• Etiopathie – ‘le corps est comme l’écran tactile d’un iPad !' 2ème partie

    Ostéopathie ou Étiopathie ?

    Dans les faits, pour les patients, pas/peu de différence(s) fondamentale(s) entre un « ostéo » et un « étio » ; on reste dans des divergences philosophiques et/ou politiques.

    L’ostéopathie a sans doute une meilleure visibilité, un statut plus clair. C’est une question d’histoire, d’ancienneté, de contexte. L’Etiopathie est une discipline fondée par Christian Trédaniel en 1963, donc assez récente.

    Mais comme souvent, on choisit un thérapeute plutôt qu’une thérapie.

     

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    image : institut français d’Etiopathie

    L’Etiopathie, une pratique encadrée

     

    Le niveau d’excellence de l’Étiopathie ne s’improvise pas. Six années d’études particulièrement exigeantes visent ainsi à garantir l’efficacité des soins qui seront plus tard prodigués par des étudiants devenus praticiens à part entière.

    Cette formation se fait au travers des quatre Facultés Libres dont s’est dotée la profession afin de dispenser un enseignement de qualité, à Paris, Rennes, Toulouse et Lyon. Tous déclarés auprès de leur rectorat respectif, ces établissements sont constitués en associations à but non lucratif, car leur seul objectif est de dispenser l’enseignement de l’Etiopathie, au prix le plus juste et dans un cursus uniformisé permettant à l’étudiant de passer si nécessaire d’un établissement à l’autre.

    Mais surtout, et c’est là une autre caractéristique de l’Etiopathie, l’unicité de son enseignement correspond à l’unicité de la méthode, et garantit au patient de recevoir partout en France et au-delà (de nombreux étiopathes s’installent à l’étranger) un traitement en tous points comparable.

    Le socle

    L’enseignement de l’Etiopathie vise en premier lieu à assurer aux futurs praticiens une parfaite connaissance du corps humain et de son fonctionnement, sans laquelle cette méthode resterait sans objet. Cela signifie des heures et des heures d’anatomie, de biologie, de physiologie, puis de pathologie, avec une mention particulière pour l’anatomie, enseignée par les meilleurs spécialistes à un niveau désormais unique en France, bien supérieur à ce qui se pratique en faculté de médecine, par exemple.

    De même, de nombreux travaux pratiques de dissection s’avèrent indispensables pour une compréhension de l’anatomie pratique et pas seulement théorique.

    Mais encore faut-il mettre en perspective ce savoir. L’enseignement de la systémique et de la cybernétique, bases théoriques fondamentales, permet aux étudiants d’acquérir cette approche systémique et non plus analytique du corps humain, qui distingue l’Étiopathie des autres approches médicales.

    Le corps humain est ici considéré comme un ensemble structuré de systèmes et de sous-systèmes en interaction entre eux et en rapport permanent avec le milieu extérieur ; il y est étudié dans sa mécanique, dans ses régulations physiologiques, vasculaires, neurologiques et hormonales, tout comme est étudié le rôle particulier que joue la fonction temps.

    La méthode de l’Étiopathie

    C’est sur ce socle solidement établi que s’ancre dans un deuxième temps l’étude de la méthode étiopathique à proprement parler, méthode permettant d’établir une relation de causalité entre les phénomènes pathologiques – douleurs, inflammations, blocages… – présentés par les systèmes biologiques et la structure de ces derniers. Ainsi, l’étudiant apprend progressivement à déterminer quelle altération de la structure a permis l’installation de la pathologie, à identifier la cause de cette altération, en d’autres termes : à établir le diagnostic étiopathique.

    L’apprentissage

    C’est le troisième volet de la formation : l’apprentissage des gestes d’intervention qui permettent de supprimer la cause des altérations et donc ses effets pathologiques. Tout comme un pianiste à son clavier, l’étudiant s’exercera pendant six ans jusqu’à obtention d’une exécution parfaite du geste adapté, et continuera sa vie durant pour ne pas la perdre…

    Exemples de succès pour l’Etiopathie

    Très bons résultats, par exemple sur :

    • La stérilité féminine (il est arrivé à Jean-Paul Moureau de réactiver la fertilité d’une femme ayant subi dix-sept inséminations artificielles),
    • Les ulcères,
    • Les hernies discales,
    • Les hépatites virales,
    • Les troubles digestifs,
    • Les troubles urinaires,
    • Les scolioses (uniquement sur les jeunes quand la colonne est encore plastique),
    • Sur les enfants qui font des otites ou des angines à répétition.

    Plus d’informations sur l’Etiopathie :

    Trouver un étiopathe près de chez nous :

    Liens intéressants

    • http://www.etiopathie.com/
    A lire aussi :


    En savoir plus sur http://www.consoglobe.com/etiopathie-medecine-alternative-complementaire-sante-cg/2#q1rSYl85xu8vw1AG.99

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