• CINQ QUESTIONS AU DOCTEUR PETRA WILSON, CEO DE LA FID

    CINQ QUESTIONS AU DOCTEUR PETRA WILSON, CEO DE LA FID

     

    En novembre, le docteur Petra Wilson est devenue le nouveau CEO de la FID. Alors qu’elle rentrait de Melbourne, où elle a participé au Congrès mondial du diabète, nous l’avons interrogée sur ses espoirs pour la FID et sur la façon dont son expérience peut contribuer à faire tomber les barrières et aider les personnes atteintes de diabète.

     
     

    Quelles sont vos impressions à propos du Congrès mondial du diabète qui s’est tenu à Melbourne ?
    C’était le premier Congrès mondial du diabète auquel je participais. Il m’a permis de prendre réellement conscience de la puissance et de l’énergie de la communauté mondiale du diabète. Avec ses sept thèmes et de nombreux événements satellites, le programme du congrès reflétait la diversité des acteurs de la FID et a mis en évidence ce qui est important pour eux. Parallèlement, j’ai pu constater les domaines dans lesquels les programmes et projets de la FID permettent d’exercer une grande influence et là où nous pouvons nous développer en termes de partenariats novateurs dans le domaine du diabète. J’ai également été impressionnée par la puissante dynamique politique présente à Melbourne, où plus de cinquante parlementaires du monde entier se sont engagés à agir contre le diabète. Cette déclaration formelle est le signe que les pouvoirs publics sont conscients du défi posé par le diabète et le considèrent comme un problème touchant la société dans son ensemble plutôt que comme un défi purement sanitaire.

    Selon vous, comment votre parcours peut-il contribuer à faire progresser la cause de la FID ?
    Chez Cisco, je faisais partie de l’équipe European Health and Care Business Solutions (équipe responsable des solutions européennes dans les domaines de la santé et des soins). En collaboration avec l’OMS et les pouvoirs publics nationaux et régionaux, nous élaborions des politiques relatives à l’utilisation des technologies de communication, afin de rendre les systèmes de soins de santé plus sûrs et plus performants. Je pense qu’il est crucial que la FID se penche sur la manière dont nous pouvons réellement faire profiter la communauté du diabète de l’« e-santé » et de la « m-santé » afin de contribuer à faire tomber les barrières géographiques et sociales dans le domaine des soins et de faire en sorte que les personnes atteintes de diabète et leurs soignants en retirent les bénéfices. Je ne pense pas qu’à l’heure actuelle, une organisation de lutte contre le diabète ait déjà exploité pleinement la puissance des technologies de communication.

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