Bienvenue chez N.Quinn, D.Thomas, P.Robert, N.Dellis et MT Van der Maeren tous bénévoles et diabétiques. Nous faisons partie du Conseil des Patients de la Maison ABD Bruxelles Les décès de notre groupe : Axel Dierckx qui était le président du Conseil des Patients Brigitte Secat qui a été administratrice de notre association
Par Diab Bruxelles
Une fois n'est pas coutume et la plupart des diabétologues sont d'accord : il est tout à fait possible d'autoriser un enfant diabétique à manger sa part de bûche de Noël en guise de dessert à la fin du repas de famille.
Outre le fait que cela n'aura que très peu d'influence sur sa glycémie - le taux de sucre dans le sang -, cela lui permettra de participer pleinement à la fête !
Il y a quelques années encore, on interdisait toute sucrerie aux diabétiques traités par insuline. Et pour cause : sucres et pâtisseries peuvent augmenter brutalement le taux de sucre dans le sang, ce qui aggrave l'état diabétique. Et puis au fil du temps, il est apparu que les sucreries prises à la fin d'un repas, c'est à dire au moment du dessert, étaient bien mieux tolérées que celles prises entre les repas.
C'est surtout vrai lorsque le repas en question a comporté des légumes ou de la salade : dans ce cas, le sucre du dessert est en quelque sorte « dilué » dans le bol gastrique, et ne provoque qu'une augmentation modérée de la glycémie.
Cela dit, la bûche de Noël n'est pas le moins sucré des desserts, loin de là... ! Mais à titre exceptionnel, votre enfant peut en manger. Il n'y a pas de raison de l'en priver et de le laisser, tout triste, regarder ses frères, sœurs ou cousins se régaler sans lui...
Au besoin, parlez-en à son médecin traitant. Il pourra vous conseiller l'injection d'une petite dose supplémentaire d'insuline juste avant le repas de fête.
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