Bienvenue chez N.Quinn, D.Thomas, P.Robert, N.Dellis et MT Van der Maeren tous bénévoles et diabétiques. Nous faisons partie du Conseil des Patients de la Maison ABD Bruxelles Les décès de notre groupe : Axel Dierckx qui était le président du Conseil des Patients Brigitte Secat qui a été administratrice de notre association
Etat général du donneur
Pour pouvoir donner, il faut peser au minimum 50 kg. En dessous de cette valeur, la corpulence est insuffisante pour qu'une
unité thérapeutique puisse être prélevée. Le don est également proscrit en cas de grande fatigue, d'anémie, de diabète insulino-dépendant ou de traitement pour des crises d'épilepsie. Les
femmes enceintes ne doivent pas non plus donner et ce, jusqu'à six mois après l'accouchement, pour éviter tout risque d'anémie. Pour les personnes sous protection légale (tutelle ou curatelle),
le don est également proscrit de façon réglementaire.
Infections en cours
En cas de maladie virales (ex.: grippe, gastro-entérite…), il faut attendre deux semaines après
la fin des symptômes pour pouvoir donner son sang. De même, en cas de prise de médicaments (antibiotiques, corticoïdes en comprimés…), il faut respecter un délai de 14 jours après la fin du
traitement. S'il s'agit de maladies transmissibles par le sang (syphilis, hépatites virales B et C, VIH), le don est proscrit.
Exposition à des risques d’infection
Après certains actes de la vie quotidienne, il faut respecter un délai déterminé avant de pouvoir donner son
sang :
Pour les personnes ayant déjà subi une transfusion sanguine, une greffe d'organe, de tissus ou de cellules, le don de sang n'est pas possible, dans un souci de protection du malade mais aussi du donneur.
En cas de séjour en Grande Bretagne de plus de 12 mois entre 1980 et 1996, le don du sang est proscrit. Il existe en effet un risque théorique de transmission de l'encéphalopathie spongiforme bovine ou "maladie de la vache folle".
En cas d'injection de drogue par voie intraveineuse, actuelle ou passée, il existe un risque de contaminations infectieuses, qui entraîne une impossibilité de don.
D'une manière générale, seule la personne qui effectue l’entretien médical pré-don est habilitée
à décider de l'aptitude d’une personne à donner ou non son sang et examine chaque cas médical. N’hésitez pas à vous renseigner auprès d’un site de l’EFS.