A l'occasion de la Journée Mondiale du Diabète, ce jeudi 14 novembre, l'Association du Diabète lance sa campagne de sensibilisation annuelle !
Nous souhaitons cette année attirer l'attention du grand public sur l’aspect insidieux du diabète de type 2, cette maladie invisible dont les effets sont encore trop méconnus. Malgré l'augmentation inquiétante de la prévalence du diabète, la conscience collective reste en effet insuffisante. Aujourd'hui, 1 Belge sur 10 est touché par le diabète de type 2, et, fait plus alarmant encore, 1 personne sur 3 n'en est même pas consciente. Cette ignorance expose les individus à des complications graves, pouvant nuire fortement à leur qualité de vie...
Notre campagne invite le public à évaluer son niveau de risque de développer un diabète de type 2 via notre formulaire en ligne. À la fin du questionnaire, les répondants recevront des informations et conseils personnalisés adaptés à leur profil de risque.
Unissons nos forces pour faire passer le message !
Parce que vous êtes nos meilleurs ambassadeurs, nous faisons appel à vous pour donner un maximum d’ampleur à notre campagne !
Chaque message partagé sur les réseaux sociaux permet d’atteindre plus de personnes, de sensibiliser davantage et de renforcer l’impact de notre engagement commun contre le diabète. Votre soutien et vos partages sont essentiels pour faire entendre la voix de notre Association.
Ensemble, nous pouvons faire bouger les lignes et inspirer plus de personnes à s’informer, à agir et à se mobiliser pour leur santé.
Par Diab Bruxelles dans Accueil le 13 Novembre 2024 à 12:33
- Salmonellose : la salmonelle est souvent due à une intoxication alimentaire. La salmonellose est déclenchée par des salmonelles non-typhoïdes qui vivent dans le système gastro-intestinal des animaux et des humains. Elle provoque de la diarrhée, des vomissements et de graves problèmes gastriques. La consommation d’œufs crus, de viande insuffisamment cuite ou de produits laitiers contaminés est souvent en cause.
- Infections à E. coli : les infections à Escherichia coli provoquent également des troubles. La plupart des infections guérissent spontanément, mais certaines souches peuvent causer des complications graves, comme le syndrome hémolytique et urémique (SHU). La bactérie se transmet par des aliments contaminés, notamment les légumes crus, la viande mal cuite et l'eau souillée. Elles guérissent souvent spontanément mais elles peuvent aussi avoir des conséquences graves, voire mortelles. La bactérie se transmet par des aliments contaminés, comme les légumes crus.
- Infections à Mycobacterium tuberculosis : la tuberculose est une maladie extrêmement contagieuse, provoquée par la bactérie Mycobacterium tuberculosis. Elle affecte principalement les poumons, mais peut également toucher d'autres organes. La transmission se fait par voie aérienne, via les gouttelettes respiratoires d'une personne infectée. Les symptômes incluent la toux persistante, la fièvre et la perte de poids.
- Infections à Staphylococcus aureus : le staphylocoque doré résistant à la méticilline (SARM) est une bactérie qui est devenue résistante aux antibiotiques. Elle est très dangereuse, surtout pour les personnes au système immunitaire affaibli. Elle peut provoquer des infections cutanées, des ulcères, des infections pulmonaires ou une septicémie (empoisonnement du sang).
- Infections à Clostridium difficile : C. difficile est une bactérie présente dans les intestins. Normalement inoffensive, elle peut proliférer en cas de traitement antibiotique ou d'un affaiblissement du système immunitaire. Elle peut alors entraîner une infection intestinale qui se manifeste par une inflammation du gros intestin et de la diarrhée.
- Listeriose : la bactérie Listeria monocytogenes déclenche de la fièvre, des douleurs musculaires et de la diarrhée. La listériose touche plus particulièrement les personnes fragilisées, comme les enfants en bas âge, les femmes enceintes et les personnes âgées. Les symptômes incluent la fièvre, les douleurs musculaires et la diarrhée. La bactérie se transmet par des aliments contaminés, notamment le fromage au lait cru, les viandes ou encore les légumes crus mal lavés.
- Infections à pneumocoques : il existe plus de 90 souches de Streptococcus pneumoniae. Les pneumocoques peuvent provoquer des infections telles que l’otite ou la sinusite. Les formes invasives peuvent sont responsables d'infections plus graves comme la pneumonie, la méningite ou la septicémie. Les infections pulmonaires peuvent également être causées par d'autres bactéries : le Chlamydia pneumoniae, le Klebsiella pneumoniae ou le Pseudomonas aeruginosa. Ces agents pathogènes se propagent par les gouttelettes respiratoires et peuvent provoquer des pneumonies, surtout chez les personnes âgées et les patients à risque.
- Prolifération de Gardnerella vaginalis : la vaginose bactérienne se produit lorsque la flore du vagin est déséquilibrée et que certaines bactéries prolifèrent de manière anormale. Il s'agit souvent de la bactérie Gardnerella vaginalis, mais d'autres souches peuvent être en cause (Prevotella spp., Atopobium Vaginae, Megaspahera spp0.) Les symptômes : démangeaisons vaginales, pertes et douleur à la miction. Les facteurs de risque incluent le tabagisme, les douches vaginales et les partenaires sexuels multiples.
- Infections à H. pylori : une infection par la bactérie Heliobacter pylori peut être à l’origine d’ulcères de l’estomac, de gastrite ou d’inflammation de l’estomac. Le reflux, le taux d’acidité et le tabagisme accroissent le risque de développer cette infection.
- Infections cutanées à staphylocoques et streptocoques : les infections cutanées comme l’acné, la cellulite ou l’impétigo sont souvent causées par des staphylocoques ou des streptocoques. Ces infections peuvent se propager par contact direct avec des plaies ou des surfaces contaminées.
- Gonorrhée : la gonorrhée est une infection sexuellement transmissible causée par Neisseria gonorrhoeae. Les symptômes incluent des écoulements anormaux, des douleurs urinaires et, chez les femmes, des douleurs pelviennes. Sans traitement, elle peut entraîner des complications graves comme la stérilité.
- Borréliose : transmise par la morsure d’une tique infectée par Borrelia burgdorferi, la maladie de Lyme ou borréliose provoque initialement une éruption cutanée (érythème migrant) autour de la morsure. Si elle n’est pas traitée, elle peut entraîner de la fièvre, des douleurs articulaires et des complications neurologiques et cardiaques.
- Infections à Vibrio vulnificus. le Vibrio vulnificus est une « bactérie carnivore » rare, présente dans l’eau de mer chaude. Elle provoque des infections gastro-intestinales par ingestion de fruits de mer crus, notamment les huîtres, ou des infections cutanées graves en cas de contact avec une plaie ouverte
Sources :
Par Diab Bruxelles dans Accueil le 8 Novembre 2024 à 13:55
Ingrédients pour 4 personnes
Pour les papillotes :
4 dos de cabillaud (4 x150 g)
100 g de tomates séchées ou semi-séchées à l’huile (garder environ 4 càs de l’huile aromatisée des tomates)
10 feuilles de sauge ciselées
Pour les brochettes de légumes :
1 poivron jaune
1 poivron rouge
1 courgette
1 aubergine
1 gros oignon
1 gousse d’ail
Huile d’olive 100 ml
2 branches de persil frais
1 càs de thym séché
1 càs de romarin
1 càc de paprika
1 càc de basilic séché
Une pincée de sel
Un peu de poivre, selon goût
Technique de préparation
- Découper 4 feuilles d’aluminium et y disposer les 4 dos de cabillaud
- Enduire au pinceau l’huile aromatisée des tomates séchées sur le cabillaud, ajouter les tomates séchées et la sauge ciselée par-dessus
- Fermer chaque feuille d’aluminium pour faire la papillote et placer sur la grille du barbecue pendant 30 minutes
- Eplucher et couper l’oignon en 4
- Couper les légumes en gros dés de 2 cm sur 2 cm
- Faire la marinade : dans un plat mélanger l’huile d’olive, le persil, le thym, le romarin, le paprika, le basilic, le sel et le poivre
- Ajouter les légumes dans la marinade, mélanger et laisser reposer 1h au réfrigérateur
- Piquer les légumes en alternance sur un pic à brochette
- Les faire cuire au barbecue sur la grille pendant 5 minutes, en les retournant régulièrement
- Servir avec des pommes de terre grenailles cuites en chemise
Valeurs nutritionnelles
(pour 1 personne)
- Energie 2568 kJ/ 614 kcal
- Matières grasses 31 g
- Glucides 44 g
- Protéines 35 g
- Fibres 9 g
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Par Diab Bruxelles dans Accueil le 3 Novembre 2024 à 14:59
n abcès dentaire est provoqué par une accumulation de pus et peut, s’il n’est pas soigné correctement, entraîner de lourdes complications (extraction dentaire, fistulisation). C’est pour cette raison qu’il est considéré par les dentistes comme une urgence dentaire et que vous pouvez demander une consultation dans les plus brefs délais. Comment réagir en cas d’abcès dentaire ?
Où faire soigner un abcès dentaire à Lausanne ?
Vous souffrez d’un abcès dentaire ? Sachez qu’un abcès dentaire ne se résorbe pas de lui-même et qu’il est donc essentiel de consulter un chirurgien dentiste rapidement pour vous faire soigner. À la CHD de Lausanne, nos dentistes s’engagent à vous recevoir le jour même (ou au plus tard dans les 24 heures) pour vous soulager et traiter votre abcès dentaire.
Vous avez d’autres symptômes ? Une inflammation des gencives, un gonflement au niveau du cou, l’apparition de ganglions ? Vous soupçonnez une parodontite (causée par l’accumulation de plaque dentaire sous la gencive) ? Vous ressentez une douleur importante suite à la sortie d’une dent de sagesse ? N’attendez pas et prenez rendez-vous avec l’un de nos spécialistes pour bénéficier des meilleurs soins possibles en matière d’hygiène et de santé bucco-dentaire.
Comment réagir en cas d’abcès dentaire ?
En l’absence d’un traitement adéquat, un abcès dentaire peut entraîner de graves complications. Pour éviter cela, prenez rendez-vous avec votre médecin dentiste dès l’apparition des premiers symptômes : douleur soudaine, sensibilité au chaud ou au froid, douleur à la mastication, gonflement, apparition d’un goût désagréable, fièvre…
En attendant votre rendez-vous, certains gestes simples peuvent atténuer la douleur comme par exemple :
– Prendre du paracétamol ou un anti-inflammatoire (évitez l’aspirine, surtout en cas de saignement) ;
– Appliquer une poche de glace contre votre joue, au niveau de la douleur ;
– Réaliser des bains de bouche ;
– Utiliser du clou de girofle, etc.
Demandez conseil à votre dentiste pour éviter toute complication.
Vous avez d’autres questions ?
Un abcès dentaire se traduit par une accumulation de pus liée à une infection bactérienne. Il se soigne grâce à un drainage et, parfois, à l’aide d’antibiotiques. Comment se forme un abcès dentaire ?
En cas d’abcès dentaire, pour éviter toutes complications, votre médecin dentiste procède au drainage du pus mais est-il possible de soigner un abcès sans se rendre chez le dentiste ?
En cas d’abcès dentaire, certains traitements peuvent vous soulager comme par exemple le clou de girofle ou encore certains bains de bouche spécifiques. Quel bain de bouche utiliser en cas d’abcès dentaire ?
D’autres questions encore ?
Contactez-nous directement :
Vous avez un abcès dentaire : que faire ?
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Par Diab Bruxelles dans Accueil le 26 Octobre 2024 à 13:55
Pour préparer un bon petit plat, il faut choisir les ingrédients avec soin. Dans cet entretien, l’expert en algorithmes Sebastian Schelter explique l’influence de l’intelligence artificielle sur notre vie et comment cette technologie est capable de prendre des décisions à notre place.
De Johannes Zeller
L’intelligence artificielle (IA) et des ordinateurs qui auto-apprennent : des éléments qui sont aujourd’hui bien ancrés dans notre quotidien même si cela ressemble toujours encore un peu à de la science-fiction. Les algorithmes ne définissent pas uniquement ce que nous allons regarder ou écouter en streaming, dans certains pays, ils décident qui recevra un crédit ou calculent la probabilité de récidive d’un délinquant. Mais qu’est-ce qu’un algorithme en réalité ? Quelle influence l’IA exerce-t-elle sur notre vie ?
Recette de base : l’algorithme
« Tout d’abord, l’algorithme est une succession d’étapes. On peut se le représenter comme une recette de cuisine : au départ, on retrouve les ingrédients, les saisies du programme informatique. La recette décrit pas à pas ce qu’il doit se passer afin de préparer un bon repas », explique l’expert en algorithmes Sebastian Schelter, chercheur en gestion des données et en apprentissage automatique à l’université d’Amsterdam.
Vu sous cet angle, les algorithmes ne sont pas une grande nouveauté, ils suivent le même principe que n’importe quel autre programme informatique. Mais aujourd’hui, quand nous parlons de l’influence grandissante des algorithmes, nous nous intéressons particulièrement à l’apprentissage automatique. « Dans le cadre d’un programme classique, lorsqu’il faut résoudre un problème, c’est l’homme qui dicte les étapes à la machine. Toutefois, certains problèmes sont trop complexes pour que nous puissions décrire précisément à l’ordinateur comment les résoudre », précise l’expert. C’est pourquoi une autre méthode s’impose : celle de l’apprentissage automatique.
Sebastian Schelter a obtenu son doctorat à l’université technique de Berlin avant de devenir chercheur à l’université de New York et pour Amazon. Aujourd’hui professeur assistant à l’université d’Amsterdam, il étudie les problèmes liés à l’interface de gestion des données et de l’apprentissage automatique. | Photo: © Sebastian Schelter
Cuisiner pour les pros : l’algorithme apprenant
Schelter décrit le problème qui se pose : « Prenons un exemple très simple : les filtres anti-spam qui différencient les courriers publicitaires des messages personnels. Pour la personne qui conçoit ce programme informatique, ce n’est vraiment pas simple. Différents critères et règles peuvent être fixés pour reconnaître théoriquement les publicités, que ce soit l’heure d’envoi, ou encore la présence de certains mots dans le message. Pourtant, à un moment ou un autre, la capacité humaine atteint ses limites. »
C’est pourquoi, dans le cadre de l’apprentissage automatique, l’ordinateur n’est plus programmé de manière explicite, mais il est confronté à des exemples. Et c’est seul qu’il trouvera la meilleure manière de résoudre le problème. Au lieu de lui donner toute la recette, le programmeur ne lui montre que le résultat final qu’il attend du programme.
« Dans notre exemple, il peut s’agir de la saisie de 1000 e-mails que l’utilisateur souhaite recevoir, et de quelques exemples négatifs de courriers publicitaires qu’il ne veut pas recevoir », continue Schelter. « L’algorithme se base ensuite sur ces exemples pour estimer la probabilité qu’un nouvel e-mail soit ou non un courrier indésirable. La grande différence, c’est que dans le cadre de la programmation classique, une personne fixe précisément les étapes, alors que dans le cas de l’apprentissage automatique, l’algorithme apprenant se base sur des exemples et des statistiques de probabilité pour fixer lui-même ses propres critères de sélection. »
Berné par l’IA
Non seulement les algorithmes d’apprentissage automatique répondent bien plus rapidement aux problèmes qu’un être humain, mais ils les résolvent aussi bien mieux. En 2019, lorsque le programme Pluribus a remporté une partie de poker face à des joueurs professionnels, l’IA a démontré qu’elle pouvait même apprendre à bluffer mieux qu’une vraie personne. À mesure que ses capacités se multiplient, son influence ne fait que croître. Que ce soit dans le monde de la santé, des finances ou encore de la justice.
En Allemagne aussi, la majorité de la population se retrouve chaque jour face aux décisions d’algorithmes intelligents. « D’un point de vue scientifique, il s’agit d’un procédé mathématique abstrait qui peut s’appliquer à de nombreux domaines. Par exemple, pour déterminer la probabilité qu’une personne précise rembourse son crédit », poursuit Schelter.
Dans des pays tels que les États-Unis et l’Australie, les algorithmes sont soupçonnés de faire preuve de discrimination à l’égard de certaines ethnies. « Cela s’explique en partie par le fait que les données prises comme exemple par l’algorithme sont déjà discriminatoires. Si on le laisse avancer à l’aveuglette, il est normal que l’algorithme reproduise cette discrimination. » C’est là que se trouve la racine du problème selon l’expert.
Un algorithme qui a du tact ?
Le plus important c’est que les limites des algorithmes et de l’IA ne doivent pas être fixées sur base de considérations techniques, mais bien éthiques. Ou l’algorithme serait-il capable d’apprendre à faire preuve « d’un peu de tact » ?
« Cette question représente un réel problème aujourd’hui. Personnellement, je pense que dans certains domaines, les conséquences d’une mauvaise décision de l’algorithme ne sont pas dramatiques. Si mon service de streaming me propose la mauvaise chanson par exemple. Et puis il y a d’autres domaines où on peut utiliser l’algorithme pour avoir ses recommandations, mais où la décision finale doit revenir à un être humain. Et il y encore d’autres domaines pour lesquels il vaut tout simplement mieux que la décision revienne uniquement à une personne », précise Schelter.
« Aux États-Unis, des algorithmes sont utilisés pour déterminer la probabilité qu’un détenu récidive. Les tribunaux et les commissions ont accès à ces données avant de se prononcer sur une éventuelle libération anticipée. » Une question s’impose : est-ce bien équitable ?
Les mathématiques sont bien impuissantes face aux questions de justice et d’équité étant donné qu’il s’agit davantage de questions philosophiques, politiques et juridiques. Chacun a sa propre définition de ce qui est juste ou pas, et il est mathématiquement impossible de se conformer à toutes ces définitions en même temps. »
Des études se sont penchées sur l’aspect équitable des décisions prises par les algorithmes, et leurs conclusions aussi montrent que les algorithmes ont encore beaucoup à apprendre en matière de tact. Dans de nombreux domaines, il importe de se mettre d’abord d’accord aux niveaux éthique, politique et juridique sur la manière dont la « bonne » décision doit être prise. Ce n’est qu’à ce moment-là que l’on peut faire confiance à l’algorithme pour accomplir cette tâche. « Néanmoins, il reste toujours une question éthique et politique : devons-nous vraiment le faire juste parce qu’on le peut ? », conclut Schelter.
Par Diab Bruxelles dans Accueil le 19 Octobre 2024 à 11:45
- 4 personnes
- Niveau : Facile
- 30 minutes de préparation
- Bon marché
- Voir la recette :
- 1 boule de pain de campagne de 25 cm de diamètre
- 1 reblochon fermier
- 500 g de pommes de terre grenaille
- 250 g de poitrine séchée taillée en tranches de 1 mm d'épaisseur
- 10 cl de vin blanc de Savoie
- quelques brins de ciboulette
- 20 cl de bouillon de volaille
Préparation
-
L’avant-veille, achetez la boule de pain et laissez-la rassir 2 jours. À l’aide d’un couteau à dents, coupez le chapeau de la boule de pain, creusez l’intérieur en ôtant la mie pour obtenir un trou de 20 cm de diamètre. Réservez.
-
Faites cuire les grenailles dans un grand volume d’eau salée, jusqu’à ce qu’elles soient fondantes. Épluchez-les et réservez.
-
Retirez la couenne de la poitrine séchée. Réservez sur une assiette.
-
Retirez la croûte sur la partie supérieure du reblochon sur une épaisseur de 1 mm. Réservez le fromage à température ambiante.
-
Préchauffez le four à 200°/th. 6-7. Placez le reblochon à l’intérieur du pain, côté sans la croûte au dessus, creusez un peu le milieu du fromage et arrosez avec le vin blanc. Enfournez 25 mn environ. Réchauffez les pommes de terre. Enrobez-les avec les tranches de lard.
-
Quand le fromage est bien fondu, servez le pain saupoudré de ciboulette ciselée avec les pommes de terre au lard. Plongez-les, piquées sur de longues fourchettes, dans le reblochon fondu.
L'astuce
Servez avec un Vin de Savoie, Domaine Belluard, Le Feu 2016, blanc.
Recette du bistrot alpin Simple & Meilleur 73440 Saint-Marin-de-Belleville Tel: 04 86 80 02 91 Environ 50 à 60€ à la carte
Fondue de reblochon cuit dans du pain, pommes de terre vapeur au lard pour 4 personnes - Recettes - Elle à Table
Par Diab Bruxelles dans Accueil le 17 Octobre 2024 à 13:30
La crise du Covid-19 a encore renforcé la nécessité, pour accompagner la diffusion de l’intelligence artificielle en santé, de la reconnaissance du principe d’une garantie humaine. Les avancées obtenues à cet égard ces derniers mois sont à relever, en cohérence avec l’idée d’une régulation éthique positive de l’intelligence artificielle en santé en France et en Europe.
IA et diabète : des perspectives d’avancées majeures
Dans La machine, le médecin et moi (1), je montrais à quel point l’intelligence artificielle (IA) en santé peut être source d’avancées dans le domaine de la prise en charge des maladies chroniques et métaboliques en général et du diabète en particulier.
L’apprentissage machine par reconnaissance d’images
Comme on le sait, l’apprentissage machine par reconnaissance d’images constitue, de loin, aujourd’hui la technique la plus opérationnelle dans le domaine de l’IA en santé. Dès avril 2018, une solution américaine – IDX-DR – avait fait l’objet d’une autorisation par la FDA.
L’automatisation du traitement du diabète de type 1
Solution française, Diabeloop, porte quant à elle, sur le développement d’une innovation technologique de rupture dans l’automatisation du traitement du diabète de type 1. Cette innovation permet aux patients de mieux gérer leur glycémie et d’obtenir des gains très significatifs en termes d’efficacité de traitement et de qualité de vie. Concrètement, le système DBLG1 est un dispositif médical externe qui permet à un capteur de glucose en continu et à une pompe à insuline de communiquer via une intelligence artificielle hébergée dans un terminal spécifique : le traitement est ainsi quasi totalement automatisé.
L’optimisation du suivi de patients
Dans ce domaine, des exemples très avancés existent d’ores et déjà en matière d’optimisation du suivi des patients par le recours aux objets connectés. Feetme a ainsi conçu un dispositif de semelles connectées dotées d’interfaces intuitives permettant la collecte de données et les analyses en situation réelle pour prévenir le diabète. Ces données permettent de mieux connaître les patients et d’améliorer leur prise en charge. Mais cette collecte de données permet aussi de mieux être informé sur la pathologie elle-même et de faire progresser l’épidémiologie et la santé publique. Elle vise également à mieux adapter les traitements et à prévenir certaines dérives.
L’assistance à l’admission à distance
Le tableau que l’on peut dresser mi-2020 du recours à l’IA en santé ne doit pas, par ailleurs, méconnaître le fait que les cas d’usage les plus larges se situent, en réalité, en l’état dans le domaine de l’automatisation des fonctions-supports, dites de back office, du système de santé. Par exemple, avec le groupe Jouve, nous avons mis au point la solution Know Your Patient, IA d’assistance à l’admission à distance des patients pour éviter les concentrations inutiles de patients dans les halls hospitaliers à des fins purement administratives. Ce dispositif permet aux établissements de santé de gérer la distanciation physique tout en leur permettant de capter des gains d’efficience très significatifs sur la chaîne admissions-frais de séjour-facturation. Cette digitalisation de l’entrée en relation des patients avec le système de santé – l’on boarding – constitue naturellement un levier très important pour améliorer l’efficience et la qualité de la prise en charge des patients diabétiques. Ces dispositifs technologiques constituent, en effet, des adjuvants utiles à la logique de reconnaissance de véritables parcours patients, en cohérence avec l’évolution en cours vers des modes de financement innovants comportant une plus large part de forfaitisation.
Le principe de garantie humaine de l’intelligence artificielle : levier de régulation éthique positive pour protéger les patients souffrant de maladies chroniques
Le data tracking
La gestion de crise Covid-19 et les cas de recours à l’IA ont montré à quel point il était nécessaire d’entourer cette diffusion de l’intelligence artificielle d’une régulation éthique. Les problématiques relevées au cours de cette période si difficile ont été démultipliées pour les patients souffrant de maladies chroniques. Dans ces conditions, il apparaît impératif de bien mesurer la valeur de ces nouveaux cas d’usage ainsi que les enjeux éthiques associés. Dans la réponse au Covid-19, certains pays – en particulier en Asie – ont eu plus largement recours que d’autres à l’IA, au pilotage par les données et aux technologies numériques. Des dispositifs de reconnaissance faciale ainsi que l’utilisation de thermomètres connectés ont permis la surveillance de la température et l’identification de personnes à risque d’être positives au Covid-19. Les données de géolocalisation ont été largement utilisées pour connaître les flux des personnes et bloquer certains déplacements. Ils ont aussi été utilisés pour décontaminer massivement les zones confinées. Des robots ont été introduits dans certains hôpitaux, pour accompagner, voire renforcer, les équipes médicales, assurer une présence auprès des patients et répondre à leurs besoins, décontaminer certains services… Le data tracking a été mis en œuvre sans restriction et un choix d’efficacité a été fait au détriment de la protection des données de santé.
Une promesse d’accélération de procédés pour le diagnostic et la recherche
Mais, au-delà des recours à ces dispositifs fortement visibles et dont les usages ont été pour certains contestables au regard des principes de nos sociétés démocratiques, le recours à l’intelligence artificielle en temps de crise épidémique porte aussi la promesse d’accélération de certains procédés relevant aussi bien du diagnostic que de la recherche. Des méthodes diagnostiques reposant sur la reconnaissance d’images par apprentissage machine permettraient un diagnostic beaucoup plus rapide et efficace sur la base de clichés de tomodensitométrie. L’IA induit aussi un potentiel d’apport majeur concernant l’identification d’éventuels traitements efficaces. Des modèles testent actuellement l’efficacité de certaines molécules disponibles sur le marché sur la structure protéique du virus. Cette première sélection permettrait ensuite la mise en place de protocoles sur ces molécules pré-identifiées.
Des options éloignées des principes du RGPD et des valeurs de la médecine personnalisée
Par ailleurs, un débat mondial s’est fait jour sur le recours au data tracking, traitement massif de données pour suivre les personnes infectées et, le cas échéant, faire respecter les mesures de confinement. Ce type de dispositif a d’ores et déjà été mis en œuvre en Asie dans des contextes autoritaires. L’Europe a cherché la voie d’une possible introduction de ce type de vecteur dans des contextes de compatibilité avec les valeurs essentielles qui avaient sous-tendu l’adoption du RGPD. Néanmoins, les options radicales, choisies par certains pays, pour répondre au risque collectif au détriment de la protection des libertés individuelles, semblent très éloignées des principes fondateurs du RGPD en Europe et, plus largement, des valeurs essentielles de notre médecine personnalisée.
Le concept de garantie humaine de l’IA
Dans ce contexte, il apparaît donc impératif de promouvoir une véritable régulation éthique positive, pour s’ouvrir à l’innovation tout en maîtrisant les risques éthiques à l’IA. Le principe de garantie humaine de l’IA, proposé voici près de 3 ans avec Ethik-IA, vise à y répondre à cette fin. Ce principe a été reconnu dans les avis 129 et 130 du CCNE et dans l’article 11 du projet de loi bioéthique. La pandémie de Covid-19 a interrompu le calendrier parlementaire et donc suspendu l’adoption définitive de la révision bioéthique. Dans le contexte d’urgence créé par le Covid-19, nous pourrions avancer dès à présent pour rendre effectifs les principes portés par l’article 11.
Les principes
Le concept de « Garantie humaine » peut paraître abstrait, mais il est, en réalité, très opérationnel. Et je crois profondément que ce que nous vivons actuellement dans le débat sur le recours au numérique face au Covid-19 – avec, en particulier, la question du data tracking – montre toute la nécessité d’une mise en application immédiate de ce principe. Dans le cas de l’IA, l’idée est d’appliquer les principes de régulation de l’intelligence artificielle en amont et en aval de l’algorithme lui-même en établissant des points de supervision humaine. Non pas à chaque étape, sinon l’innovation serait bloquée, mais sur des points critiques identifiés dans un dialogue partagé entre les professionnels, les patients et les concepteurs d’innovation.
Une révision a posteriori des dossiers médicaux
La supervision peut s’exercer avec le déploiement de « collèges de garantie humaine » associant médecins, professionnels paramédicaux et représentants des usagers. Leur vocation serait d’assurer a posteriori une révision de dossiers médicaux pour porter un regard humain sur les options thérapeutiques conseillées ou prises par l’algorithme. L’objectif consiste à s’assurer “au fil de l’eau” que l’algorithme reste sur un développement de machine learning à la fois efficace médicalement et responsable éthiquement. Les dossiers à auditer pourraient être définis à partir d’événements indésirables constatés, de critères prédéterminés ou d’une sélection aléatoire.
Un premier cas pilote en phase de déploiement
Un premier cas pilote de collège de garantie humaine est en phase de déploiement sous l’égide de l’Union française pour la santé bucco-dentaire (UFSBD) : il mettra en œuvre, dans le cadre d’un programme article 51 LFSS, une supervision pour un programme d’IA applicable aux soins dentaires pour 48 Ehpad et mis en œuvre par la start-up française Dental Monitoring. Cette méthodologie est, en outre, mobilisée dans le cadre des travaux de DRIM France IA, démarche majeure de rassemblement des acteurs de la radiologie française pour le développement responsable de l’IA dans cette discipline. Une telle démarche incluant patients et professionnels trouverait naturellement à s’appliquer à l’ensemble des cas d’usage évoqués de l’IA dans le domaine de la prise en charge du diabète.
La télémédecine de garantie humaine
La télémédecine peut, aussi, constituer une garantie pour un déploiement responsable de la robotisation et de l’intelligence artificielle en santé. Dans ce cadre, une nouvelle forme de télémédecine peut émerger : la télémédecine de garantie humaine du numérique et de l’intelligence artificielle en santé. Ce levier peut exister au niveau national. Il peut aussi être constitué au niveau international. Ce vecteur vise à solliciter un second avis par rapport à une première proposition algorithmique. Ces seconds avis pourront être sollicités par les patients ou les professionnels en cas de doute face à la pertinence du diagnostic algorithmique. Cette forme de téléexpertise de garantie humaine peut constituer un recours utile en cas de délégation de certaines fonctions de gestion du risque épidémique à des vecteurs numériques, robotiques et d’IA.
La formalisation juridique
S’agissant de la formalisation juridique, ce nouveau cas d’ouverture de la télémédecine pourrait très bien entrer, en droit français, dans le cadre de la définition législative posée par le Code de la santé publique. Cette téléexpertise de garantie humaine peut être recommandée par des normes nationale, européenne et/ou internationale à titre de clause de vérification humaine régulière de l’adéquation médicale, éthique et juridique de l’algorithme ou du dispositif numérique.
Les concrétisations
Il est à relever que le principe de garantie humaine a reçu, sur le dernier trimestre, des concrétisations dans trois autres cadres très significatifs : • d’une part, la garantie humaine devrait, ainsi qu’Isabelle Adenot, membre du collège de la Haute autorité de santé, l’a annoncé dans le cadre d’un colloque dédié au principe par la Chaire santé de Sciences Po le 14 janvier dernier, être intégrée à la grille d’auto-évaluation des dispositifs médicaux intégrant de l’IA préalablement à leur admission au remboursement ; • d’autre part, le principe de garantie humaine fait actuellement l’objet de discussions et de prolongements dans le cadre de la task-force dédiée par l’OMS à la régulation de l’IA en santé en vue de l’émission d’une recommandation dans le courant de cette année 2020. Cette task-force a également conduit des travaux spécifiques sur les enjeux éthiques du recours à l’IA face au Covid-19 ; • enfin, le principe a été repris dans le Livre blanc sur l’IA publié par la Commission européenne le 19 février 2020.
Conclusion
La diffusion rapide de l’IA au sein de notre système de santé constitue donc une opportunité d’avancées très significatives au service des patients diabétiques. Il apparaît primordial de s’ouvrir en France et en Europe à cette vague d’innovations, faute de quoi nous risquerions de nous voir imposer des solutions numériques conçues hors du périmètre d’application du règlement général européen sur la protection des données. C’est le sens du principe d’une garantie humaine de l’intelligence artificielle pour diffuser l’innovation en santé tout en régulant ses enjeux éthiques.
Par Diab Bruxelles dans Accueil le 10 Octobre 2024 à 13:46
La Fédération vous informe sur le remboursement d’un nouveau système de mesure continue du glucose : Dexcom ONE +.
Bonne nouvelle pour les personnes atteintes d’un diabète : le système Dexcom ONE+ est remboursé pour les patients sous insulinothérapie intensifiée ou insulinothérapie non intensifiée*. La société Dexcom vient d’annoncer que ce dispositif est également disponible en pharmacie depuis le 7 octobre. Avec notamment un capteur étanche, qui s’initialise en 30 minutes et une taille plus petite que le capteur Dexcom ONE, le remboursement de ce dispositif permet d’améliorer le quotidien des personnes vivant avec un diabète.
Les indications de prescription et de prise en charge de Dexcom ONE +
Selon l’arrêté, ce système s’adresse : - aux patients diabétiques de type 1 ou type 2, adultes et enfants âgés d'au moins 2 ans traités par insulinothérapie intensifiée (par pompe externe ou ≥ 3 injections par jour), en complément d'une autosurveillance glycémique capillaire, - aux patients diabétiques de type 2, adultes et enfants âgés d’au moins de 2 ans traités par insulinothérapie non intensifiée, dont l’équilibre glycémique est insuffisant (HbA1c ≥ 8 %).
La prise en charge exclut son utilisation avec un système de boucle fermée ou semi fermée.
La durée de port des capteurs est de 10 jours avec délai supplémentaire de 12 heures à la fin de la session permettant de changer le capteur. Le nombre de capteurs pris en charge par an et par patient est limité à 36 capteurs.
La prescription initiale du système Dexcom ONE, soumise à une période d’essai de 1 à 3 mois, ainsi que son renouvellement sont assurés par un diabétologue ou un pédiatre expérimenté en diabétologie ou par un médecin généraliste pour les patients traités par insulinothérapie non intensifiée.
Pour en savoir plus sur les modalités de prescription du dispositif et votre éligibilité, votre diabétologue ou votre médecin généraliste sera de bons conseils.
*Sources : Dexcom, Inc. Simple discret et efficace : le nouveau capteur de glucose Dexcom ONE + est désormais remboursé et disponible en pharmacie à partir du 7 octobre. Communiqué de presse, 7 octobre 2024.
Arrêté du 11 septembre 2024 portant inscription du système de mesure en continu du glucose interstitiel DEXCOM ONE + de la société DEXCOM France au titre Ier de la liste des produits et prestations remboursables prévue à l'article L. 165-1 du code de la sécurité sociale
Crédit photo : Dexcom
https://www.federationdesdiabetiques.org/federation/actualites/le-systeme-de-mesure-en-continu-du-glucose-dexcom-one-desormais-rembourse-et-disponible-en-pharmacie
Par Diab Bruxelles dans Accueil le 9 Octobre 2024 à 17:42
Ingrédients (pour 4 personnes) :
- 200 g d’allumettes de bacon ou allumettes de dinde
- 1 c. à café de miel
- 1 c. à soupe de vinaigre balsamique
- 1 grosse salade frisée
- 4 tomates
- 6 pommes de terre de la taille d’un œuf soit 600 g
- 4 œufs
- sel, poivre
Technique de préparation :
- Éplucher puis cuire les pommes de terre à l’eau bouillante salée 20 minutes, les égoutter et réserver
- Laver, essorer et couper la frisée
- Couper les tomates en quartiers
- Dans une poêle très chaude, cuire les allumettes de bacon sans matière grasse
- Quand ils sont cuits, y ajouter le miel et le vinaigre balsamique
- Ajouter les pommes de terre puis bien mélanger
- Dans 4 assiettes creuses, garnir une bonne portion de frisée et de tomate puis ajouter le mélange de pomme de terre par-dessus
- Déposer sur chaque assiette un œuf sur le plat cuit dans la même poêle
- Saler et poivrer
Le jaune d’œuf en coupant le tout servira de vinaigrette.
Valeurs nutritionnelles (pour 1 personne) :
- Énergie : 1325 kJ/ 320 kcal
- Matières grasses : 9 g
- Glucides : 35 g
- Protéines : 21 g
https://www.diabete.be/actualites-et-agenda-6/actualite-196/notre-recette-du-mois-427#gsc.tab=0
Par Diab Bruxelles dans Accueil le 8 Octobre 2024 à 15:08
Comment parler de la cuisine argentine sans évoquer les empanadas, ces petits chaussons garnis à la viande ou aux légumes que l’on dévore en tapas. Autre emblème de la gastronomie du pays : la sauce chimichurri, une vinaigrette épicée au persil frais, idéale pour faire mariner la viande. Pour terminer sur une note sucrée, on se délecte de dulce de leche (confiture de lait) dont les argentins raffolent, particulièrement dans les alfajores. Bon voyage !
Recettes du monde
Calamars frits
- Apéritif - Facile
- 10 min.
- 4 min.
Ingrédients
- 1 kg de calamars entiers
- 4 oeufs
- 250 g de chapelure
- huile pour friture
- persil
Préparation
-
Rincez les calamars sous l'eau froide. Egouttez-les. Coupez les cornets en rondelles.
-
Cassez et battez les œufs dans une assiette creuse. Mettez la chapelure dans l'autre. Passez chaque morceau de calamar dans l'œuf, puis dans la chapelure. Faites-les frire dans l'huile bouillante pendant 3 à 4 min.
-
Egouttez les calamars et servez-les saupoudrés de persil.
L'astuce
Vous pouvez les servir à l'apéritif.
Cheveux d’ange frits aux petits calamars
© Jean-Claude Amiel
Nombre de personnes4 personnes
Temps de préparation30 min.
Temps de cuisson20 min.
Ingrédients
- 150 g de petits calamars
- pour les cheveux d'ange
- 200 g de cheveux d'ange numéro 0
- 1 poche d'encre de seiche
- 1/2 verre(s) de vin blanc
- 1/2 verre(s) d'eau minérale
- 1/2 verre(s) d'huile d'olive
- pour la garniture
- 50 g de tomates frites
- 50 g de pimientos del piquillo
- 1 gousse d'ail
- 1 nyore (ou piment d'espelette) réhumidifiée et frite
- 1 cuillère(s) à café de sel
- 1/2 verre(s) de vin blanc
Préparation
-
Dans une poêle, faites frire à feu doux les cheveux d’ange dans l’huile d’olive, sans cesser de remuer, jusqu’à obtenir une couleur toastée. Réservez.
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Diluez l’encre de seiche dans l’eau préalablement mélangée au vin blanc, puis incorporez les cheveux d’ange, en remuant énergiquement pour que l’encre se distribue uniformément. Réservez une fois le bouillon entièrement absorbé.
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Mixez tous les ingrédients de la garniture. Mélangez-la aux cheveux d’ange, réchauffez sur le feu. Répartissez dans des assiettes.
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Faites sauter les calamars, parsemez-les sur les cheveux d’ange.
L'astuce
Accompagnez cette recette d’un aïoli.
5 sur 5
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https://www.elle.fr/Elle-a-Table/Recettes-de-cuisine/Cheveux-d-ange-frits-aux-petits-calamars-2975995
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