudouin 1er, 4 à 1490 Court-Saint-Etienne) organisera une matinée de sensibilisation au diabète en ses locaux le mardi 18/11 de 9h à 12h.
    • Le CHIREC hôpital de Braine l'Alleud (rue Wayez 35 à 1420 Braine l'Alleud) organise un dépistage gratuit le 14/11 de 08h30 à 12h30.

    Dans la Province de Liège

    • La Province de Liège organise le mardi 12/11 à 18h30 une conférence sur le thème "Moins de sucre, plus d'activité : un duo gagnant face au diabète ?" au théâtre de Spa, centre culturel (rue Servais 8 à 4900 Spa)
    • Le CHR de Huy (rue des Trois Ponts 2 à 4500 Huy) organise le 14 novembre un screening dans le hall d'entrée de l'hôpital entre 9h et 15h pour les patients et visiteurs. Une infirmière ainsi qu'une diététicienne seront présentes afin de réaliser une glycémie et répondre aux questions. En fonction des résultats, le visiteur sera orienté vers son médecin généraliste ou directement vers une diabétologue présente ce jour-là en cas de nécessité. Un fruit de saison sera offert aux participants.
    • Le CHR de Verviers (rue du Parc 29 à 4800 Verviers) organise le 14 novembre de 9h00 à 16h00 un stand de sensibilisation dans le hall d'entrée de l'hôpital (test de glycémie gratuit et questionnaire sur l'alimentation pour permettre aux visiteurs de mieux comprendre leur niveau de risque face au diabète)
    • Le CHU de Liègesite Notre Dame des Bruyères (rue de Gaillarmont 600 à 4030 Grivegnée) organise le 14/11 dans le hall d'entrée de l'hôpital une journée de sensibilisation et de dépistage (calcul du risque, ateliers diététiques, tests de glycémie)
    • Le CHU de Liège en collaboration avec le Shopping Belle-Ile (quai des Vennes 1 à 4020 Liège) organise le 14/11 une journée de sensibilisation et de dépistage avec expérience de réalité virtuelle et intelligence artificielle en 3D via un casque et le robot Buddy
    • La Clinique André Renard et SOLIDARIS proposent des tests de glycémie, informations sur le diabète, conseils diététiques les 12/11 dans le hall de la clinique André Renard (rue Andre Renard 1 à 4040 Herstal) et le 14/11 sur le marché hebdomadaire de Herstal
    • La commune de Chaudfontaine organise une action de sensibilisation et d'information le jeudi 14/11 de 9h00 à 19h00 à l’entrée du Carrefour Market, voie de l’Ardenne, 62 à Embourg et à l’entrée de l’AD Delhaize, rue Général Jacques 99 à Vaux-sous-Chèvremont
    • La Province de Liège organise des dépistages, animations et informations sur le diabète le jeudi 14/11 de 10h à 17h au Carrefour d'Ans ; de 9h à 19h au Carrefour d'Embourg ; de 9h à 19h au Delhaize de Chaudfontaine
    • La Province de Liège organise un dépistage le samedi 16/11 de 9h à 20h à la Foire aux Noix de Spa (avenue Reine Astrid) et le lundi 18/11 à l'Administration communale de Hannut de 8h à 15h30
    • Le Centre Hospitalier du Bois de l'Abbaye - CHBA (site de Seraing - rue Laplace 40 à 4100 Seraing) organise le 14/11 de 9h à 16h une journée (hall d'entrée principal) dédiée au diabète et à la nutrition : dépistage, conseils et échanges sur une alimentation équilibrée

    Dans la Province du Hainaut

    • Le réseau des hôpitaux HELORA organise sur ses différents sites des dépistages et séances d'information :  Hôpital de Mons site Constantinophe de 9h à 12h ; hôpital de Warquignies de 13h à 16h ; hôpital de Lobbes de 9h à 12h ; hôpital Jolimont La Louvière de 10h à 15h ; hôpital de Nivelles de 10h à 15h ; hôpital de Mons site Kennedy de 9h à 11h
    • Le RLM centre La Louvière organisera une journée de sensibilisation et de dépistage dans la galerie du Cora de la Louvière (rue de la Franco-Belge 228 à 7100 La Louvière), le samedi 9 novembre 2024 de 11h à 16h.
    • Les facultés universitaires Umons, UCLouvain FUCaM et HELHa proposent aux étudiants et membres du personnel de tester leur risque de diabète le 14/11 de 10h00 à 17h30 :
      UCLouvain FUCaM – hall du bâtiment D
      UMons – Centre Vésale – chemin du champ de Mars
      HELHa, chaussée de Binche 159 (1er étage, bâtiment HE.2)
    • La Maison de Santé de Mouscron organise des dépistages gratuits le mercredi 20/11 de 9h00 à 11h00 à l'Antenne communale de Dottignies (rue Pastorale 26); le mercredi 20/11 de 14h00 à 16h00 à l'Antenne communale de Herseaux (rue des Croisiers 12) et le jeudi 21/11 de 9h00 à 12h00 et de 13h30 à 18h00 au Centre administratif de Mouscron (rue de Courtrai 63)
    • L'équipe de diabétologie de l'hôpital EPICURA propose le 14/11 à la salle Galant, rue du Moustier 8 à Jurbise  de 8h30 à 15h00 une action de sensibilisation et de prévention avec dépistage gratuit 

    Dans la Province de Luxembourg

    • L'hôpital d'Arlon Vivalia (rue des Déportés 137 à 6700 Arlon) propose dans le hall d'entrée de 9h à 14h un stand de sensibilisation en collaboration avec les diététiciennes et les infirmières spécialisées en diabétologie (tests de glycémie et conseil sur le thème diabète et bien-être)
    • L’asbl Chronicare (Maisons du Diabète) met en avant son engagement dans la prévention des complications du diabète en dépistant le risque de la rétinopathie diabétique grâce à l’intelligence artificielle. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.maisondudiabete.be
     
     

     

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  • A l'occasion de la Journée Mondiale du Diabète, ce jeudi 14 novembre, l'Association du Diabète lance sa campagne de sensibilisation annuelle !

    Nous souhaitons cette année attirer l'attention du grand public sur l’aspect insidieux du diabète de type 2, cette maladie invisible dont les effets sont encore trop méconnus. Malgré l'augmentation inquiétante de la prévalence du diabète, la conscience collective reste en effet insuffisante. Aujourd'hui, 1 Belge sur 10 est touché par le diabète de type 2, et, fait plus alarmant encore, 1 personne sur 3 n'en est même pas consciente. Cette ignorance expose les individus à des complications graves, pouvant nuire fortement à leur qualité de vie... 

    Notre campagne invite le public à évaluer son niveau de risque de développer un diabète de type 2 via notre formulaire en ligne. À la fin du questionnaire, les répondants recevront des informations et conseils personnalisés adaptés à leur profil de risque.

    Unissons nos forces pour faire passer le message ! 

    Parce que vous êtes nos meilleurs ambassadeurs, nous faisons appel à vous pour donner un maximum d’ampleur à notre campagne !

    Chaque message partagé sur les réseaux sociaux permet d’atteindre plus de personnes, de sensibiliser davantage et de renforcer l’impact de notre engagement commun contre le diabète. Votre soutien et vos partages sont essentiels pour faire entendre la voix de notre Association.

    Ensemble, nous pouvons faire bouger les lignes et inspirer plus de personnes à s’informer, à agir et à se mobiliser pour leur santé. 
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    1. Salmonellose : la salmonelle est souvent due à une intoxication alimentaire. La salmonellose est déclenchée par des salmonelles non-typhoïdes qui vivent dans le système gastro-intestinal des animaux et des humains. Elle provoque de la diarrhée, des vomissements et de graves problèmes gastriques. La consommation d’œufs crus, de viande insuffisamment cuite ou de produits laitiers contaminés est souvent en cause.
    2. Infections à E. coli : les infections à Escherichia coli provoquent également des troubles. La plupart des infections guérissent spontanément, mais certaines souches peuvent causer des complications graves, comme le syndrome hémolytique et urémique (SHU). La bactérie se transmet par des aliments contaminés, notamment les légumes crus, la viande mal cuite et l'eau souillée. Elles guérissent souvent spontanément mais elles peuvent aussi avoir des conséquences graves, voire mortelles. La bactérie se transmet par des aliments contaminés, comme les légumes crus.
    3. Infections à Mycobacterium tuberculosis : la tuberculose est une maladie extrêmement contagieuse, provoquée par la bactérie Mycobacterium tuberculosis. Elle affecte principalement les poumons, mais peut également toucher d'autres organes. La transmission se fait par voie aérienne, via les gouttelettes respiratoires d'une personne infectée. Les symptômes incluent la toux persistante, la fièvre et la perte de poids.
    4. Infections à Staphylococcus aureus : le staphylocoque doré résistant à la méticilline (SARM) est une bactérie qui est devenue résistante aux antibiotiques. Elle est très dangereuse, surtout pour les personnes au système immunitaire affaibli. Elle peut provoquer des infections cutanées, des ulcères, des infections pulmonaires ou une septicémie (empoisonnement du sang).
    5. Infections à Clostridium difficile : C. difficile est une bactérie présente dans les intestins. Normalement inoffensive, elle peut proliférer en cas de traitement antibiotique ou d'un affaiblissement du système immunitaire. Elle peut alors entraîner une infection intestinale qui se manifeste par une inflammation du gros intestin et de la diarrhée.
    6. Listeriose : la bactérie Listeria monocytogenes déclenche de la fièvre, des douleurs musculaires et de la diarrhée. La listériose touche plus particulièrement les personnes fragilisées, comme les enfants en bas âge, les femmes enceintes et les personnes âgées. Les symptômes incluent la fièvre, les douleurs musculaires et la diarrhée. La bactérie se transmet par des aliments contaminés, notamment le fromage au lait cru, les viandes ou encore les légumes crus mal lavés.
    7. Infections à pneumocoques : il existe plus de 90 souches de Streptococcus pneumoniae. Les pneumocoques peuvent provoquer des infections telles que l’otite ou la sinusite. Les formes invasives peuvent sont responsables d'infections plus graves comme la pneumonie, la méningite ou la septicémie. Les infections pulmonaires peuvent également être causées par d'autres bactéries : le Chlamydia pneumoniae, le Klebsiella pneumoniae ou le Pseudomonas aeruginosa. Ces agents pathogènes se propagent par les gouttelettes respiratoires et peuvent provoquer des pneumonies, surtout chez les personnes âgées et les patients à risque.
    8. Prolifération de Gardnerella vaginalis : la vaginose bactérienne se produit lorsque la flore du vagin est déséquilibrée et que certaines bactéries prolifèrent de manière anormale. Il s'agit souvent de la bactérie Gardnerella vaginalis, mais d'autres souches peuvent être en cause (Prevotella spp., Atopobium Vaginae, Megaspahera spp0.) Les symptômes : démangeaisons vaginales, pertes et douleur à la miction. Les facteurs de risque incluent le tabagisme, les douches vaginales et les partenaires sexuels multiples.
    9. Infections à H. pylori : une infection par la bactérie Heliobacter pylori peut être à l’origine d’ulcères de l’estomac, de gastrite ou d’inflammation de l’estomac. Le reflux, le taux d’acidité et le tabagisme accroissent le risque de développer cette infection.
    10. Infections cutanées à staphylocoques et streptocoques : les infections cutanées comme l’acné, la cellulite ou l’impétigo sont souvent causées par des staphylocoques ou des streptocoques. Ces infections peuvent se propager par contact direct avec des plaies ou des surfaces contaminées.
    11. Gonorrhée : la gonorrhée est une infection sexuellement transmissible causée par Neisseria gonorrhoeae. Les symptômes incluent des écoulements anormaux, des douleurs urinaires et, chez les femmes, des douleurs pelviennes. Sans traitement, elle peut entraîner des complications graves comme la stérilité.
    12. Borréliose : transmise par la morsure d’une tique infectée par Borrelia burgdorferi, la maladie de Lyme ou borréliose provoque initialement une éruption cutanée (érythème migrant) autour de la morsure. Si elle n’est pas traitée, elle peut entraîner de la fièvre, des douleurs articulaires et des complications neurologiques et cardiaques.
    13. Infections à Vibrio vulnificus. le Vibrio vulnificus est une « bactérie carnivore » rare, présente dans l’eau de mer chaude. Elle provoque des infections gastro-intestinales par ingestion de fruits de mer crus, notamment les huîtres, ou des infections cutanées graves en cas de contact avec une plaie ouverte

     

    Sources :
     
     
     

     

    auteur : Sara Claessens - journaliste santé
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  • Ingrédients pour 4 personnes

    Pour les papillotes :

    4 dos de cabillaud (4 x150 g)

    100 g de tomates séchées ou semi-séchées à l’huile (garder environ 4 càs de l’huile aromatisée des tomates)

    10 feuilles de sauge ciselées    

    Pour les brochettes de légumes :

    1 poivron jaune

    1 poivron rouge

    1 courgette

    1 aubergine

    1 gros oignon

    1  gousse d’ail

    Huile d’olive 100 ml

    2 branches de persil frais

    1 càs de thym séché

    1 càs de romarin

    1 càc de paprika

    1 càc de basilic séché

    Une pincée de sel

    Un peu de poivre, selon goût

    Technique de préparation

     

    • Découper 4 feuilles d’aluminium et y disposer les 4 dos de cabillaud 
    • Enduire au pinceau l’huile aromatisée des tomates séchées sur le cabillaud, ajouter les tomates séchées et la sauge ciselée par-dessus
    • Fermer chaque feuille d’aluminium pour faire la papillote et placer sur la grille du barbecue pendant 30 minutes
    • Eplucher et couper l’oignon en 4
    • Couper les légumes en gros dés de 2 cm sur 2 cm
    • Faire la marinade : dans un plat mélanger l’huile d’olive, le persil, le thym, le romarin, le paprika, le basilic, le sel et le poivre
    • Ajouter les légumes dans la marinade, mélanger et laisser reposer 1h au réfrigérateur
    • Piquer les légumes en alternance sur un pic à brochette
    • Les faire cuire au barbecue sur la grille pendant 5 minutes, en les retournant régulièrement
    • Servir avec des pommes de terre grenailles cuites en chemise  

    Valeurs nutritionnelles         

    (pour 1 personne)

    • Energie 2568 kJ/ 614 kcal
    • Matières grasses 31 g  
    • Glucides 44 g
    • Protéines 35 g
    • Fibres 9 g
     
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  • n abcès dentaire est provoqué par une accumulation de pus et peut, s’il n’est pas soigné correctement, entraîner de lourdes complications (extraction dentaire, fistulisation). C’est pour cette raison qu’il est considéré par les dentistes comme une urgence dentaire et que vous pouvez demander une consultation dans les plus brefs délais. Comment réagir en cas d’abcès dentaire ?

    Où faire soigner un abcès dentaire à Lausanne ?

    Vous souffrez d’un abcès dentaire ? Sachez qu’un abcès dentaire ne se résorbe pas de lui-même et qu’il est donc essentiel de consulter un chirurgien dentiste rapidement pour vous faire soigner. À la CHD de Lausanne, nos dentistes s’engagent à vous recevoir le jour même (ou au plus tard dans les 24 heures) pour vous soulager et traiter votre abcès dentaire.

    Vous avez d’autres symptômes ? Une inflammation des gencives, un gonflement au niveau du cou, l’apparition de ganglions ? Vous soupçonnez une parodontite (causée par l’accumulation de plaque dentaire sous la gencive) ? Vous ressentez une douleur importante suite à la sortie d’une dent de sagesse ? N’attendez pas et prenez rendez-vous avec l’un de nos spécialistes pour bénéficier des meilleurs soins possibles en matière d’hygiène et de santé bucco-dentaire.

    Comment réagir en cas d’abcès dentaire ?

    En l’absence d’un traitement adéquat, un abcès dentaire peut entraîner de graves complications. Pour éviter cela, prenez rendez-vous avec votre médecin dentiste dès l’apparition des premiers symptômes : douleur soudaine, sensibilité au chaud ou au froid, douleur à la mastication, gonflement, apparition d’un goût désagréable, fièvre…

    En attendant votre rendez-vous, certains gestes simples peuvent atténuer la douleur comme par exemple :

    –        Prendre du paracétamol ou un anti-inflammatoire (évitez l’aspirine, surtout en cas de saignement) ;

    –        Appliquer une poche de glace contre votre joue, au niveau de la douleur ;

    –        Réaliser des bains de bouche ;

    –        Utiliser du clou de girofle, etc.

    Demandez conseil à votre dentiste pour éviter toute complication.

    Vous avez d’autres questions ?

    Un abcès dentaire se traduit par une accumulation de pus liée à une infection bactérienne. Il se soigne grâce à un drainage et, parfois, à l’aide d’antibiotiques. Comment se forme un abcès dentaire ?

    En cas d’abcès dentaire, pour éviter toutes complications, votre médecin dentiste procède au drainage du pus mais est-il possible de soigner un abcès sans se rendre chez le dentiste ?

    En cas d’abcès dentaire, certains traitements peuvent vous soulager comme par exemple le clou de girofle ou encore certains bains de bouche spécifiques. Quel bain de bouche utiliser en cas d’abcès dentaire ?


    D’autres questions encore ?

    Contactez-nous directement :

     

    Vous avez un abcès dentaire : que faire ?

    https://www.cliniquehygienedentaire.ch/fr

     

     

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  • Pour préparer un bon petit plat, il faut choisir les ingrédients avec soin. Dans cet entretien, l’expert en algorithmes Sebastian Schelter explique l’influence de l’intelligence artificielle sur notre vie et comment cette technologie est capable de prendre des décisions à notre place.

    De Johannes Zeller

    L’intelligence artificielle (IA) et des ordinateurs qui auto-apprennent : des éléments qui sont aujourd’hui bien ancrés dans notre quotidien même si cela ressemble toujours encore un peu à de la science-fiction. Les algorithmes ne définissent pas uniquement ce que nous allons regarder ou écouter en streaming, dans certains pays, ils décident qui recevra un crédit ou calculent la probabilité de récidive d’un délinquant. Mais qu’est-ce qu’un algorithme en réalité ? Quelle influence l’IA exerce-t-elle sur notre vie ?

    Recette de base : l’algorithme

    « Tout d’abord, l’algorithme est une succession d’étapes. On peut se le représenter comme une recette de cuisine : au départ, on retrouve les ingrédients, les saisies du programme informatique. La recette décrit pas à pas ce qu’il doit se passer afin de préparer un bon repas », explique l’expert en algorithmes Sebastian Schelter, chercheur en gestion des données et en apprentissage automatique à l’université d’Amsterdam.

    Vu sous cet angle, les algorithmes ne sont pas une grande nouveauté, ils suivent le même principe que n’importe quel autre programme informatique. Mais aujourd’hui, quand nous parlons de l’influence grandissante des algorithmes, nous nous intéressons particulièrement à l’apprentissage automatique. « Dans le cadre d’un programme classique, lorsqu’il faut résoudre un problème, c’est l’homme qui dicte les étapes à la machine. Toutefois, certains problèmes sont trop complexes pour que nous puissions décrire précisément à l’ordinateur comment les résoudre », précise l’expert. C’est pourquoi une autre méthode s’impose : celle de l’apprentissage automatique. 
     Sebastian Schelter a obtenu son doctorat à l’université technique de Berlin avant de devenir chercheur à l’université de New York et pour Amazon. Aujourd’hui professeur assistant à l’université d’Amsterdam, il étudie les problèmes liés à l’interface de gestion des données et de l’apprentissage automatique.

    Sebastian Schelter a obtenu son doctorat à l’université technique de Berlin avant de devenir chercheur à l’université de New York et pour Amazon. Aujourd’hui professeur assistant à l’université d’Amsterdam, il étudie les problèmes liés à l’interface de gestion des données et de l’apprentissage automatique. | Photo: © Sebastian Schelter

    Cuisiner pour les pros : l’algorithme apprenant

    Schelter décrit le problème qui se pose : « Prenons un exemple très simple : les filtres anti-spam qui différencient les courriers publicitaires des messages personnels. Pour la personne qui conçoit ce programme informatique, ce n’est vraiment pas simple. Différents critères et règles peuvent être fixés pour reconnaître théoriquement les publicités, que ce soit l’heure d’envoi, ou encore la présence de certains mots dans le message. Pourtant, à un moment ou un autre, la capacité humaine atteint ses limites. »

    C’est pourquoi, dans le cadre de l’apprentissage automatique, l’ordinateur n’est plus programmé de manière explicite, mais il est confronté à des exemples. Et c’est seul qu’il trouvera la meilleure manière de résoudre le problème. Au lieu de lui donner toute la recette, le programmeur ne lui montre que le résultat final qu’il attend du programme.

    « Dans notre exemple, il peut s’agir de la saisie de 1000 e-mails que l’utilisateur souhaite recevoir, et de quelques exemples négatifs de courriers publicitaires qu’il ne veut pas recevoir », continue Schelter. « L’algorithme se base ensuite sur ces exemples pour estimer la probabilité qu’un nouvel e-mail soit ou non un courrier indésirable. La grande différence, c’est que dans le cadre de la programmation classique, une personne fixe précisément les étapes, alors que dans le cas de l’apprentissage automatique, l’algorithme apprenant se base sur des exemples et des statistiques de probabilité pour fixer lui-même ses propres critères de sélection. »
     

    Berné par l’IA

    Non seulement les algorithmes d’apprentissage automatique répondent bien plus rapidement aux problèmes qu’un être humain, mais ils les résolvent aussi bien mieux. En 2019, lorsque le programme Pluribus a remporté une partie de poker face à des joueurs professionnels, l’IA a démontré qu’elle pouvait même apprendre à bluffer mieux qu’une vraie personne. À mesure que ses capacités se multiplient, son influence ne fait que croître. Que ce soit dans le monde de la santé, des finances ou encore de la justice.

    En Allemagne aussi, la majorité de la population se retrouve chaque jour face aux décisions d’algorithmes intelligents. « D’un point de vue scientifique, il s’agit d’un procédé mathématique abstrait qui peut s’appliquer à de nombreux domaines. Par exemple, pour déterminer la probabilité qu’une personne précise rembourse son crédit », poursuit Schelter.

    Dans des pays tels que les États-Unis et l’Australie, les algorithmes sont soupçonnés de faire preuve de discrimination à l’égard de certaines ethnies. « Cela s’explique en partie par le fait que les données prises comme exemple par l’algorithme sont déjà discriminatoires. Si on le laisse avancer à l’aveuglette, il est normal que l’algorithme reproduise cette discrimination. » C’est là que se trouve la racine du problème selon l’expert.
     

    Un algorithme qui a du tact ?

    Le plus important c’est que les limites des algorithmes et de l’IA ne doivent pas être fixées sur base de considérations techniques, mais bien éthiques. Ou l’algorithme serait-il capable d’apprendre à faire preuve « d’un peu de tact » ?

    « Cette question représente un réel problème aujourd’hui. Personnellement, je pense que dans certains domaines, les conséquences d’une mauvaise décision de l’algorithme ne sont pas dramatiques. Si mon service de streaming me propose la mauvaise chanson par exemple. Et puis il y a d’autres domaines où on peut utiliser l’algorithme pour avoir ses recommandations, mais où la décision finale doit revenir à un être humain. Et il y encore d’autres domaines pour lesquels il vaut tout simplement mieux que la décision revienne uniquement à une personne », précise Schelter.

    « Aux États-Unis, des algorithmes sont utilisés pour déterminer la probabilité qu’un détenu récidive. Les tribunaux et les commissions ont accès à ces données avant de se prononcer sur une éventuelle libération anticipée. » Une question s’impose : est-ce bien équitable ?

    Les mathématiques sont bien impuissantes face aux questions de justice et d’équité étant donné qu’il s’agit davantage de questions philosophiques, politiques et juridiques. Chacun a sa propre définition de ce qui est juste ou pas, et il est mathématiquement impossible de se conformer à toutes ces définitions en même temps. »

    Des études se sont penchées sur l’aspect équitable des décisions prises par les algorithmes, et leurs conclusions aussi montrent que les algorithmes ont encore beaucoup à apprendre en matière de tact. Dans de nombreux domaines, il importe de se mettre d’abord d’accord aux niveaux éthique, politique et juridique sur la manière dont la « bonne » décision doit être prise. Ce n’est qu’à ce moment-là que l’on peut faire confiance à l’algorithme pour accomplir cette tâche. « Néanmoins, il reste toujours une question éthique et politique : devons-nous vraiment le faire juste parce qu’on le peut ? », conclut Schelter.

    Auteur

    Johannes Zeller est journaliste indépendant et consultant en média.

    Traduction: ISO Translation
    Copyright: Texte : Goethe-Institut, Johannes Zeller. Dieser Text ist lizenziert unter einer Creative Commons Namensnennung – Weitergabe unter gleichen Bedingungen 3.0 Deutschland Lizenz.

    Mai 2020

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