• En plus de ravager la qualité de la journée, le stress déborde parfois sur la nuit. Préoccupations de tout ordre, pensées qui tournent en rond, agitation, difficultés à s’endormir… c’est la porte ouverte aux insomnies. Comment réagir le plus naturellement possible ?

     

    Combattre le stress et les insomnies grâce à la phytothérapie

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  • L’hiver s’installe autour de nous. Seul, dans le froid humide des potager déserts, continue à résister, robuste et fier le Chou Kale. C’est de ce brave légume vert que nous allons parler aujourd’hui. Alors Docteur, qu’est-ce que le Chou Kale ? et quels sont ses bienfaits ? Réponses dans l’article !

    A LA DÉCOUVERTE DU CHOU KALE

    LE CHOU KALE, QU’EST-CE QUE C’EST?

    Le chou Kale, ou chou frisé, est un chou sans tête, c’est à dire qu‘il ne pousse pas en pomme comme la plupart des autres choux. Ses grandes feuilles fibreuses sont consommées cuites dans des soupes ou braisées avec des pommes de terre.

    Il est très utilisé en Allemagne dans des potées au lard et aussi en Moselle germanophone où il est appelé kéhl. C’est d’ailleurs le chou emblématique de la Lorraine. C’est un légume très peu frileux qui peut résister à des températures allant jusqu’à -15°C. Pas étonnant donc de le retrouver autant dans les pays ayant des hivers bien rudes.

     

    chou kale bienfaits sante

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  • Le 14 janvier, à l’Assemblée Nationale, a été votée à l’unanimité une proposition de loi de Brigitte Allain, députée de la Dordogne, visant à favoriser l’ancrage territorial de l’alimentation.

     

    Manger local : cette loi pourrait changer la donne

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  • Cancers du poumon

    Les cancers des poumons sont en réalité appelés cancers des bronches car ils prennent origine dans les bronches pulmonaires. Ces cancers sont induits par l'inhalation de substances toxiques. Le tabagisme est la cause principale des cancers des bronches ou cancers des poumons (voir les chiffres du tabac). Contrairement à une idée reçue, ce n'est pas la nicotine qui est cancérigène, mais essentiellement les hydrocarbures polycycliques, contenus dans la fumée de tabac.

    A ces hydrocarbures, peuvent s'associer d'autres substances cancérigènes contenues dans la fumée de tabac, tels que le chrome, le nickel et le plomb, mais également les hydrocarbures présents dans l'air que nous respirons, en provenances des gaz d'échappement des voitures ou de l'industrie, les poussières de certains minerais, l'amiante, etc…

    La véritable prévention primaire de ces cancers repose sur une lutte implacable contre le tabagisme.

    Chez l'homme, les cancers des bronches sont les plus fréquents. Cependant, compte tenu de la croissance du tabagisme chez les femmes et chez les sujets jeunes, ces cancers sont de plus en plus fréquents chez ces deux catégories de population.

    Grâce aux progrès thérapeutiques actuels, la guérison définitive est possible pour un tiers des cancers bronchiques localisés et donc opérables. Par contre dans les deux-tiers des cas, lorsqu' il y a en particulier une atteinte ganglionnaire, ou lorsque les cancers ne sont pas opérables, la guérison reste problématique. C'est dire la nécessité d'un diagnostic précoce.

    L'existence d'un tabagisme chronique, parfois depuis la petite enfance, est un fil conducteur essentiel. Les signes d'alarme sont :

    • l'existence d'une toux persistante,
    • d'une modification de la voix (dysphonie),
    • a fortiori l'apparition de crachats sanglants (hémoptysies)


    La présomption de cancer est d'autant plus grande si ces symptômes surviennent chez un fumeur.

    La survenue de fatigue, fièvre, amaigrissement, douleurs sont des signes tardifs, le plus souvent révélateurs d'un cancer évolué.

    Si vous êtes fumeur, il est donc impératif que vous consultiez le plus tôt possible votre médecin traitant, car c'est de la précocité du diagnostic que dépendent vos chances de guérison.

    Le premier examen à faire est une radio pulmonaire, suivie au moindre doute et pour plus de sécurité, d'un scanner thoracique. Le scanner a l'avantage sur la radio, de déceler les tout petits cancers. En réalité, seule une fibroscopie bronchique réalisée par un pneumologue permet de déceler la tumeur en visualisant l'intérieur des bronches, et de porter le diagnostic en réalisant une biopsie, c'est à dire le prélèvement d'un fragment tumoral qui sera analysé au microscope. En effet, comme pour tous les autres cancers, le diagnostic ne peut être qu'anatomopathologique.

    Des examens complémentaires sont nécessaires, à la recherche d'une extension de la maladie : un scanner cérébral, une scintigraphie osseuse, une échographie hépatique, une prise de sang, incluant en particulier une numération-formule sanguine et une vitesse de sédimentation (pour apprécier l'évolutivité de la maladie) et en cas de Cancers Bronchiques à Petites Cellules, une biopsie médullaire, qui ne pourra être réalisée qu'en secteur spécialisé.

    Les cancers bronchiques demeurant aujourd'hui de pronostic sévère, il est essentiel de se faire traiter en centre spécialisé. Vous devez donc en parler à votre médecin traitant. Le premier conseil est de prendre contact le plus tôt possible avec un médecin cancérologue (oncologue médical), qui seul, pourra déterminer dans les meilleures conditions, le programme thérapeutique qui vous convient le mieux. Mais le deuxième conseil est aussi impérativement d'arrêter de fumer, car si vous continuez de fumer, malgré les traitements, le pronostic sera toujours plus sévère.

    La première question qui se pose, est de savoir quel est le type de cancer qui vous concerne.

    Il y a en effet deux grandes catégories de cancers bronchiques qui diffèrent par le programme thérapeutique à mettre en œuvre : la catégorie plus fréquente est celle correspondant à ce qu'on appelle un cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC) ; la seconde catégorie est celle correspondant à ce qu'on appelle un cancer bronchique à petites cellules (CBPC).

    Si vous êtes opérable, la chirurgie thoracique est l'arme clé. L'intervention consiste à extirper la tumeur. Pour cela, on réalise soit l'ablation du lobe pulmonaire dans lequel est situé la tumeur (lobectomie), soit l'ablation de la totalité du poumon (pneumonectomie), si la tumeur est plus volumineuse. Dans tous les cas, le chirurgien fera au cours de l'intervention un inventaire complet de la maladie. Il vérifiera en particulier si la plèvre est envahie (la plèvre est une enveloppe séreuse, qui recouvre les poumons et l'intérieur de la cage thoracique), s'il y a ou non une atteinte des ganglions situés entre les deux poumons (il s'agit des ganglions " médiastinaux "). Pour cela, il prélèvera les ganglions qui lui paraissent atteints, afin que l'anatomopathologiste en fasse l'analyse au microscope.

    Au cours de l'intervention, il y a deux cas de figure :

    • soit les ganglions prélevés sont normaux (maladie N-), et en général on se contentera de l'intervention chirurgicale,
    • soit ces ganglions sont atteints (maladie N+), et alors on complétera la chirurgie par une radiothérapie post opératoire.


    Aussi dans ce cas, peut-on espérer obtenir la guérison, à condition bien sûr, que vous ayez arrêté de fumer.

    Quand l'intervention chirurgicale n'est pas possible, le programme thérapeutique doit combiner chimiothérapie et radiothérapie, administrées soit séquentiellement l'une après l'autre (chimiothérapie puis radiothérapie), si la maladie est déjà disséminée, soit simultanément, (radio-chimiothérapie), si la maladie est encore purement localisée.

    Dans ces cas, le rôle du médecin cancérologue est primordial. Il peut seul fixer la meilleure attitude thérapeutique, et vous indiquer le protocole de chimiothérapie le mieux adapté.

    Soulignons ici les progrès récents de la chimiothérapie, en raison de l'existence de nouveaux médicaments actifs.

    La thérapeutique maîtresse est ici la chimiothérapie, complétée par la radiothérapie, et dans certains cas très particuliers par la chirurgie. Le médecin cancérologue (oncologue médical), est seul susceptible de déterminer le programme thérapeutique.

    Le dépistage des cancers bronchiques est difficile, car il ne repose que sur la pratique d'une fibroscopie bronchique chez les fumeurs.

    La relative lourdeur de cet examen et son coût expliquent qu'il ne puisse y avoir de Programme National de Dépistage Organisé, mais seulement la possibilité d'un dépistage orienté, effectué à la demande par le médecin traitant. Ainsi tout grand fumeur, doit-il régulièrement consulter son médecin traitant, qui le cas échéant posera l'indication d'une telle fibroscopie bronchique. En fait, le meilleur moyen pour prévenir l'apparition de tels cancers est au plan collectif de lutter contre le tabagisme, et au plan individuel d'arrêter de fumer.

    La nicotine entraîne une accoutumance, c'est à dire une dépendance au tabac. Pour arrêter de fumer, il faut avant tout le vouloir.

    Dans tous les grands centres hospitaliers existent des consultations antitabac. Renseigner vous donc auprès de votre médecin traitant ou auprès de tels centres, et n'hésitez pas à prendre rendez-vous. Seul, il est en général difficile d'arrêter de fumer. En effet, au cours de la consultation antitabac, le spécialiste non seulement vous prescrira les médicaments permettant de vous désintoxiquer, mais aussi vous aidera psychologiquement à réaliser le sevrage tabagique et à lutter contre les effets secondaires de ce sevrage.

    Il faut impérativement arrêter de fumer pendant la grossesse, car si vous persistez à fumer pendant la grossesse, vous risquez de faire une fausse couche ou votre enfant peut naître dans des conditions difficiles (prématurité), présenter un poids anormal à la naissance, et/ou des infections néonatales à répétition, voir même des malformations.

     
     
    http://www.artac.info/fr/prevention/cancer-de-l-adulte/poumons_000098.html
     
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  • Angioseal

    QU'EST-CE QUE LA CORONAROGRAPHIE ?


    La coronarographie est un examen qui permet de visualiser les vaisseaux irriguant le cœur : les ARTERES CORONAIRES. 
    Cet examen nécessite une hospitalisation minimale de 12 à 24 heures.
    Le jour de l'examen, vous devez rester à jeun (ni boire ni manger) durant les 6 heures qui précèdent la procédure. L'infirmière de l'unité de soins rase les poils des plis inguinaux ou les poignets (endroit de ponction). Une perfusion intraveineuse est placée au niveau du bras.

    Comment vous préparer au mieux à la coronarographie ?

    - Signalez si vous êtes allergique à l'iode ou si vous avez des problèmes de thyroïde
    - Si vous prenez un anticoagulant (comme par exemple du Sintron®), consultez votre médecin, il est possible que celui-ci soit arrêté 48 à 72h avant l'examen pour passer à des injections sous-cutanées.
    - 48h avant la coronarographie, il vous sera demandé d'arrêter certains antidiabétiques oraux tel que la la metformine(comme par exemple le Glucophage® et la Metformine®,...).
    - Si vous avez une insuffisance rénale, il sera important de bien vous hydrater avant l'examen. Demandez plus d'information à votre médecin.
    - Certains anticoagulants ne doivent pas être arrêtés ! Avant d'arrêter un médicament, téléphonez à votre cardiologue.

     

    COMMENT SE DEROULE L'EXAMEN ?
    L'examen est réalisé en salle de cathétérisme cardiaque. L'appareillage pourra vous paraître impressionnant. Le médecin respecte les mêmes règles de stérilité qu'au bloc opératoire, vu l'introduction de matériel stérile dans les artères. 
    Vous serez recouvert d'un drap stérile.
    Pour réaliser l'examen, la voie d'accès est souvent dans l'artère fémorale droite (pli de l'aine) mais peut aussi être réalisé par l'artère radiale (au niveau du poignet droit).
    Après avoir anesthésié l'endroit (comme chez le dentiste), le médecin place un petit tuyau appelé introducteur permettant le passage des sondes (cathéters) sans que cela ne saigne.
    Il est important de préciser que l'on ne coupe pas l'artère, on la ponctionne. Un produit à base d'iode sera employé afin de visualiser les artères.
    N'oubliez pas de signaler toute allergie aux médicaments ou autres produits (iode,aspirine, antibiotique...).

    QUE COMPREND L'EXAMEN ?
    L'examen diagnostique comprend deux parties :

    l) La ventriculographie (évaluation de la fonction cardiaque) nécessite l'injection d'une grande quantité de produit iodé et s'accompagne d'une bouffée de chaleur transitoire (quelques secondes).

    2) La coronarographie permet la visualisation des artères coronaires gauche et droite.
    Il vous sera demandé lors de chacune de ces radiographies, d'inspirer profondément et de garder l'air dans les poumons quelques secondes. L'examen diagnostique terminé, le médecin enlève le matériel et une forte compression est exercée à l'endroit de ponction. Vous devrez impérativernent rester couché de six à douze heures pour éviter toute hémorragie au point de ponction.
    Lors de votre retour en chambre, n'oubliez pas de boire beaucoup d'eau afin que les reins éliminent le produit de contraste injecté lors de l'examen.

    QUELLES SONT LES CONCLUSIONS ?

    1er cas : aucune anomalie n'est constatée, pas de traitement cardiologique.
    2ème cas : des lésions sont observées, elles sont soit :
    a) traitables par médicaments.
    b) traitables par dilatation coronaire.
    c) traitables par pontages coronaires.
    Le choix du traitement dépend de différents facteurs et résulte dans certains cas d'une concertation entre le patient, le cardiologue et le chirurgien (discussion médico-chirurgicale).

    LA DILATATION CORONAIRE
    (angioplastie)
    Si une dilatation peut être réalisée pour traiter un rétrécissement, la voie d'accès reste la même que pour la coronarographie. Une sonde à ballonnet est introduite dans l'artère coronaire et gonflée à plusieurs reprises au niveau du rétrécissement.
    Lors du gonflement du ballon, vous pourrez ressentir une brève douleur liée à l'occlusion transitoire de l'artère. Durant la procédure votre électrocardiogramme et votre tension artérielle sont surveillés en permanence.

    coronaro

    a. coronaire sténosée (débit sanguin réduit)
    b. introduction du ballonnet de dilatation
    c. gonflement du ballonnet
    d. rétablissement du débit sanguin dans la coronaire

    MISE EN PLACE D'UN STENT

    Dans certaines circonstances, le résultat n'est pas satisfaisant :une prothèse peut alors être placée dans l'artère. Cette prothèse, appelée stent, est un petit tube métallique grillagé, qui est déployé au niveau du rétrécissement et reste définitivement en place.
    Après implantation d'un stent, un traitement particulier destiné à fluidifier le sang sera instauré et suivi pendant un mois.
    La coronarographie et la dilatation coronaire peuvent exceptionnelilement entraîner des complications.
    Selon le type d'intervention, un bref séjour en unité de soins intensifs sera nécessaire afin de vous surveiller au mieux.
    Si vous souhaitez de plus amples informations, parlez-en à votre cardiologue !

    APRES LA CORONAROGRAPHIE :

    Il sera important de ne pas faire d'acte violent (jardinage, sport) durant les 5 jours après la coronarographie.

    Surveillez le point de ponction ! Vérifiez si il n'y a pas d'apparition d'un hématome et si il n'y a pas d'induration du point de ponction.

    Instruction pour les patients porteurs
    d'un dispositif de fermeture vasculaire type « Angio-Seal »

    Dans certains cas, après la coronarographie, des patients sont porteurs d'un petit « bouchon » que l'on applique sur l'artère ponctionnée et que l'on appelle « Angio-Seal ».
    Si c'est le cas, le médecin vous donnera une petite carte que vous devrez garder sur vous durant 90 jours (3 mois) après votre examen.
    Il sera très important de signaler à votre médecin tout saignement, gonflement ou ecchymose (bleu) autour du point de ponction, toute infection ou toute sensation désagréable après la fermeture de celui-ci. Si une autre intervention s'avérait nécessaire dans les 90 jours suivant celle que vous venez de subir, indiquez au médecin que vous portez un dispositif « angio-Seal ».

    inspiré de la brochure explicative destinée aux patients "La coronarographie" de l'Association du Personnel de Cathétérisme en Francophonie (ASPECAF)

     

    http://www.educationcoeur.be/fr/patients/mal-poitrine/traitement/medical/coronographie-stent.html

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  • Le lait fermenté est une boisson très ancienne que l'on retrouve dans de nombreuses parties du globe sous des noms différents : le kéfir du Caucase, le lassi d'Inde, le leben du Maghreb, le lait ribot de Bretagne, ... sont en fait du lait additionné de ferments lactiques qui permettent de le conserver plus longtemps.

    Ce sont ces mêmes ferments qui donnent au lait fermenté ses vertus médicinales.

    Les bienfaits du lait fermenté

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  • gratin-gnocchis

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  • Le foie gras représente un marché important en France, environ 23 000 tonnes de foie gras crus ont été proposées à la consommation, dont 18 820 tonnes issues de la production du territoire et 4 228 tonnes importées. Les Français sont les premiers consommateurs au monde de ce produit, huit sur dix en ont consommé durant l'année 2010 (plus de 1850 tonnes ). L'annnée 2011 s’annonce bonne pour les producteurs, malgré une légère hausse des prix due à l'augmentation des matières premières agricoles (maïs). Bien que ce soit principalement un marché intérieur, le foie gras français s'exporte bien à l'étranger.

    L'EXPORTATION

    L'Espagne est le premier client de la France, secondé par un nouvel arrivant, le Japon. D'autres pays se mettent également à consommer ce produit de luxe, tels Hong-Kong, Singapour ou encore la Chine.

     

    Les principaux pays importateurs de foie gras - 2005
    (en millions d'euros - source : Douanes)

                                                                         

     

    DE NOUVEAUX MARCHE EN PERSPECTIVE:

    Alors qu'une partie des Etats-unis (Californie) a fermé ses portes au foie gras depuis le mois de juillet, le marché de ce met emblématique de la gastronomie française s'ouvre peu à peu a de nouveaux pays tels que le Qatar, les Emirats Arabes Unies et la Russie.

    LES PAYS ARABES:

    Le foie gras doit être hallal pour pouvoir être exporté vers ces pays, et ça marche.
    En effet, selon les chiffres du comité interprofessionnel du foie gras, les exportations françaises vers les Emirats Arabes Unies ont augmenté de 14% dans les huit premiers mois de l’année 2012 comparées à l’année précédente. Delpeyrat, leader sur le marché français domine pour l'instant l'exportation dans les pays du golf. Pour eux, le halal est un "gros marché" sur le Moyen-Orient et les pays musulmans, particulièrement friands des produits de luxe français.

     

                                                                                            

                                                            Foie gras Hallal de la marque Labeyrie

     

    LA RUSSIE:

    Après les pays du golf c'est la Russie qui ouvre ses portes au foie gras;
    En effet, depuis le 31 Octobre 2012, le gouvernement Russe a accordé le droit à deux autres sites de la coopérative Euralis (propriétaire de la marque Rougié) d'importer leur foie gras depuis les sites de Maubourguet dans les Hautes-Pyrénées et Sarlat en Dordogne.
    Jusque là seul Labeyrie et le site vendéen des Herbiers d'Euralis avaient le droit de vendre leur foie gras en Russie. Bien que le marché Russe ne représente pas une grande part de marché, ( 2 à 3 millions d'euros par an)  le fait que le gouvernement souhaite élargir ses fournisseurs pourraient laisser supposer une augmentation de la consommation russe et donc de la production pour les sites français, consolidant par ailleurs 1.800 emplois : 600 permanents et 600 saisonniers en fin d'année à Maubourguet et 400 personnes à Sarlat.

                                                                                         

    L'IMPORTATION:

    La France bien que considérée comme le "pays du foie gras", doit cependant faire face à une certaine concurrence, venant principalement des pays de l'Est.

    La Bulgarie est le deuxième producteur mondial de foie gras avec 10,2% de la production, suivi par la Hongie avec 8,2%. La France représente le plus grand marché pour la Bulgarie, en important 1700 tonnes de foie gras par an.
    Cependant leur objectif est de fournir un produit de qualité à bas prix en complément de l´offre française et avec une réactivité importante. Peu d´opérateurs bulgares se lancent dans la transformation de foie gras pour le marché français, craignant que cette stratégie ne soit interprétée comme une volonté de concurrencer les opérateurs français. La grande majorité des foies sont exportés crus, en frais ou congelés. Malgré quelques points faibles (coût de l´aliment, performances techniques), la filière bulgare a également des atouts et notamment le faible coût de la main-d´oeuvre qui lui permet de maintenir un coût de production faible, et donc un prix de vente inférieur à celui du foie gras français, ce qui explique pourquoi certain consommateurs préfère le foie gras bulgare.
    Ainsi, la France ayant développé la production du foie gras de canard au détriment du traditionnel foie gras d'oie, est contrainte d'en importer de grandes quantités depuis les pays de l'Est.

     

    http://foiegras1.e-monsite.com/pages/pilier-economique-1/exportation-et-importation.html

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  • Un sushi saumon et riz vous apporte :

     

    Calories : 48 Kcal
    2,2g de protéines
    7,5g de glucides
    0.9g de lipides

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  • Image 1

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  • Pourriez-vous expliquer votre métier ?

    Tout d’abord, je suis un médecin donc je soigne des patients. La particularité de l’endocrinologie en Belgique, c’est que les endocrinologues sont également diabétologues et c’est ce qui me plaît. Les patients que je traite sont des patients chroniques souffrant de diabète. Ce sont des patients que l’on connaît et que l’on suit au long cours. L’endocrinologie est principalement une activité de consultation. On accueille le patient, on l’examine, on l’interroge, on analyse les résultats de prise de sang, on adapte son traitement, on lui fait des prescriptions. C’est la part la plus importante de notre travail. Il y a aussi des patients qui sont hospitalisés (pour une autre pathologie, comme une appendicite par exemple), qui ne sont pas forcément nos patients, et que l’on va voir parce qu’au cours des analyses, on a découvert qu’ils souffraient de diabète. On nous appelle donc pour un avis.

    C’est un métier dans lequel aucun acte technique n’est posé, contrairement à d’autres spécialités de la médecine interne comme la gastro-entérologie, par exemple.

    Dans ma pratique hospitalière, je reçois près de 80% de patients diabétiques. Les autres patients consultent pour des problèmes de thyroïde, d’hypophyse, de surrénales,… ou des pathologies plus rares. Dans ce cas, je les réfère vers des services plus spécialisés. Il n’est pas rare que certains spécialistes ne s’occupent que d’une seule pathologie. Néanmoins, il est important de garder des internistes généraux, capables de déceler les différentes pathologies même si, pour le suivi, les patients seront référés à des services plus spécialisés. On ne fait bien que ce qu’on fait souvent et il faut être honnête vis-à-vis de son patient !

    Les patients dont je m’occupe sont, en moyenne, des personnes de plus de 60 ans. Je ne vois pas du tout d’enfants. Ils sont pris en charge par des endocrinologues pédiatres. Le diabète est traité de façon très différente chez l’enfant et chez l’adulte.

    Depuis combien d’années travaillez-vous ?

    J’ai eu mon diplôme de médecin à 25 ans ensuite j’ai fait 3 ans de médecine interne et puis l’endocrinologie. Comme je vais avoir 50 ans, cela fait un peu moins de 20 ans que je travaille comme endocrinologue. Mais pendant la spécialisation, je travaillais déjà.

    Avec quels autres professionnels collaborez-vous de façon plus étroite ?

    La diabétologie, c’est vraiment un travail d’équipe, avec le patient au milieu. Dans certaines pathologies comme le cancer, le patient subit la chimiothérapie. En diabétologie, le patient est vraiment acteur de son traitement, il est indispensable que le patient soit pleinement actif et c’est parfois difficile car cela fait appel à des efforts de diététique, d’exercices physiques,…vous obligez les patients à changer leurs habitudes de vie et c’est d’autant plus difficile quand cela arrive vers 60 ou 70 ans ! Les traitements fonctionnent mieux quand les patients font des efforts quant à leur mode de vie. Le travail avec le diététicien est donc fort important. Je collabore avec des infirmières dont le travail est d’éduquer le patient qui a besoin d’un traitement à base d’insuline (Comment se piquer, comment adapter sa dose d’insuline, comment faire son dosage de sucre dans le sang ? ). Je travaille aussi avec les cardiologues, les ophtalmologues, les néphrologues, les podologues,… car ils prennent les patients en charge pour les complications liées au diabète (complications micro-vasculaires, au niveau des yeux, des reins, des pieds,…).

    N’est-ce pas frustrant pour vous de vous occuper d’une maladie dont on ne guérit pas ?

    Non, parce qu’on soigne bien le diabète. On a actuellement beaucoup d’outils pour soigner correctement le diabète. Soigner le diabète en 2015 ce n’est pas pareil qu’en 2000 ou en 1900 ! Les médicaments ont évolué, les patients sont de mieux en mieux traités et donc on diminue de façon drastique les complications. On a compris l’importance de bien contrôler le diabète.

    Depuis que vous travaillez, avez-vous vu une évolution dans votre pratique ?

    Tout à fait ! En 20 ans, cela a beaucoup évolué et depuis 5 ans, il y a de nouveaux médicaments qui sont sortis, il y a des techniques de dosage des glycémies qui permettent d’améliorer le suivi et le confort de vie des patients. Ça évolue à tous les niveaux : au niveau de la prise en charge, de la technique, du matériel comme les pompes à insuline et des médicaments.

    Votre patientèle a-t-elle varié dans le temps ?

    Je reçois davantage de personnes jeunes atteintes de diabète de type 2 qu’autrefois car la population grossit de plus en plus, les gens mangent plus mais moins bien et se bougent de moins en moins. Or, l’obésité et la sédentarité sont des facteurs de risques de développer un diabète de type 2.

    Quel a été votre parcours scolaire et professionnel ?

    Un parcours très classique : les sciences et les maths dans l’enseignement secondaire. Je savais depuis toujours que je voulais être médecin. Mais je ne sais pas du tout ce qui m’a amené à ce choix ! Je ne me suis jamais posé la question et je n’ai jamais douté de mon choix. Mes parents m’ont dit qu’à 6 ans déjà je disais que je serais docteur et je n’ai jamais changé d’avis ! Quand j’ai été en âge de m’inscrire à l’université, je ne me suis posé aucune question, c’était clair que c’était la médecine. Je ne savais même pas ce qui existait d’autre.

    Pourtant, il n’y a aucun médecin dans ma famille qui aurait pu m’influencer. Mais j’avais davantage de facilités pour les sciences et les maths que pour les langues dans l’enseignement secondaire.

    Qu’est-ce qui vous a poussée ensuite à choisir la spécialisation en endocrinologie ?

    Très tôt, j’ai su que j’avais envie de faire de la médecine interne. Au tout début de mon cursus, on avait un cours d’histologie et cela me passionnait, tout comme ce qui avait un rapport avec l’endocrinologie. Et puis, il faut le dire, je suis très peu douée de mes mains donc pour le bien-être des patients, je savais que je ne pouvais pas faire quelque chose de chirurgical. Même les dissections en 1ère année, je massacrais tout. Je pense qu’on choisit une spécialité qui nous correspond. Assez rapidement, je savais que c’était la médecine interne que je voulais faire et finalement, assez rapidement, j’ai su que ce serait l’endocrinologie. D’une part, car il n’y a pas d’actes techniques et, d’autre part, parce que c’est avec des patients chroniques. La relation que l’on a avec des patients chroniques est très différente. Personnellement, durant mes stages, j’étais très malheureuse au service des urgences car les patients que vous soignez ne font que passer. Au bout d’une heure, ils disparaissent de votre vie. Je me sentais terriblement frustrée.

    Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans votre métier ?

    Ce que j’aime, c’est le côté relationnel avec les patients. Vous faites partie de leur vie et ils font partie de la vôtre. J’aime mes patients ! Je connais les prénoms de leurs petits-enfants quand ce sont de vieilles personnes qui me parlent de leur famille. Ces mêmes patients m’ont connue enceinte et me demandent des nouvelles de mes enfants. Il y a une relation de confiance qui s’installe et je pense que c’est important pour les patients diabétiques qui sont acteurs dans leur maladie. Je dirais même qu’il faut de l’amour pour que ça marche bien. Je dis souvent à mes patients que c’est comme si nous étions mariés car nous allons être amenés à nous voir au long cours, durant de nombreuses années mais je leur dis aussi qu’on a le droit de divorcer (rires). Le confort relationnel est important et globalement, je peux dire que j’aime mes patients.

    Quelle est votre charge de travail hebdomadaire ?

    En fait, j’ai pris la décision, il y a quelques années, de ne plus travailler temps plein car je voulais m’occuper un peu de mes enfants. Je travaille donc 4 jours sur 5. Je vois mes premiers patients à 8h du matin et les derniers vers 18h. Ensuite, il faut encore dicter au médecin traitant, faire du travail administratif (trop !) pour les remboursements, etc. Je travaille donc au minimum 10h par jour et bien souvent, sans pause à midi. À cela s’ajoute du travail à domicile, des séminaires, des conférences à destination de médecins généralistes. Tout cela prend du temps et se prépare à la maison ! Je pense qu’il ne faut pas être paresseux dans ce métier. En plus, il y a des gardes. Comme je suis dans un petit hôpital, je fais partie des gardes de médecine interne. Je suis de garde une semaine toutes les six semaines durant laquelle il faut être disponible le week-end aussi. Cela demande donc de s’organiser. En vieillissant, cela devient de plus en plus difficile car on n’a pas de récupérations possibles. Quand votre garde est terminée, vous reprenez le boulot. La charge de travail est donc relativement lourde. Et pourtant, on n’est pas riche pour autant ! Les gens qui se disent qu’ils vont faire la médecine pour avoir un truc sympa, sans trop travailler et bien gagner leur vie et bien, c’est faux ! Quand on voit les médecins généralistes qui travaillent énormément… Évidemment, il y a bien quelques spécialités où on gagne exceptionnellement très bien sa vie mais il faut encore pouvoir faire cette spécialité et il faut qu’elle vous plaise. Les ophtalmologues gagnent très bien leur vie mais jamais je n’aurais voulu exercer cette spécialité. Il faut savoir ce qu’on veut.

    Où exercez-vous votre pratique ?

    Je travaille dans plusieurs polycliniques. Le mardi, je travaille à Braine-L’Alleud, j’ai aussi une petite consultation par semaine à Erasme et le reste du temps, je travaille à Nivelles. Comme c’est une spécialité qui ne nécessite pas beaucoup de matériel, il est également possible de développer une consultation privée. En fait, vous pouvez organiser votre travail comme vous le voulez. L’endocrinologie se prête bien à cela. Vous pourriez par exemple décider de ne travailler que deux jours par semaine (pour autant que vous puissiez vous le permettre financièrement !). Ce n’est pas possible pour un chirurgien. Mais bon, moi, c’est une passion. Donc, même si demain je gagnais au Lotto, je continuerais à travailler comme endocrinologue !

    Que diriez-vous à un jeune souhaitant se lancer dans ce métier ?

    Que c’est un métier passionnant ! Que la médecine, c’est le plus beau métier du monde. La pathologie que je traite (le diabète) est intéressante et évolue très vite. J’apprends tous les jours et de tout le monde. Du point de vue humain, c’est magnifique.

    Voyez-vous néanmoins quelques inconvénients dans votre métier ?

    Parfois, vous êtes un peu envahi par vos patients, que ce soit directement ou indirectement. Quand un patient que vous suivez depuis longtemps ne va pas bien, il n’y a rien à faire, vous ramenez cela à la maison. Certains patients, parfois, vous harcèlent un petit peu. On a beaucoup de travail car le nombre de patients diabétiques ne cesse d’augmenter. Je pourrais limiter mon nombre de patients et travailler moins mais c’est difficile de mettre des limites. L’équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle est parfois difficile à atteindre. Tous mes patients ont mon numéro de gsm. Lorsqu’il a une inquiétude, ils peuvent me passer un coup de fil mais, quand c’est le mercredi et que vous êtes avec vos enfants dans la voiture en train de faire votre deuxième métier qui est taximan et que votre téléphone sonne, les enfants râlent un peu. Ce n’est pas possible, dans ce métier, de faire du « On-Off ». Au final, mes enfants trouvent quand même que c’est gai d’avoir une maman qui est passionnée par ce qu’elle fait.

    Quelle sont les principales qualités pour exercer ce métier ?

    L’écoute, la curiosité, la patience. Il faut aussi accepter que les patients ne fassent pas ce que vous leur recommandez. Accepter que les patients vivent comme ils veulent et pas comme vous, vous voudriez qu’ils vivent ! La tolérance est donc une grande qualité aussi.

     

    http://metiers.siep.be/interviews/dr-laurence-plat-kutnowska/

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  • Comment ces dix chercheurs azuréens révolutionnent la médecine

     

    Depuis plusieurs années, les scientifiques mènent des recherches majeures qui tendent à mener vers des pistes thérapeutiques prometteuses, notamment dans la maladie d'Alzheimer ou pour recouvrer la vue.

    1. Une découverte azuréenne qui pourrait bien relancer la recherche sur Alzheimer


    (Photo Patrick Clémente)

    Une équipe de chercheurs de Sophia-Antipolis a mis en lumière l'action qu'un autre peptide que le bêta amyloïde exerce des effets toxiques sur le cerveau provoquant de graves dégénérescences.

    Passée inaperçue durant 30 ans, ce nouveau peptide jouerait un rôle majeur dans l'apparition de la maladie d'Alzheimer. Une découverte qui devrait permettre de faire progresser la piste thérapeutique.

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  • Lèvres gercées : trois étapes pour les soigner

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  • Ski : une alimentation pour la piste

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  • La galette des rois en 2016… c’est ce dimanche 3 Janvier…
    Nous vous offrons la recette originale de la galette à la frangipane sans le sucre !

    galette-sans-sucre
    La galette des rois est un véritable piège pour les diabétiques si l’on ne fait pas attention:
    – à l’apport important en sucres complexes au travers des féculents
    – au faible apport en sucres simples au travers des amandes.
    Cette recette a été préparée pour un enfant DID de 11 ans…  voilà les astuces:
     On a réduit l’apport en sucres complexes ( féculents: pain, riz, pommes de terre…) du reste du repas.
    On s’est permis quelques sucres simples en plus pour le plat de résistance (par exemple un magret de canard aux pommes…) car ce dessert en contient très peu.

    Si vous avez réduit les féculents du plat principal, vous pouvez aussi prendre un fruit en complément de la galette.

    Le risque avec une galette des rois est d’avoir glycémie assez haute pendant le reste de la journée… donc l’équilibre est important sur l’ensemble du repas.

    Cette recette n’est pas allégée en lipides… si vous souhaitez les réduire, nous vous invitons à découvrir nos autres variantes de galettes allégées:

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  • L'écriture braille

    Lecture

    Le braille se lit de gauche à droite, avec les deux mains. Chaque cellule braille offre 63 combinaisons potentielles. C'est suffisant pour représenter l'ensemble des lettres et signes de ponctuation de la plupart des langues. Pour les chiffres et les symboles mathématiques ou scientifiques, on associe des lettres à des signes spéciaux.

    Écriture

    Le braille peut s'écrire à la main avec une tablette spéciale et un poinçon. Vers 1892 apparurent des machines à écrire comprenant six touches et une barre d'espacement. Ces procédés sont encore en usage aujourd'hui.

    Tablette braille et poinçon

    Première machine à écrire en braille

    Informatique

    Le braille, fondé sur un code binaire (présence ou absence de points), s'adapte parfaitement à l'informatique. Les premiers ordinateurs utilisaient des paquets de 6 chiffres binaires pour représenter au maximum 64 caractères, exactement comme Braille, un siècle plus tôt !

    1950 : les premiers programmes informatiques de transcription de textes en braille.

    Les premières barrettes tactiles en braille voient le jour dans les années 1980. Elles permettront aux personnes aveugles d'utiliser la plupart des applications informatiques mettant en oeuvre du texte et même de surfer sur Internet !

    L'actuelle barrette braille convertit les différents caractères à l'écran en caractères braille grâce à des programmes adéquats et un système de piquots rétractables.

    Barrette braille

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  • INGRÉDIENTS

    - 6 pêches jaunes
    - 130 g de thon
    - 2 échalotes
    - 2 c. à soupe de ketchup
    - 2 c. à soupe de mayonnaise
    - quelques gouttes de Tabasco
    - 3 branches de ciboulette (+ quelques unes pour la déco)

    PRÉPARATION

    Pelez les pêches puis coupez-les en brunoise. Réservez.
    Mixez les autres ingrédients.
    Dressez vos verrines avec une couche de pêches jaunes,
    une couche de mousse au thon et une nouvelle couche de pêches.
    Décorez avec un peu de ciboulette.

    http://www.grandfrais.com/verrines-a-la-peche-jaune-et-au-thon/recette-694.html

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  • Une nouvelle étude révèle que le yaourt à la vanille exerce une influence très positive sur l'humeur. Cependant, il existe d'autres aliments qui stimulent l'esprit. En cas de déprime, n'hésitez donc pas à tester les aliments suivants.

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  • Les nouvelles données sur le diabète soulignent la nécessité d'agir pour enrayer les mauvaise habitudes en matière de santé

     

     

    BRUXELLES, BELGIQUE--(Marketwired - Nov 11, 2015) - 415 millions d'adultes sont atteints de diabète et 318 millions sont à risque de le contracter selon les nouvelles données publiées par la Fédération Internationale du Diabète (FID) lors d'un événement de la Journée Mondiale du diabète organisé à Bruxelles aujourd'hui. La FID estime que la plupart des pays consacrent 5 % à 20 % de leur budget de santé au diabète, une maladie pouvant causer une cécité, des maladies cardiovasculaires, rénales et neurologiques. On prévoit qu'une personne sur dix sera atteinte de diabète d'ici 2040. La FID appelle donc les gouvernements à cibler les facteurs de risque et à adopter des politiques fiscales sur les aliments néfastes à la santé. Les revenus générés seraient utilisés pour améliorer la prévention du diabète de type 2 et les soins pour toutes les personnes atteintes de diabète et à risque.

    Le diabète de type 2, qui représente environ 90 % des cas de diabète dans le monde, est fortement lié à une mauvaise hygiène de vie. Selon l'Atlas du Diabète 2015 de la FID, 75 % des personnes atteintes de diabète vivent dans les pays en développement où l'urbanisation rapide et les évolutions négatives qui l'accompagnent, en termes d'hygiène de vie et de sédentarité, entraînent une progression du diabète.

    La FID signale la région Moyen-Orient et Afrique du Nord comme étant l'une des plus affectées. On estime que le nombre d'adultes atteints de diabète dans la région va plus que doubler d'ici 2040, passant de 35 millions à 72 millions, soit de 9,1 % à 11,4 % de la population adulte.

    La région Amérique du Sud et centrale devrait également enregistrer une forte progression de l'incidence du diabète. On prévoit une augmentation du nombre de cas de 65 % d'ici 2040, à savoir que le diabète toucherait un adulte sur huit.

    Dans le Sud-Est asiatique, le diabète gestationnel concerne un quart des naissances. L'absence de traitement peut entraîner des complications telles qu'un accouchement difficile et un risque accru pour la mère et le bébé de développer un diabète de type 2 sur le long terme.

    En route pour la réunion du G20 ce weekend, la PDG de la FID Petra Wilson a déclaré : « Si nous ne pouvons pas prendre de mesures pour prévenir le diabète de type 2 et améliorer la prise en charge des diabètes de type 1 comme de type 2, nous allons mettre en danger non seulement la santé des personnes mais aussi la situation économique et les conditions d'existence des générations futures. Une réponse coopérative des gouvernements du G20, comme celle qui a été adoptée face à la crise financière mondiale, est également essentielle pour améliorer le pronostic de santé des personnes atteintes de diabète. »

    Autres données publiées aujourd'hui dans l'Atlas du Diabète de la FID :

    -- Les dépenses de santé totales consacrées au diabète en 2015 ont été de 673 milliards USD et atteindront 802 milliards USD d'ici 2040
    -- La mortalité due au diabète est supérieure à celle due au VIH/sida, à la tuberculose et à la malaria combinées, avec un décès toutes les six secondes

    Les informations sur le nouvel Atlas du Diabète sont disponibles sur www.diabetesatlas.org.

    Au sujet de la FID (@IntDiabetesFed)

    La Fédération Internationale du Diabète (FID) est un regroupement d'organisations rassemblant plus de 230 associations nationales dans plus de 170 pays et territoires. Elle représente les intérêts d'un nombre croissant de personnes atteintes de diabète et à risque. La Fédération dirige la communauté mondiale du diabète depuis 1950. www.idf.org

    Au sujet de l'Atlas du Diabète de la FID (#DiabetesAtlas)

    L'Atlas du Diabète de la FID est la ressource de référence sur le fardeau mondial du diabète. Publié pour la première fois en 2000, il est réalisé tous les deux ans en collaboration avec des experts du monde entier et contient des informations sur les cas, la prévalence, la mortalité et les dépenses liées au diabète au niveau mondial, régional et national. La 7e édition de l'Atlas du Diabète de la FID bénéficie du soutien de AstraZeneca, Lilly Diabetes, Merck et Novo Nordisk. www.diabetesatlas.org

    À propos de la Journée Mondiale du Diabète (@WDD)

    L'initiative a été lancée par la FID et l'Organisation Mondiale de la Santé en 1991, en réponse aux inquiétudes liées à l'incidence croissante du diabète dans le monde. En 2006, la Journée Mondiale du Diabète est devenue l'une des Journées Officielles des Nations Unies par l'adoption de la Résolution 61/255.

    La JMD est la plus grande campagne de sensibilisation au diabète dans le monde. Elle mobilise plus d'un milliard de personnes dans plus de 160 pays. La campagne attire l'attention sur les questions essentielles liées au diabète et favorise une prise de conscience publique et politique sur la durée.

    www.worlddiabetesday.org

     

     

    RENSEIGNEMENTS

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      Contact :
      Pour plus d'informations et des entretiens, veuillez contacter :
      Sara Webber
      Coordinatrice RP de la FID
      +32 496 12 94 70  / +32 2 543 16 39 
      sara.webber@idf.org

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