• Que faire en cas de crampes?

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  •  

    DÉFINITION

    C'est la contraction douloureuse et involontaire d'un muscle ou d'un groupe de fibres musculaires.

     

    Elle survient principalement au cours d'un exercice physique prolongé.

    Elle touche le plus souvent les muscles des membres, le mollet en particulier.

    LES SYMPTÔMES

    La crampe se produit le plus souvent à l'effort, mais elle peut être spontanée.
    Elle est responsable d'une douleur vive, apparue subitement empêchant de continuer normalement tout mouvement entretenu par le muscle atteint. Le muscle devient dur et tendu et la douleur progressivement insupportable.
    La crampe est généralement réversible rapidement et n'aboutit généralement pas au stade de contracture

    X

    Crampes en vidéo

     

     

    Sport et hydratation Le docteur Frédéric Depiesse, nutritioniste, médecin du sport et président de la commission médicale de la Fédération Française d' Athlétisme détaille les besoins en eau et magnésium chez le sportif.

     

    LES BONS GESTES À FAIRE

    Crampe au mollet

    • Stopper immédiatement l'activité physique.
    • S'asseoir par terre, la jambe allongée, puis immédiatement attraper le bout de son pied et le tirer vers soi, de façon à mettre le pied à 90° avec la jambe. Cette position doit être maintenue tant que la crampe dure. Si l'on parvient pas à le faire seul par manque de souplesse, c'est à une autre personne à côté de vous de le faire à votre place.
    • Puis appliquer immédiatement un linge chaud, la chaleur décontracte . Ou un baume chauffant.
    • Prendre un antalgique (pas d'aspirine si on soupçonne un claquage en raison des micro-saignements qu'il provoque) et un décontractant musculaire (type décontractyl*).
    • Le soir, avant le coucher, appliquez à nouveau un linge chaud pendant 20 minutes, ou les poches de liquide que l'on peut mettre au micro-ondes.
    • Bien boire (peu, mais régulièrement, 1.5 litres par 24h + 1 litre d'eau par heure d'effort physique ).

    Les autres crampes

    Elles sont beaucoup plus rares. D'une manière générale, il faut provoquer le mouvement qui va étirer le muscle. Par exemple, une crampe au biceps nécessitera d'étendre le bras pour faire dégonfler le biceps. Une crampe à la cuisse nécessitera de plier le genou en plaquant le talon contre les fesses.

    LES SUITES

    Consultez votre médecin dans les 24 heures dans les cas suivants :

    Pas d'amélioration.
    Muscle dur, gonflé et douloureux.
    Douleur survenue à la marche au niveau du mollet.
    Douleur survenue en dehors de tout effort.
    Douleur qui revient systématiquement au cours d'un effort et qui cesse dès l'arrêt de celui-ci.
    Mollet chaud par rapport à l'autre côté.

    RAPPEL

    Place de la crampe parmi l'ensemble des accidents musculaires :

    La courbature : simple douleur. La fibre est normale.
    La crampe : le muscle est temporairement contracté. La fibre est normale.
    La contracture : douleur et problème fonctionnel. La fibre est normale.
    L'élongation : douleur et impotence fonctionnelle. La fibre est contuse.
    Le claquage : douleur et impotence fonctionnelle importante. La fibre est lésée.
    La déchirure : douleur et impotence fonctionnelle absolue. Rupture d'un groupe.
    La rupture : douleur et impotence fonctionnelle absolue. Rupture de plusieurs groupe si ce n'est l'ensemble même du muscle.

    LES CAUSES

    La cause principale est une crampe survenue en plein effort sur un muscle insuffisamment chauffé. Elle peut également survenir à la suite d'un effort prolongé avec une hydratation insuffisante (match de tennis prolongé en plein soleil par exemple).
    Autre cause fréquente, la crampe spontanée qui survient lorsqu'on étire le pied fortement sur un muscle froid (le matin au réveil par exemple).
    Certaines crampes sont dues à des problèmes électrolytiques (sels minéraux), en particulier de potassium. Les hypokaliémies et les hypercalcémies sont responsables de crampes très violentes à répétition. Le déficit en magnésium peut également en provoquer. La crampe (qui en fait est une contracture généralisée) la plus spectaculaire est celle de la crise de tétanie ou de spasmophilie .
    Dernier point : la crampe au mollet survenant systématiquement au cours d'un effort et cessant dès l'arrêt de la marche est en fait hautement suspect d'artérite et nécessite de consulter un médecin pour bilan cardio-vasculaire.

    http://www.docteurclic.com/symptome/crampes.aspx?utm_source=newsletter&utm_medium=newsletter&utm_campaign=-53-10-septembre-2015#p2

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • Sel et santé : ni trop… ni trop peu !

    Le Cerin pose 3 questions au Pr Xavier Girerd

    Pr Xavier Girerd - Pôle Coeur Métabolisme, Unité de Prévention Cardio Vasculaire, Groupe Hospitalier Universitaire Pitié-Salpêtrière

     

    Risque-t-on de devenir hypertendu en consommant trop de sel ?

    Pr Xavier Girerd: Des données nouvelles permettent aujourd’hui une quantification plus précise du risque d’élévation de la pression artérielle lié à la consommation de sel. Les résultats de l’étude PURE, publiée dans le New England Journal of Medicine en août 2014, montrent qu’au delà d’une consommation de 12 g de sel par jour, chaque gramme supplémentaire induit en moyenne une augmentation de 1 mm de mercure. Donc si quelqu’un consommait 10 g de sel au-delà de 12 g, soit 22 g de sel - ce qui est beaucoup -  il aurait une augmentation de 10 mm de mercure, soit 1 point de pression artérielle : sa tension passerait, par exemple, de 120 à 130 mmHg (ou encore, comme on le dit couramment, de 12 à 13). 

    Cette remarquable étude remet en question l’objectif optimal de consommation de sel tel que l’a défini l’OMS  en 2008 : il s’agissait alors de ne pas dépasser 5 g par jour. Rien n’autorise à dire que ce seuil soit optimal vis-à-vis du risque de maladie et même de mortalité cardiovasculaire. La relation entre consommation de sel et risque cardiovasculaire n’est pas progressive et linéaire : ce ne sont pas ceux qui consomment le moins de sel qui ont le moins de risque et ceux qui en consomment le plus qui ont le plus de risque. Ce sont ceux qui ont le « dosage » optimal qui ont le moindre risque. Ceux qui ne consomment pas assez de sel ont plus de risque que ceux qui consomment la quantité optimale. Et la quantité optimale se situe entre 8 et 12 g. Même si ce n’est pas encore le cas à l’heure actuelle, ces données seront un jour ou l’autre prises en compte par les autorités sanitaires. 

    Il en ressort que l’on ne peut pas conseiller aux bien-portants de manger sans sel. On ne peut pas dire non plus qu’il est bon de manger trop de sel. Mais il faut en manger beaucoup pour avoir un retentissement sur le risque cardiovasculaire (via l’élévation de la tension, le seul mécanisme que l’on connaisse vraiment). En somme, le sel n’est pas un poison, mais un compagnon à manier avec raison.   

    Les personnes atteintes d’hypertension peuvent-elles tout de même espérer un bénéfice en diminuant systématiquement leur consommation de sel ?

    Pr XG: Le régime sans sel strict a été mis au point dans les années 1940 pour traiter l’hypertension dite maligne, une pathologie gravissime qui entraînait une atteinte rénale et le décès des patients en quelques mois. Il a été montré alors qu’un régime à base de riz sans sel pendant trois semaines pouvait sauver des patients. Dans les années 1950 sont apparus des traitements de l’hypertension maligne : d’abord des diurétiques (qui permettent l’élimination du sel par les urines), puis peu à peu d’autres classes de médicaments plus efficaces et mieux tolérés, qui sont majoritairement employés aujourd’hui. Ces médicaments sont aujourd’hui validés pour prévenir les maladies cardiovasculaires chez les personnes hypertendues. Néanmoins, jusque dans les années 1980, les médecins ont gardé l’habitude de prescrire un régime sans sel ou peu salé. Vu l’efficacité de nos traitements, ce n’est plus une recommandation à l’heure actuelle. 

    Cela ne veut pas dire que l’on ne doit pas dépister, parmi les patients hypertendus, les consommateurs excessifs de sel. Mais d’après les chiffres d’une étude menée dans mon service auprès de 2 500 patients suivis pendant 5 ans, ils représentent seulement 19 % des hypertendus : 25 % chez les hommes et 12 % chez les femmes. A ceux qui consomment plus de 12 g de sel par jour et qui n‘ont pas encore de traitement antihypertenseur, on peut proposer de diminuer leur consommation en suivant quelques conseils. En deux semaines, il est possible de connaître la réponse de la pression artérielle à cette diminution de consommation. Car parmi les hypertendus, seulement 40 % sont sensibles au sel. Chez 50 % d’entre eux, la diminution de la consommation de sel n’a pas d’effet. Et chez 10 %, elle  fait même grimper la tension ! Ceux qui sont les plus susceptibles d’être sensibles au sel sont les sujets en excès de poids, les Noirs et les personnes âgées. Chez les personnes âgées, il n’est pas proposé de diminuer la consommation de sel, car elles risquent de manger moins, avec des conséquences nutritionnelles redoutées à juste titre par les gériatres.  Chez les patients en excès de poids, qui souvent sont de gros mangeurs, il n’est pas toujours facile de faire diminuer la consommation de sel. Car celle-ci provient des aliments (pain, charcuterie, fromage, et surtout par exemple les pizzas, qui cumulent les trois !), beaucoup plus que du sel qu’on y ajoute : le sel en provenance de la salière ne représente qu’environ 10 % de la consommation quotidienne de sel. Conclusion là encore : aux yeux du spécialiste de l’hypertension, les traitements antihypertenseurs sont souvent plus efficaces que les conseils astreignants, difficiles à suivre à chaque repas !

    Au vu de ces données, est-il alors justifié de demander à la population française, prise dans son ensemble, de consommer moins de sel ?

    Pr XG: Il faut sans doute se méfier d’un message aussi universel et systématique. D’après les évaluations dont nous disposons, les hommes consomment 8,5 g de sel par jour, et les femmes 7,3 g. Nous ne sommes donc pas loin des objectifs du PNNS, qui a fixé comme objectifs une consommation moyenne de sel de 7g par jour pour les femmes et de 8 g par jour pour les hommes. Bien sûr, les chiffres actuels reflètent une moyenne et il y a des consommateurs excessifs. Comme chez les hypertendus, ce sont plus fréquemment des hommes que des femmes, et souvent de jeunes adultes, âgés de 18 à 25 ans, mangeurs de pizzas, sandwichs, chips et hamburgers variés… C’est dans cette tranche d’âge que l’on trouve le plus grand pourcentage de consommateurs excessifs de sel. Mais ce n’est pas un groupe menacé par l’hypertension artérielle et les maladies cardiovasculaires : ces pathologies apparaissent plutôt après 60 ans ! Et les personnes âgées, par ailleurs, ne sont pas de fortes consommatrices de sel. Les messages du PNNS semblent avoir eu des conséquences pratiques, du côté des consommateurs comme des industriels, qui ont fait des efforts notables pour diminuer la quantité de sel dans les produits. Les salines qui fournissent  l’industrie agroalimentaire annoncent une baisse des leurs ventes de sel de l’ordre de 20 %... Au total, si l’on prend en compte le paysage épidémiologique, l’équation sel et santé est plutôt favorable. La France ne fait pas partie des pays du monde où l’on mange le plus de sel. Il faut laisser aux autorités de santé le temps d’intégrer les nouvelles données scientifiques, mais il me paraît certain que la « vérité » d’aujourd’hui ne sera pas celle de demain ! 

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • Pâtissons farcis aux légumes, une recette végétarienne

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • DÉCOUVERTE BELGE DANS LA RECHERCHE CONTRE LE CANCER DU SEIN!

    LA CLÉ POUR LES CANCER AGRESSIFS

    Auteur: Think-Pink/jeudi 13 août 2015/Catégories: algemeen, borstkanker

     
     
    Une équipe de chercheurs de l'université libre de Bruxelles (ULB) a identifié "la clé" de cancer du sein très agressifs, ce qui ouvre la voie à une détection précoce de la tumeur via une simple prise de sang et à des traitements adaptés en fonction du type de tumeur, rapporte jeudi le journal Le Soir.

     

     

    La découverte réalisée par l'équipe du professeur Cédric Blanpain fait l'objet d'une publication dans la prestigieuse revue scientifique "Nature". En analysant les étapes qui précèdent la formation de tumeurs, les chercheurs belges ont découvert que l'oncogène -c'est à dire un gène dont l'expression favorise l'apparition d'un cancer- PIK3CA réactive, dans les cellules-souches adultes, un programme de différenciation multipotente qui ressemble au stade embryonnaire de la cellule, détaille Le Soir.

    Les cellules subissent ainsi une profonde reprogrammation. Les chercheurs ont identifié des signatures moléculaires des changements d'identité cellulaire, qui sont associés à la cellule qui se trouve à l'origine du cancer. "Selon cette signature, on peut prédire un pronostic clinique différent. Ce qui signifie aussi que l'on peut établir des sous-groupes de tumeurs qui ont l'apparence d'une similitude selon la classification actuelle, mais qui se révèlent d'un comportement très différent selon la cellule dont elles proviennent à l'origine. Cela veut dire qu'il faut cliniquement les aborder de manière différente", explique le professeur Blanpain. Pour les chercheurs, ces découvertes sont essentielles pour améliorer la compréhension des mécanismes des tumeurs du sein.

    Le cancer du sein, le plus fréquent chez la femme, touche une femme sur sept

    13/08/15 Source : Belga

     

     

     
     
     
    http://www.think-pink.be/nieuws/ArtMID/8004/ArticleID/11159/D%C3%A9couverte-belge-dans-la-recherche-contre-le-cancer-du-sein
     
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • Digestion difficile : anis et fenouil sauvage à votre secours

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • En utilisant certaines propriétés chimiques d'un médicament anti-diabétique connu (la pioglitazone), des chercheurs français et étasuniens semblent être parvenus à guérir plusieurs patients atteints d'un cancer rare du sang. Leurs travaux ont été publiés ce 2 septembre 2015, dans la prestigieuse revue Nature.

    Par Florian Gouthière

    Rédigé le 02/09/2015, mis à jour le 03/09/2015 à 17:18

     

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • Les légumes feuilles sont des légumes dont la partie consommée correspond aux feuilles de la plante. Peu caloriques et très intéressants d'un point de vue nutritionnel, ils se cuisinent à toutes les sauces. Bien sûr on pense tout de suite aux salades, aux choux et aux épinards, mais on oublie trop souvent que certains légumes racines fournissent également des feuilles délicieuses.

    Pourquoi manger les fanes et feuilles de plantes sauvages ?

    C'est délicieux

    Vous n'êtes pas convaincu ? Faites l'expérience au moins une fois et vous constaterez par vous même à quel point il est injustifié de jeter les fanes de radis, de betteraves ou d'ignorer les plantes sauvages. Les fins gourmets ne s'y tromperont pas : les feuilles de betteraves valent bien celles des épinards qu'on achète au marché, et le potage d'orties laisse une saveur douce et verte au palais, proche des haricots verts ou du brocolis

    C'est excellent pour la santé

    Les feuillages sont à la fois très peu caloriques et très riches en vitamines et antioxydants : carotène, vitamine C, acide folique, calcium, … Leurs vertus nutritionnelles ne sont plus à démontrer, et il serait dommage de s'en priver. 

    C'est économique 

    Pourquoi jeter ce qui peut être consommé ? Lorsqu'on jette les fanes des radis ou des carottes, c'est un délicieux potage qui part à la poubelle ou dans le compost. A y regarder de plus près, cela ressemble drôlement à du gaspillage. On a longtemps dévalorisé ces feuillages qui ont fini par disparaître de notre alimentation. Il est temps de les redécouvrir !

    Fanes de betteraves et navets
    Fanes de betteraves et navetsAgrandir l'image

     

    Les fanes

    Les fanes sont les touffes de feuilles de certains légumes dont on consomme habituellement une autre partie, en particulier la racine. 

    Les fanes de radis, carottes, navets et panais

    Les fanes doivent être bien lavées et débarrassées des feuilles abîmées ou jaunies et des tiges les plus grosses, trop coriaces. Elles sont délicieuses et très douces cuites, en velouté, dans une quiche ou incorporées à une purée de pommes de terre par exemple. Mais on peut aussi les utiliser crues comme un condiment : hachées comme du persil, dans la salade ou incorporées à du beurre, ou bien en pesto par exemple. 

    Les fanes de betteraves et de patates douces

    Les feuilles de betteraves et de patates douces peuvent être cuisinées à toutes les sauces, un peu comme les feuilles de bette ou d'épinard : simplement blanchies, sautées, frites, en gratin, en potage, … Mais c'est en les consommant crues qu'on profite pleinement de leurs qualités nutritionnelles. Les petites feuilles sont très tendres et délicieuses en salade ou mixées dans un smoothie ! 

    Le vert d'oignon et d'échalote

    Lorsque les fanes d'oignons et d'échalotes sont encore fraîches et bien vertes, il ne faut surtout pas les jeter ! Elles sont délicieuses en condiment dans la salade, ciselées à la manière de la ciboulette. Elles viennent également parfumer agréablement les quiches ou peuvent être cuisinées comme une fondue de poireaux. 

    Fanes de radis
    Fanes de radisAgrandir l'image

     

    Les feuilles de plantes sauvages

    Les feuilles d'orties

    Tant qu'on n'y a pas goûté, on peut difficilement imaginer que les feuilles d'orties, si urticantes et désagréables au jardin, sont douces et délicieuses une fois cuisinées. Portez des gants pour la préparation : débarrassez-vous des tiges qui sont trop fibreuses et ne gardez que les feuilles, les plus jeunes étant les meilleures. Lavez-les dans un grand volume d'eau avant de les cuisiner. Elles peuvent être utilisées à la manière des épinards, simplement revenues dans un peu de beurre. Mais on les apprécie aussi particulièrement en velouté, cuites avec une pomme de terre et un oignon puis mixées. Un régal !

    Pissenlit, pourpier, consoude et compagnie

    On trouve dans la nature de nombreuses plantes sauvages comestibles. Il ne faut prendre aucun risque et s'assurer de bien savoir les reconnaître avant de s'aventurer à les cuisiner. Parmi les plantes dont les feuilles sont comestibles, on peut citer le pissenlit, la stellaire, la bourrache, la consoude, le chénopode, le lierre terrestre, le plantain, la pimprenelle, l’amarante, la primevère officinale, la violette, ...

    Les feuilles d'orties : un délice !
     
    http://www.gerbeaud.com/jardin/cuisine_fleurs/fanes-legumes-comestibles,1398.html
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • Accueil

      0800 111 00 

    Arrêter de fumer.

    C’est possible!

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • Finies les mains collantes! Une équipe de chercheurs britanniques a découvert le moyen de ralentir la fonte de la crème glacée, y compris par forte chaleur, grâce à une protéine naturelle, selon une étude publiée lundi.

     

    Bientôt une crème glacée à fonte lente

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • 10% des services d'urgences menacés de fermeture

    Après la fermeture des urgences de Valognes cet été, faute d'effectif médical, ce sont près de 10% des services d'urgences français qui sont menacés de disparition. Un rapport, rendu le 31 août au ministère de la Santé, préconise la reconversion de ces petites structures, en proie au manque criant de médecins urgentistes.

    Voir vidéo http://www.allodocteurs.fr/se-soigner/urgences/10-des-services-d-urgences-menaces-de-fermeture_17142.html#xtor=EPR-1000002224

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks