• saumon-oseille-crepe-brocoli
    Pour la Chandeleur, les crêpes se mangent aussi salées..
    Découvrez et dégustez cette recette gourmande avec du saumon, des brocolis et du Fenouil..
     Une version allégée du saumon à l’Oseille (façon Troisgros) en utilisant de la crème fraîche allégée Bridelight et des carrés frais Gervais à 0% pour lier l’écrasé de fenouil et brocolis.
    Adapter le dosage d’huile d’olive en fonction de vos besoins – même si c’est du bon gras…  c’est du gras quand même 

    RECETTE DE SAUMON À L’OSEILLE ROUGE ET SA CRÊPE AUX LÉGUMES

    saumon-crepe
    • PRODUIT: 4 assiettes (4 Portions)
    • PRÉPARATION:  40 mins
    • CUISSON:  40 mins
    • PRÊT DANS:  1 hr 20 mins

    INGRÉDIENTS

    INSTRUCTIONS

    1. Préparez la pâte à crêpe: voir la recette >>> pâte pour crêpes allégées Utiliser 1/4 de la recette Cuire 4 crêpes à l'avance.
    2. Cuire la moitié du fenouil et la fleur de Brocoli dans un grand volume d'eau pendant 15mn puis écraser avec 3 carrés frais Gervais aux herbes - assaisonner..
    3. Confire l'oignon rouge émincé avec les gousses d'ail et le reste du fenouil émincé dans de l'huile d'olive pendant 30mn à feu doux
    4. Faire revenir l'oignon blanc haché dans une peu d'huile d'olive pendant 5mn , ajouter l'oseille grossièrement hachée - cuire 4mn puis ajouter la crème fraîche. continuer la cuisson 2mn
    5. Griller le Saumon environ 5mn par coté
    6. Répartir la purée dans les crêpes et mettre au four 5mn à 210°
    7. Servir la crêpe sur le confit de fenouil, le saumon grillé avec sa sauce oseille.... et quelques herbes fraîches pour décorer

    http://www.recette-pour-diabetique.com/saumon-a-loseille-rouge-et-sa-crepe-aux-legumes/?

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  • ft-28012016-arpenteuse_pruche_chenille.jpg

    La chenille de l’arpenteuse de la pruche se déplace en formant des fers à cheval caractéristiques. De nature gaspilleuse, elle ne prend qu’une bouchée dans chaque aiguille avant de passer à l’autre. Le dégât est cependant suffisant pour tuer l’aiguille, qui tombe alors au sol.

    ©Photo gracieuseté - Ressources naturelles Canada

    À compter du printemps prochain, si vous voyez une chenille avancer en formant un fer à cheval, empressez-vous de la capturer et de l’apporter au plus vite à un spécialiste des insectes. Vous préviendrez peut-être une invasion forestière dont les ravages pourraient être bien pires que ceux causés par la tordeuse des bourgeons de l’épinette.

     

    Jusqu’à tout récemment, l’arpenteuse de la pruche (Lambdina fiscellaria fiscellaria (Guenee)) s’était surtout attaquée aux forêts des Maritimes et de la péninsule gaspésienne. Hors, on en retrouverait désormais aussi au Saguenay-Lac-Saint-Jean. Si elle n’a pas encore été repérée en Abitibi-Témiscamingue, ce pourrait n’être qu’une question de temps. Et les conséquences pourraient alors se révéler dramatiques.

     

     
    Peu importe l’âge des arbres, la chenille va manger de tous les types de conifères. Et lorsqu’il n’y a plus de conifères, elle passe aux feuillus

    Lucie Royer

     

    Un adversaire vorace

    «Malgré son nom, l’arpenteuse de la pruche préfère le sapin baumier. Cependant, c’est un insecte polyphage redoutable. Peu importe l’âge des arbres, la chenille va manger de tous les types de conifères. Et lorsqu’il n’y a plus de conifères, elle passe aux feuillus», a expliqué Lucie Royer, chercheure scientifique en dynamique des populations au Centre de foresterie des Laurentides de Ressources naturelles Canada.

    Comme si ce n’était pas suffisant, l’insecte se caractérise aussi par son gaspillage. «L’arpenteuse ne prend qu’une seule bouchée de l’aiguille, puis passe à une autre. Cependant, le dégât est suffisant pour tuer l’aiguille. De cette manière, elle est capable de tuer environ 80 % des arbres en seulement deux ans d’infestation grave. Et l’infestation est aussi rapide que spectaculaire», a détaillé Mme Royer.

     

     
    Un fer à cheval pourrait porter malheur aux forêts de la régionLors d’une infestation grave, l’arpenteuse de la pruche n’a besoin que de deux ans pour tuer 80 % des arbres dans le peuplement touché. Les cimes sont alors défoliées de façon aussi rapide que spectaculaire.Photo gracieuseté - Ressources naturelles Canada

     

    Aux armes!

    Selon la chercheure, les changements climatiques, avec le réchauffement accéléré qu’ils vont entraîner dans les régions nordiques, va favoriser la migration de l’arpenteuse de la pruche vers l’intérieur du continent. «C’est très plausible de la voir éventuellement apparaître en Abitibi-Témiscamingue», a-t-elle mis en garde.

    La bonne nouvelle, c’est que plusieurs outils ont été développés pour établir de manière très précise la cartographie des déplacements du ravageur. La surveillance des forêts pourra donc être mieux planifiée.

    Les chercheurs sont aussi en mesure de mieux prévoir la phénologie de l’insecte, donc le stade où il est le plus vulnérable. «Comme l’épandage d’insecticide biologique Bacillus thuringiensis assure un contrôle très efficace des infestations, c’est un autre avantage de notre côté», a signalé Lucie Royer.

     

     
     
     
     
    Un fer à cheval pourrait porter malheur aux forêts de la régionLes papillons, de couleur crème, apparaissent à la fin d’août. On les voit souvent jusqu’à la fin de l’automne, même quand le sol est couvert de neige.Photo gracieuseté - Ressources naturelles Canada

     

    Appel aux détectives de la forêt

    À l’heure actuelle, la prévention demeure la meilleure arme contre le petit envahisseur. La chercheure recommande donc à toute personne qui verrait une chenille verdâtre qui se déplace en formant des fers à cheval caractéristique de la capturer, puis de l’apporter à un bureau local du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs pour analyse.

    «Il existe plusieurs espèces d’arpenteuse, et elles ne sont pas toutes aussi dangereuses que celle de la pruche. C’est pourquoi il est préférable de laisser les spécialistes se prononcer avant de sonner l’alarme», a mentionné Lucie Royer...

    http://www.lafrontiere.ca/actualites/economie/2016/1/28/un-fer-a-cheval-pourrait-porter-malheur-aux-forets-de-la-region.html

     

     

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  • Combattre la cellulite par l’alimentation

    Eviter une alimentaion riche en sel et privillégier la consommation des fruits peut stopper la progression de la cellulite.
    Le plus souvent nichée sur les fesses et les cuisses, et parfois sur les bras ou sur le ventre, la cellulite est la bête noire des femmes. Caractérisée par un aspect "peau d’orange" visible à l’œil nu, la cellulite n’est pas une maladie, mais une disgrâce esthétique. C’est un amas de graisse sous la peau, emprisonnée dans des tissus, gorgée d’eau de sel et d’hormones. Elle est rebelle aux régimes amaigrissants et ne disparaissant jamais spontanément.

    Comment reconnaître la cellulite
    Le premier indice est sa localisation. La cellulite envahit plus souvent la face externe des cuisses et la face interne des genoux. Les deux signes permettant d’affirmer son existence sont :
    - L’aspect de la peau d’orange
    - Le signe des grains de riz : en pressant la cellulite, on observe l’apparition des granulations dont la consistance ressemble à celle des grains de riz.
    La cellulite est douloureuse : la pression de la cellulite entre deux doigts est douloureuse alors que celle de la graisse est indolore.

    Manifestations de la cellulite
    La cellulite envahit certaines parties du corps de la femme en quelques semaines ou quelques mois. Cette invasion se fait en plusieurs étapes.
    Le premier trouble s’observe au niveau de la circulation : les petites veines deviennent perméables et laissent l’eau du sang envahir les tissus qui gonflent et deviennent sensibles. A ce niveau tout peut encore s’arranger, l’œdème formé peut disparaître.
    Chez les femmes très riches en hormones féminines (la folliculine), un réseau de fibres conjonctives va apparaître dans cet œdème (retenue d’eau), emprisonner la graisse, l’eau et le sel contenus dans les tissus et les transformer en cellulite.

    La forme de cellulite la plus connue et la plus répandue est la cellulite haute ou culotte de cheval. Elle représente une bosse sur la face externe de la cuisse, ou englobe toute la cuisse. Elle s’accompagne d’une série de troubles:
    - La sangle abdominale se relâche et repousse le ventre en avant
    - Les muscles fessiers s’affaissent et les tissus se ramollissent et viennent aggraver la culotte de cheval.
    - La période menstruelle s’accompagne de gonflements et d’une légère tendance dépressive. Elles souffrent de la constipation, présentent des troubles circulatoires avec pieds froids.

    Quand peut apparaître la cellulite ?
    La cellulite apparaît chez la femme dans des circonstances bien précises:
    - La puberté, période où la fillette devient femme. Il risque d’apparaître la cellulite avec l’embonpoint naissant qui caractérise parfois cette période. Il faut donc surveiller et la traiter si elle devenait profondément inharmonieuse.
    - La prise de pilule: elle a de nombreux avantages, mais elle joue un rôle dans l’apparition quasi constante de la cellulite féminine. La cellulite se développe en silence et pendant de longs mois ou même de longues années. Elle s’installe et ne régresse plus. Cette cellulite est liée à la nature hormonale de la pilule et à la perturbation de la circulation dans les membres inférieurs.
    - La grossesse, surtout une grossesse soutenue artificiellement par d’énormes quantités d’hormones est responsable d’une importante prise de poids qui se localise presque toujours dans les territoires féminins privilégiés de la cellulite.
    - La pré-ménopause, elle est la dernière grande occasion d’installation ou d’exagération de la cellulite sous l’influence de la folliculine, hormone féminine. La cellulite pré-ménopausique s’installe et envahit le bassin et les cuisses de la femme.

    Les causes de la cellulite
    Il existe deux principales causes:
    1- L’hyperfolliculine qui se caractérise par quatre grands signes.
    - L’exagération des signes qui annoncent les règles (abondance de la congestion du ventre aux seins).
    - Une accentuation des caractères sexuels féminins (le bassin se développe, les seins se renforcent, la voix s’affine et la cellulite arrondit toutes parties inférieure du corps).
    - Les troubles des règles particulièrement fréquents: irrégularité, retards pouvant même simuler un début de grossesse.
    - La tendance aux kystes : la folliculine en excès est souvent la cause d’un bourgeonnement des kystes dans les zones féminines ; kyste du sein, kyste de l’ovaire.

    2- Le dérèglement nerveux. Toutes les perturbations affectives et nerveuses ont un rôle absolu dans la formation de la cellulite. La constipation, le mauvais fonctionnement du foie, les troubles de la digestion, le métabolisme de l’eau et du sel jouent un rôle d’aggravation d’une cellulite préexistante.
    Catherine Djite
    Sources :
    1- Encyclopédie des médecines naturelles et des secrets de santé (Annie Morand)
    2- Guide des aliments et de leur pouvoir curatif (Georges D. PARPLONA ROGER)



    Comment prendre en charge la cellulite ?
    1. Le régime
    Le régime adapté au traitement de la cellulite n’est pas un régime amaigrissant ordinaire. Il doit correspondre à certaines nécessités imposées par la nature même de cette affection. Il doit être:
    - riche en eau car elle purifie l’organisme en forçant le rein à éliminer plus d’eau, plus de déchets toxiques. Elle dessale et épure les territoires cellulitiques. Boire régulièrement de l’eau (2,5l par jour), avec un maximum le matin et le soir. L’eau qui occupe en permanence une partie de l’estomac joue le rôle d’un coupe faim naturel.

    - pauvre en sel : le sel est le meilleur fixateur d’eau dans les tissus. un régime sans sel ne présente aucun inconvénient, l’alimentation en apporte suffisamment pour des besoins essentiels. Le sel excite l’appétit, mais la fadeur des aliments calme rapidement la faim. Il est donc indispensable d’éviter les aliments riches en sel tels que les charcuteries, les fromages, le chocolat, les salaisons

    - riche en protéines animales : c’est le principe de base de la diététique anti cellulitique. La diminution des protéines dans le sang des femmes cellulitiques les expose à l’œdème. On trouve ces protéines dans les viandes maigres (bœufs, chèvre) dans le poisson, les crustacés, la volaille, les œufs, les termites. Un régime riche en protéine permettra donc aux tissus de maigrir sans trop ramollir. Ces protéines ont un rôle anti œdème. Elles augmentent la résistance de l’organisme et coupent la faim.
    - Consommer également banane, céleri, aubergine, chou-fleur, haricot vert, pomme, pastèque, raisin, légumes secs. Réduire, voire supprimer la consommation des graisses saturées (lait entier, charcuteries, abats) ; sel d’assaisonnement, cubes aromes ; boissons alcoolisées ; sucres.
    - Augmenter son activité physique

    2. Le traitement local
    Il consiste à libérer la graisse et la replacer dans le circuit normal afin que le régime puisse la brûler.
    3. Le traitement général
    Il s’attaque à l’excès de folliculine ; aux dérèglements nerveux ; aux causes digestives, aux troubles circulatoires.

    http://www.lavoixdupaysan.org/lejournal/sante.php?subaction=showfull&id=1403597758&archive=&start_from=&ucat=17&

     

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  • La prise de Mediator® est à l’origine de nombreux cas de maladies cardiaques graves. Durant plusieurs années, beaucoup de consommateurs se sont demandés si, eux aussi, seraient les victimes de cette molécule. C’est ce préjudice d’anxiété qui a été reconnu ce 28 janvier par la justice, pour 12 plaignants. Le Tribunal de grande instance de Nanterre a débouté 38 autres personnes, "faute de preuves".

    Par la rédaction d'Allodocteurs.fr, avec AFP

    Rédigé le 29/01/2016

    Mediator® : le préjudice d'anxiété reconnu pour la première fois par la justiceMediator® : le préjudice d'anxiété reconnu pour la première fois par la justice

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  • Pour ne pas être déçu ou frustré par les aides auditives, il est important de connaître à l'avance les problèmes fréquemment rencontrés par ceux qui les ont adoptées. Ainsi informé, il sera plus facile de prendre les mesures adéquates pour contourner ces difficultés.

    « Les sons ne sont pas naturels, ce n'est pas comme avant ! »

    Tout aussi perfectionnées qu’elles soient, les aides auditives ne peuvent pas remplacer les cellules ciliées manquantes. Pour compenser cette perte, les aides auditives ont tendance à amplifier les sons qui étaient auparavant perçus par les cellules disparues. Ainsi amplifiés, ces sons peuvent activer les cellules ciliées voisines des « trous » laissés par le vieillissement de la cochlée. L’effet obtenu n’est pas exactement le même que l’effet original et un apprentissage est nécessaire pour s’y habituer, en particulier dans les environnements bruyants. La période d’adaptation va permettre au cerveau de s’habituer progressivement à cette nouvelle perception des sons.

    « Je ne sais pas m'en servir ! »

    Les aides auditives deviennent de plus en plus sophistiquées. Comme pour tous les produits technologiques (téléphones portables, appareils photo numériques, télécommandes, etc.), certaines personnes peuvent se sentir désemparées face à toutes les options disponibles et finissent par n’utiliser qu’un seul réglage, sans tirer profit des fonctionnalités de leur aide auditive. Si vous faites partie des personnes que la technique rebute, signalez-le à l’audioprothésiste qui choisira pour vous un appareil simple et automatique.

    « Je n'arrive pas à changer les piles ! »

    Ce type de problème est fréquemment rencontré chez les personnes très âgées qui ont perdu beaucoup de leur capacité visuelle et de leur dextérité manuelle. Les aides auditives très miniaturisées peuvent être plus difficiles à manipuler pour ces personnes, notamment pour le changement des piles. Si vous souffrez d’arthrose des doigts ou si votre vue n’est pas bonne, signalez-le à l’audioprothésiste. Il choisira un appareil adapté à vos capacités. Il peut être judicieux de lui rendre visite accompagné d’un proche plus jeune qui pourra vous aider à changer les piles. De plus, il existe désormais des aides auditives intégrant des batteries rechargeables.

    « J'entends ma voix, c'est insupportable ! »

    Les personnes récemment appareillées se plaignent souvent de trop entendre leur voix. Lorsque l’aide auditive obture complètement le conduit auditif, ce phénomène est très fréquent : c’est l’autophonie. Si vous souffrez de ce problème, deux solutions sont possibles :

    • apprendre à tolérer ce phénomène à l’aide d’exercices d’orthophonie ;
    • choisir une aide auditive qui n’obture pas complètement le conduit auditif (une aide auditive dite « ouverte », si votre profil audiométrique le permet).


    En savoir plus sur http://eurekasante.vidal.fr/maladies/nez-gorge-oreilles/presbyacousie-surdite.html?pb=problemes#avoXlVTOSRLQf8Wr.99

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  • Quelques conseils pendant les premières semaines d'appareillage

    Le temps d’adaptation aux aides auditives varie selon les personnes. Certains facteurs (âge, sévérité de la presbyacousie ou motivation) influencent la durée de cette période. Au début, quelques conseils peuvent vous aider à vous habituer aux aides auditives.

    Commencez par porter vos aides auditives chez vous.

    Parce que vous connaissez bien les sons de votre domicile, commencez à porter vos aides auditives chez vous. Ainsi, vous pourrez découvrir comment celles-ci modifient les sons les plus familiers. Éteignez la radio et la télévision, choisissez un moment où vous êtes tranquille.

    Apprenez à éliminer les sons ambiants.

    Après vous être familiarisé avec les sons de votre environnement domestique, commencez à porter vos aides auditives en écoutant la radio ou en ayant une conversation avec un proche (et un seul !). Habitué aux sons ambiants, il vous sera plus facile de les éliminer mentalement pour vous concentrer sur la voix.

    Ayez de fréquentes conversations avec un proche.

    Discuter avec un proche dans un environnement calme est la meilleure façon de s’habituer à la manière dont votre aide auditive transforme les sons. Choisissez un thème de conversation familier et demandez à la personne de bien articuler, de parler lentement et d’employer des expressions courantes. Au début, vous pouvez vous aider en observant attentivement ses lèvres.

    Faites-lui lire à voix haute le journal ou un livre, pendant que vous suivez le texte des yeux. Demandez-lui d’énoncer des mots simples qui ne diffèrent que par un seul son : gare/barre, feu/vœu, seau/chaud (au début, écrivez-les sur une feuille et demandez-lui de vous montrer le mot qu’il prononce).

    Enrichissez progressivement votre environnement sonore.

    Lorsque vous maîtrisez les conversations au calme, apprenez à discuter en ayant la radio ou la télévision en bruit de fond. Augmentez progressivement le volume. Pour tolérer les environnements bruyants, pratiquez un exercice simple. Seul chez vous, augmentez le volume de la radio. Lorsque le son devient inconfortable, diminuez lentement le volume jusqu’à ce qu’il redevienne tolérable. En pratiquant régulièrement cet exercice, vous augmenterez votre tolérance au bruit.

    De la même manière, apprenez progressivement à avoir des conversations avec trois ou quatre personnes. Si vous êtes soudain perdu, concentrez-vous sur la personne la plus bavarde. De plus, certains audioprothésistes proposent des programmes d’entraînement auditifs pour aider les personnes appareillées à s’habituer à leurs aides auditives.

    Apprenez à localiser d'où viennent les sons.

    Localiser un son est plus difficile avec une aide auditive. Avec vos proches, jouez à un petit jeu : asseyez-vous, fermez les yeux et demandez-leur de se déplacer, puis de vous parler. Essayez de deviner d’où vient le son, puis ouvrez les yeux.

    Explorez le monde avec vos aides auditives.

    Une fois habitué à les porter chez vous, commencez à sortir avec vos aides auditives et apprivoisez le monde. Dans la rue, au cinéma, au théâtre, au marché… Petit à petit, avec patience et persévérance, vous parviendrez à maîtriser tous ces environnements sonores.


    En savoir plus sur http://eurekasante.vidal.fr/maladies/nez-gorge-oreilles/presbyacousie-surdite.html?pb=utilisation#eLvAf6QgFejyJTex.99

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  • Comment soulage-t-on la presbyacousie ?

     

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  • La presbyacousie est la perte progressive de l'audition liée à l'âge. Cette conséquence du vieillissement est la cause la plus fréquente de surdité chez les plus de 50 ans. Aujourd'hui, en France, la presbyacousie est insuffisamment prise en charge sur le plan médical. On estime que, parmi les Français qui souffrent de presbyacousie gênante, seulement une personne sur cinq est équipée d'aides auditives. Trop souvent, les personnes qui souffrent de surdité liée à l'âge vivent dans un isolement progressivement croissant, par manque d'information ou par déni de leurs troubles auditifs.

    Qu'est-ce que la presbyacousie ?

     

    senior sourd

    La presbyacousie est un phénomène d’apparition progressive, lié à l’âge, au cours duquel la personne perd la capacité d’entendre et de distinguer les sons les plus aigus, ce qui provoque des difficultés de compréhension de la parole, en particulier en milieu bruyant. Cette surdité progressive touche de façon relativement symétrique les deux oreilles.

    En France, on estime que cinq à six millions de personnes souffrent de presbyacousie. Les hommes qui semblent plus touchés que les femmes. Après 60 ans, une personne sur quatre souffre de presbyacousie, gênante dans deux tiers des cas. Après 65 ans, la presbyacousie touche une personne sur trois et une personne sur deux après 70 ans.

    À partir de 60 ans, il est nécessaire de faire régulièrement contrôler son audition tous les ans pour dépister au plus tôt une presbyacousie débutante et prendre les mesures nécessaires pour la compenser. Les audioprothésistes proposent souvent des tests auditifs gratuits : en cas d'anomalie, un rendez-vous chez le médecin ORL est nécessaire pour des tests plus poussés.

    Quels sont les signes de la presbyacousie ?

    Lorsque la presbyacousie commence à provoquer des symptômes notables, les personnes atteintes se plaignent d’avoir du mal à comprendre les conversations lorsque celles-ci ont lieu dans un lieu bruyant. Les personnes qui souffrent de presbyacousie ne sont pas sourdes à proprement parler : elles continuent à entendre et à distinguer les sons graves. Seuls les sons aigus sont difficiles à percevoir, en particulier lorsque l’intensité de ces sons est trop faible ou trop élevée (par exemple, lorsque le volume de la radio ou la télévision est trop fort). En général, la tolérance aux volumes élevés est moindre, quelle que soit la nature du son.

    Parce que la presbyacousie atteint d’abord la perception des sons les plus aigus, les personnes qui en souffrent ont particulièrement du mal à distinguer les chuchotements, les consonnes sifflantes (S, Z, CH) ou fricatives (F ou V), ainsi que les voix féminines ou enfantines. Elles se plaignent également d’avoir plus de mal à comprendre les paroles lorsque le son est réverbéré (par exemple, dans une église ou un théâtre). Fréquemment, elles se surprennent à devoir suivre attentivement le mouvement des lèvres de leur interlocuteur pour pouvoir continuer à suivre la conversation.

    De plus, les personnes qui souffrent de presbyacousie se plaignent fréquemment d’acouphènes (des bruits parasites de type sifflement ou bourdonnement entendus seulement par le sujet).

    Quelles sont les complications de la presbyacousie ?

    Avec le temps, la presbyacousie s’intensifie et touche des sons de plus en plus graves. La capacité à suivre une conversation devient très limitée. Si des mesures de traitement ne sont pas mises en place rapidement, la personne qui souffre de presbyacousie va progressivement s’isoler pour ne pas être confrontée à ses troubles auditifs. Elle se replie sur elle-même, y compris au sein de sa famille. Petit à petit, des symptômes dépressifs et une désocialisation peuvent s’installer qui vont nuire gravement à la qualité de vie de la personne âgée. Une étude récente semble indiquer que 20 % des personnes âgées atteintes de troubles de l’audition souffrent de symptômes dépressifs.



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  • l'important est de connaître la dose que l'on tolère pour ne pas la dépasser etL'important est de connaître la dose que l'on tolère pour ne pas la dépasser et ne pas être malade. © BananaStock - Thinkstock

    Le lait de vache fait partie des 14 allergènes à déclaration obligatoire (les industriels sont obligés d'indiquer sa présence). Pour connaître la présence ou non de lactose dans un aliment il suffit donc de lire les emballages. Cependant, la présence de lait n'indique pas la quantité de lactose. Par contre, la référence au lait n'est pas toujours nécessaire si l'ingrédient principal est le lait, par exemple : fromage, crème fraîche, yaourt, beurre, etc. 

     

    Des laitages, à petite dose

    En cas d'intolérance, le mieux est non pas d'éviter le lait à tout prix, mais de privilégier le recours au lait fermenté qui, lui, contient des lactases. Par exemple avec les yaourts (avec comme souches spécifiquesLactobacillus bulgaricus et Streptococcus thermophilus). Les lactases présentes dans ces ferments permettent aux personnes intolérantes au lactose de consommer des produits laitiers sans désagréments.

    "Dans les yaourts, en théorie, il y a une activité lactasique donc pas de problème pour le digérer, même en cas d'intolérance. Mais les fromages et autres laitages non. Tout dépend de la quantité de produit : à petite dose le lait est généralement bien toléré", indique le Pr Benamouzig.

    Par contre, tout ce qui est lait, crème fraîche, chantilly, glaces, fromages sont à éviter en cas d'intolérance au lactose démontrée (déterminée par les tests). Le Pr Benamouzig ajoute : "Si simplement on pense l'être, il ne faut pas se priver de tout laitage et tenter à petite dose."

    http://sante.journaldesfemmes.com/nutrition-digestion/intolerance-au-lactose/choisir-ses-laitages.shtml

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  • Parfois confondue avec l'allergie aux protéines de lait de vache, l'intolérance au lactose concerne principalement les adultes. Comment la distingue-t-on et quelles solutions existent ?

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  • La sécheresse buccale est caractérisée par une diminution anormale de la quantité de salive (hyposialie), voire même une absence complète de salive (asialie). Comme cette situation peut affecter la santé bucco-dentaire, PasseportSanté.net vous présente 5 conseils pour y remédier.

    Humidifier votre bouche

    Humidifier votre bouche

    L’hydratation est la première habitude à adopter afin d'éviter d'avoir la bouche sèche. Bien que l’eau ne procure pas tous les bienfaits de la salive, elle peut aider à préserver l’humidité des muqueuses de la cavité buccale. C’est pourquoi, il est important de boire beaucoup d’eau, surtout lors de discussions.

    Des vaporisateurs d’eau ou de salive artificielle sont également disponibles sur le marché. En agissant sur les récepteurs oraux et le nerf parasympathique, les stimulants salivaires activent la sécrétion de la salive naturelle. Cependant, ils sont à utiliser avec prudence car « plus de 10 % des personnes en traitement avec des stimulants salivaires développent des céphalées, de la nausée, des diarrhées, des rhinites, des sinusites, des infections des voies respiratoires supérieures et une transpiration excessive. »1 C’est pourquoi il est important de consulter un spécialiste avant d’y avoir recours. Un humidificateur installé dans la chambre à coucher durant la nuit peut également aider à diminuer le symptôme de la bouche sèche.

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  • Cheesecake-chocolat-erable
    Sans sucre en poudre ajouté, juste du sirop d’érable… sans gluten mais avec plaisir.
    Voilà un Cheesecake fondant au chocolat.
    Avec quelques noisettes et une cuisson adaptée, ce cheesecake plaira aux petits et aux plus grands ! Un dessert sans féculents qui occasionnellement pourra remplacer Fruits et compotes avec ce qu’il faut de sucres rapides.

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  • L'association Sourire à la vie s'est donné un but : redonner le sourire aux enfants qui vivent les affres d'un traitement contre le cancer. Un pari qu'elle relève avec succès, grâce à la joie de vivre et au talent exceptionnel des enfants. La troupe, aidée de Grand Corps Malade et Richard Bohringer, débarque au théâtre du Rond-Point à Paris, le 1er février 2016, pour un spectacle plein de poésie, associant danse, chant et courts-métrages.

    Par Charlotte Tourmente

    Rédigé le 22/01/2016

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  • Seuls les médecins et certains professionnels de santé (infirmiers, sages-femmes, chirurgiens-dentistes, masseurs-kinésithérapeutes, pédicures-podologues) sont habilités à rédiger une ordonnance de médicaments.

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  • La préférence pour la saveur sucrée se manifeste dès la naissance. Le goût sucré est associé à la ‘jouissance’ et à la ‘sécurité’. Cette perception trouve son origine dans la prime enfance et plus précisément dans l’allaitement, le lait maternel ayant en effet un goût sucré. Deux grands groupes de ‘substances au pouvoir sucrant’ sont utilisés dans les denrées alimentaires : d’une part, les sucres et, d’autre part, les édulcorants.

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    Sucres

    On distingue plusieurs variétés de sucres, notamment le saccharose (= sucrose ou sucre cristallisé, composé de glucose et de fructose), le glucose (= sucre de raisin), le fructose (= sucre de fruits), le lactose (= sucre de lait), etc.

    Le sucre cristallisé ‘classique’ est fabriqué à partir du jus de la betterave sucrière. Il peut aussi être tiré de la canne à sucre. Les sucres se trouvent aussi à l’état naturel dans certains produits. C’est le cas du lactose présent dans le lait et du fructose issu du miel. L’industrie alimentaire fait un usage intensif de ces différentes variétés de sucres. Bien que leur pouvoir sucrant puisse différer, toutes ces variétés de sucres fournissent la même quantité d’énergie: 4 kcal par gramme. L’organisme peut utiliser cette énergie pour couvrir les besoins énergétiques requis par l’activité physique ou la croissance ou il peut constituer une réserve énergétique en la stockant sous forme de graisse.

    Les édulcorants se déclinent en deux catégories: d’une part, les édulcorants massiques (ou polyols) et, d’autre part, les édulcorants intenses (ou basses calories).

    Édulcorants massiques ou avec calories

    Les polyols sont des édulcorants dits « de charge » ou « massiques ». Les polyols sont obtenus industriellement, mais ils sont aussi naturellement présents en petites quantités dans de nombreux fruits et légumes. Leur pouvoir sucrant diffère entre 0,4 et 1 fois celui du sucre ou saccharose. Ils sont moins caloriques que les sucres (2,4 kcal/g contre 4 kcal/g), avec une particularité pour l’érythritol, l’unique polyol ayant une valeur calorique nulle.

    Les polyols n’induisent pas d’augmentation de la glycémie et ne provoquent pas de caries. L’EFSA a ainsi accordé aux polyols des allégations nutritionnelles relatives au maintien de la minéralisation dentaire (en diminuant la déminéralisation dentaire), et à la réduction des réponses glycémiques après un repas.

    Les polyols sont des glucides faiblement digestibles, non métabolisés et partiellement absorbés par l’intestin grêle. Les bactéries du côlon fermentent la portion de polyols non absorbée.

    Ils sont utilisés comme édulcorants, mais aussi pour de nombreuses autres fonctions technologiques comme émulsifiants, stabilisants, humectants, épaississants ou encore texturants. Les denrées alimentaires contenant des polyols doivent obligatoirement porter la mention « une consommation excessive peut avoir des effets laxatifs ».

    La plupart des polyols ont une Dose Journalière Admissible (DJA) déclarée « non spécifiée ». Suite à de nombreuses évaluations de sécurité, les experts du Comité mixte FAO/OMS sur les additifs alimentaires (JECFA) ont conclu que les polyols étaient sûrs pour la santé humaine, et qu’il n’y avait pas besoin d’une DJA limitée.

    Édulcorants intenses ou basses calories

    Afin de donner la saveur sucrée aux variantes ‘sans sucres’ et ‘sans sucres ajoutés’ des boissons et des desserts, le sucre est souvent remplacé par des édulcorants basses calories. Certains édulcorants sont également disponibles isolément sous la forme de ‘sucrettes’ ou d’édulcorant de table. Les édulcorants intenses ont un très grand pouvoir sucrant puisqu’ils ont une saveur sucrée environ 200 fois supérieure à celle du sucre. Ils ne doivent donc être utilisés qu’en très petite quantité, de sorte que la quantité de calories (= énergie) apportée est négligeable. Plusieurs de ces édulcorants ne sont pas métabolisés et quittent l’organisme par les selles et l’urine sans avoir subi la moindre transformation, ne libérant de ce fait aucune calorie.

    Afin de garantir le goût le plus agréable possible, les édulcorants sont souvent utilisés en combinaison dans les aliments et boissons. Ces combinaisons renforcent leur douceur mutuelle, ce qui réduit encore la quantité requise. Des exemples d’édulcorants basses calories souvent utilisés sont l’aspartame, le cyclamate, la saccharine et le sucralose. Il en existe toutefois encore bien d’autres qui ont chacun leurs propriétés spécifiques. L’étiquette d’un produit sucré au moyen d’édulcorants précise toujours la substance utilisée. Certains édulcorants sont directement extraits de plantes ou de fruits (par exemple, les glycosides de stéviol). D’autres sont synthétisés par l’homme.

    Vous trouverez sur ce site un aperçu des édulcorants basses calories dont l’utilisation est autorisée en Europe. Vous y trouverez également des informations détaillées sur les propriétés et les possibilités d’utilisation de ces substances.

     

    http://www.edulcorants.eu/news/plaisir-sucre-plaisir-sale-des-mecanismes-differents-identifies/?

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  • Le choix d’un traitement destiné à soulager une hernie discale dépend de sa localisation, de la gravité des symptômes, du degré d’activité de la personne et de la gêne dans les activités quotidienne.

    Dans 90 % des cas, une hernie discale guérit spontanément en six semaines environ (rarement plus rapidement) . Le traitement consiste alors à soulager la douleur en attendant que le disque reprenne sa position naturelle : la plupart des hernies discales sont intermittentes. Néanmoins, le disque reste fragilisé et des récidives sont observées dans la moitié des cas au cours de l’année qui suit le premier épisode. Pour cette raison, des mesures destinées à prévenir les récidives doivent être mises en place et scrupuleusement suivies.

    Les traitements médicamenteux de la hernie discale

    Le principal traitement de la hernie discale consiste à soulager la douleur et l’inflammation à l’aide de médicaments antalgiques (paracétamol, codéine, tramadol, par exemple) ou d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (par exemple, l’ibuprofène). En cas de contractures des muscles du dos, un relaxant musculaire peut également être proposé.

    Des infiltrations (injections locales près du nerf compressé) de dérivés de la cortisone (corticoïdes) sont parfois prescrites lorsque la douleur est intense et persistante.

    Selon les cas, le médecin traitant peut donner des conseils pour contribuer à soulager la douleur et éviter les récidives, par exemple perdre du poids, arrêter de fumer ou éviter les longs trajets en voiture.

    Doit-on rester couché en cas de hernie discale ?
    L'alitement n'est pas un traitement de la hernie discale. Dans les cas très aigus, et en attendant que les anti-inflammatoires fassent effet, il est possible de rester allongé pendant deux ou trois jours, mais jamais davantage. En effet, les mouvements du corps, même limités, sont importants pour préserver la musculature du dos.

    La physiothérapie et les manipulations contre les hernies discales

     

    kiné

    Face à une hernie discale, le médecin traitant peut prescrire des massages ou des séances de kinésithérapie destinées à éviter que les muscles qui entourent le disque abimé ne restent contractés en permanence (sous l’effet de la douleur), ce qui accroît la pression sur le disque et contribue aux symptômes douloureux. À cet effet, le kinésithérapeute peut également faire appel à des techniques utilisant les ultrasons.

    De plus, il conseille à son patient des exercices destinés à détendre ses muscles et à remuscler son dos et ses abdominaux. Il lui indique les bonnes positions pour soulever une charge, se pencher, monter et descendre d’une voiture, faire le ménage, jardiner, etc.

    Le recours à l’acupuncture ou à l’ostéopathie contre les hernies discales est controversé.

    Doit-on porter un corset ou une ceinture en cas de hernie discale ?
    Pour préserver la musculature du dos, il est préférable de ne pas porter de ceinture ou de corset de manière permanente. Leur usage est réservé aux formes aiguës intenses (pour limiter la douleur) et aux moments où l'on doit faire des efforts, chez les personnes prédisposées aux hernies discales (déménagement, jardinage, conduite automobile prolongée, etc.).

    La chirurgie de la hernie discale

    Dans des cas très précis, par exemple lorsque les fibres nerveuses responsables des mouvements sont compressées et provoquent de la paralysie, ou lorsque la hernie discale devient chronique et entrave la vie quotidienne, il est possible d’intervenir chirurgicalement pour lever la compression et éviter les récidives. Cette forme de traitement n’est indispensable que pour 5 à 10 % des cas, elle reste donc relativement rare.

    Les techniques chirurgicales sont nombreuses et en constante évolution. Elles visent essentiellement à enlever le disque hernié et à le remplacer.

     

    Les mesures destinées à éviter les récidives de hernie discale

    Quelques mesures simples peuvent contribuer à éviter les récidives après une hernie discale. Elles sont également utiles aux personnes qui ont fréquemment mal au dos (lombalgie) pour éviter la rupture d’un disque intervertébral.

    • Pratiquez une activité physique pour muscler votre dos et vos muscles abdominaux (gymnastique douce, vélo, natation, par exemple). Cette mesure semble être la plus efficace pour éviter les récidives.
    • Essayez de maintenir votre dos droit, que ce soit en position debout ou assise, ou en soulevant des objets (accroupissez-vous et relevez-vous le dos droit).
    • Lorsque vous transportez une charge, maintenez-la contre votre corps.
    • Demandez à votre kinésithérapeute de vous montrer la position de la « fente en avant » qui permet de se baisser sans plier son dos.
    • Le cas échéant, perdez du poids et arrêtez de fumer.
    • Évitez de porter des talons hauts qui accentuent la cambrure.
    • En cas de fortes chaleurs, hydratez-vous suffisamment.
    • Si vous souffrez de stress chronique, pratiquez régulièrement une activité de relaxation : yoga, méditation, tai chi, qi gong, stretching, etc.




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  • Quels sont les symptômes des hernies discales ?

    Le principal symptôme de la hernie discale est la douleur, au niveau du cou, d’un bras, du bas du dos ou d’une jambe.

    Lorsque le disque vertébral est endommagé, une inflammation s’installe dans la zone qui l’entoure. Cette inflammation se traduit par des douleurs, souvent peu intenses. Si ces douleurs sont ignorées, linflammation s’aggrave, le disque devient de plus en plus fragile et le risque de hernie discale augmente.

    La fissure ou la rupture du disque expulse son cœur pulpeux et celui-ci fait hernie et compresse le nerf voisin qui nait de la moelle épinière. En effet, dans la majorité des cas, l’expulsion du cœur pulpeux se fait vers l’arrière et le côté de la colonne vertébrale, là où les nerfs sortent de la colonne vertébrale. Et le plus souvent, c’est un mouvement de flexion du buste vers l’avant qui est responsable de cette expulsion en augmentant la pression sur l’avant des disques intervertébraux du bas du dos.

    La compression de la racine d’un nerf provoque une douleur localisée (cou, épaule, bras, bas du dos, jambe, selon le nerf touché) qui est aggravée lorsque les muscles de cette zone sont sollicités : mouvements, toux, éternuements, efforts, etc. Cette douleur peut également être aggravée par la position assise prolongée, la position debout, ou la position couchée sur le ventre.

    Lorsque la hernie discale se situe au niveau des cervicales, la douleur dans l’épaule ou le bras peut s’accompagner de fourmillements ou d’engourdissement dans le bras, l’avant-bras ou la main (la hernie compresse les fibres sensitives du nerf et perturbe la conduction nerveuse).

    Lorsque la hernie discale se situe au niveau du bas du dos, la douleur dans une jambe (la « sciatique ») peut s’accompagner de raideur, de sensations de brûlure, de fourmillements ou d’engourdissement dans la jambe ou le pied.

    Quelles sont les complications des hernies discales ?

    Même si elles sont douloureuses, les hernies discales provoquent rarement de complications. Les fibres nerveuses compressées, lorsqu’elles sont sensitives (celles qui transmettent le toucher et la douleur), récupèrent bien de la compression une fois le disque revenu en place.

    Cependant, dans certains cas (voir encadré ci-dessous), la hernie compresse les fibres nerveuses qui commandent les muscles (les fibres « motrices »). Celles-ci récupèrent mal de la compression, ce qui peut entraîner des paralysies durables. Dans ce cas, la compression doit être levée le plus rapidement possible, par une intervention chirurgicale urgente.

    Une diminution ou une disparition soudaine de la douleur due à une hernie discale peut être le signe d’une aggravation de la compression du nerf et d’une atteinte des fibres motrices. De plus, une faiblesse dans un bras ou une jambe, ou l’incapacité à marcher sur la pointe des pieds ou sur les talons peut être le signe d’une souffrance des fibres motrices qui innervent la jambe. Au niveau du bras, la compression des fibres motrices peut se traduire par une perte de la dextérité des doigts.

    Qu’appelle-t-on syndrome de la queue de cheval ??
    La « queue de cheval » est l’ensemble des nerfs qui naissent de la partie la plus basse de la moelle épinière. Ainsi, la partie du canal rachidien située au niveau des dernières vertèbres lombaires et du sacrum ne contient plus de moelle épinière mais seulement un écheveau de nerfs qui vont innerver les organes du bassin et les jambes.
    Lorsqu’une hernie discale comprime fortement la queue de cheval, des symptômes particuliers peuvent apparaître :
    • des douleurs avec fourmillements dans le bassin et les jambes ;
    • une sensation d’anesthésie au niveau du périnée et de l’anus ;
    • parfois, des difficultés à uriner, voire une rétention des urines, ou une paralysie du sphincter de l’anus et de l’incontinence ;
    • chez les hommes, des troubles de l’érection ;
    • parfois, des perturbations au niveau des réflexes de la jambe.

    Lorsque ce type de symptômes apparaît, il est essentiel de consulter un médecin rapidement. Les troubles de type moteur (difficultés à uriner ou à déféquer, troubles de l’érection, perte de réflexes) imposent de se rendre aux urgences sans délai.

    Une autre complication des hernies discales est le passage à la chronicité, c’est-à-dire le fait de souffrir régulièrement de cette même hernie discale. Ce passage à la chronicité est particulièrement fréquent chez les personnes qui ne pratiquent aucune activité physique régulière, celles en surpoids, et celles qui souffrent de dépression ou de stress chronique, par exemple en lien avec le travail. Les conflits, par exemple hiérarchiques ou au sein du couple, sont également suspectés de contribuer à la récidive des hernies discales et à leur passage à l’état chronique.

    Comment le médecin diagnostique-t-il une hernie discale ?

    Le diagnostic des hernies discales se fait essentiellement à partir de l’examen clinique du patient : nature et localisation des symptômes, en particulier des pertes de sensibilité ou des douleurs.

    La prescription d’examens d’imagerie complémentaires (radiographie, scanner ou IRM) est rarement nécessaire. Elle est plutôt réservée aux cas où le traitement n’a pas suffi à faire disparaître les douleurs en quelques semaines.

    Ces examens ne sont pas systématiquement demandés parce que, outre leur coût, les résultats qu’ils donnent ne sont pas forcément corrélés aux symptômes observés. En effet, passé 40 ans, de nombreuses personnes qui ne souffrent pas du dos présentent des images de hernie discale et, inversement, une personne peut souffrir du dos sans image de hernie discale (par exemple lors dinflammation du disque sans rupture de sa coque).

    De plus, une « petite » hernie peut faire davantage souffrir qu’une hernie plus impressionnante sur un résultat d’examen d’imagerie.

    Dans certains cas, le médecin traitant peut demander un examen complémentaire particulier, appelé « électromyogramme », qui mesure la vitesse de conduction nerveuse le long des nerfs (une compression par une hernie réduit cette vitesse).


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  • Les hernies discales provoquent des douleurs au niveau du bas du dos, des jambes, des épaules ou des bras. Dues à la compression d'un nerf par un disque intervertébral, elles guérissent le plus souvent spontanément en quelques semaines. Leur traitement repose sur le soulagement de la douleur et de l'inflammation. La chirurgie n'est que rarement nécessaire. Des mesures d'hygiène de vie doivent être mises en place et suivies scrupuleusement pour éviter les récidives et l'apparition de douleurs chroniques.

    Quand parle-t-on de hernie discale ?

     

    douleur au dos

    On parle de hernie discale lorsqu’une partie d’un disque intervertébral (voir encadré ci-dessous) fait saillie dans le canal où passe la racine d’un nerf issu de la moelle épinière. Cette saillie est due à une fissure ou une rupture de l’enveloppe fibreuse du disque. Elle comprime la racine nerveuse qui passe à proximité et entraîne des douleurs.

    Le plus souvent, le disque intervertébral fait saillie de manière intermittente et les symptômes sont passagers (c’est un « épisode aigu »). Dans certains cas, la saillie devient permanente et on parle alors de hernie discale chronique.

    Dans 90 % de cas, les hernies discales surviennent au niveau des vertèbres lombaires (en particulier entre la 4e et la 5e vertèbres lombaires, ou entre la 5e lombaire et la 1e vertèbre du sacrum) et les symptômes concernent le bas du dos et/ou une jambe (lumbago et douleur sciatique). En effet, ce sont les disques situés entre les vertèbres du bas du dos qui sont soumis aux plus fortes pressions.

    Dans 8 % des cas, la hernie discale survient au niveau des vertèbres cervicales (entre la 5e et la 6e, ou entre la 6e et la 7e) et provoque des douleurs dans une épaule et un bras ("névralgie cervico-brachiale"). Les hernies discales au niveau du thorax sont rares.

    Les disques intervertébraux et les racines des nerfs
    La colonne vertébrale est constituée de vertèbres séparées par des disques souples, les disques intervertébraux. Chaque disque se compose d’une enveloppe fibreuse contenant un cœur pulpeux (le « nucleus pulposus »). Ces disques souples mais résistants, riches en eau, assurent l’amortissement des chocs et la souplesse de la colonne vertébrale.
    La partie frontale des disques (celle qui est disposée vers l’avant du corps) est en contact avec le canal où passe la moelle épinière et les racines des nerfs qui en sortent. Selon leur position sur la moelle épinière, ces nerfs innervent la tête, le cou, les bras, le torse, le ventre, le bassin et les jambes.

    coupe vertèbre hernie discale

    La hernie discale est-elle une maladie fréquente ?

    La hernie discale est une maladie assez fréquente. On estime que, chez les personnes âgées de 30 à 55 ans, 5 % des hommes et 3 % des femmes en souffrent au moins une fois.

    Quelles sont les personnes à risque d'hernie discale ?

    Certaines personnes sont davantage exposées au risque de souffrir de hernie discale :

    • les personnes de 30 à 55 ans. Après 55 ans, les disques durcissent et sont moins sujets aux ruptures (mais ils sont moins souples et la colonne vertébrale se raidit).
    • les hommes, qui ont un risque de hernie discale supérieur à celui des femmes.
    • les personnes dont l’activité professionnelle les expose à des efforts répétés au niveau de la colonne vertébrale (port de charges, travail nécessitant de se baisser fréquemment, etc.) ou celles qui passent des heures à conduire (commerciaux, routiers, etc.).
    • les athlètes dont les disques sont soumis à des pressions intenses et répétées, parfois de manière asymétrique.
    • les personnes sédentaires dont le dos et les abdominaux ne sont pas assez musclés.
    • les personnes de grande taille ou celles qui ont une mauvaise posture (dos courbé).
    • les femmes enceintes.
    • les personnes qui ont une prédisposition familiale.
    • les personnes obèses.
    • les fumeurs.

    Quelles sont les causes des hernies discales ?

    Les causes d’une hernie discale sont multiples et, le plus souvent, plusieurs de ces causes doivent être réunies pour qu’elle apparaisse :

    • un dessèchement du disque intervertébral, le plus souvent dû à l’âge, et parfois aggravé par une mauvaise hydratation du corps (par exemple lors de fortes chaleurs) ;
    • l’usure du disque intervertébral due à des efforts répétés, une mauvaise posture, une situation assise prolongée jour après jour, etc. Une zone du disque est alors soumise à des pressions intenses et répétées, ce qui la fragilise.
    • un terrain familial qui rend plus vulnérables les disques intervertébraux, du fait de leur morphologie ou d’une mauvaise posture de la colonne vertébrale.
    • un traumatisme qui endommage le disque ou le soumet soudainement à une pression très intense.

    Contrairement à une idée fausse largement répandue, le stress et l’anxiété ne peuvent pas être à l’origine d’une hernie discale. Cependant, ils peuvent contribuer à entretenir le problème et à en faire une maladie chronique.

    Peut-on prévenir les hernies discales ?

    La prévention de la hernie discale repose sur des mesures destinées à protéger les disques intervertébraux :

    • adopter des positions et des gestes qui évitent les fortes pressions sur une partie des disques. Par exemple, s’agenouiller pour prendre un objet au lieu de plier sa colonne, porter un objet en le tenant contre son corps plutôt qu’à bout de bras, pousser les objets lourds plutôt que les tirer.
    • muscler son dos et ses abdominaux, par exemple en faisant régulièrement de la natation, de la marche rapide, du vélo ou des exercices abdominaux.
    • boire suffisamment en période de fortes chaleurs.
    • rester vigilant sur les premiers signes douloureux au niveau du dos. Les hernies discales sont souvent précédées de maux de dos de faible intensité qui doivent être considérés comme des signes d’alerte.

     

    En savoir plus sur http://eurekasante.vidal.fr/maladies/appareil-locomoteur/hernie-discale.html#dFesK1z4pVq8FYHj.99

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