• Choucroute de la mer

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  • Vous êtes enceinte et votre médecin vous a annoncé que vous étiez atteinte de diabète gestationnel.

    La grossesse est déjà en elle-même source d’angoisses et cette menace qui pèse sur vous et votre enfant à naître peut s’avérer difficile à vivre. Dès l’annonce du diagnostic, vous allez devoir apprendre à contrôler votre glycémie, à composer des menus quilibrés en choisissant les aliments les plus adaptés et dans certains cas, vous devrez vous injecter de l’insuline. Pas de panique ! Avec un diabète équilibré et un suivi adapté, tout va bien se passer

    ! Rappel : Selon l’OMS*, le diabète gestationnel est un trouble de la tolérance glucidique conduisant à une hyperglycémie de sévérité variable, débutant ou diagnostiqué pour la première fois pendant la grossesse.

    Quels sont les principaux risques pour mon bébé et pour moi ?

    Le risque le plus important pour votre bébé, c’est la macrosomie, c’est à dire un poids de naissance trop important, supérieur à 4 kg, qui entraîne un accouchement difficile et des complications comme la dystocie des épaules. Pour la future maman, le risque le plus important est la pré-éclampsie ou toxémie gravidique (associant hypertension artérielle, œdèmes, prise de poids rapide).

     Quels sont les traitements du diabète gestationnel ?

    A l’aide d’un lecteur de glycémie qui vous est prescrit par votre médecin, vous allez mesurer votre taux de glycémie 4 à 6 fois par jour. C’est ce qu’on appelle l’autosurveillance. En fonction des résultats obtenus, vous pourrez dans certains cas, si les mesures hygiéno-diététiques ne suffisent pas, vous voir prescrire des injections d’insuline afin d’obtenir des glycémies dans les objectifs. Le premier traitement du diabète gestationnel est la prise en charge diététique personnalisée, avec calcul de la ration calorique, répartition de la prise de glucides au cours de la journée (3 repas, 2 collations), en privilégiant les éléments à faible index glycémique (qui font peu monter la glycémie).

    La prise de fibres est également importante car elles ralentissent l’absorption des glucides et donc le pic d'hyperglycémie post-prandiale (après le repas).

    Si vous ne présentez pas de contre-indication obstétricale, commencez ou poursuivez une activité physique adaptée. Il est recommandé de pratiquer cette activité environ 30 minutes de trois à cinq fois par semaine.

    Nous vous proposons des conseils et des exemples d’activités physiques.

    Quel suivi spécifique pour les futures mamans atteintes de diabète gestationnel ?

    Il est souhaitable qu’une équipe pluridisciplinaire de professionnels de santé (médecin généraliste, gynécologue, nutritionniste, diabétologue. suive votre grossesse et votre diabète.

    En fonction de l’équipe médicale qui vous suit, il pourra vous être proposé des ateliers d’éducation thérapeutique où vous apprendrez en groupe, avec d’autres patientes présentant la même pathologie, à adapter votre alimentation pour parvenir à atteindre les objectifs glycémiques qui vous sont fixés.

    Votre objectif sera de garder jusqu’à la fin de votre grossesse une glycémie inférieure à 0,95 g/L à jeun et inférieure à 1,2 g/L deux heures après le début du repas (glycémie post-prandiale).

    D’un point de vue obstétrical, avec un diabète bien équilibré, le suivi de votre grossesse ne sera pas très différent de celui d'une femme non diabétique.

    Une échographie supplémentaire pourra être faite en fin de grossesse pour évaluer la taille de votre bébé. Si votre diabète est difficilement équilibré ou que vous présentez d'autres facteurs de risques, comme l’hypertension artérielle, par exemple, le suivi sera plus rapproché et d'autres examens pourront être prescrits pour vérifier la vitalité du fœtus.

    Comment va se dérouler mon accouchement avec un diabète gestationnel ?

    Une femme atteinte de diabète gestationnel peut accoucher dans une maternité de proximité (niveau 1), sauf en cas de prématurité, de malformation grave ou de troubles importants de la croissance fœtale.

    En l’absence de facteurs de risques, si le diabète gestationnel est bien équilibré, la grossesse est prise en charge comme une grossesse normale.

    Une césarienne pourra être proposée si le poids de votre bébé est estimé à plus de 4,200 kg.

    En cas de diabète gestationnel déséquilibré, un déclenchement avant terme sera envisagé, dans la mesure du possible après 39 SA (semaines d'aménorrhée) en tenant compte des risques et bénéfices pour vous et pour votre enfant.

    Et après la naissance ?

    Durant le post-partum, votre glycémie sera surveillée afin de vérifier que le diabète disparaît.

    Attention, le diabète gestationnel récidive fréquemment lors des grossesses ultérieures, sans que la fréquence soit précisément connue (30 à 84% des cas).

    Après la naissance, le risque principal pour votre bébé est l'hypoglycémie.

    Ce risque est plus important si vous avez reçu de l'insuline ou si votre nouveau-né a un très petit ou un très gros poids de naissance. (90e percentile).

    Le cas échéant, votre bébé doit être nourri le plus tôt possible après la naissance et toutes les 2/3 heures. Sa glycémie sera surveillée, en l'absence de signes cliniques d'hypoglycémie, juste avant la tétée, à partir de la 2e tétée.

    Les risques de diabète de type 2 Si vous avez eu un diabète gestationnel, vous avez 7 fois plus de risques de développer un diabète de type 2 dans les années à venir et un dépistage de celui-ci est fortement conseillé, lors de la consultation post-natale, puis tous les 1 à 3 ans, pendant au moins 25 ans.

    Ce dépistage peut être effectué avec une glycémie à jeun ou une HGPO (Hyperglycémie Provoquée par voie Orale).

    Pour réduire le risque de développer un diabète de type 2, il est important de continuer après la grossesse à avoir une alimentation équilibrée, de contrôler son poids et de pratiquer une activité physique régulière.

    Apprivoiser le diabète gestationnel et en parler une des difficultés des femmes atteintes de diabète gestationnel est qu'elles doivent, en quelques semaines, acquérir une « culture » du diabète, savoir mesurer et interpréter leur glycémie, modifier et contrôler leur alimentation, vivre avec la crainte d'une conséquence sur la santé de leur bébé de ce diabète.

    Le soutien et partage, entre paires, ou bien l'aide de diabétiques plus habituées à la gestion quotidienne du diabète peut être une aide précieuse.

    Notes et crédits photos *OMS : Organisation Mondiale de la Santé Liens utiles Plateforme de suivi télé-médical consacrée au suivi du diabète gestationnel MyDiabby

    Sur la chaîne YouTube de l'AFD : la playlist dédiée au diabète gestationnel : une série de vidéos présentées par le Pr Altman, chef du service de diabétologie à l'Hôpital Européen Georges Pompidou (HEGP) à Paris.

    Le site du Service de diabétologie du Professeur Jean-Jacques Altman, Hôpital Européen Georges Pompidou http://www.hegp.fr/diabeto/gynecogrossessepb.html

     

    Diabète femme enceinte : risque du diabète gestationnel

     

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  • Lors des Questions au Gouvernement de ce jour, j’ai interrogé la Ministre de la Santé et de l’Accès aux Soins, Madame Geneviève Darrieussecq, sur la prise en charge des patients atteints de diabète de type 2 qui se verraient touchés par une amputation du pied diabétique (Photo : sly/www.imazpress.com)

     

    À La Réunion, ce sont plus de 25 personnes par mois qui subissent cette opération, soit une amputation par jour pour un total d’environ 360 amputations par an.

    Nous avons une prévalence deux fois plus élevée que nos compatriotes hexagonaux : 13% à La Réunion, 12% en Guadeloupe, 11,5% à la Martinique, 10% en Nouvelle-Calédonie ou encore 8 à 10% en Guyane ! Pourtant, un traitement existe : il s’agit de l’Heberprot-P qui existe depuis 2016 et qui a été testé dans plus de 25 pays avec des taux de réussite plus qu’encourageant !

    Ma question du jour adressée à la Ministre de la Santé a pour but de faire en sorte que ce traitement soit disponible en France et, a fortiori, en Outre-mer grâce à des essais cliniques qui pourraient réduire de manière considérable les amputations.

    Madame la Ministre s’est dite prête à travailler ensemble pour lutter contre le diabète et en discuter lors d’un prochain rendez-vous, nous continuerons donc la discussion pour que la demande d’autorisation de mise sur le marché soit faite par les laboratoires.

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  •  

    La liste des actions ci-dessous est basée sur les informations qui nous ont été communiquées par les différentes structures de soins. Elle sera complétée au fur et à mesure que les informations nous parviennent. Elle n’est donc pas nécessairement exhaustive et il se peut que d’autres actions de sensibilisation et dépistage soient organisées près de chez vous. Renseignez-vous auprès de l’hôpital le plus proche !  

    A Bruxelles

    • Hôpital Etterbeek- Ixelles (rue Jean Paquot 63 à 1050 Bruxelles) :  le 14/11 en matinée (de 9h00 à 12h30) - séances d'information sur le diabète et dépistages (tests capillaires) + information sur l’alimentation saine et équilibrée.
    • Hôpital Molière (rue Marconi 142 à 1190 Bruxelles), entrée principale, côté cafetéria : le 18/11 en matinée (de 9h00 à 14h00) : séances d'information sur le diabète et dépistages (tests capillaires) + information sur l’alimentation saine et équilibrée.
    • Hôpital Bracops (rue du Dr Huet 79 à 1070 Bruxelles), entrée principale : le 18/11 en matinée (de 9h00 à 12h00) : séances d'information sur le diabète et dépistages (tests capillaires) + information sur l’alimentation saine et équilibrée.
    • Le Réseau Santé Diabète de Bruxelles propose diverses activités le 14/11 : le Réseau accompagné de ses membres, profitera de ce moment dans le quartier des Marolles pour sensibiliser au diabète. Une soupe préparée par Le Huitième Jour sera proposée aux passants et des stands d’information seront animés par ses membres.  Une conférence est également proposée de 13h à 15h à l’hôpital César de Paepe (rue des Alexiens 11 à 1000 Bruxelles), intitulée : « La santé bucco-dentaire, miroir du diabète ? ». Un interprète en langue des signes sera présent pour la traduction de la conférence.
    • Lancement du Café Diabète : le Café Diabète est un groupe de parole destiné aux personnes atteintes de diabète de type 2 et/ou leurs proches. Le lancement sera le 18 novembre 2024, de 9h30 à 11h30, à la Samaritaine (41 rue de la Samaritaine, 1000 Bruxelles). Un groupe WhatsApp a été créé pour permettre d'avoir un meilleur moyen de communication entre les participant.es :  Groupe Café Diabète.
    • L'hôpital CHIREC Delta (Bd du Triomphe 201 à 1160 Bruxelles) propose un dépistage gratuit le 14/11 de 09h00 à 13h00.

    Dans la Province de Namur

    • Centre hospitalier régional Sambre et Meuse (CHRSM) – site Meuse (avenue Albert 1er 185 à 5000 Namur) : le 14/11 en matinée (de 9h00 à 13h00), devant la cafetéria : évaluation du risque de diabète, information et conseils
    • Centre hospitalier régional Sambre et Meuse (CHRSM) - site Auvelais (rue Chère Voie 75 à 5060 Sambreville) : le 14/11 de 9h00 à 16h00 : évaluation du risque de diabète, information et conseils
    • Le Centre hospitalier de Dinant propose le 14/11 (rue Saint Jacques 501 à 5500 Dinant) un dépistage gratuit et un stand d'information sur le diabète ainsi que 2 ateliers pour lesquels l'inscription est obligatoire (13h30 : l'anxiété associée au diagnostic de diabète ; 15h00 : le dialogue avec les professionnels de la santé); RDV route 895 (niveau -2, salle de réunion attenante au restaurant)
    • Le CHU de Mont Godinne (avenue G. Therasse 1 à 5530 Yvoir) propose le 14/11 durant toute la journée un stand de sensibilisation au sein de l'entrée A (entrée piano)
    • La Clinique Ste Elisabeth de Namur (place Louise Godin 15 à 5000 Namur) proposera durant la matinée un stand de sensibilisation dans le hall d'accueil
    • Le RLM UOAD propose en collaboration avec l'administration communale de Ciney des tests de dépistage et une information sur le diabète le 14/11 de 9h à 12h (salle du conseil communal, rue du Centre 35 à Ciney)
    • Le RLM UOAD propose en collaboation avec l'administration communale de Rochefort des tests de dépistage et une information sur le diabète le 14/11 de 13h30 à 16h00 à la Maison citoyenne de Rochefort (rue Sauvenière 16 à Rochefort)
    • La pharmacie BOXUS-BOUXIN (route de Postil 17 à 5070 Fosses-la-Ville) organise en collaboration avec ler RLM Cegeno une action de sensibilisation le 14/11 de 13h à 17h
    • La pharmacie Du Stock (rue du Cimetière 7 à 5070 Fosses-la-Ville) organise en collaboration avec le RLm Cegeno une action de sensibilisation le 14/11 de 9h à 12h
    • Séance de sensiibilisation organisée par le RLM Cegeno à la Maison communale de Fosses-la-Ville, espace Wilson, de 9h à 12h
    • Séance de sensibilisation organisée par le RLM Cegeno au Cabinet médical de la Rosière (chaussée de Namur 19 à 5070 Fosses-la-Ville) le 14/11 de 9h à 17h
    • Séance de sensibilisation organisée par le RLM Cegeno au Delhaize de Fosses-la-Ville (rue du Cimetière 5) le 14/11 de 13h30 à 16h30

    Dans le Brabant wallon

    • Le Réseau Local Multidisciplinaire du Brabant wallon (RLM-Bw) organise une action de sensibilisation au diabète en tenant un stand à l’Esplanade de Louvain-la-Neuve le jeudi 14 novembre de 10h à 18h et au Douaire d'Ottignies le vendredi 22 novembre de 10 à 14h. Objectifs de ces deux journées :
      - Sensibiliser les visiteurs au risque de développer un diabète de type 2 en présentant les facteurs de risques (âge, surpoids, tabac, sédentarité) à travers des flyers et affiches.
      - Proposer aux visiteurs qui le souhaitent de remplir un questionnaire Findrisc  et de réaliser un test glycémique 
      - Accompagner au mieux les personnes dans les démarches à suivre si le risque de développer un diabète est avéré et/ou si la personne est déjà diabétique (retour vers le médecin traitant si nécessaire) 
      - Donner de la visibilité au RLM Brabant wallon en présentant ses projets (Trajets de Démarrage et de Soins). 
    • Le RLM Bw tiendra également un stand d'information et de sensibilisation au diabète en collaboration avec Solidaris  le mardi 19 novembre à Court St Etienne de 9h00 à 12h30 (rue Emile Henricot 64/8) et  le vendredi 6 décembre à Jodoigne de 9h00 à 12h30 (Avenue des Commandants Borlée, 33).
    • La Maison Médicale de la Thyle (place Baudouin 1er, 4 à 1490 Court-Saint-Etienne) organisera une matinée de sensibilisation au diabète en ses locaux le mardi 18/11 de 9h à 12h.
    • Le CHIREC hôpital de Braine l'Alleud (rue Wayez 35 à 1420 Braine l'Alleud) organise un dépistage gratuit le 14/11 de 08h30 à 12h30.

    Dans la Province de Liège

    • La Province de Liège organise le mardi 12/11 à 18h30 une conférence sur le thème "Moins de sucre, plus d'activité : un duo gagnant face au diabète ?" au théâtre de Spa, centre culturel (rue Servais 8 à 4900 Spa)
    • Le CHR de Huy (rue des Trois Ponts 2 à 4500 Huy) organise le 14 novembre un screening dans le hall d'entrée de l'hôpital entre 9h et 15h pour les patients et visiteurs. Une infirmière ainsi qu'une diététicienne seront présentes afin de réaliser une glycémie et répondre aux questions. En fonction des résultats, le visiteur sera orienté vers son médecin généraliste ou directement vers une diabétologue présente ce jour-là en cas de nécessité. Un fruit de saison sera offert aux participants.
    • Le CHR de Verviers (rue du Parc 29 à 4800 Verviers) organise le 14 novembre de 9h00 à 16h00 un stand de sensibilisation dans le hall d'entrée de l'hôpital (test de glycémie gratuit et questionnaire sur l'alimentation pour permettre aux visiteurs de mieux comprendre leur niveau de risque face au diabète)
    • Le CHU de Liègesite Notre Dame des Bruyères (rue de Gaillarmont 600 à 4030 Grivegnée) organise le 14/11 dans le hall d'entrée de l'hôpital une journée de sensibilisation et de dépistage (calcul du risque, ateliers diététiques, tests de glycémie)
    • Le CHU de Liège en collaboration avec le Shopping Belle-Ile (quai des Vennes 1 à 4020 Liège) organise le 14/11 une journée de sensibilisation et de dépistage avec expérience de réalité virtuelle et intelligence artificielle en 3D via un casque et le robot Buddy
    • La Clinique André Renard et SOLIDARIS proposent des tests de glycémie, informations sur le diabète, conseils diététiques les 12/11 dans le hall de la clinique André Renard (rue Andre Renard 1 à 4040 Herstal) et le 14/11 sur le marché hebdomadaire de Herstal
    • La commune de Chaudfontaine organise une action de sensibilisation et d'information le jeudi 14/11 de 9h00 à 19h00 à l’entrée du Carrefour Market, voie de l’Ardenne, 62 à Embourg et à l’entrée de l’AD Delhaize, rue Général Jacques 99 à Vaux-sous-Chèvremont
    • La Province de Liège organise des dépistages, animations et informations sur le diabète le jeudi 14/11 de 10h à 17h au Carrefour d'Ans ; de 9h à 19h au Carrefour d'Embourg ; de 9h à 19h au Delhaize de Chaudfontaine
    • La Province de Liège organise un dépistage le samedi 16/11 de 9h à 20h à la Foire aux Noix de Spa (avenue Reine Astrid) et le lundi 18/11 à l'Administration communale de Hannut de 8h à 15h30
    • Le Centre Hospitalier du Bois de l'Abbaye - CHBA (site de Seraing - rue Laplace 40 à 4100 Seraing) organise le 14/11 de 9h à 16h une journée (hall d'entrée principal) dédiée au diabète et à la nutrition : dépistage, conseils et échanges sur une alimentation équilibrée

    Dans la Province du Hainaut

    • Le réseau des hôpitaux HELORA organise sur ses différents sites des dépistages et séances d'information :  Hôpital de Mons site Constantinophe de 9h à 12h ; hôpital de Warquignies de 13h à 16h ; hôpital de Lobbes de 9h à 12h ; hôpital Jolimont La Louvière de 10h à 15h ; hôpital de Nivelles de 10h à 15h ; hôpital de Mons site Kennedy de 9h à 11h
    • Le RLM centre La Louvière organisera une journée de sensibilisation et de dépistage dans la galerie du Cora de la Louvière (rue de la Franco-Belge 228 à 7100 La Louvière), le samedi 9 novembre 2024 de 11h à 16h.
    • Les facultés universitaires Umons, UCLouvain FUCaM et HELHa proposent aux étudiants et membres du personnel de tester leur risque de diabète le 14/11 de 10h00 à 17h30 :
      UCLouvain FUCaM – hall du bâtiment D
      UMons – Centre Vésale – chemin du champ de Mars
      HELHa, chaussée de Binche 159 (1er étage, bâtiment HE.2)
    • La Maison de Santé de Mouscron organise des dépistages gratuits le mercredi 20/11 de 9h00 à 11h00 à l'Antenne communale de Dottignies (rue Pastorale 26); le mercredi 20/11 de 14h00 à 16h00 à l'Antenne communale de Herseaux (rue des Croisiers 12) et le jeudi 21/11 de 9h00 à 12h00 et de 13h30 à 18h00 au Centre administratif de Mouscron (rue de Courtrai 63)
    • L'équipe de diabétologie de l'hôpital EPICURA propose le 14/11 à la salle Galant, rue du Moustier 8 à Jurbise  de 8h30 à 15h00 une action de sensibilisation et de prévention avec dépistage gratuit 

    Dans la Province de Luxembourg

    • L'hôpital d'Arlon Vivalia (rue des Déportés 137 à 6700 Arlon) propose dans le hall d'entrée de 9h à 14h un stand de sensibilisation en collaboration avec les diététiciennes et les infirmières spécialisées en diabétologie (tests de glycémie et conseil sur le thème diabète et bien-être)
    • L’asbl Chronicare (Maisons du Diabète) met en avant son engagement dans la prévention des complications du diabète en dépistant le risque de la rétinopathie diabétique grâce à l’intelligence artificielle. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.maisondudiabete.be
     
     

     

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  • A l'occasion de la Journée Mondiale du Diabète, ce jeudi 14 novembre, l'Association du Diabète lance sa campagne de sensibilisation annuelle !

    Nous souhaitons cette année attirer l'attention du grand public sur l’aspect insidieux du diabète de type 2, cette maladie invisible dont les effets sont encore trop méconnus. Malgré l'augmentation inquiétante de la prévalence du diabète, la conscience collective reste en effet insuffisante. Aujourd'hui, 1 Belge sur 10 est touché par le diabète de type 2, et, fait plus alarmant encore, 1 personne sur 3 n'en est même pas consciente. Cette ignorance expose les individus à des complications graves, pouvant nuire fortement à leur qualité de vie... 

    Notre campagne invite le public à évaluer son niveau de risque de développer un diabète de type 2 via notre formulaire en ligne. À la fin du questionnaire, les répondants recevront des informations et conseils personnalisés adaptés à leur profil de risque.

    Unissons nos forces pour faire passer le message ! 

    Parce que vous êtes nos meilleurs ambassadeurs, nous faisons appel à vous pour donner un maximum d’ampleur à notre campagne !

    Chaque message partagé sur les réseaux sociaux permet d’atteindre plus de personnes, de sensibiliser davantage et de renforcer l’impact de notre engagement commun contre le diabète. Votre soutien et vos partages sont essentiels pour faire entendre la voix de notre Association.

    Ensemble, nous pouvons faire bouger les lignes et inspirer plus de personnes à s’informer, à agir et à se mobiliser pour leur santé. 
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    1. Salmonellose : la salmonelle est souvent due à une intoxication alimentaire. La salmonellose est déclenchée par des salmonelles non-typhoïdes qui vivent dans le système gastro-intestinal des animaux et des humains. Elle provoque de la diarrhée, des vomissements et de graves problèmes gastriques. La consommation d’œufs crus, de viande insuffisamment cuite ou de produits laitiers contaminés est souvent en cause.
    2. Infections à E. coli : les infections à Escherichia coli provoquent également des troubles. La plupart des infections guérissent spontanément, mais certaines souches peuvent causer des complications graves, comme le syndrome hémolytique et urémique (SHU). La bactérie se transmet par des aliments contaminés, notamment les légumes crus, la viande mal cuite et l'eau souillée. Elles guérissent souvent spontanément mais elles peuvent aussi avoir des conséquences graves, voire mortelles. La bactérie se transmet par des aliments contaminés, comme les légumes crus.
    3. Infections à Mycobacterium tuberculosis : la tuberculose est une maladie extrêmement contagieuse, provoquée par la bactérie Mycobacterium tuberculosis. Elle affecte principalement les poumons, mais peut également toucher d'autres organes. La transmission se fait par voie aérienne, via les gouttelettes respiratoires d'une personne infectée. Les symptômes incluent la toux persistante, la fièvre et la perte de poids.
    4. Infections à Staphylococcus aureus : le staphylocoque doré résistant à la méticilline (SARM) est une bactérie qui est devenue résistante aux antibiotiques. Elle est très dangereuse, surtout pour les personnes au système immunitaire affaibli. Elle peut provoquer des infections cutanées, des ulcères, des infections pulmonaires ou une septicémie (empoisonnement du sang).
    5. Infections à Clostridium difficile : C. difficile est une bactérie présente dans les intestins. Normalement inoffensive, elle peut proliférer en cas de traitement antibiotique ou d'un affaiblissement du système immunitaire. Elle peut alors entraîner une infection intestinale qui se manifeste par une inflammation du gros intestin et de la diarrhée.
    6. Listeriose : la bactérie Listeria monocytogenes déclenche de la fièvre, des douleurs musculaires et de la diarrhée. La listériose touche plus particulièrement les personnes fragilisées, comme les enfants en bas âge, les femmes enceintes et les personnes âgées. Les symptômes incluent la fièvre, les douleurs musculaires et la diarrhée. La bactérie se transmet par des aliments contaminés, notamment le fromage au lait cru, les viandes ou encore les légumes crus mal lavés.
    7. Infections à pneumocoques : il existe plus de 90 souches de Streptococcus pneumoniae. Les pneumocoques peuvent provoquer des infections telles que l’otite ou la sinusite. Les formes invasives peuvent sont responsables d'infections plus graves comme la pneumonie, la méningite ou la septicémie. Les infections pulmonaires peuvent également être causées par d'autres bactéries : le Chlamydia pneumoniae, le Klebsiella pneumoniae ou le Pseudomonas aeruginosa. Ces agents pathogènes se propagent par les gouttelettes respiratoires et peuvent provoquer des pneumonies, surtout chez les personnes âgées et les patients à risque.
    8. Prolifération de Gardnerella vaginalis : la vaginose bactérienne se produit lorsque la flore du vagin est déséquilibrée et que certaines bactéries prolifèrent de manière anormale. Il s'agit souvent de la bactérie Gardnerella vaginalis, mais d'autres souches peuvent être en cause (Prevotella spp., Atopobium Vaginae, Megaspahera spp0.) Les symptômes : démangeaisons vaginales, pertes et douleur à la miction. Les facteurs de risque incluent le tabagisme, les douches vaginales et les partenaires sexuels multiples.
    9. Infections à H. pylori : une infection par la bactérie Heliobacter pylori peut être à l’origine d’ulcères de l’estomac, de gastrite ou d’inflammation de l’estomac. Le reflux, le taux d’acidité et le tabagisme accroissent le risque de développer cette infection.
    10. Infections cutanées à staphylocoques et streptocoques : les infections cutanées comme l’acné, la cellulite ou l’impétigo sont souvent causées par des staphylocoques ou des streptocoques. Ces infections peuvent se propager par contact direct avec des plaies ou des surfaces contaminées.
    11. Gonorrhée : la gonorrhée est une infection sexuellement transmissible causée par Neisseria gonorrhoeae. Les symptômes incluent des écoulements anormaux, des douleurs urinaires et, chez les femmes, des douleurs pelviennes. Sans traitement, elle peut entraîner des complications graves comme la stérilité.
    12. Borréliose : transmise par la morsure d’une tique infectée par Borrelia burgdorferi, la maladie de Lyme ou borréliose provoque initialement une éruption cutanée (érythème migrant) autour de la morsure. Si elle n’est pas traitée, elle peut entraîner de la fièvre, des douleurs articulaires et des complications neurologiques et cardiaques.
    13. Infections à Vibrio vulnificus. le Vibrio vulnificus est une « bactérie carnivore » rare, présente dans l’eau de mer chaude. Elle provoque des infections gastro-intestinales par ingestion de fruits de mer crus, notamment les huîtres, ou des infections cutanées graves en cas de contact avec une plaie ouverte

     

    Sources :
     
     
     

     

    auteur : Sara Claessens - journaliste santé
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  • Ingrédients pour 4 personnes

    Pour les papillotes :

    4 dos de cabillaud (4 x150 g)

    100 g de tomates séchées ou semi-séchées à l’huile (garder environ 4 càs de l’huile aromatisée des tomates)

    10 feuilles de sauge ciselées    

    Pour les brochettes de légumes :

    1 poivron jaune

    1 poivron rouge

    1 courgette

    1 aubergine

    1 gros oignon

    1  gousse d’ail

    Huile d’olive 100 ml

    2 branches de persil frais

    1 càs de thym séché

    1 càs de romarin

    1 càc de paprika

    1 càc de basilic séché

    Une pincée de sel

    Un peu de poivre, selon goût

    Technique de préparation

     

    • Découper 4 feuilles d’aluminium et y disposer les 4 dos de cabillaud 
    • Enduire au pinceau l’huile aromatisée des tomates séchées sur le cabillaud, ajouter les tomates séchées et la sauge ciselée par-dessus
    • Fermer chaque feuille d’aluminium pour faire la papillote et placer sur la grille du barbecue pendant 30 minutes
    • Eplucher et couper l’oignon en 4
    • Couper les légumes en gros dés de 2 cm sur 2 cm
    • Faire la marinade : dans un plat mélanger l’huile d’olive, le persil, le thym, le romarin, le paprika, le basilic, le sel et le poivre
    • Ajouter les légumes dans la marinade, mélanger et laisser reposer 1h au réfrigérateur
    • Piquer les légumes en alternance sur un pic à brochette
    • Les faire cuire au barbecue sur la grille pendant 5 minutes, en les retournant régulièrement
    • Servir avec des pommes de terre grenailles cuites en chemise  

    Valeurs nutritionnelles         

    (pour 1 personne)

    • Energie 2568 kJ/ 614 kcal
    • Matières grasses 31 g  
    • Glucides 44 g
    • Protéines 35 g
    • Fibres 9 g
     
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  • n abcès dentaire est provoqué par une accumulation de pus et peut, s’il n’est pas soigné correctement, entraîner de lourdes complications (extraction dentaire, fistulisation). C’est pour cette raison qu’il est considéré par les dentistes comme une urgence dentaire et que vous pouvez demander une consultation dans les plus brefs délais. Comment réagir en cas d’abcès dentaire ?

    Où faire soigner un abcès dentaire à Lausanne ?

    Vous souffrez d’un abcès dentaire ? Sachez qu’un abcès dentaire ne se résorbe pas de lui-même et qu’il est donc essentiel de consulter un chirurgien dentiste rapidement pour vous faire soigner. À la CHD de Lausanne, nos dentistes s’engagent à vous recevoir le jour même (ou au plus tard dans les 24 heures) pour vous soulager et traiter votre abcès dentaire.

    Vous avez d’autres symptômes ? Une inflammation des gencives, un gonflement au niveau du cou, l’apparition de ganglions ? Vous soupçonnez une parodontite (causée par l’accumulation de plaque dentaire sous la gencive) ? Vous ressentez une douleur importante suite à la sortie d’une dent de sagesse ? N’attendez pas et prenez rendez-vous avec l’un de nos spécialistes pour bénéficier des meilleurs soins possibles en matière d’hygiène et de santé bucco-dentaire.

    Comment réagir en cas d’abcès dentaire ?

    En l’absence d’un traitement adéquat, un abcès dentaire peut entraîner de graves complications. Pour éviter cela, prenez rendez-vous avec votre médecin dentiste dès l’apparition des premiers symptômes : douleur soudaine, sensibilité au chaud ou au froid, douleur à la mastication, gonflement, apparition d’un goût désagréable, fièvre…

    En attendant votre rendez-vous, certains gestes simples peuvent atténuer la douleur comme par exemple :

    –        Prendre du paracétamol ou un anti-inflammatoire (évitez l’aspirine, surtout en cas de saignement) ;

    –        Appliquer une poche de glace contre votre joue, au niveau de la douleur ;

    –        Réaliser des bains de bouche ;

    –        Utiliser du clou de girofle, etc.

    Demandez conseil à votre dentiste pour éviter toute complication.

    Vous avez d’autres questions ?

    Un abcès dentaire se traduit par une accumulation de pus liée à une infection bactérienne. Il se soigne grâce à un drainage et, parfois, à l’aide d’antibiotiques. Comment se forme un abcès dentaire ?

    En cas d’abcès dentaire, pour éviter toutes complications, votre médecin dentiste procède au drainage du pus mais est-il possible de soigner un abcès sans se rendre chez le dentiste ?

    En cas d’abcès dentaire, certains traitements peuvent vous soulager comme par exemple le clou de girofle ou encore certains bains de bouche spécifiques. Quel bain de bouche utiliser en cas d’abcès dentaire ?


    D’autres questions encore ?

    Contactez-nous directement :

     

    Vous avez un abcès dentaire : que faire ?

    https://www.cliniquehygienedentaire.ch/fr

     

     

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  • Pour préparer un bon petit plat, il faut choisir les ingrédients avec soin. Dans cet entretien, l’expert en algorithmes Sebastian Schelter explique l’influence de l’intelligence artificielle sur notre vie et comment cette technologie est capable de prendre des décisions à notre place.

    De Johannes Zeller

    L’intelligence artificielle (IA) et des ordinateurs qui auto-apprennent : des éléments qui sont aujourd’hui bien ancrés dans notre quotidien même si cela ressemble toujours encore un peu à de la science-fiction. Les algorithmes ne définissent pas uniquement ce que nous allons regarder ou écouter en streaming, dans certains pays, ils décident qui recevra un crédit ou calculent la probabilité de récidive d’un délinquant. Mais qu’est-ce qu’un algorithme en réalité ? Quelle influence l’IA exerce-t-elle sur notre vie ?

    Recette de base : l’algorithme

    « Tout d’abord, l’algorithme est une succession d’étapes. On peut se le représenter comme une recette de cuisine : au départ, on retrouve les ingrédients, les saisies du programme informatique. La recette décrit pas à pas ce qu’il doit se passer afin de préparer un bon repas », explique l’expert en algorithmes Sebastian Schelter, chercheur en gestion des données et en apprentissage automatique à l’université d’Amsterdam.

    Vu sous cet angle, les algorithmes ne sont pas une grande nouveauté, ils suivent le même principe que n’importe quel autre programme informatique. Mais aujourd’hui, quand nous parlons de l’influence grandissante des algorithmes, nous nous intéressons particulièrement à l’apprentissage automatique. « Dans le cadre d’un programme classique, lorsqu’il faut résoudre un problème, c’est l’homme qui dicte les étapes à la machine. Toutefois, certains problèmes sont trop complexes pour que nous puissions décrire précisément à l’ordinateur comment les résoudre », précise l’expert. C’est pourquoi une autre méthode s’impose : celle de l’apprentissage automatique. 
     Sebastian Schelter a obtenu son doctorat à l’université technique de Berlin avant de devenir chercheur à l’université de New York et pour Amazon. Aujourd’hui professeur assistant à l’université d’Amsterdam, il étudie les problèmes liés à l’interface de gestion des données et de l’apprentissage automatique.

    Sebastian Schelter a obtenu son doctorat à l’université technique de Berlin avant de devenir chercheur à l’université de New York et pour Amazon. Aujourd’hui professeur assistant à l’université d’Amsterdam, il étudie les problèmes liés à l’interface de gestion des données et de l’apprentissage automatique. | Photo: © Sebastian Schelter

    Cuisiner pour les pros : l’algorithme apprenant

    Schelter décrit le problème qui se pose : « Prenons un exemple très simple : les filtres anti-spam qui différencient les courriers publicitaires des messages personnels. Pour la personne qui conçoit ce programme informatique, ce n’est vraiment pas simple. Différents critères et règles peuvent être fixés pour reconnaître théoriquement les publicités, que ce soit l’heure d’envoi, ou encore la présence de certains mots dans le message. Pourtant, à un moment ou un autre, la capacité humaine atteint ses limites. »

    C’est pourquoi, dans le cadre de l’apprentissage automatique, l’ordinateur n’est plus programmé de manière explicite, mais il est confronté à des exemples. Et c’est seul qu’il trouvera la meilleure manière de résoudre le problème. Au lieu de lui donner toute la recette, le programmeur ne lui montre que le résultat final qu’il attend du programme.

    « Dans notre exemple, il peut s’agir de la saisie de 1000 e-mails que l’utilisateur souhaite recevoir, et de quelques exemples négatifs de courriers publicitaires qu’il ne veut pas recevoir », continue Schelter. « L’algorithme se base ensuite sur ces exemples pour estimer la probabilité qu’un nouvel e-mail soit ou non un courrier indésirable. La grande différence, c’est que dans le cadre de la programmation classique, une personne fixe précisément les étapes, alors que dans le cas de l’apprentissage automatique, l’algorithme apprenant se base sur des exemples et des statistiques de probabilité pour fixer lui-même ses propres critères de sélection. »
     

    Berné par l’IA

    Non seulement les algorithmes d’apprentissage automatique répondent bien plus rapidement aux problèmes qu’un être humain, mais ils les résolvent aussi bien mieux. En 2019, lorsque le programme Pluribus a remporté une partie de poker face à des joueurs professionnels, l’IA a démontré qu’elle pouvait même apprendre à bluffer mieux qu’une vraie personne. À mesure que ses capacités se multiplient, son influence ne fait que croître. Que ce soit dans le monde de la santé, des finances ou encore de la justice.

    En Allemagne aussi, la majorité de la population se retrouve chaque jour face aux décisions d’algorithmes intelligents. « D’un point de vue scientifique, il s’agit d’un procédé mathématique abstrait qui peut s’appliquer à de nombreux domaines. Par exemple, pour déterminer la probabilité qu’une personne précise rembourse son crédit », poursuit Schelter.

    Dans des pays tels que les États-Unis et l’Australie, les algorithmes sont soupçonnés de faire preuve de discrimination à l’égard de certaines ethnies. « Cela s’explique en partie par le fait que les données prises comme exemple par l’algorithme sont déjà discriminatoires. Si on le laisse avancer à l’aveuglette, il est normal que l’algorithme reproduise cette discrimination. » C’est là que se trouve la racine du problème selon l’expert.
     

    Un algorithme qui a du tact ?

    Le plus important c’est que les limites des algorithmes et de l’IA ne doivent pas être fixées sur base de considérations techniques, mais bien éthiques. Ou l’algorithme serait-il capable d’apprendre à faire preuve « d’un peu de tact » ?

    « Cette question représente un réel problème aujourd’hui. Personnellement, je pense que dans certains domaines, les conséquences d’une mauvaise décision de l’algorithme ne sont pas dramatiques. Si mon service de streaming me propose la mauvaise chanson par exemple. Et puis il y a d’autres domaines où on peut utiliser l’algorithme pour avoir ses recommandations, mais où la décision finale doit revenir à un être humain. Et il y encore d’autres domaines pour lesquels il vaut tout simplement mieux que la décision revienne uniquement à une personne », précise Schelter.

    « Aux États-Unis, des algorithmes sont utilisés pour déterminer la probabilité qu’un détenu récidive. Les tribunaux et les commissions ont accès à ces données avant de se prononcer sur une éventuelle libération anticipée. » Une question s’impose : est-ce bien équitable ?

    Les mathématiques sont bien impuissantes face aux questions de justice et d’équité étant donné qu’il s’agit davantage de questions philosophiques, politiques et juridiques. Chacun a sa propre définition de ce qui est juste ou pas, et il est mathématiquement impossible de se conformer à toutes ces définitions en même temps. »

    Des études se sont penchées sur l’aspect équitable des décisions prises par les algorithmes, et leurs conclusions aussi montrent que les algorithmes ont encore beaucoup à apprendre en matière de tact. Dans de nombreux domaines, il importe de se mettre d’abord d’accord aux niveaux éthique, politique et juridique sur la manière dont la « bonne » décision doit être prise. Ce n’est qu’à ce moment-là que l’on peut faire confiance à l’algorithme pour accomplir cette tâche. « Néanmoins, il reste toujours une question éthique et politique : devons-nous vraiment le faire juste parce qu’on le peut ? », conclut Schelter.

    Auteur

    Johannes Zeller est journaliste indépendant et consultant en média.

    Traduction: ISO Translation
    Copyright: Texte : Goethe-Institut, Johannes Zeller. Dieser Text ist lizenziert unter einer Creative Commons Namensnennung – Weitergabe unter gleichen Bedingungen 3.0 Deutschland Lizenz.

    Mai 2020

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  • https://www.youtube.com/watch?

     

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  • Fondue de reblochon cuit dans du pain, pommes de terre vapeur au lard

    • 4 personnes
    • Niveau : Facile
    • 30 minutes de préparation
    • Bon marché
    • Voir la recette :
    • 1 boule de pain de campagne de 25 cm de diamètre
    • reblochon fermier
    • 500 g de pommes de terre grenaille
    • 250 g de poitrine séchée taillée en tranches de 1 mm d'épaisseur
    • 10 cl de vin blanc de Savoie
    • quelques brins de ciboulette
    • 20 cl de bouillon de volaille

    Préparation

      1. L’avant-veille, achetez la boule de pain et laissez-la rassir 2 jours. À l’aide d’un couteau à dents, coupez le chapeau de la boule de pain, creusez l’intérieur en ôtant la mie pour obtenir un trou de 20 cm de diamètre. Réservez.

     
    1. Faites cuire les grenailles dans un grand volume d’eau salée, jusqu’à ce qu’elles soient fondantes. Épluchez-les et réservez.

    2. Retirez la couenne de la poitrine séchée. Réservez sur une assiette.

    3. Retirez la croûte sur la partie supérieure du reblochon sur une épaisseur de 1 mm. Réservez le fromage à température ambiante.

    4. Préchauffez le four à 200°/th. 6-7. Placez le reblochon à l’intérieur du pain, côté sans la croûte au dessus, creusez un peu le milieu du fromage et arrosez avec le vin blanc. Enfournez 25 mn environ. Réchauffez les pommes de terre. Enrobez-les avec les tranches de lard.

    5. Quand le fromage est bien fondu, servez le pain saupoudré de ciboulette ciselée avec les pommes de terre au lard. Plongez-les, piquées sur de longues fourchettes, dans le reblochon fondu.

    L'astuce

    Servez avec un Vin de Savoie, Domaine Belluard, Le Feu 2016, blanc.

    Recette du bistrot alpin Simple & Meilleur
    73440 Saint-Marin-de-Belleville
    Tel: 04 86 80 02 91
    Environ 50 à 60€ à la carte

     

    Fondue de reblochon cuit dans du pain, pommes de terre vapeur au lard pour 4 personnes - Recettes - Elle à Table

     
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  • La crise du Covid-19 a encore renforcé la nécessité, pour accompagner la diffusion de l’intelligence artificielle en santé, de la reconnaissance du principe d’une garantie humaine. Les avancées obtenues à cet égard ces derniers mois sont à relever, en cohérence avec l’idée d’une régulation éthique positive de l’intelligence artificielle en santé en France et en Europe.

    IA et diabète : des perspectives d’avancées majeures

    Dans La machine, le médecin et moi (1), je montrais à quel point l’intelligence artificielle (IA) en santé peut être source d’avancées dans le domaine de la prise en charge des maladies chroniques et métaboliques en général et du diabète en particulier.

    L’apprentissage machine par reconnaissance d’images

    Comme on le sait, l’apprentissage machine par reconnaissance d’images constitue, de loin, aujourd’hui la technique la plus opérationnelle dans le domaine de l’IA en santé. Dès avril 2018, une solution américaine – IDX-DR – avait fait l’objet d’une autorisation par la FDA.

    L’automatisation du traitement du diabète de type 1

    Solution française, Diabeloop, porte quant à elle, sur le développement d’une innovation technologique de rupture dans l’automatisation du traitement du diabète de type 1. Cette innovation permet aux patients de mieux gérer leur glycémie et d’obtenir des gains très significatifs en termes d’efficacité de traitement et de qualité de vie. Concrètement, le système DBLG1 est un dispositif médical externe qui permet à un capteur de glucose en continu et à une pompe à insuline de communiquer via une intelligence artificielle hébergée dans un terminal spécifique : le traitement est ainsi quasi totalement automatisé.

    L’optimisation du suivi de patients

    Dans ce domaine, des exemples très avancés existent d’ores et déjà en matière d’optimisation du suivi des patients par le recours aux objets connectés. Feetme a ainsi conçu un dispositif de semelles connectées dotées d’interfaces intuitives permettant la collecte de données et les analyses en situation réelle pour prévenir le diabète. Ces données permettent de mieux connaître les patients et d’améliorer leur prise en charge. Mais cette collecte de données permet aussi de mieux être informé sur la pathologie elle-même et de faire progresser l’épidémiologie et la santé publique. Elle vise également à mieux adapter les traitements et à prévenir certaines dérives.

    L’assistance à l’admission à distance

    Le tableau que l’on peut dresser mi-2020 du recours à l’IA en santé ne doit pas, par ailleurs, méconnaître le fait que les cas d’usage les plus larges se situent, en réalité, en l’état dans le domaine de l’automatisation des fonctions-supports, dites de back office, du système de santé. Par exemple, avec le groupe Jouve, nous avons mis au point la solution Know Your Patient, IA d’assistance à l’admission à distance des patients pour éviter les concentrations inutiles de patients dans les halls hospitaliers à des fins purement administratives. Ce dispositif permet aux établissements de santé de gérer la distanciation physique tout en leur permettant de capter des gains d’efficience très significatifs sur la chaîne admissions-frais de séjour-facturation. Cette digitalisation de l’entrée en relation des patients avec le système de santé – l’on boarding – constitue naturellement un levier très important pour améliorer l’efficience et la qualité de la prise en charge des patients diabétiques. Ces dispositifs technologiques constituent, en effet, des adjuvants utiles à la logique de reconnaissance de véritables parcours patients, en cohérence avec l’évolution en cours vers des modes de financement innovants comportant une plus large part de forfaitisation.

    Le principe de garantie humaine de l’intelligence artificielle : levier de régulation éthique positive pour protéger les patients souffrant de maladies chroniques

    Le data tracking

    La gestion de crise Covid-19 et les cas de recours à l’IA ont montré à quel point il était nécessaire d’entourer cette diffusion de l’intelligence artificielle d’une régulation éthique. Les problématiques relevées au cours de cette période si difficile ont été démultipliées pour les patients souffrant de maladies chroniques. Dans ces conditions, il apparaît impératif de bien mesurer la valeur de ces nouveaux cas d’usage ainsi que les enjeux éthiques associés. Dans la réponse au Covid-19, certains pays – en particulier en Asie – ont eu plus largement recours que d’autres à l’IA, au pilotage par les données et aux technologies numériques. Des dispositifs de reconnaissance faciale ainsi que l’utilisation de thermomètres connectés ont permis la surveillance de la température et l’identification de personnes à risque d’être positives au Covid-19. Les données de géolocalisation ont été largement utilisées pour connaître les flux des personnes et bloquer certains déplacements. Ils ont aussi été utilisés pour décontaminer massivement les zones confinées. Des robots ont été introduits dans certains hôpitaux, pour accompagner, voire renforcer, les équipes médicales, assurer une présence auprès des patients et répondre à leurs besoins, décontaminer certains services… Le data tracking a été mis en œuvre sans restriction et un choix d’efficacité a été fait au détriment de la protection des données de santé.

    Une promesse d’accélération de procédés pour le diagnostic et la recherche

    Mais, au-delà des recours à ces dispositifs fortement visibles et dont les usages ont été pour certains contestables au regard des principes de nos sociétés démocratiques, le recours à l’intelligence artificielle en temps de crise épidémique porte aussi la promesse d’accélération de certains procédés relevant aussi bien du diagnostic que de la recherche. Des méthodes diagnostiques reposant sur la reconnaissance d’images par apprentissage machine permettraient un diagnostic beaucoup plus rapide et efficace sur la base de clichés de tomodensitométrie. L’IA induit aussi un potentiel d’apport majeur concernant l’identification d’éventuels traitements efficaces. Des modèles testent actuellement l’efficacité de certaines molécules disponibles sur le marché sur la structure protéique du virus. Cette première sélection permettrait ensuite la mise en place de protocoles sur ces molécules pré-identifiées.

    Des options éloignées des principes du RGPD et des valeurs de la médecine personnalisée

    Par ailleurs, un débat mondial s’est fait jour sur le recours au data trackingtraitement massif de données pour suivre les personnes infectées et, le cas échéant, faire respecter les mesures de confinement. Ce type de dispositif a d’ores et déjà été mis en œuvre en Asie dans des contextes autoritaires. L’Europe a cherché la voie d’une possible introduction de ce type de vecteur dans des contextes de compatibilité avec les valeurs essentielles qui avaient sous-tendu l’adoption du RGPD. Néanmoins, les options radicales, choisies par certains pays, pour répondre au risque collectif au détriment de la protection des libertés individuelles, semblent très éloignées des principes fondateurs du RGPD en Europe et, plus largement, des valeurs essentielles de notre médecine personnalisée.

    Le concept de garantie humaine de l’IA

    Dans ce contexte, il apparaît donc impératif de promouvoir une véritable régulation éthique positive, pour s’ouvrir à l’innovation tout en maîtrisant les risques éthiques à l’IA. Le principe de garantie humaine de l’IA, proposé voici près de 3 ans avec Ethik-IA, vise à y répondre à cette fin. Ce principe a été reconnu dans les avis 129 et 130 du CCNE et dans l’article 11 du projet de loi bioéthique. La pandémie de Covid-19 a interrompu le calendrier parlementaire et donc suspendu l’adoption définitive de la révision bioéthique. Dans le contexte d’urgence créé par le Covid-19, nous pourrions avancer dès à présent pour rendre effectifs les principes portés par l’article 11.

    Les principes

    Le concept de « Garantie humaine » peut paraître abstrait, mais il est, en réalité, très opérationnel. Et je crois profondément que ce que nous vivons actuellement dans le débat sur le recours au numérique face au Covid-19 – avec, en particulier, la question du data tracking – montre toute la nécessité d’une mise en application immédiate de ce principe.
    Dans le cas de l’IA, l’idée est d’appliquer les principes de régulation de l’intelligence artificielle en amont et en aval de l’algorithme lui-même en établissant des points de supervision humaine. Non pas à chaque étape, sinon l’innovation serait bloquée, mais sur des points critiques identifiés dans un dialogue partagé entre les professionnels, les patients et les concepteurs d’innovation.

    Une révision a posteriori des dossiers médicaux

    La supervision peut s’exercer avec le déploiement de « collèges de garantie humaine » associant médecins, professionnels paramédicaux et représentants des usagers. Leur vocation serait d’assurer a posteriori une révision de dossiers médicaux pour porter un regard humain sur les options thérapeutiques conseillées ou prises par l’algorithme. L’objectif consiste à s’assurer “au fil de l’eau” que l’algorithme reste sur un développement de machine learning à la fois efficace médicalement et responsable éthiquement. Les dossiers à auditer pourraient être définis à partir d’événements indésirables constatés, de critères prédéterminés ou d’une sélection aléatoire.

    Un premier cas pilote en phase de déploiement

    Un premier cas pilote de collège de garantie humaine est en phase de déploiement sous l’égide de l’Union française pour la santé bucco-dentaire (UFSBD) : il mettra en œuvre, dans le cadre d’un programme article 51 LFSS, une supervision pour un programme d’IA applicable aux soins dentaires pour 48 Ehpad et mis en œuvre par la start-up française Dental Monitoring. Cette méthodologie est, en outre, mobilisée dans le cadre des travaux de DRIM France IA, démarche majeure de rassemblement des acteurs de la radiologie française pour le développement responsable de l’IA dans cette discipline. Une telle démarche incluant patients et professionnels trouverait naturellement à s’appliquer à l’ensemble des cas d’usage évoqués de l’IA dans le domaine de la prise en charge du diabète.

    La télémédecine de garantie humaine

    La télémédecine peut, aussi, constituer une garantie pour un déploiement responsable de la robotisation et de l’intelligence artificielle en santé. Dans ce cadre, une nouvelle forme de télémédecine peut émerger : la télémédecine de garantie humaine du numérique et de l’intelligence artificielle en santé. Ce levier peut exister au niveau national. Il peut aussi être constitué au niveau international. Ce vecteur vise à solliciter un second avis par rapport à une première proposition algorithmique. Ces seconds avis pourront être sollicités par les patients ou les professionnels en cas de doute face à la pertinence du diagnostic algorithmique. Cette forme de téléexpertise de garantie humaine peut constituer un recours utile en cas de délégation de certaines fonctions de gestion du risque épidémique à des vecteurs numériques, robotiques et d’IA.

    La formalisation juridique

    S’agissant de la formalisation juridique, ce nouveau cas d’ouverture de la télémédecine pourrait très bien entrer, en droit français, dans le cadre de la définition législative posée par le Code de la santé publique. Cette téléexpertise de garantie humaine peut être recommandée par des normes nationale, européenne et/ou internationale à titre de clause de vérification humaine régulière de l’adéquation médicale, éthique et juridique de l’algorithme ou du dispositif numérique.

    Les concrétisations

    Il est à relever que le principe de garantie humaine a reçu, sur le dernier trimestre, des concrétisations dans trois autres cadres très significatifs :
    • d’une part, la garantie humaine devrait, ainsi qu’Isabelle Adenot, membre du collège de la Haute autorité de santé, l’a annoncé dans le cadre d’un colloque dédié au principe par la Chaire santé de Sciences Po le 14 janvier dernier, être intégrée à la grille d’auto-évaluation des dispositifs médicaux intégrant de l’IA préalablement à leur admission au remboursement ;
    • d’autre part, le principe de garantie humaine fait actuellement l’objet de discussions et de prolongements dans le cadre de la task-force dédiée par l’OMS à la régulation de l’IA en santé en vue de l’émission d’une recommandation dans le courant de cette année 2020. Cette task-force a également conduit des travaux spécifiques sur les enjeux éthiques du recours à l’IA face au Covid-19 ;
    • enfin, le principe a été repris dans le Livre blanc sur l’IA publié par la Commission européenne le 19 février 2020.

    Conclusion

    La diffusion rapide de l’IA au sein de notre système de santé constitue donc une opportunité d’avancées très significatives au service des patients diabétiques. Il apparaît primordial de s’ouvrir en France et en Europe à cette vague d’innovations, faute de quoi nous risquerions de nous voir imposer des solutions numériques conçues hors du périmètre d’application du règlement général européen sur la protection des données. C’est le sens du principe d’une garantie humaine de l’intelligence artificielle pour diffuser l’innovation en santé tout en régulant ses enjeux éthiques.

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  • Couscous de boeuf à la bourguignonne

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  • Le système de mesure en continu du glucose Dexcom ONE + désormais remboursé et disponible en pharmacie !

    Dexcom One +

    La Fédération vous informe sur le remboursement d’un nouveau système de mesure continue du glucose : Dexcom ONE +.

    Bonne nouvelle pour les personnes atteintes d’un diabète : le système Dexcom ONE+ est remboursé pour les patients sous insulinothérapie intensifiée ou insulinothérapie non intensifiée*. La société Dexcom vient d’annoncer que ce dispositif est également disponible en pharmacie depuis le 7 octobre.  Avec notamment un capteur étanche, qui s’initialise en 30 minutes et une taille plus petite que le capteur Dexcom ONE, le remboursement de ce dispositif permet d’améliorer le quotidien des personnes vivant avec un diabète.
     

    Les indications de prescription et de prise en charge de Dexcom ONE +

    Selon l’arrêté, ce système s’adresse :
    -     aux  patients diabétiques de type 1 ou type 2, adultes et enfants âgés d'au moins 2 ans traités par insulinothérapie intensifiée (par pompe externe ou ≥ 3 injections par jour), en complément d'une autosurveillance glycémique capillaire,
    -    aux patients diabétiques de type 2, adultes et enfants âgés d’au moins de 2 ans traités par insulinothérapie non intensifiée, dont l’équilibre glycémique est insuffisant (HbA1c ≥ 8 %).

    La prise en charge exclut son utilisation avec un système de boucle fermée ou semi fermée. 

    La durée de port des capteurs est de 10 jours avec délai supplémentaire de 12 heures à la fin de la session permettant de changer le capteur. Le nombre de capteurs pris en charge par an et par patient est limité à 36 capteurs.

    La prescription initiale du système Dexcom ONE, soumise à une période d’essai de 1 à 3 mois, ainsi que son renouvellement sont assurés par un diabétologue ou un pédiatre expérimenté en diabétologie ou par un médecin généraliste pour les patients traités par insulinothérapie non intensifiée.

    Pour en savoir plus sur les modalités de prescription du dispositif et votre éligibilité, votre diabétologue ou votre médecin généraliste sera de bons conseils. 

    *Sources : 
    Dexcom, Inc. Simple discret et efficace : le nouveau capteur de glucose Dexcom ONE + est désormais remboursé et disponible en pharmacie à partir du 7 octobre. Communiqué de presse, 7 octobre 2024.

    Arrêté du 11 septembre 2024 portant inscription du système de mesure en continu du glucose interstitiel DEXCOM ONE + de la société DEXCOM France au titre Ier de la liste des produits et prestations remboursables prévue à l'article L. 165-1 du code de la sécurité sociale 

    Crédit photo : Dexcom
     

    https://www.federationdesdiabetiques.org/federation/actualites/le-systeme-de-mesure-en-continu-du-glucose-dexcom-one-desormais-rembourse-et-disponible-en-pharmacie

     

     

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  • Ingrédients (pour 4 personnes) :

    • 200 g d’allumettes de bacon ou allumettes de dinde
    • 1 c. à café de miel
    • 1 c. à soupe de vinaigre balsamique
    • 1 grosse salade frisée
    • 4 tomates
    • 6 pommes de terre de la taille d’un œuf soit 600 g
    • 4 œufs
    • sel, poivre

    Technique de préparation :

    • Éplucher puis cuire les pommes de terre à l’eau bouillante salée 20 minutes, les égoutter et réserver
    • Laver, essorer et couper la frisée
    • Couper les tomates en quartiers
    • Dans une poêle très chaude, cuire les allumettes de bacon sans matière grasse
    • Quand ils sont cuits, y ajouter le miel et le vinaigre balsamique
    • Ajouter les pommes de terre puis bien mélanger
    • Dans 4 assiettes creuses, garnir une bonne portion de frisée et de tomate puis ajouter le mélange de pomme de terre par-dessus
    • Déposer sur chaque assiette un œuf sur le plat cuit dans la même poêle
    • Saler et poivrer

    Le jaune d’œuf en coupant le tout servira de vinaigrette.

    Valeurs nutritionnelles (pour 1 personne) :  

    • Énergie : 1325 kJ/ 320 kcal 
    • Matières grasses :  9 g 
    • Glucides :   35 g 
    • Protéines : 21 g 

    https://www.diabete.be/actualites-et-agenda-6/actualite-196/notre-recette-du-mois-427#gsc.tab=0

     

    • Fibres :   5 g 
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  • Comment parler de la cuisine argentine sans évoquer les empanadas, ces petits chaussons garnis à la viande ou aux légumes que l’on dévore en tapas. Autre emblème de la gastronomie du pays : la sauce chimichurri, une vinaigrette épicée au persil frais, idéale pour faire mariner la viande. Pour terminer sur une note sucrée, on se délecte de dulce de leche (confiture de lait) dont les argentins raffolent, particulièrement dans les alfajores. Bon voyage !

    Recettes argentines 
     
     
    Recettes du monde
     
    Calamars frits
    Calamars frits
     
    • Apéritif - Facile 
    •  10 min.
    •  4 min.

    Ingrédients

    • 150 g de petits calamars
    • pour les cheveux d'ange
    • 200 g de cheveux d'ange numéro 0
    • 1 poche d'encre de seiche
    • 1/2 verre(s) de vin blanc
    • 1/2 verre(s) d'eau minérale
    • 1/2 verre(s) d'huile d'olive
    • pour la garniture
    • 50 g de tomates frites
    • 50 g de pimientos del piquillo
    • 1 gousse d'ail
    • 1 nyore (ou piment d'espelette) réhumidifiée et frite
    • 1 cuillère(s) à café de sel
    • 1/2 verre(s) de vin blanc

    Préparation

    1. Dans une poêle, faites frire à feu doux les cheveux d’ange dans l’huile d’olive, sans cesser de remuer, jusqu’à obtenir une couleur toastée. Réservez.

     
    1. Diluez l’encre de seiche dans l’eau préalablement mélangée au vin blanc, puis incorporez les cheveux d’ange, en remuant énergiquement pour que l’encre se distribue uniformément. Réservez une fois le bouillon entièrement absorbé.

    2. Mixez tous les ingrédients de la garniture. Mélangez-la aux cheveux d’ange, réchauffez sur le feu. Répartissez dans des assiettes.

    3. Faites sauter les calamars, parsemez-les sur les cheveux d’ange.

    L'astuce

    Accompagnez cette recette d’un aïoli.

    5 sur 5

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    https://www.elle.fr/Elle-a-Table/Recettes-de-cuisine/Cheveux-d-ange-frits-aux-petits-calamars-2975995
     
     
     
     
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