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  • Healthy salade quinoa, avocat, épinards, orange, amandes, noix et graines de chia

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  • Les fruits et légumes de saison, c’est toute l’année ! Manger durablement, c’est aussi respecter les saisons et ce qu’elles nous apportent. Ainsi, voici le calendrier des aliments de saison pour ce mois de juin.

     

    Découvrez les fruits et légumes de saison en juin, les fromages et les viandes

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  • La morphine, l'antidouleur qui peut faire malLa morphine, l'antidouleur qui peut faire mal

    Ironie du sort : les personnes traitées par de la morphine ou d'autres médicaments opiacés pour soulager leur douleur peuvent devenir plus sensibles à la douleur. Cet effet, connu sous le nom d'hyperalgésie, rend ces médicaments moins efficaces, et peut conduire les patients à prendre des doses plus élevées pour obtenir le même effet. "L'hyperalgésie est bien connue des anesthésistes, qui administrent des morphiniques lors des actes chirurgicaux", explique le Pr Serge Perrot, chef de service du traitement de la douleur de l'hôpital Cochin-Hôtel Dieu. "C'est un phénomène, clairement observé chez certains patients, qui manifestent une hypersensibilité à la douleur en post-opératoire. Comme si la morphine exerçait une sorte de rétrocontrôle sur le système nerveux central, aboutissant à un abaissement du seuil de la douleur."

    En cas de prises au long cours, les choses sont plus complexes. "Dans les traitements des douleurs chroniques, l'hyperalgésie induite par les morphiniques existe aussi, mais elle est plus difficile à mettre en évidence. Et comme ce sont des cas où ils sont administrés sous des formes à libération prolongée, et que l’arrêt des traitements est progressif, le phénomène est certainement un peu moins marqué". Jusque-là, les mécanismes biologiques sous-jacents de cet effet paradoxal des opiacés n'étaient pas vraiment connus.

    Une étude parue dans la revue PNAS (Proceedings of the National Academy of Science) apporte d’importants éléments de réponse. Si ces médicaments soulagent effectivement en bloquant les récepteurs cérébraux de la douleur, les chercheurs pensent qu'ils pourraient aussi provoquer des réactions inflammatoires en chaîne dans la moelle épinière, ce qui amplifierait la douleur au lieu de la calmer.

    La morphine, pro-inflammatoire

    Les scientifiques ont utilisé un modèle de rats destiné à reproduire les douleurs neuropathiques chez l'homme. Typiquement le genre de douleur que l’on ressent suite à une blessure nerveuse traumatique, un accident vasculaire cérébral ou encore à cause de lésions nerveuses causées par le diabète. Les chercheurs ont pratiqué une incision dans la cuisse de certains animaux et leur ont attaché un fil très fin autour d'un nerf. Le fil, en se gonflant progressivement, a provoqué une douloureuse compression du nerf. Après environ six semaines, le fil s’est dissous. L'autre groupe de rats n’a pas été blessé et a servi de groupe témoin dans l'expérience.

    Dix jours après la blessure, la moitié des rats ont reçu un traitement de cinq jours de morphine. L’autre moitié ne s’est vue administrer aucun médicament. Au cours des trois mois suivants, les chercheurs ont mesuré périodiquement le seuil de la douleur des rongeurs. Celui des rats traités par morphine était nettement abaissé. Et il leur a fallu douze semaines, alors même que la blessure avait guéri, pour retrouver un niveau de sensibilité équivalent à celui des rats témoins (sans blessure).

    Blessure et morphiniques, le "double effet" sur les récepteurs à la douleur

    Les chercheurs ont aussi administré de la morphine aux rats qui n’avaient pas été blessés. Chez ces animaux aussi, le seuil de tolérance à la douleur a baissé, mais la situation s'est normalisée après environ une semaine. Pourquoi, alors, un effet hyperalgésique aussi marqué chez les animaux blessés ? Les auteurs avancent une explication : les lésions nerveuses, d’une part, et la morphine, d’autre part, infligeraient une sorte de "double coup" à des cellules particulières de la moelle épinière : les cellules microgliales. Ces cellules, constitutives de la microglie, jouent le rôle de sentinelle du système nerveux central. Elles ont pour caractéristique, en cas de lésion, de libérer des molécules inflammatoires dans la moelle épinière, activant ainsi des neurones qui font parvenir au cerveau des messages douloureux. La morphine activerait également cette microglie et sensibiliserait d’autant plus à la douleur.

    Des pistes de recherche contre la sensibilisation à la douleur

    Les chercheurs explorent déjà des pistes thérapeutiques qui permettraient de résoudre ce problème de "boucle de la douleur" et d’améliorer la performance des opiacés. Plusieurs voies sont explorées. Un essai clinique récemment lancé à l'Université de Yale, en Californie permettra de voir si un antibiotique qui inhibe les cellules gliales contrecarre les effets inflammatoires des opiacés. Une neuroscientifique de Boulder (Colorado, Etats-Unis) travaille quant à elle à un traitement de la douleur chronique qui bloquerait l'une des protéines pro-inflammatoires en cause dans l’abaissement du seuil de la douleur.

     

    http://www.allodocteurs.fr/se-soigner/recherche/la-morphine-l-antidouleur-qui-peut-faire-mal_19607.html#xtor=EPR-1000002224

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  • Lutte contre le cancer : IBM conçoit un outil de conseil patient basé sur Watson

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  • Cent cinquante malades de Lyme se sont regroupés en "class action" et ont décidé de porter plainte contre le laboratoire BioMérieux, qui commercialise le test diagnostic, jugé très peu fiable. Et aussi contre l'Etat, qu'ils estiment insuffisant dans la prise en charge de la maladie.

    Maladie de Lyme : 150 patients vont porter plainte contre l'Etat et le laboratoire BioMérieuxMaladie de Lyme : 150 patients vont porter plainte contre l'Etat et le laboratoire BioMérieux

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  • Florian n’a que 13 ans lorsqu’il découvre qu’il est diabétique. Mais Florian c’est surtout un aventurier.
    Après plusieurs excursions en Europe, un an à Manchester au Royaume-Uni, le voici bien decidé à voyager plus loin, plus longtemps.
    Florian se nourit de reportages, récits de voyages, photos. Il étudie l’histoire et la géographie du monde. “Je voulais désormais la voir de mes propres yeux!”
    Son reve devient un projet : Profitant d’une année de congé et d’un peu d’argent mis de côté, le jeune homme achète un “billet tour du monde” et part.

    Son grand périple commence au Brésil, fin Juillet 2014. Il descend ensuite jusqu’en Patagonie puis remonte en Colombie en bus.
    Après avoir exploré la peninsule du Yucatan au Mexique, direction l’Amérique du Nord: New York City, puis le Canada.
    Au moment où nous échangeons avec Florian, il se trouve dans la province du Sichuan, en Chine.

    Florian vit une aventure “tout simplement extraordinaire” !
    Paysages incroyables, cultures nouvelles, tout le fascine. Et pas seulement parce qu’il est diabétique ! “Un sentiment de liberté qui vous envahit ! Pas de contraintes ! Juste de la découverte et de l’émerveillement. Que rêver de mieux ?”

    Notre baroudeur aime à préciser qu’il n’a pas realisé ce voyage dans le but de prouver quoi que ce soit.
    Florian veut juste assouvir sa curiosité et parcourir le monde. Mais en se remémorant quelques experiences negatives dues à son diabète, il voit dans cette aventure un moyen de faire passer un message: “Etre diabétique ne vous empêche pas de vivre vos rêves, et donc encore moins de vivre une vie normale.”

    Florian espère qu’il saura apporter des messages positifs aux diabétiques et à leurs familles.
    Selon lui, le moral constitue une part importante dans la gestion du diabète : “On entend trop souvent la liste des choses à ne pas faire, mais que trop rarement ce qu’il est possible de faire ! Je suis diabétique, je fais le tour du monde avec un sac sur le dos et tout se passe bien !”

    Après la Chine, Florian se rendra au Népal, puis en Thaïlande, à Hong-Kong et enfin en Afrique du Sud. Son retour est prévu en Bretagne, fin juin 2015. Un voyage à suivre ici.

     

     

    http://wearepatients.com/diabete/un-voyage-qui-na-rien-dordinaire-11393/

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