• Bonjour,

    Les arnaques sur les étiquettes n’ont pas de frontières, et elles n’hésitent pas à surfer sur la vague du « fabriqué en France » lorsqu’il y a quelques euros de plus à faire. En cette veille de fête nationale, foodwatch se révolte contre les arnaques au « made in France », et vous dévoile dix exemples concrets.

    La cocarde du grand n’importe quoi revient à ces cornichons Charles Christ estampillés « bleu-blanc-rouge » accompagnés de la mention « conditionné dans le Loir-et-Cher ». Mais l’origine des légumes a de quoi surprendre : les cornichons cultivés en Inde ont en fait traversé la moitié de la planète avant d’arriver dans nos rayons.

    Cartes de France, drapeaux tricolores, logos fantaisistes, mentions diverses et variées… les marques rivalisent de créativité pour pousser les consommateurs à mettre la main au portefeuille. Ils savent bien que 9 personnes sur 10 sont prêtes à payer un peu plus pour consommer français. Or quand on se penche de plus près sur l’origine réelle des ingrédients, c’est souvent le flou artistique. foodwatch a ainsi débusqué dix exemples qui montrent que tous les rayons, et toutes les gammes sont concernés.

     

    Un aliment peut donc être constitué d’ingrédients aux origines lointaines (et souvent inconnues), tout en affichant fièrement un drapeau tricolore à l’avant de son emballage. C’est – malheureusement – tout à fait légal. Pour changer les règles du jeu, et contraindre les fabricants à donner des informations claires et accessibles à tous, soutenez les campagnes de foodwatch .

    Merci !


    P.S.: Au-delà de la question des ressources financières, votre inscription en tant que donateur(trice) mensuel(le) renforce notre rôle collectif . Plus nous serons nombreux, plus notre voix en tant que contre-pouvoir citoyen pèsera.

    Votre soutien est aussi la garantie de notre indépendance : foodwatch refuse toute subvention publique ou contribution d’entreprises qui pourraient présenter le moindre conflit d’intérêt. Ce sont vos dons réguliers qui rendent possibles nos actions. Cette indépendance fait notre force.

     

     info@foodwatch.fr

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  • EXPERT TECH

    Marc Zaffagni

     

    Journaliste

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  • Âge, poids : certaines restrictions au don du sang peuvent surprendre. Décryptage avec le Dr Dominique Legrand de l'Etablissement français du sang.

    Si être en bonne santé semble une condition préalable raisonnable au fait de donner son sang, d'autres critères restrictifs fixés par le décret de janvier 2009 sont moins évidents. Explications avec le Dr Dominique Legrand, directrice de l'Etablissement français du sang en Rhône-Alpes.

    • Les règles qui visent à préserver la santé du donneur:

    Le donneur ne doit pas souffrir d'anémie, de diabète de type 1 ou avoir eu un cancer. Les femmes enceintes sont exclues jusqu'à 6 mois après l'accouchement, de même que les mineurs (plus sensibles aux malaises) ou les personnes de plus de 70 ans qui présentent un risque accru de maladies chroniques, cardio-vasculaires notamment.

    Plus étonnant, un poids corporel minimum de 50 kg est exigé pour le donneur. «La loi interdit de prélever plus de 13% du volume sanguin total d'une personne. Or, chez les personnes de petit poids et petite taille, ce volume est relativement bas. Il ne permet pas d'atteindre les 450 ml nécessaires à la fabrication d'un produit sanguin de qualité permettant d'offrir une dose thérapeutique au patient», explique le Dr Legrand.

    • Les règles visant à réduire les risques de transmission d'une infection:

    Les personnes ayant eu une maladie virale type grippe ou gastro-entérite doivent atteindre deux semaines après la fin des symptômes pour donner leur sang. En cas de traitement (antibiotiques, corticoïdes…), un même délai est imposé après la dernière prise.

    Les personnes qui se savent infectées par une maladie transmissible par voie sanguine (syphilis, hépatites virales B et C, VIH) sont naturellement exclues.

    D'autres délais de précaution s'expliquent par le temps que peut mettre un virus avant d'être détectable dans le sang - on appelle cela la «fenêtre sérologique». C'est pourquoi il faut attendre 4 mois après s'être fait tatouer ou piercer, ou après avoir eu un rapport sexuel non protégé avec un partenaire occasionnel.

    Les hommes ayant eu des relations sexuelles avec des hommes au cours de leur vie n'ont plus le droit de donner leur sang depuis la publication d'une circulaire en 1983, à l'époque où il n'existait pas de test de dépistage du VIH. Aujourd'hui, cette interdiction s'appuie sur un risque de contamination plus élevé dans la population homosexuelle masculine que dans la population hétérosexuelle ou lesbienne, selon des statistiques communiquées par l'Institut nationale de veille sanitaire.

    L'interdiction de donner son sang est également stricte pour les personnes ayant été transfusées. «Ici, on anticipe la possibilité que le donneur ait été contaminé, lors de sa transfusion, par une maladie émergente que nous ne savons pas encore détecter. L'idée étant d'arrêter la chaîne de transmission entre transfusés», explique le Dr Legrand.

    Enfin, les personnes ayant séjourné au Royaume-Uni entre 1980 et 1986 sont elles aussi exclues pour parer au risque de contamination par la maladie de la vache folle.

    VOTRE AVIS - Un rapport remis à Marisol Touraine préconise l'ouverture du don du sang aux homosexuels. Comprenez-vous cette recommandation et pourquoi? Faites-nous part de votre avis dans les commentaires ci-dessous ou en nous écrivant à temoin@lefigaro.fr.

    EN SAVOIR PLUS:

    » Sang, plaquettes: les différents types de dons

    LIRE AUSSI:

    » Les homosexuels pourront bientôt donner leur sang

    » Faut-il abaisser à 16 ans l'âge du don de sang? 

    Pauline Fréour
    Auteur - Sa biographie  69 abonnés
     
     
    http://sante.lefigaro.fr/actualite/2013/07/17/20993-exclus-don-sang
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  • L'insuline est la clef qui permet de faire pénétrer le sucre dans nos cellules. Chez les personnes atteintes d'obésité, les mécanismes mis en jeu par cette molécule se détériorent et entraînent l'apparition d'un diabète de type II. L'équipe de Philippe Valet (Unité Inserm 858 "Institut de médecine moléculaire de Rangueil") vient de mettre en évidence une nouvelle voie de secours qui, activée, participe à la régulation du taux de sucre dans l'organisme. Celle-ci fait appel à une protéine : l'apeline.
    Ces travaux sont publiés le 5 novembre 2008 dans la revue Cell Metabolism.

    diabete_bis

    Le sucre, naturellement présent dans le sang sous forme de glucose, est stocké dans le foie ou le tissu adipeux (graisse) grâce à l'action de l'insuline. Selon les besoins de l'organisme, le glucose est stocké ou directement utilisé pour assurer le bon fonctionnement du coeur, du cerveau, etc.

    Il arrive que ce mécanisme se détériore soit parce que l'insuline n'est plus produite (diabète de type I), soit parce que les récepteurs situés à la surface des cellules du foie se désensibilisent (diabète de type II). En conséquence, la cellule n'est plus capable d'assimiler le glucose. Un tel dysfonctionnement entraîne une élévation de la teneur en sucre dans le sang causant l'apparition de nombreuses complications.

    L'équipe de Philippe Valet vient de révéler que nos cellules sont dotées d'une deuxième voie permettant d'assimiler ce glucose. Cette découverte repose sur une protéine appelée "apeline" (1).

    Celle-ci, outre le fait d'être une "clef" différente de l'insuline passe également par un récepteur, une "porte d'entrée", différente.

    Pour le patient diabétique de type II, chez lequel ce n'est plus la clef mais la porte, ou récepteur, qui est biaisée, cette avancée fondamentale permet d'imaginer un traitement efficace. En effet, la découverte de l'équipe de Philippe Valet autorise, en court-circuitant ce mécanisme, l'assimilation du sucre par une voie totalement différente de celle médiée par l'action de l'insuline.

    En temps normal, cette seconde voie n'assure qu'une faible part de l'intégration du sucre. Mais comme l'ont prouvé les tests réalisés chez la souris par les chercheurs de l'Inserm, dans le cas du diabète de type II, si cette seconde voie est activée, elle est capable d'améliorer la régulation du taux de sucre dans le sang. "Il reste maintenant à vérifier l'action de cette protéine chez l'homme. En parallèle, nous développons une molécule de synthèse qui pourrait être utilisée si les tests chez l'homme s'avèrent positifs" conclut Philippe Valet.

    Note :
    (1) L'apeline est une protéine synthétisée et sécrétée par les cellules du tissu adipeux. De précédents travaux menés par cette équipe avaient mis en évidence une augmentation de sa concentration sanguine chez les personnes obèses et chez les sujets atteints de diabète de type II suggérant un lien avec la régulation du glucose dans l'organisme.


    Retour à la liste des communiqués de la thématique

    En savoir plus

    Source :

    Apelin stimulates glucose utilization in normal and obese insulin resistant mice
    Cédric Dray1,2, Claude Knauf1,2, Danièle Daviaud1,2, Aurélie Waget1,2, Jérémie Boucher1,2, Marie Buléon1,2, Patrice D Cani3, Camille Attané1,2, Charlotte Guigné1,2, Christian Carpéné1,2, Rémy Burcelin1,2, Isabelle Castan-Laurell1,2 and Philippe Valet1,2
    Cell Metabolism, November 5th

    (1) Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (Inserm), U858, Toulouse, France
    (2) Université de Toulouse, UPS, Institut de Médecine Moléculaire de Rangueil (I2MR), IFR31, F-31432 Toulouse cedex 4, France
    (3) Université catholique de Louvain, Unit PMNT 73/69, Brussels, Belgium

    Contact chercheur :

    Philippe Valet
    Unité Inserm 858 "Institut de médecine moléculaire de Rangueil"
    Tél. : 05 61 32 56 34
    philippe.valet@inserm.fr

     

    https://www.inserm.fr/espace-journalistes/l-apeline-au-secours-des-diabetiques

     

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  •  

    Crédits : iStock

    Une étude menée conjointement par des chercheurs du King’s College de Londres et de l’Université de Lund en Suède pourrait expliquer pourquoi certains traitements qui ont fonctionné chez la souris n’ont pas eu autant de succès chez les humains. Les chercheurs ont découvert des différences, mais aussi des similitudes inconnues dans la fonction des cellules bêta productrices d’insuline.

    Les souris partagent de nombreuses similitudes biologiques avec les Hommes. C’est pourquoi elles font des sujets d’étude précieux. Il arrive cependant parfois que les traitements qui fonctionnent chez la souris échouent sans explication lors des premiers essais cliniques. Les chercheurs de l’Université de Lund en Suède et du King’s College de Londres ont alors tenté de déterminer pourquoi cela se produisait. Après analyses, ils ont constaté que souris et humains présentaient des différences au niveau des récepteurs couplés à la protéine G (GPCR) sur les cellules bêta productrices d’insuline dans le pancréas.

     

    L’équipe explique avoir cartographié ces récepteurs qui contrôlent la fonction des cellules bêta. Ils ont ensuite comparé la présence de ces récepteurs dans les cellules humaines avec leur présence dans deux types de souris de laboratoire utilisées depuis plus de cent ans pour étudier les maladies humaines. « Nos résultats montrent qu’il existe une grande différence entre les souris et les humains, mais aussi qu’il existe des différences chez les deux types de souris », explique le Dr Stefan Amisten, du King’s College. En d’autres termes, une partie des récepteurs couplés à la protéine G sur les cellules bêta productrices d’insuline retrouvée chez la souris n’est pas retrouvée chez l’Homme. C’est pourquoi certains médicaments sont inefficaces

     

    http://sciencepost.fr/2017/07/diabete-de-type-2-fonctionne-chez-souris-ne-fonctionne-chez-lhomme/

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  • Résultat de recherche d'images pour "stylo d'insuline novo pen"

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  • J'ai des varices pelviennes

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  • glave-vanille-sans-sucre

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  • Bernadette ” Cette maladie a été un booster de vie !”

     

    C’est un matin que la vie de Bernadette bascule. Cette mère de deux enfants raconte, “je me suis réveillée un matin, le sein gonflé”. S’en suit alors la période des examens. Et puis le doute s’installe jusqu’aux résultats. Le couperet tombe finalement, Bernadette a un cancer du sein. “Ma vie était finie, c’était clair”. Si l’annonce de ce résultat est aussi bouleversant pour cette femme, c’est parce que son passé la rattrape : elle a perdu sa mère à la suite d’un cancer du sein.

    Heureusement pour Bernadette, lorsque la chirurgienne de l’Hôpital privé Arras – Les Bonnettes(Groupe Ramsay Générale de Santé) lui explique qu’elle va être traitée par chimiothérapie, elle accompagne cette annonce de mots qui vont petit à petit prendre tout leur sens pour Bernadette “Ne pensez qu’à vous, vous n’aurez qu’à vous laisser porter.”

    Cet accompagnement du personnel a été un réel soutien pour Bernadette, “Quand on m’a annoncé ‘chimio’, je voyais un ‘mouroir’ “. La surprise est donc complète lorsqu’elle découvre ce service pleins de couleurs, de rires, de gentillesse émanant des infirmières. Elle confie que cela a été un grand soutien et lui a permis d’aller de l’avant plus facilement.

    Puis vint la période de l’acceptation de la maladie. Pas une partie de plaisir pour Bernadette “dans la vie, je suis quelqu’un de tonique et joyeuse, là, il a fallu jouer avec les deux.”

    Pour cette ancienne comédienne pourtant, “cette maladie a été un booster de vie,” puisque suite à son traitement, Bernadette a repris le chemin des planches !

    Aujourd’hui, Bernadette a repris le cours de sa vie, toujours aussi joyeuse et pleine d’entrain !

     

     

    https://wearepatients.com/cancer-du-sein/bernadette-cette-maladie-ete-un-booster-de-vie/

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  • En France, une femme sur deux et un homme sur dix rencontrent ou rencontreront, au cours de leur vie, des problèmes de circulation. Pour pallier ces problèmes, ils peuvent consulter un phlébologue, spécialiste du système veineux

     

      Le phlébologue est le médecin spécialisé dans le diagnostic et le traitement des maladies liées au système veineux. La plupart du temps, les personnes incommodées par un problème de circulation commencent par prendre conseil auprès de leur pharmacien, de nombreux médicaments étant délivrés sans ordonnance. Puis, ils se tournent vers leur médecin généraliste qui est en mesure de leur délivrer des veinotoniques ou de leur donner des conseils d’hygiène et d’alimentation. Si des examens complémentaires sont nécessaires, les généralistes redirigent leur patient vers les phlébologues. La consultation d’un phlébologue, dans le cadre du parcours de soins ,est remboursée à 70% du tarif conventionnel. Si la consultation a lieuen dehors du parcours de soins, le remboursement est de 60%. 

      Définition

      Un phlébologue est un médecin spécialisé dans les problèmes veineux qui traite les pathologies liées aux vaisseaux sanguins comme lymphatiques. Des symptômes tels que varicesœdèmes, mais aussi sensations de jambes lourdes et fourmillements doivent amener à consulter un phlébologue. Celui-ci va établir un diagnostic et soigner le patient - ou plus souvent la patiente. Si les maladies veineuses chroniques ne peuvent être guéries, le phlébologue a pour rôle de soulager les symptômes de ceux qui en souffrent. 

      Quand consulter ?

      De nombreux signes peuvent alerter les malades sur la nécessité de consulter. En effet, plusieurs symptômes sont caractéristiques d’une mauvaise circulation :

       
      • la sensation de jambes lourdes ;
      • des crampes ;
      • des fourmillements ;
      • des œdèmes (gonflements, notamment au niveau des chevilles) ;
      • varicosités ;
      • varices…


      Consultation

      Lors d’une consultation, le phlébologue commencera toujours par un interrogatoire du patient afin de comprendre la gêne qu’il ressent. Puis, il procèdera à l’auscultation afin de vérifier la présence de varicosités (petites lignes bleues apparaissant sous la peau suite à la dilatation d’une veinule), de varices ou d’anomalie de la voûte plantaire. Il pourra également réaliser des examens plus poussés, notamment un écho-doppler.Celui-ci permet de localiser précisément les sièges de reflux sanguins. 

      Les problèmes de circulation étant une maladie chronique, le phlébologue ne pourra pas la guérir, mais soulager le patient. Pour cela, il lui prescrira des veinotoniques, médicaments souvent à base de plantes favorisant la circulation sanguine, et des bas ou collants de contention. Il donnera également des conseils en matière d’hygiène et d’alimentation pour améliorer la situation : pratique du sport…

       
      http://sante-medecine.journaldesfemmes.com/faq/46530-phlebologue-phlebologie-quand-et-pourquoi-consulter
       
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    • La Chine connaît la plus grande épidémie de diabète dans le monde avec environ 11 % de ses habitants adultes souffrant de cette maladie métabolique tandis que près de 36 % sont pré-diabétiques, selon une vaste enquête nationale publiée mardi aux Etats-Unis.

       

      La Chine connaît la plus grande épidémie de diabète dans le monde, selon une vaste enquête nationale publiée mardi aux Etats-Unis. ©FRANCK FIFE / AFP

      Cette étude, effectuée en 2013 auprès de 170 287 participants, par notamment Limin Wang du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies à Pékin, fait l'objet d'une publication dans la revue Journal of the American Medical Association (JAMA).

      Ces chercheurs ont mesuré la glycémie  de chacun des participants à jeun. Une personne est considérée comme diabétique avec un taux supérieur à 126 milligrammes/décilitre de sang, et pré-diabétique avec un taux entre 105 et 126 mg/dl.

       

      L'hyperglycémie résulte de deux anomalies, un dysfonctionnement du pancréas qui fabrique l'insuline ou une résistance de l'organisme à cette hormone.

      Seulement 32 % des patients suivent un traitement

      Parmi les personnes diabétiques en Chine, 36,5 % étaient au courant de leur maladie dont 32,2 % suivaient un traitement. Parmi les personnes traitées 49,2 % contrôlaient leur glycémie.

      Une fréquence différente selon l’ethnie

      La fréquence du diabète parmi les participants chinois tibétains et musulmans est nettement plus faible que dans la population Han, très majoritaire.

      Ainsi 14,7 % des Hans sont diabétiques, 4,3 % des Tibétains et 10,6 % des musulmans.

      Une prévalence du diabète proche de celle des USA

      La prévalence du diabète adulte en Chine (10,9%) est proche de celle des Etats-Unis où en 2014 9,3 % des adultes américains (29,1 millions) souffraient de cette maladie, selon un rapport Centres fédéraux de contrôle et de prévention des maladies (CDC).

      Quant aux pré-diabétiques, ils représentaient aux Etats-Unis 37 % de la population (115 millions), soit la même proportion qu'en Chine, selon ce rapport.

      Près de 400 millions de pré-diabétiques

      Avec environ 1,09 milliard d'adultes en Chine continentale en 2013, 388,1 millions pouvaient être pré-diabétiques dont 200,4 millions d'hommes et 187,7 millions de femmes, selon l'étude chinoise publié dans JAMA.

      Les auteurs relèvent que cette plus faible prévalence du diabète en Chine par rapport à de précédentes estimations en 2010 pourrait s'expliquer par une méthode différente de mesure de la glycémie.

      Le diabète constitue un problème de santé publique majeur dans le monde et sa prévalence n'a cessé d'augmenter au cours des dernières décennies.

      422 millions de diabétiques dans le monde en 2014

      Au niveau mondial, 422 millions d'adultes vivaient avec le diabète en 2014, comparé à 108 millions en 1980, selon un rapport de l'Organisation mondiale de la santé publié en 2016.

      La prévalence du diabète a augmenté plus rapidement dans les pays à revenu faible ou intermédiaire.

      Le diabète est une cause majeure de cécité, d'insuffisance rénale, d'accidents cadriovasculaires et d'amputation des membres inférieurs, souligne l'OMS.

      Selon ce rapport, 1,5 million de décès ont directement résulté du diabète en 2012 et 2,2 millions ont été attribués à l'hyperglycémie.

      Créé le 28 juin 2017

      Sources :

      • AFP/Relaxnews
      • Wang L, Gao P, Zhang M et al. Prevalence and ethnic pattern of diabetes and prediabetes in China in 2013. JAMA, June 27, 2017 (résumé en ligne).
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    • Dans le Nord-Est de la Thaïlande, la consommation d'un plat traditionnel à base poisson cru expose la population à une infection à Opisthorchis viverrini, un ver qui engendre une infection du foie conduisant au développement d'un cancer très agressif.

       

      Le parasite d'un poisson consommé cru en Thaïlande à l'origine de nombeux cas de cancer

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    • Utilisateurs Omnipod : témoignez pour faire progresser notre étude !

      Vous utilisez ou avez utilisé la pompe My Life Omnipod.
      Cet usage vous concerne directement ou concerne l’un de vos proches.

      Nous vous invitons à répondre à un questionnaire sur l’usage d’Omnipod. Vos réponses nous sont particulièrement précieuses, car elles contribueront à une meilleure connaissance des conditions d’usage de ce dispositif.

      Vous utilisez Omnipod ?
      > Répondez à notre questionnaire !

      Pourquoi ce questionnaire sur la pompe Omnipod ?

      La Fédération Française des Diabétiques est régulièrement sollicitée au sujet de la pompe My Life Omnipod.

      De nombreuses personnes nous questionnent sur l’utilisation de ce nouveau dispositif de thérapie par pompe à insuline. Nous recevons également à son propos des témoignages dont la richesse et la diversité nous interpellent. Ces retours témoignent d’un vif intérêt pour la pompe My Life Omnipod, et nous incitent à approfondir la compréhension que nous en avons.

      C’est pourquoi au Diabète LAB, nous avons décidé de mener une étude sur l’utilisation de cette pompe au quotidien. Cette étude nous permettra de recueillir l’avis des patients sur les usages et les représentations de ce dispositif médical.

      Les statistiques ainsi constituées seront communiquées au département médical du fabricant Ypsomed pour qu’il tienne compte de vos avis.

      Comment a été conçu ce questionnaire ?

      Ce questionnaire sur la pompe My Life Omnipod a été élaboré conjointement par l’équipe du Diabète LAB et par des personnes diabétiques. Ces dernières, directement concernées, nous ont aidé à formuler des questions les plus claires possibles, mais aussi les plus pertinentes pour les scientifiques et les statisticiens qui en analyseront les tendances.

      Votre expérience est unique ! Complétez le questionnaire de l’étude, et n’hésitez pas à faire circuler le lien vers ce questionnaire auprès des personnes de votre entourage qui seraient susceptibles d’y répondre. Plus nous obtiendrons de contributions, plus les résultats seront précis et qualifiés…

      Comment répondre ?

      Vous êtes utilisateur de la pompe My Life Omnipod ou vous l’avez déjà utilisé ? Vous êtes parent ou proche d’un enfant qui l’utilise ou qui l’a déjà utilisé ?

      Merci de bien vouloir répondre à ce court questionnaire, qui vous prendra en moyenne 3 minutes.

      La synthèse des résultats sera publiée en octobre 2017 sur les sites internet de la Fédération Française des diabétiques et du Diabète LAB.

      Comment sont traités vos données et votre anonymat ?

      La Fédération Française des Diabétiques a choisi la plateforme de Recherche de Sanoïa. Cette dernière a conçu et réalisé le questionnaire en ligne de l’étude sur My Life Omnipod. Elle en réalisera aussi les analyses statistiques.

      Nous vous garantissons l’anonymat total de vos réponses. Les données que vous saisissez seront stockées chez un hébergeur agréé par le Ministère de la Santé (HADS). Pour en savoir plus sur la plate-forme Sanoïa : www.sanoia.com.

      Vous utilisez Omnipod ?
      > Répondez à notre questionnaire !

      Merci d’avance de la contribution que vous apporterez à l’étude de ce dispositif innovant de traitement du diabète. Avec vous, nous irons plus loin !

      http://blogdiabetelab.afd.asso.fr/utilisateurs-omnipod-temoignez-etude/#content

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    • Que votre enfant soit un enfant en bas âge ou un adolescent, MedicAlert offre plusieurs collections d'ID médicales qui garantissent la conformité à leurs préférences. De notre collection de bandes sportives de super-héros, à nos robustes styles de bracelets paracord, votre enfant est sûr d'être protégé et fier de leur mode d'identification médicale.

       

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    • Quatre vies, quatre histoires de patients qui ont mené un combat contre le cancer aux Cliniques universitaires Saint-Luc et qui, aujourd'hui, profitent pleinement de la vie. Des liens uniques tissés au coeur de l'hôpital, où soignants-soignés forment une alliance

       

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    • Les traitements de l'aponévrosite plantaire sont :

      • Suppression de la chaussure responsable, et mise au repos de la zone lésée (semelles orthopédiques, semelles en mousse).
      • Anti-inflammatoires et antalgiques (médicaments contre la douleur).
      • Tentative d'utilisation d'orthèse nocturne (appareil permettant d'empêcher l'aponévrose de continuer à se rétracter).
      • Mésothérapie (sans utilisation de dérivés de la cortisone).
      • Radiothérapie (utilisation des rayons à faibles doses et à faible intensité).
      • Quelquefois un soulagement est obtenu avec l'ionisation calcique.
      • Plus récemment ont été proposés des séances d'onde de choc ou une lithotritie extracorporelle avec résultats variables.
      • Des massages profonds de l'aponévrose plantaire apportent un certain soulagement.
      • Injection de corticoïdes directement dans l'aponévrose sous contrôle de l'échographie ou du scanner.
      • Utilisation de la chirurgie pour les formes rebelles. Elle consiste à inciser l'aponévrose : aponévrectomie. Elle a pour but de libérer l'aponévrose, le tissu pathologique est excisé (enlevé),  et ainsi que l'épine calcanéenne. Le patient est autorisé à poser le pied dès la cicatrisation, c'est-à-dire dès la troisième semaine. Les résultats sont généralement bons. Certaines équipes ont observé cependant un affaiblissement de la voûte plantaire.

      Complications de la maladie

      Les complications de l'aponévrosite plantaire sont :

      • Rupture de l'aponévrose.
      • Présence de nodules.
      • Présence de cavités ressemblant à des kystes.

      Symptomes

      • Une douleur modérée, mais dont l'intensité augmente au fil du temps (des mois, voire des années).
      • On constate une limitation du périmètre de marche (la distance effectuée par le patient est de moins en moins importante).
      • Certains patients nécessitent un dérouillage matinal.
      • Quelquefois le patient déclare une symptomatologie douloureuse nocturne (survenue de douleurs la nuit).
      • Chez le sportif de haut niveau, on constate une impotence fonctionnelle majeure.

      Physiopathologie 

      C'est l'aponévrose moyenne, qui est le plus souvent enflammée en cas d'aponévrosite plantaire (sportif, danseur, anomalies anatomiques). 

      • La maladie de Ledderhose, correspondant à une rétraction de l'aponévrose plantaire, est l'équivalent de la rétraction de l'aponévrose palmaire de la main (pathologie entraînant une flexion des doigts).
      • Quand cette anomalie touche la main, elle porte le nom de maladie de Dupuytren, et maintient les doigts en flexion (repliés). 

       

      Diagnostic différentiel 

      Il ne faut pas confondre l'aponévrosite plantaire avec la talalgie (douleur du talon) quelquefois secondaire à une fracture de fatigue du calcanéum.

       
      Examen médical
       
      • C'est essentiellement l'I.R.M. qui est l'examen d'imagerie le plus performant. Néanmoins, il présente un inconvénient : son coût. Pourtant, chez les sportifs (en particulier de haut niveau), ou chez un sujet sédentaire il peut montrer les différents types d'anomalies de l'aponévrose concernée.
      • Certaines équipes médicales font une injection de gadolinium, ce qui permet un rehaussement du signal reçu par I.R.M. Celui-ci est d'autant plus important que la lésion est fraîche.
      • En présence d'une myo-aponévrosite chronique on note quelquefois une aponévrose qui est épaissie et irrégulière.
      • Il existe quelquefois des microruptures qui apparaissent en hypersignal  T2 ou qui sont rehaussées en T1 après injection de gadolinium. 
      • L'échographie objective une augmentation d'épaisseur de l'aponévrose plantaire en cas d'aponévrosite plantaire. Elle mesure alors 5 mm en moyenne contre 3 mm habituellement. Dans la majorité des cas, les spécialistes relèvent qu'il existe un aspect hypoéchogène.
      • D'autre part, l'échographie permet de mettre en évidence des sortes de kystes
      • La radiographie et la scintigraphie osseuse mettent en évidence l'épine calcanéenne et l'enthésopathie.  L'enthèse est la zone d'insertion des tendons et des ligaments sur un os. L'enthésopathie (ou enthésiopathie) est habituellement d'origine inflammatoire. La radiographie permet également de mettre en évidence des calcifications (dépôts de carbonate de calcium) près de la face inférieure de calcanéum.

      Consultation médecin 

      L'examen clinique note quelquefois des éléments négatifs, c'est-à-dire l'absence de douleurs au niveau des articulations tibiotarsiennes (vers le milieu du pied), et sous-astragaliennes (en dessous du talon).

      Le plus souvent, on constate à la palpation, des douleurs localisées à la face plantaire du talon, et quelquefois à la face latérale interne qu'il est possible quelquefois de déclencher en appuyant sur le dessous du pied, ou en serrant le talon, ou l'arrière pied dans sa main.

       
       

      Cause 

      Dans la quasi-totalité des cas, l'aponévrose plantaire survient chez un sportif, au cours d'une marche prolongée, après des microtraumatismes répétitifs avec une chaussure inadaptée. Elle peut également faire suite à :

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