• La recette du mois

    Cake poire - gingembre - chocolat à la vapeur 

     

    Ingrédients (pour 10 portions)

    3 oeufs

    75 g de poudre d'amande

    120 g de yaourt (ou alternative végétale à base de soja)

    100 g de chocolat noir

    75 g de farine de châtaignes

    1 càc de bicarbonate de soude

    1 grosse poire

    1 cm de gingembre frais

    vanille (en poudre ou bâton)

              

    Préparation 

    - Laver et couper la poire en 4 (réserver un quart pour la décoration). Epépiner et découper en petits cubes. Peler le gingembre et le hacher finement. Faire cuire les cubes de poire, le gingembre et la vanille jusqu'à obtenir une compote (il peut y rester des morceaux)

    - Préchauffer le cuit-vapeur si nécessaire

    - Dans un bol, mélanger les oeufs, la poudre d'amandes, le yaourt

    - Faire fondre le chocolat et l'incorporer à la préparation

    - Ajouter la faine et le bicarbonate petit à petit pour éviter la formation de grumeaux

    - Verser la moitié de la pâte dans un moule à cake, répartir la compote de poire et couvrir la pâte restante !  Décorer avec le quart de poire découpé en fines lamelles

    - Faire cuire à la vapeur durant 20 minutes

    - Se déguste tiède ou froid

     

    Valeurs nutritionnelles (pour 1 part)

    Énergie : 699 kJ / 167 kal

    Matières grasses : 9,5 g

    Glucides : 15 g

    Fibres : 3 g

    Protéines : 5 g

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    http://www.diabete-abd.be/actualites/la-recette-du-mois.aspx

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  • A la découverte des labos

    Diabète : le rôle surprenant des tissus adipeux

    Actualité

    On croyait que les cellules immunitaires étaient uniquement produites par des cellules souches dans la moelle osseuse. Une équipe du laboratoire STROMALab, dirigé par le Pr Louis Casteilla, a montré voici cinq ans que les tissus graisseux abritent également de telles cellules souches. Dans un article récemment publié dans la revue e-Life, cette équipe met aujourd’hui en évidence leur rôle clef dans le développement du diabète de type 2.

    © STROMALab

    © STROMALab

    Le tissu adipeux a longtemps été considéré comme un tissu uniquement spécialisé dans le stockage des graisses au sein de l'organisme. Mais d’année en année, les chercheurs lui découvrent de nouvelles propriétés, parfois surprenantes. 

    Il y a cinq ans, une équipe du laboratoire STROMALab a ainsi, pour la première fois, identifié au sein de ces tissus graisseux, des cellules souches hématopoïétiques capables de produire des cellules immunitaires. Le tissu adipeux est donc une sorte de moelle sans os !

    « Nous nous sommes rendus compte que des souris irradiées, en principe vouées à une mort rapide après effondrement de leur système immunitaire, survivaient quand on leur injectait des cellules issues de ces tissus adipeux, ce qui prouvait que leur immunité était alors relancée », explique un des chercheurs du laboratoire. Mais le rôle de ces nouvelles cellules souches hématopoïétiques restait encore inconnu. 
     
    • La graisse, une sorte de moelle sans os

    L’équipe de recherche a choisi de s’intéresser au diabète de type 2, une maladie qui touche plus de 420 millions de personnes dans le monde. En effet, avant même l’installation d’une insulino-résistance, le tissu adipeux développe une inflammation massive et chronique chez la souris comme chez l’homme. 

    Les cellules immunitaires produites localement participaient-elles à cette inflammation ? L’équipe a multiplié les expériences pour répondre à la question. 

    « Si l’on injecte à des souris saines, des cellules souches hématopoïétiques prélevées dans les tissus adipeux de souris atteintes de diabète de type 2, ces souris saines se mettent, elles aussi, à développer un diabète. Ce sont donc bien ces cellules hématopoïétiques qui sont en cause », affirment les responsables de l’étude. 

    A l’inverse, les chercheurs ont montré que si l’on injectait à des souris diabétiques, des cellules souches hématopoïétiques prélevées dans les tissus graisseux d’une souris saine, les souris malades, assez rapidement, se portaient mieux. 
     
    • De nouvelles perspectives thérapeutiques

    Ce constat est porteur d’espoir. Les recherches fondamentales, menées par le laboratoire STROMALab, en collaboration avec une équipe de l'Institut des Maladies Métaboliques et Cardiovasculaires (I2MC – Inserm / UT3 Paul Sabatier), pourraient donc ouvrir la voie à de nouvelles perspectives thérapeutiques. 

    « Le passage de la souris à l’humain n’a rien d’automatique, mais dès à présent, nous envisageons de déterminer si les résultats obtenus chez la souris sont transposables chez l’homme », précisent les chercheurs, qui continuent à explorer le comportement des différentes cellules souches présentes au sein des tissus adipeux, la manière dont elles migrent hors de ces tissus et la manière dont elles peuvent contribuer à régénérer des organes. 
     
     
    • Pour aller plus loin

    Le site du laboratoire STROMALab (unité mixte de recherche Inserm / CNRS / UT3 Paul Sabatier / INP Toulouse / EFS) 
    Lire la parution "Le tissu adipeux produit des cellules hématopoïétiques à l’origine du diabète de type 2" sur le site de l'institut des sciences biologiques du CNRS.
    Dates
    le 19 octobre 2017

     

     

    http://www.univ-tlse3.fr/la-recherche/diabete-le-role-surprenant-des-tissus-adipeux--701470.kjsp

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  • Un jour, un neutralisant pour supprimer rapidement les éventuels effets secondaires des médicaments sera-t-il lancé ? Illustration

    Un jour, un neutralisant pour supprimer rapidement les éventuels effets secondaires des médicaments sera-t-il lancé ? Illustration — Alexandre GELEBART/20MINUTES

    • Les effets secondaires des médicaments font encore des milliers de victimes chaque année.
    • Des chercheurs strasbourgeois ont mis en place une nouvelle stratégie pour lutter contre ces effets néfastes.

    Les estimations ne sont pas tout à faire claires. Mais chaque annéeles effets secondaires des médicaments font des milliers de victimes. Depuis des années déjà, de nombreux chercheurs tentent de diminuer ces effets adverses néfastes. A Strasbourg, des chimistes et des biologistes viennent, à l’aide d’une approche différente, d’ouvrir une nouvelle voie.

    >> A lire aussi : Levothyrox: «Ce n'est pas possible de vivre avec de tels effets secondaires»

    « Si c’est appliqué cliniquement, cela pourrait sauver des vies humaines », défend Wojciech Krezel, de lInstitut de génétique et de biologie moléculaire et cellulaire (IGBMC) à propos des interactions des médicaments qui peuvent être mortelles. Avec Alain Wagner du Laboratoire de conception et application de molécules bioactives (CAMB), ils pourraient avoir trouvé de quoi éliminer ce risque.

    Pour chasser rapidement du corps un médicament néfaste

    En fait, aujourd’hui, alors que très peu de médicaments disposeraient d’un antidote, personne ne serait capable de chasser rapidement du corps une molécule finalement néfaste après son ingestion. « Et ce alors que les principes actifs développés ont des effets de plus en plus longs, entraînant potentiellement plus d’interactions non voulues », insiste Wojciech Krezel.

    S’ils n’ont pas inventé de réaction ou de modèle chimique, les chercheurs alsaciens ont simplement pensé une stratégie nouvelle pour inactiver et éliminer en urgence les molécules des principes actifs des médicaments lorsqu’un effet indésirable advient. Une sorte d’antidote qui n’existe pas encore. « C’est un peu un missile anti-missile », résume Alain Wagner.

    Un neutralisant à ingérer en cas d’effets secondaires

    En clair, les scientifiques strasbourgeois ont imaginé un agent de neutralisation qui pourrait être ingéré en cas d’apparition d’effets secondaires. Un médicament contre le médicament, à l’origine d’une réaction chimique ciblée et souhaitée, agissant directement dans le sang du patient. Pour modifier le médicament, en éliminant dans la foulée rapidement les molécules néfastes par les reins.

    Le biologiste Wojciech Krezel (à gauche) et le chimistre Alain Wagner (à droite) ont réfléchi ensemble à une nouvelle approche avec, notamment, le post-doctorant Sylvain Ursuegui (au milieu).Le biologiste Wojciech Krezel (à gauche) et le chimistre Alain Wagner (à droite) ont réfléchi ensemble à une nouvelle approche avec, notamment, le post-doctorant Sylvain Ursuegui (au milieu). - B. Poussard / 20 Minutes.

    Dans leurs travaux menés avec la doctorante Marion Recher et le post-doctorant Sylvain Ursuegui, les Strasbourgeois ont déjà réussi à modifier une molécule - à l’aide d’une réaction chimique - in vivo, directement dans l’organisme. Et pour le prouver, ils ont su relancer la coagulation du sang d’une souris, après la prise d’un anticoagulant. Un premier aboutissement d’une idée née il y a bientôt cinq ans

    Une découverte alliant chimie et biologie

    A l’aide du soutien financier de la Fondation pour la recherche en chimie de l’université de Strasbourg, le chimiste et le biologiste ont co-monté ce projet en alliant leurs connaissances et leurs visions de spécialistes de deux domaines. C’est de là que viennent leurs avancées. Maintenant, ce ciblage d’une molécule au sein du corps devrait permettre de nombreux autres progrès.

    >> A lire aussi : VIDEO. Médicaments génériques: Malgré les résultats satisfaisants, les préjugés perdurent

    En vue d’un éventuel futur antidote contre les effets secondaires, les chercheurs réfléchissent désormais à déposer un ou plusieurs brevet(s) afin de neutraliser des familles de médicaments génériques. Une start-up les a déjà contactés pour transposer cette approche à un autre domaine. Reste enfin à savoir si un tel neutralisant, sans effet pharmacologique direct, pourrait être mis sur le marché.

    MOTS-CLÉS :

     

     

    http://www.20minutes.fr/sante/2152715-20171017-strasbourg-nouveau-format-medicaments-finir-effets-secondaires

     

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  • Le Freestyle Libre remboursé depuis le 1er juin 2017 !

    Remboursement Freestyle libre

    Depuis la 1ère semaine de juin 2017

    Indications :
    DT1
    DT2 avec au minimum 3 injections et 3 contrôles de glycémies par jour

    Besoin d’une formation initiale pour ceux qui n’ont jamais porté de freestyle libre : cela comprend la pose, explication de la différence glycémie capillaire et glycémie interstitielle, les flèches tendances et les courbes.

    Mode de prescription : par un diabétologue

    Pour ceux qui en ont déjà porté :
    Consultation pour faire le point
    Ordonnance avec prescription longue. 26 capteurs remboursés par an

    Pour les nouveaux porteurs :
    Remboursement du kit complet
    Période d’essai de 3 mois avec formation initiale.
    Après 3 mois, consultation pour bilan 
    Puis prescription longue

    Distribution en pharmacie

    Arrêté du 4 mai 2017 portant inscription du système flash d’autosurveillance du glucose FREESTYLE LIBRE de la société ABBOTT France au titre Ier de la liste des produits et prestations remboursables prévue à l’article L. 165-1 du code de la sécurité sociale.

    Texte officiel

     

    http://www.insulib.com/l-insulinotherapie-fonctionnelle/focus-medical/article/le-freestyle-libre

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  • Si votre permis de conduire porte la mention 01 relative à l'obligation de porter un dispositif de correction et qu'à la suite d'une opération des yeux, vous ne portez plus ce dispositif, vous devez demander un nouveau permis sur lequel ne figurera plus la mention 01.

    À la suite de l'opération, vous devez demander à votre ophtalmologiste une attestation prouvant que vous avez subi l'opération.

    Vous devez ensuite prendre un rendez-vous auprès d'un médecin agréé par la préfecture dont dépend votre lieu de résidence. Ce médecin ne peut en aucun cas être votre médecin traitant.

    La liste des médecins agréés est disponible dans les préfectures, sous-préfectures et dans les mairies de certaines communes. Elle peut également être consultée sur le site internet de la préfecture.

    Cas général

    Où s’adresser ?

    Veuillez saisir le nom ou le code postal de la commune :

     

    Préfecture   nouvelle fenêtre

    Ministère chargé de l'intérieur

    Sous-préfecture   nouvelle fenêtre

    Ministère chargé de l'intérieur

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    Il vous appartient de télécharger ou de vous procurer en préfecture l'avis médical (accompagné du formulaire cerfa référence 06 n° 14948*01) et de le pré-remplir avant de passer le contrôle médical.

    Le jour du contrôle, il convient de vous munir des pièces suivantes :

    • une pièce d'identité et sa photocopie,
    • votre permis de conduire et sa photocopie,
    • photos d'identité récentes.

    Le médecin adresse aux services préfectoraux le volet correspondant de l'avis médical ainsi que le formulaire cerfa référence 06 n°14948*01 et vous remet le volet qui vous revient.

    Vous devez ensuite vous adresser - selon les départements - à votre préfecture, sous-préfecture ou à votre mairie pour demander un nouveau permis de conduire.

    Il convient de vérifier sur le site internet de votre préfecture ou auprès de son standard téléphonique comment la demande de permis peut être accomplie.

    En effet, elle peut parfois être effectuée en sous-préfecture ou en préfecture, uniquement sur place (sur rendez-vous ou pas), par courrier ou encore de façon dématérialisée depuis le site de la préfecture.

    Vous devez fournir les documents suivants :

    Pour suivre la production de votre permis, vous pouvez aussi téléphoner à l'ANTS :

    Votre nouveau permis vous sera envoyé. Si vous êtes absent lors du passage du facteur, il dépose un avis de passage. Vous avez ensuite 15 jours pour récupérer votre permis à La Poste. Passé ce délai, le permis est renvoyé à l'expéditeur et vous devrez contacter la préfecture pour faire une nouvelle demande de permis de conduire.

    https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F16787

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  • Les malaises hypoglycémiques, qui peuvent notamment survenir chez les personnes souffrant de diabète (type 1 ou type 2) dont le traitement est mal adapté, sont associés à de multiples symptômes : faim, palpitations, irritabilité, confusion, tremblements, anxiété... S'ils surviennent alors que l'on est au volant, ils peuvent mettre en danger le conducteur, ses passagers, ainsi que les autres usagers de l'espace public.

    Diabète : attention à l'hypoglycémie au volant

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  • L’image contient peut-être : texte et nourriture

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  • Je m'appelle Maylis, j'ai 12 ans et je vous raconte mon quotidien, trucs et astuces avec mon diabète, mon freestyle et ma pompe

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  • Une substance du brocoli, le sulforaphane, serait efficace pour combattre le diabète de type 2, selon une étude publiée dans la revue Science Translational Medecine.

    L'objectif de l'étude était de trouver de nouveaux médicaments contre le diabète de type 2 en abordant un mécanisme important de la maladie : la production élevée de glucose par le foie.

     

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  • Gratin de poisson forestière

    Une recette empruntée à Un siphon fon fon

     



    Ingrédients pour 2 personnes

    2 filets de poisson

    300 g de champignons de Paris

    1 échalote

    2 jaunes d’œuf

    Gruyère râpé

    ½ cuillère à café de curcuma

    40 cl de crème fraîche ou soja (choisir cette dernière pour les personnes sensibles au lactose)

    Sel et poivre

     

     

    Préparation

    Dans une poêle antiadhésive, faites cuire et légèrement dorer les champignons et l’échalote émincés. 

    Salez et poivrez.

    Déposez les filets de poisson coupés en gros morceaux dans un plat à gratin.

    Recouvrez des champignons cuits.

    Dans un bol, mélangez les jaunes d’œuf avec la crème, le curcuma, sel et poivre.

    Versez dans le plat.

    Saupoudrez de gruyère râpé.

    Enfournez à 200°C et laissez cuire 30 minutes environ.

     

    http://abcvosig.blogspot.be/2015/12/gratin-de-poisson-forestiere.html

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    • Description de l'image
    Publié le 29.08.2016
     

    Votre enfant est diabétique et c’est bientôt la rentrée scolaire. Vous vous demandez comment bien préparer sa rentrée pour l’aider au mieux. Voyons ensemble quelques astuces…

    La rentrée des classes est un moment important et souvent les enfants sont excités, anxieux, impatients… C’est peut-être le bon moment pour se poser et discuter avec votre enfant de sa rentrée à venir et de la manière de gérer son diabète à l’école.

    Votre fils ou votre fille diabétique peut aussi se poser des questions sur l’acceptation de son diabète à l’école : il faut le/la rassurer !

    À l’école comment ça se passe ?

    Une circulaire de l’éducation nationale du 8 septembre 2003 rappelle qu’« il convient de tout mettre en œuvre pour éviter l’exclusion et l’isolement dans lequel la maladie peut placer l’enfant ou l’adolescent et de développer l’adoption de comportements solidaires au sein de la collectivité». 

    Par ailleurs, les enfants atteints de maladie chronique, comme le diabète par exemple, doivent pouvoir « suivre leur scolarité ou être accueillis en collectivité tout en bénéficiant de leur traitement, de leur régime alimentaire, d’assurer leur sécurité et de compenser les inconvénients liés à leur état de santé»*.

     

    • Ainsi, votre enfant peut tester sa glycémie, se faire des injections d’insuline, avoir des repas adaptés et manger des encas si besoin.
    • De votre côté, en tant que parents, vous devez fournir le matériel pour les tests et traitements (lecteur de glycémie, bandelettes, autopiqueurs, insuline, stylo, pompe à insuline..). Un PAI est alors mis en place en collaboration avec l’établissement scolaire.

    Le PAI qu’est-ce que c’est ?

    Le Projet d’Accueil Individualisé (PAI) est un document qui organise la vie quotidienne de l’enfant en établissement scolaire ou en centre de loisirs. C’est un document écrit qui précise les besoins thérapeutiques liés à son état de santé.

    Il est vrai que bien préparer le retour à l’école en rappelant certaines consignes est important.

    Mais pour votre enfant, la rentrée se prépare aussi avec une belle trousse ou un nouveau cartable… Et c’est surtout, pour lui ou elle, l’occasion de retrouver ses camarades !

    Peut-il faire du sport, des sorties et voyages scolaires ?

    Oui, un enfant diabétique peut faire du sport et à fortiori à l’école aussi. Quand votre enfant pratique le sport à l’école, pensez à glisser un petit encas dans sa poche afin qu’il puisse manger avant la séance.

    Dans tous les cas, parlez-en avec le directeur de l’établissement car il est souvent interdit d’introduire des aliments provenant de l’extérieur de l’établissement.

    En règle générale, votre enfant pourra participer pleinement aux activités scolaires. Il suffit de bien le préparer et de s’adapter en fonction de la situation. 

    * Les aménagements envisagés ne doivent toutefois pas être préjudiciables au fonctionnement de l’école ou de l’établissement scolaire.

    Mettre en place un PAI 

    En théorie, la mise en place d’un PAI se fait dès que votre enfant est accueilli dans une structure collective. C’est vous qui devez faire la demande d’un PAI auprès du directeur de l’établissement.

    C’est avec lui que vous le mettrez en place en concertation étroite avec le médecin qui suit l’enfant, le médecin scolaire et l'infirmière scolaire.

    Votre médecin devra fournir une ordonnance et complétera le dossier PAI. Lordonnance détaillée (et signée) devra contenir des informations sur :

    • L’administration d’insuline
    • Le contrôle du taux de cétone dans les urines
    • Les dispenses éventuelles de certaines activités incompatibles avec la santé de l'enfant.

    Un protocole en cas d'urgence sera joint au PAI. C’est le médecin scolaire qui valide le projet d'accueil individualisé.

    Pour plus d’informations, consultez le lien suivant : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F21392 

    Sources : Sara
    Légifrance. Circulaire no 2003-135 du 8 septembre 2003. https://circulaire.legifrance.gouv.fr/pdf/2009/04/cir_1894.pdf consulté le 8/12/2015
    https://www.dinnosante.fr/fre/33/etre-attentif-a-sa-sante/au-quotidien/enfant-diabetique-preparer-sa-1ere-rentree
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  • Sous la pression d’une association américaine, le moteur de recherche proposera désormais à ses utilisateurs américains de remplir un questionnaire permettant de déterminer s’ils doivent consulter un médecin.

    La recherche

    Un test simple permettra de savoir s'il faut consulter un psychiatre.

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