• France: des potagers dans les écoles

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  • astuce

    Sucres lents, sucres rapides, sucres simples, sucres complexes…. !
    Tout le monde n’est pas toujours d’accord sur le sujet…

     


    Les recettes que nous présentons font quand même la distinction entre les féculents et les sucres des fruits et légumes… (et nous ajoutons presque jamais de sucre)…


    L’ASTUCE DU JOUR:

    pour une glycémie plus équilibrée, si vous préparez un plat sucré-salé, réduisez la dose de féculents du plat principal et la dose de sucres simples du dessert… et équilibrer avec un peu de féculents au dessert ( Gâteau, tarte…)

    Exemple: si votre repas doit comporter 30g de sucres complexes via des féculents et 20g de sucres simples via le dessert.
    Vous pouvez avoir un plat principal avec 20g de glucides via les féculents + 10g de sucres simples et une dessert avec 10g de sucres complexes et 10g de sucres simples ( un petit mordeau de tarte aux pommes ! )

    L’astuce si vous mangez un Gâteau: diminuer le pain !

    http://www.recette-pour-diabetique.com/sucres-simples-et-sucres-complexes/

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  • Reg Yougmann, un Britannique qui souffre de problèmes cardiaques, est le premier patient à porter une puce insérée dans l’artère pulmonaire dont le rôle est de prévenir à distance des risques qu’il encourt.

    La puce, un minuscule capteur, a été insérée dans son artère pulmonaire via un cathéter introduit dans une veine de la jambe. Fonctionnant avec un oreiller spécialement adapté, le dispositif envoie les données d’un scanner relié directement à l’hôpital. Les médecins sont ainsi alertés d’éventuels problèmes relatifs à la condition physique de Reg Yougmann, avant même que celui-ci s’en aperçoive. Ils peuvent notamment surveiller à distance les changements de tension enregistrées dans l’artère pulmonaire, ce qui représente un indicateur d’arrêt cardiaque. Le cas échéant, les spécialistes peuvent conseiller au patient de modifier son traitement. Avant d’étre équipé de la sorte, Reg Yougmann avait été admis sept fois aux urgences sur une année pour insuffisance cardiaque. Depuis qu’il porte la puce, il n’a plus subi de problèmes d’ordre cardiaque. L’hôpital Brompton Royal de Londres teste actuellement ce dispositif, espérant ainsi prouver son efficacité et ses avantages sur le plan financier. Une vaste étude américaine avait en effet démontré que le fait de surveiller à distance les données médicales d’un patient permettait de réduire de près d’un tiers les admissions aux soins d’urgence.

     

    http://plusmagazine.levif.be/fr/011-11765-Unoreiller-etun-capteur-le-nouvel-equipement-contre-les-insuffisances-cardiaques.html

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  • Le podomètre est un petit gadget électronique pratique et amusant qui permet d’estimer son activité physique quotidienne ! La marche devient un véritable défi et ça, c’est fun !

    Il se porte comme une montre, sophistication en plus. Je peux bien sûr y lire l’heure, mais également le nombre d’empreintes que mes pieds auront laissé sur cette terre ! Pour être tout à fait honnête, j’étais assez sceptique quant à l’usage de cet appareil qui risquait de me donner mauvaise conscience. Pas besoin de ce gadget pour savoir que je ne bouge pas assez. Encore moins pour me mettre à tourner autour de ma table de salon parce qu’il me reste 25 pas à faire pour satisfaire la moyenne quotidienne. Je veux bien être ridicule, mais pas trop ! Je me suis pourtant laissée séduire, lentement, mais sûrement. Car découvrir la Toscane pendant deux semaines en compagnie d’un porteur de podomètre, ça vous en fait des kilomètres dans les mollets, que vous l’envisagiez ou pas !

    10.000 PAS

    Pour être en forme, il paraît qu’il faut faire 10.000 pas quotidiens. Ok, ça je peux le faire ! Heu … vous avez dit 10.000 ? Parce que le matin, pour me rendre au boulot, moi je prends la voiture (à quand les trottoirs sur les autoroutes ?). Idem pour le retour à la maison. Et au boulot, je suis assise devant mon ordi. Finalement, 10.000 pas, ce n’est pas rien. Et ce n’est pas quelques allers-retours à la machine à café qui vont combler les lacunes. Quoi ? Je vais devoir parcourir tous les pas manquants le soir, entre la cuisine, le salon, la salle de bains, etc. ? 10.000 pas ? Mais c’est insurmontable ! Après un rapide calcul que mon cerveau effectue à la vitesse vv prime, je me rends compte que 10.000 pas correspondent à 7 kilomètres. Je n’ai pas le choix : mon temps de midi sera consacré à une petite balade ! D’accord, chaque pas compte – petites, grandes ou moyennes foulées – mais quand même …

    Mais je retrouve vite le sourire en apprenant que monter des escaliers double le nombre de pas effectués. Logique : on brûle davantage de calories ! Finalement, ce n’est pas si casse-tête un podomètre, c’est plutôt motivant même ! Et si je dois faire le tour de ma table de salon pour avoir le compte juste, moi je dis ‘go go go’. Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis ! Et puis, je sais désormais que le cri de victoire de mon mari en voyage – ‘On y est !’ – ne signifie pas que nous avons atteint notre destination, mais bien que nous avons suffisamment marché et qu’il est temps de récompenser nos efforts par… une bonne glace, par exemple !

    Les podomètres existent en divers modèles et tailles, du plus simple au plus complexe. Les prix varient évidemment en fonction du modèle, allant de 15€ à plus d’une centaine d’euros.
     

    EN SAVOIR PLUS ,

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    http://plusmagazine.levif.be/fr/011-11883-J-ai-teste-pour-vous-le-podometre.html

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  • « C’est encore loin ? », « J’ai mal aux pieds ! », « J’en ai marre... ». Pour éviter ce type de refrain pénible lors de promenades à pieds avec nos enfants, nous avons tenté la nouveauté : une balade à dos d’âne ! Une excursion originale tout en découvrant le charmant village de Feluy.
     

    « C’est encore loin ? », « J’ai mal aux pieds ! », « J’en ai marre... ». Pour éviter ce type de refrain pénible lors de promenades à pieds avec nos enfants, nous avons tenté la nouveauté : une balade à dos d’âne ! Une excursion originale tout en découvrant le charmant village de Feluy.

    Il est 10 h. Luc Resseler nous accueille avec enthousiasme sur la place du Petit Moulin. « Je suis l’ânier du village », lance-t-il tout sourire avant de mémoriser nos cinq prénoms ainsi que ceux d’une autre famille avec trois enfants également. Au bout d’un petit sentier pavé, nous rejoignons Sam, César, Auguste et Tarzan, les vedettes de notre dimanche.

    « Il y a deux règles très importantes avec les ânes : ne pas courir et ne pas crier », insiste notre guide. Pas de problème. Les quatre ânes nous attendent paisiblement dans une propriété hyper calme... jusqu’à ce que, en les apercevant, Hugo (3 ans) s’encourt vers moi et me saute au cou, en hurlant « Peur, peur ! Aaaaaah, mamaaaan ». Alors que vient le moment du brossage des ânes, c’est au tour de Lucie (8 ans) et Audran (7 ans) de se faire remarquer : « Beurk, ça sent mauvais ! ». Là, nous sommes un peu gênés... Et, franchement, ils exagèrent largement. Ces équidés sont si bien entretenus qu’ils ressemblent à de grosses peluches. D’ailleurs, Lucie et Audran prennent rapidement plaisir à les brosser. Délicatement, avec minutie...

    Pendant que Hugo se cramponne toujours à moi, tous les enfants placent les selles sur les ânes avec l’aide de Sophie, la fille de Luc qui, lui, attelle la charrette à Tarzan. Mon mari et d’autres adultes mèneront les équidés : « Votre corps doit rester à la hauteur de leur tête et veillez à bien tenir la corde ». Bombe sur la tête, les enfants grimpent sur le dos des animaux tandis que Hugo préfère s’assoir, à côté de la grand-mère de l’autre famille, dans la charrette. Il continue de refuser le moindre contact avec ces braves compagnons de promenade. Plus têtu qu’un âne, le fiston ! Ben oui, il craint d’être « mangé »...

    En route pour une balade de cinq bons kilomètres dans ce village que nous ne connaissions pas encore. Pendant 1h30, elle nous emmène sur une partie du Ravel, au milieu des champs ou encore sur les berges de l’ancien canal Bruxelles-Charleroi, devenu une réserve naturelle. Nous marquons quelques arrêts pour éventuellement changer de place, de poste. Une des pauses se transforme en chasse aux bonbons tandis que les ânes chapardent l’une ou l’autre pomme.

    Profitant d’un arrêt devant une écluse, je décide de prendre les commandes d’un âne, en l’occurrence de Sam dont ma fille ne se sépare plus. Alors que le groupe prend la même (et bonne !) direction mon compagnon de balade décide évidemment de complètement dévier de la trajectoire pour dévorer un alléchant pissenlit. « Olivia, attention l’âne te commande, c’est toi qui doit le commander ! ». « Oui, oui... » Je fais semblant de gérer la situation mais je n’ose pas tirer sur sa corde de peur de le blesser, voire de l’énerver. Tandis que Lucie est pliée de rire, Sophie vient à mon secours et s’empare calmement du licou de Sam qui reprend paisiblement la route avec ces congénères. Ouf ! En cours de promenade, mon compagnon gourmand frotte fréquemment sa tête contre ma cuisse. Oooh, un signe d’affection me dis-je, toute charmée. « Non, il doit y avoir quelque chose qui le gratte ou le chatouille. » Ah bon, ok...

    Notre parcours bucolique touche à sa fin lorsque Hugo veut enfin monter sur le dos d’un âne. Si, si ! Et voilà qu’il se plait à caresser la crinière de Tarzan et ne veut plus en descendre... De retour à la propriété de Luc, nos enfants brossent les ânes avec encore plus de passion. « Ils sont doux et gentils, c’était gai comme promenade et pas fatigant ! On reviendra ?» Audran ajoutera même : « C’est quand qu’on achète des ânes pour les mettre dans notre jardin ? » Euh...

    Balad’âne. Accès via la place du Petit Moulin, 7181 Feluy (Seneffe). Promenades les week-end et en semaine, selon la météo. Balade en famille : 15 €/enfant ; 5 €/adulte. Fête d’anniversaire : 20 €/enfant (balade de 1h30 + goûter). Infos : 0477 55 18 96  www.baladane.be

     

    http://plusmagazine.levif.be/fr/011-11859-J-ai-teste-la-promenade-a-dos-d-ane.html

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  • Quand on souffre de malformation veineuse, la vie au quotidien peut vite devenir un enfer. Douleurs intenses, faiblesses musculaires, saignements, … Une équipe de chercheurs de l’UCL et des cliniques universitaires Saint-Luc vient de réaliser une avancée inédite dans le traitement de ce type d’angiome.
    Après vingt années de recherches, des équipes du Pr Miikka Vikkula du laboratoire de génétique moléculaire humaine de l'institut de Duve (UCL) et du Pr Laurence Boon du centre des malformations vasculaires des Cliniques universitaires Saint-Luc ont mis au point une thérapie médicamenteuse permettant d’améliorer considérablement la qualité de vie des personnes souffrant de malformations veineuses. Cette maladie chronique, rarement guérissable, concerne près d’une personne sur 2.000, soit quelque 6.000 patients en Belgique. Elle est localisée dans les veines et peut apparaître sur n’importe quelle partie du corps. Jusqu’à présent, les traitements conventionnels relevaient de la chirurgie ou de la scléropathie qui consiste en l’injection d'un produit pour détruire les veines malades.

    UN MÉDICAMENT AU LIEU D’UNE OPÉRATION

    Le traitement développé est considérée comme une avancée d’importance mondiale. En 2009, les équipes des Pr Miikka Vikkula et Laurence Boon avaient découvert que la maladie était provoquée par une mutation sur le gène baptisé TIE2. Elles ont ensuite démontré que plusieurs molécules, dont la protéine mTOR, étaient anormalement hyperactives dans les malformations veineuses. Les chercheurs ont alors testé la Rapamycin, un médicament déjà utilisé dans le traitement d’autres pathologies (certains cancers et pour minimiser les risques de rejet en cas de greffe) et considéré comme un inhibiteur de la protéine mTOR, sur des souris porteuses des mêmes malformations. Après un mois de traitement, les scientifiques ont noté un arrêt de la croissance des lésions. Le médicament a alors été prescrit à une vingtaine de patients présentant des malformations veineuses qui détérioraient leur vie quotidienne malgré les traitements conventionnels. Le résultat était stupéfiant : ils ont, non seulement vu la qualité de leur vie nettement améliorée (de 30 à 90%), mais la douleur a diminué et la taille des lésions a régressé de 15%. Les saignements, responsables d’une anémie chronique, se sont quant à eux arrêtés.

    http://plusmagazine.levif.be/fr/011-11875-Premiere-mondiale-belge-lesangiomes-traites-par-medicament.html.

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  • Voici quelques questions fréquemment posées sur les maladies de gencive. Cliquez sur une question pour voir la réponse de l'Association dentaire canadienne (ADC).

    Question 1
    Les maladies des gencives sont-elles fréquentes?

    Question 2
    Comment les maladies de gencive commencent-elles?

    Question 3
    Comment puis-je prévenir les maladies de gencive?

    Question 4
    Comment savoir si je me nettoie correctement les dents avec la brosse et la soie dentaire?

     


     

    1. Les maladies des gencives sont-elles fréquentes?

    Elles sont très fréquentes. Au Canada, les maladies de gencive affectent sept personnes sur dix, à un moment ou l'autre de leur vie. C'est le problème buccodentaire le plus répandu. Elles peuvent se développer pratiquement sans douleur jusqu'à ce qu'apparaisse le véritable problème. Voilà pourquoi c'est si important de les prévenir et de les empêcher de s'aggraver.

     


     

    2. Comment les maladies de gencive commencent-elles?

    Les affections de la gencive commencent lorsque la plaque adhère à la partie visible du sillon gingival ou en dessous. Si on ne l'enlève pas quotidiennement en se nettoyant les dents avec la brosse et la soie dentaire, la plaque durcit et forme du tartre, ce qui facilite l'infection bactérienne au point d'attache. Au début, l'affection dentaire s'appelle gingivite.

    La gencive peut prendre une teinte rougeâtre, mais il se peut que vous ne ressentiez rien. La gingivite s'aggravant, des poches d'infection se forment. On peut remarquer un certain gonflement des gencives et il se peut que celles-ci saignent un peu quand vous vous brossez les dents, mais toujours sans douleur. Avec le temps, l'infection détruit le tissu gingival et, éventuellement, vous risquez de perdre une ou plusieurs dents.

     


     

    3. Comment puis-je prévenir les maladies de gencive?

    Voici la clé. Le facteur le plus important de la lutte contre les maladies de gencive, c'est la prévention. L'essentiel, c'est de garder vos dents et vos gencives propres. Brossez-vous les dents comme il faut au moins deux fois par jour et nettoyez-les avec la soie dentaire au moins une fois par jour.

    La bonne technique pour se nettoyer les dents avec la brosse et la soie dentaire est aussi importante que la fréquence des soins. Consultez régulièrement votre dentiste pour recevoir un nettoyage professionnel, vous faire examiner la bouche et éradiquer tout début d'affection des gencives.

     


     

    4. Comment savoir si je me nettoie correctement les dents avec la brosse et la soie dentaire?

    La brosse à dents : Brossez-vous les dents doucement, en portant attention à la jonction entre les dents et les gencives. Nettoyez toutes les faces des dents. Servez-vous de l'extrémité de votre brosse pour nettoyer les dents antérieures, en haut et en bas.

    La soie dentaire : Prenez une longueur de soie dentaire d'environ 45 cm et enroulez-la aux majeurs. Prenant à chaque fois une section propre, entourez chaque dent avec le fil en formant un C, puis frottez la dent deux ou trois fois, à partir de la base. Répétez la technique à chaque dent.

     

    http://www.cda-adc.ca/fr/oral_health/faqs/gum_diseases_faqs.asp

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  • Si vous perdez une dent, il vous faut la remplacer avec une prothèse pour empêcher que les dents voisines changent de position. Il est tout aussi important de prendre soin des prothèses que des dents naturelles.

    Quatre types principaux de prothèses dentaires

    1. La prothèse partielle fixe (ou pont fixe).
    La prothèse partielle fixe (ou pont fixe) est fixée de façon permanente aux dents saines voisines et remplace une ou deux dents. Vous ne pouvez pas enlever ce genre de pont par vous-même.

    prothèse

    2. La prothèse partielle amovible (ou prothèse partielle).
    La prothèse partielle amovible (ou prothèse partielle) est retenue par des crochets qui s'agrippent aux dents saines voisines. Elle remplace une ou deux dents et peut être enlevée pour la nuit et le nettoyage.

    prothèse partielle amovible

    3. La prothèse complète (ou dentier)
    La prothèse complète (ou dentier) remplace toutes les dents naturelles manquantes.

    prothèse complète

    4. L'implant dentaire
    L'implant dentaire sert à tenir les ponts et les prothèses en place. Il faut toutefois que vos gencives et la base osseuse de vos dents soient saines pour pouvoir le supporter. Votre dentiste (ou chirurgien buccal) insère un petit tenon de métal dans la mâchoire.

    Avec le temps, ce dernier s'intègre à l'ossature voisine. Le tenon (ou implant) forme une base solide pour recevoir une ou plusieurs fausses dents.

    implant dentaire

    Prendre soin des prothèses

    Il est tout aussi important de prendre soin des prothèses que des dents naturelles.

    • Nettoyez-les tous les jours. La plaque et le tartre s'accumulent sur les prothèses tout aussi facilement que sur les dents naturelles.
       
    • Enlevez-les tous les soirs. Brossez-vous les dents et les gencives avec une brosse à poils doux. Nettoyez bien vos dents et massez vos gencives. Si la brosse à dents vous irrite, passez-la sous l'eau chaude pour l'adoucir OU essayez un linge propre humide enveloppé autour du doigt.
       
    • Faites-les tremper toute la nuit dans une solution tiède, moitié eau moitié vinaigre blanc ou un produit nettoyant pour prothèses. Ceci fait ramollir la plaque et le tartre qui sont ensuite plus faciles à enlever au brossage. Si les prothèses ont des crochets de métal, ne les trempez que dans de l'eau tiède.
       

    Prendre soin des implants

    Parce que l'implant s'intègre à l'os, on peut le traiter à peu près comme une dent naturelle, sauf qu'il est plus délicat et qu'il faudra faire plus attention en le nettoyant avec la brosse et la soie dentaire. Il faut y aller doucement et nettoyer toutes les surfaces de l'implant. Au moins une fois par jour, passez délicatement la soie dentaire en faisant particulièrement attention à la jonction de l'implant et de la gencive.

    Si vous avez des prothèses, faites-vous examiner par votre dentiste régulièrement. Comme la bouche change constamment, il faudra rajuster les prothèses de temps à autre pour s'assurer qu'elles sont bien ajustées.

    Si vous avez un pont ou des implants, l'examen vous permettra de savoir si vous prenez bien soin de vos dents naturelles. Si un problème se présente, votre dentiste peut vous référer à un spécialiste en prothèses dentaires, soit un prosthodontiste.

    Important

    Ceux qui ont des dents artificielles ou des prothèses partielles sont aussi sujets aux maladies de gencive qui peuvent s'attaquer aux dents naturelles qui leur restent. Si c'est votre cas :

    • Vos prothèses s'adapteront mal à des gencives qui sont soit gonflées, soit douloureuses, ou bien qui saignent.
       
    • Vos prothèses partielles (ou amovibles) ne s'adapteront pas fermement si vos dents naturelles et vos gencives sont atteintes.
       

    Consultez régulièrement votre dentiste pour recevoir un nettoyage professionnel, vous faire examiner la bouche et éradiquer tout début d'affection des gencives.

     

    http://www.cda-adc.ca/fr/oral_health/cfyt/dental_care_seniors/dental_care.asp

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  • Les guêpes s’approchent souvent des tables où elles trouvent de la nourriture à profusion.
    Les guêpes s’approchent souvent des tables où elles trouvent de la nourriture à profusion.-Fotolia (Illustration)

    Parce que les guêpes peuvent vite vous gâcher la vie en été, voici quelques petits conseils pour éviter de se faire piquer.

    Pas de nourriture

    Les guêpes sont attirées par l’odeur que dégage la nourriture. Surtout à cette époque de l’année où les repas en terrasse ont la cote. «Dès que vous avez terminé de manger, vous rangez rapidement la table, explique Frédéric Francis, entomologiste à l’ULg. Si vous laissez des restes de votre repas, il y a de fortes chances que cela attire les guêpes. Et ce conseil vaut également pour les cuisines où on ne range pas assez vite les aliments.»

    Attention aux poubelles...

    Toujours parce qu’elles sont en quête de nourriture permanente, les guêpes adorent tourner autour des poubelles. Prudence donc lorsque vous approchez de vos ordures!

    Et aux espaces confinés

    Elles adorent la chaleur, les guêpes! Pas étonnant de les retrouver dès lors dans des espaces très confinés où les températures sont les plus élevées. Bulles à verre et autres vérandas, voilà où il faut également se montrer prudent.

    Pas de mouvements brusques

    Pour ne pas exciter les guêpes, un seul conseil: adopter une attitude très calme. Car ce sont les mouvements brusques qui déclenchent l’agressivité des guêpes.

    Se tenir éloigné des nids de guêpes

    Aussi banal qu’évident, ce dernier conseil est peut-être le plus important. Et si vous découvrez un nid de guêpes, il n’y a qu’une seule chose à faire: prévenir les pompiers qui se chargeront de sa destruction.

    Et si on se fait piquer?

    «En cas de piqûre(s), la meilleure chose à faire est de ne pas paniquer et d’analyser la situation», estime Frédéric Francis. En 15 minutes, vous vous rendrez vite compte si la piqûre est importante ou non et si elle nécessite des soins plus poussés aux urgences.

    http://www.lavenir.net/cnt/dmf20150806_00684586

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  • Les varices sont des veines superficielles qui deviennent apparentes lorsque les valves fonctionnent mal et que le sang, normalement envoyé vers le cœur, reflue. Le sang a tendance à s’accumuler et à faire gonfler les veines.

     

     

    1. COMMENT APPARAISSENT LES VARICES ?

    Dr Ivan Staelens, phlébologue à l'UZ Brussel : On distingue trois causes possibles. Premièrement, les varices apparaissent avec l’âge. On ignore encore la manière précise dont elles surviennent, mais on sait que divers facteurs accroissent le risque. Ainsi, les femmes qui ont eu plusieurs grossesses risquent plus que les autres de développer des varices. Mais ce n’est pas une règle absolue. Deuxièmement, il arrive que des varices surviennent à la suite d’une thrombose veineuse profonde. Le réseau de veines superficielles se dilate alors pour remplacer les veines profondes qui se sont bouchées. Viennent enfin les malformations vasculaires. Une mauvaise liaison entre des artères et des veines, qui, sous la pression du système artériel, envoie le sang dans le système veineux. Cela pose des problèmes de valves, avec pour conséquence un gonflement de veines.

    2. A QUELS ENDROITS SE DÉVELOPPENT LE PLUS SOUVENT LES VARICES ?

    Dr I.S. : De très loin dans les membres inférieurs. Très rarement dans les membres supérieurs ou à hauteur de l’œsophage. A noter, les hémorroïdes sont une forme de varices.

    3. COMMENT SE REND-ON COMPTE QU’ON A DES VARICES ?

    Dr I.S. : C’est souvent le conjoint ou une amie qui fait la remarque à la personne qu’ils suivent dans les escaliers, par exemple. Mais il arrive aussi qu’on constate soi-même des veines saillantes ou irrégulières à l’arrière des jambes. Les personnes atteintes de varices souffrent de jambes lourdes, gonflées ou douloureuses. La peau montre parfois de très fines veinules étoilées. Cela peut être le signe qu’une veine plus importante, située en-dessous, se porte mal.

    4. QUELLES SONT LES PERSONNES QUI RISQUENT LE PLUS D’ÊTRE TOUCHÉES ?

    Dr I.S. : Celles qui ont des antécédents familiaux, car il ne faut pas négliger le facteur génétique. Mais également les personnes qui travaillent debout et les femmes qui ont mené à bien plusieurs grossesses. Attention les femmes ne sont pas seules à souffrir de varices, les hommes peuvent en avoir aussi !

    5. PEUT-ON PRÉVENIR L’APPARITION DE VARICES ?

    Dr I.S. : Oui, bouger et faire du sport aide ! Inutile de se lancer dans une activité de haut niveau, la marche suffit. Contracter les muscles des jambes permet d’exercer un massage veineux en profondeur, qui relance efficacement la circulation sanguine. On peut également dormir avec les jambes surélevées (+/- 10 cm plus haut que la tête). Cela permet de mettre les pieds et le cœur à la même hauteur et de mieux drainer les flux sanguins.

    6. LES VARICES PEUVENT-ELLES ÊTRE DANGEREUSES ?

    Dr I.S. : Tout excès de pression sanguine dans les jambes finit par endommager la peau. L’épiderme se colore, se couvre d’eczéma, démange, devient sujet aux blessures ouvertes. Une veine très inégale freine le débit sanguin dans les jambes et fait courir un risque de phlébite ou de phlébothrombose. Des caillots de sang peuvent se former et, en migrant, ils risquent de causer une embolie. C’est pourquoi les varices doivent être surveillées de près, afin de pouvoir réagir à temps.

    7. QUEL EST LE TRAITEMENT DE PREMIÈRE INTENTION ?

    Dr I.S. : Le premier traitement envisagé est la marche régulière et le port de bas de contention. Ceux-ci compriment le réseau veineux superficiel, de sorte que le flux sanguin reprend de manière optimale, en direction en cœur.

    8. ET SI CELA NE SUFFIT PAS ?

    Dr I.S.: Si la marche régulière, les bas de contention et l’hydratation de la peau ne suffisent pas à éviter des lésions trophiques (qui entraînent des troubles de la nutrition des tissus), il faut songer à un traitement plus radical. Je demande parfois à mes patients d’envisager assez vite une intervention chirurgicale. Car il arrive qu’à un certain âge on ne parvienne plus à enfiler soi-même ses bas de contention et qu’on doive demander de l’aide.

    9. EN QUOI CONSISTENT LES AUTRES TRAITEMENTS ?

    Dr I.S. : La première étape est la sclérothérapie qui consiste à assécher les veines atteintes ou une partie. Cela peut se faire de plusieurs façons. Par exemple au laser, qui cautérise les veines de haut en bas. Dans ce cas, on procède par radiofréquence, avec des températures plus basses.

    On peut aussi recourir à des produits chimiques, comme la micro-mousse. C’est comme cela que les dermatologues soignent aussi les veinules éclatées en étoiles. Mais si le problème a tendance à se répéter, les dermatologues nous envoient leurs patients, car ils soupçonnent que les varices sont la conséquence d’une affection de la veine principale.

    Enfin, on peut envisager l’ablation de la veine atteinte. On délimite la varice au-dessus et en dessous, avant de l’ôter. Cela se fait sous anesthésie totale légère ou sous anesthésie locale (par péridurale). L’intervention dure une petite heure et se fait en ambulatoire, à moins qu’on ne soigne les deux jambes en une séance ou que le patient ait plus de 75 ans. On pose aussitôt des bas de contention qui doivent rester en place pendant quatre semaines. La douleur reste limitée : il suffit de prendre un peu de paracétamol. L’opération n’a aucune conséquence au niveau esthétique. On ne pratique qu’une toute petite incision aux deux bouts de la varice. Au bout de six mois, on ne voit plus rien.

    10. Y A-T-IL UN RISQUE DE RÉCIDIVE ?

    Dr I.S. : Récidive n’est pas le terme approprié. Mais il se peut que la maladie continue à évoluer. Les varices ne sont pas une affection qui se soigne. Il s’agit d’une maladie évolutive, qu’on ne peut que freiner. Il est donc important de suivre et de surveiller les varices, y compris dans le cas où on se contente de prescrire des bas de contention. Je demande en général à mes patients de me consulter une fois par an.

    On distingue trois causes possibles. Premièrement, les varices apparaissent avec l’âge. On ignore encore la manière précise dont elles surviennent, mais on sait que divers facteurs accroissent le risque. Ainsi, les femmes qui ont eu plusieurs grossesses risquent plus que les autres de développer des varices. Mais ce n’est pas une règle absolue. Deuxièmement, il arrive que des varices surviennent à la suite d’une thrombose veineuse profonde. Le réseau de veines superficielles se dilate alors pour remplacer les veines profondes qui se sont bouchées. Viennent enfin les malformations vasculaires. Une mauvaise liaison entre des artères et des veines, qui, sous la pression du système artériel, envoie le sang dans le système veineux. Cela pose des problèmes de valves, avec pour conséquence un gonflement de veines.

    http://plusmagazine.levif.be/fr/011-8215-10questions-sur-les-varices.html

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    Coca-Cola light vs Coca-Cola zéro : quelle(s) différence(s) entre les deux ?
    publié le 28/07/2008 à 19:54
     

     

     


     

    Je constate que beaucoup d'entre vous s'interrogent sur les éventuelles différences entre le Coca-Cola light et le Coca-Cola Zéro :
    Ont-elles la même valeur calorique ? Quelle est leur composition ? Et le goût ?

     

    Aujourd'hui, je vais essayer d'éclaircir la situation en clarifiant les différents points.

     

    Catégorie

    Coca-Cola light

    Coca-Cola zéro

     


    Population - Cible visée
    (marketing
    )

    Femmes

    Bouteille longue et allongée => évoque la féminité

    Hommes

    Bouteille plus large, robuste, couleur noire => univers plus masculin

    Goût

    - Avis du site Coca-Cola France



    - Mon avis personnel

     


    "s'hydrater avec plaisir : un goût intense, léger et rafraîchissant"

     

    - Goût agréable

     


    "c'est le goût de Coca-Cola avec zéro sucres et sans calories"

     

    - Goût caramel trop prononcé

     

     

     

     

    Ingrédients

    - Eau gazéifiée
    - Colorant (caramel - E150d)
    - Acidifiants : acide phosphorique et acide citrique
    - Edulcorants : aspartame et acésulfame-K
    - Extraits végétaux
    - Caféine

    - Eau gazéifiée
    - Colorant (caramel - E150d)
    - Acidifiants : acide phosphorique et citrate de sodium
    - Edulcorants : aspartame et acésulfame-K
    - Extraits végétaux
    - Caféine

     


    Valeur Nutritionnelle
    (pour 100 mL)

    0,2 Kcal
    0 g de Protéines
    0 g de Lipides
    0 g de Glucides
    0 g de Fibres
    0 g de Sodium

    0,3 Kcal
    0 g de Protéines
    0 g de Lipides
    0 g de Glucides
    0 g de Fibres
    0,01 g de Sodium

    differencecocazerococalight1     differencecocazerococalight2
    (cliquer sur les photos pour voir l'étiquetage en gros plan)

    - Il s'agit donc principalement d'une différence au niveau des acidifiants utilisés : l'un utilisant de l'acide citrique (aussi appelé citrate) (le coca cola light), l'autre du citrate de sodium (le coca cola zéro), ce qui laisse une trace au niveau de la teneur en sodium (mais qui reste négligeable) pour ce dernier.

    - L'apport calorique est quasi nul pour les deux du fait de l'utilisation d'édulcorants.

    Mon conseil


    L'eau reste la seule boisson indispensable, mais si vous avez envie de varier les plaisirs de temps à autre sans alourdir la balance, vous pouvez tout à fait prendre 1 canette de coca cola light ou coca cola zéro, et pourquoi pas y rajouter une petite rondelle de citron et quelques glaçons pour une pause hydratante rafraîchissante.


    Êtes-vous plutôt Coca-Cola light ou Coca-Cola zéro ?

     

    http://blog.aujourdhui.com/CathySchmitt/591855/coca-cola-light-vs-coca-cola-zero-quelle-s-difference-s-entre-les-deux.html#non

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  • 1. QU’EST-CE QU’UNE TENDINITE ?

    Pr Franky Steenbrugge, chirurgien orthopédiste :Une tendinite ou inflammation du tendon est une réaction chimique due à l’irritation ou à l’endommagement d’un tendon. L’altération cellulaire suscite des réactions en chaîne qui finissent par causer la formation de prostaglandines. Ceci s’accompagne d’un afflux sanguin (hyperhémie) à l’intérieur du tendon et la quantité d’eau présente dans les tissus augmente aussi (exsudation). Les globules blancs interviennent (infiltrations via les leucocytes) pour tenter de pousser les tissus à se régénérer (prolifération de fibroblastes).

    L’oedème qui caractérise la tendinite et la présence de prostaglandines peuvent causer de fortes douleurs, tout simplement parce qu’ils stimulent les récepteurs locaux de la douleur.

    La majorité des tendinites concernent les mains et les coudes, le fameux 'tennis ou golf elbow‘ mais aussi les épaules, les genoux (tendinite patellaire) et les talons (tendinite du tendon d’achille).

    2. QUELS SONT LES SYMPTÔMES ?

    Pr F.S. : Les différentes phases que je viens d’évoquer conduisent à un gonflement, un échauffement, une rougeur locale et à de la douleur. Lorsque les lésions sont irréversibles, on parle de tendinite chronique. L’afflux sanguin et la poche d’eau provoquent un oedème, mais bien souvent aussi une rougeur locale et un échauffement. L’augmentation de l’activité cellulaire chauffe également les tissus. La douleur pousse à moins utiliser son coude ou son poignet.

    3. QUELLE EST LA CAUSE D’UNE TENDINITE ?

    Pr F.S. : Des mouvements répétés, pas forcément intensifs, sont en général à l’origine de la tendinite. Un employé de bureau, par exemple, qui se met à bricoler avec un peu trop d’enthousiasme est le candidat idéal. La tendinite survient parce que les tendons n’ont pas eu le temps de s’habituer à des mouvements nouveaux pour eux. Elle peut aussi être causée par le frottement d’un tendon contre une structure osseuse, ce qui endommage les tissus. Une excroissance osseuse, ou ostéophyte, due à l’arthrose peut aussi expliquer le problème, par exemple dans le cas d’une épine calcanéenne.

    4. COMMENT LE MÉDECIN POSE-T-IL SON DIAGNOSTIC ?

    Pr F.S.: Il écoute la description que lui fait le patient de ses douleurs. Il passe ensuite à l’examen clinique et à des tests spécifiques pour les divers tendons. On peut y ajouter d’autres examens, plus techniques, tels qu’une radiographie ou une échographie. Plus rarement, on prescrit une IRM (imagerie par résonance magnétique), une prise de sang ou un scanner des os, afin d’affiner le diagnostic, d’exclure une série d’autres problèmes ou de déterminer l’étendue de la lésion.

    5. COMMENT PRÉVENIR LA TENDINITE ?

    Pr F.S. : Je conseille de ménager ses tendons, de limiter les mouvements intenses ou répétitifs auxquels on n’est pas accoutumé. Il ne faut pas s’adonner sans modération à un travail manuel ou un sport qui exige des mouvements inhabituels. Mieux vaut s’y habituer progressivement. On peut aussi utiliser des accessoires ergonomiques, comme un coussinet spécial pour les poignets. Une attelle, qui immobilise le tendon, peut être utile. Il existe des bandages qui soulagent les tendons (en particulier ceux du genou et du coude) en réduisant la pression ou la charge, mais il faut les serrer fort, ce qui peut être inconfortable.

    6. QUE PEUT-ON FAIRE POUR LIMITER LA DOULEUR ?

    Pr F.S. : Dès que vous soupçonnez une tendinite, cessez tout mouvement répétitif et réduisez la pression exercée sur le tendon. Laissez le membre douloureux au repos, réduisez le gonflement et la sensation de chaleur en appliquant de la glace et surélevez légèrement le bras ou la jambe concernée. Prenez du paracétamol, un antidouleur efficace et en vente libre. Il existe des médicaments plus puissants ‘ anti-inflammatoires ‘ mais ils ne sont délivrés que sur ordonnance.

    7. COMMENT LE MÉDECIN GÉNÉRALISTE TRAITE-T-IL UNE TENDINITE ?

    Pr F.S. : Une fois le diagnostic posé, le médecin s’efforce de freiner le processus d’inflammation en prescrivant des anti-inflammatoires. Ce sont des médicaments qui agissent sur la chaîne de symptômes et tentent de ralentir la formation des prostaglandines, afin de permettre aux tissus de se régénérer. Le médecin prescrit parfois aussi une injection locale à base de cortisone, connue pour son action anti-inflammatoire. Un traitement qui n’est pas anodin et doit être suivi de très près. A noter que le tendon d’achille supporte difficilement ce genre d’infiltration.

    Quelques séances de kinésithérapie peuvent aider. Les massages réduisent l’oedème et conservent sa souplesse à l’articulation. D’une manière générale, l’association de plusieurs traitements donnera les meilleurs résultats. Mais il faut parfois attendre plusieurs semaines avant de constater une réelle amélioration...

    8. QUELS SONT LES TRAITEMENTS QUE LE SPÉCIALISTE PEUT ENVISAGER ?

    Pr F.S. : Il doit tout d’abord poser, lui aussi, un diagnostic, vérifier ce qui a déjà été fait et ce qui reste à tenter. Par exemple, des infiltrations à la cortisone. On prescrit parfois un traitement par ondes de choc : les tissus du tendon sont soumis à des ultrasons au cours de trois séances, généralement réparties sur quelques semaines. Cela provoque une réaction des tissus et le tendon se renforce. Cette technique non invasive se révèle efficace dans la grande majorité des cas. Certains patients sont néanmoins déçus des résultats... Attention, les médicaments, la kinésithérapie et les ondes de choc ont également un prix !

    9. ET SI RIEN DE TOUT CELA N’APPORTE UN SOULAGEMENT ?

    Pr F.S. : Si on n’enregistre aucun résultat suffisant, on peut envisager une intervention chirurgicale. La localisation du tendon détermine le type d’opération. Nous essayons avant tout de régénérer les tissus : autrement dit, de pousser l’organisme à fabriquer des tissus neufs et sains. Cette technique porte le nom de scarification. On en profite aussi pour éliminer toute éventuelle excroissance osseuse.

    10. L’OPÉRATION CHIRURGICALE EST-ELLE LOURDE ?

    Pr F.S. : Non, elle se pratique en ambulatoire. Après l’opération, je conseille de ne pas trop immobiliser le membre. Personnellement, j’évite de plâtrer (risque de rigidification). Certains médecins conseillent une attelle, pourquoi pas ? Le processus de guérison dure environ six semaines. Le patient pourra en profiter pour suivre une revalidation (bien encadrée) et retrouver le plein usage de son tendon.

     

    http://plusmagazine.levif.be/fr/011-7787-10questions-sur-la-tendinite.html 

     

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  •  

    Quand on a lu que Hervé This avait mis au point une recette pour une mousse au chocolat de puriste, avec seulement deux ingrédients, on a eu du mal à y croire.

    Jusqu'à ce qu'on voie ceci:

     

     

    Et qu'on se fie à la carrière impressionnante de Monsieur This, chimiste de son état, conseiller des plus grands chefs français. Alain Passard, de son propre aveu, ne quitte pas son livre. Après tout, il a réussi à de solidifier un œuf...

    Bref, voici la recette de la mousse au chocolat avec le moins d'ingrédients au monde:

    265 grammes de chocolat amer (70% de cacao minimum) en petits morceaux. 240 ml d'eau. Du sucre (en option)

    Placer un grand bol à mélanger au-dessus d'un plus petit rempli d'eau et de glace. Le dessous doit toucher les glaçons. Réservez.

    Mettez le chocolat et l'eau dans une casserole moyenne et faites fondre le chocolat à feu moyen en remuant occasionnellement.

    Versez le chocolat fondu dans le bol placé sur la glace et fouettez-le jusqu'à ce qu'il devienne épais. Surveillez bien la texture afin de ne pas trop fouetter et rendre la texture ganuleuse. Si cela devait arriver, réchauffez le chocolat dans la casserole afin d'en liquéfier la moitié et recommencez.

    Divisez en 4 portions et dégustez immédiatement.

    Bonne dégustation!

    VS.

    http://weekend.levif.be/lifestyle/culinaire/une-mousse-au-chocolat-avec-du-chocolat-et-de-l-eau/article-normal-340783.html

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  • L'Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (AFSCA), informée via le système d'alerte européen, de la présence de salmonelle dans les barres chocolatées "Taste-it" de Damhert nutrition, "Twin Bar" de Schär et "Chocolate Break" de Atkins, a décidé de rappeler celles-ci, indique-t-elle vendredi.

     

    Rappel de barres chocolatées pour trace de salmonelle

     

    Les produits ont déjà été retirés de la vente.

    Il est conseillé aux consommateurs ayant acheté ces barres chocolatées de ne plus les consommer et de les retourner à leur point de vente où ils leur seront remboursés.

     

     

    En savoir plus sur:

    Réagir

     

    http://weekend.levif.be/lifestyle/culinaire/rappel-de-barres-chocolatees-pour-trace-de-salmonelle/article-normal-411813.html

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  • Durant l'enfance, elles nous marquent de souvenirs brûlants. Et à l’âge adulte, nous sommes impitoyables : elles doivent disparaître du jardin. Mal-aimées, les orties offrent pourtant des saveurs originales... et peu chères!
    L'ortie (ou Urtica dioica = grande ortie ou ortie vivace) est une plante bien de chez nous, appartenant à la famille des urticacées. Elle se développe dans les sols frais, humides et riches en éléments nutritifs. Sa couleur vert foncé est reconnaissable, tout comme ses poils urticants ! Elle résiste à de nombreux pesticides et peut atteindre un mètre et demi de hauteur !

    UNE ORTIE À TOUT FAIRE

    Jadis très prisée, elle a aujourd’hui disparu des officines alors qu'elle amène des nutriments intéressants : vitamines A, B (B2 et B5), C, fer (autant que les abats), silice, zinc, acide folique, calcium. Avec le risque d'allergies ou d'excès de calories en moins... Avec de tels nutriments, elle est dépurative, favorise les fonctions digestives, traite l'acné, lutte contre les ongles cassants et les chutes de cheveux... L’ortie est aussi un un bon défatiguant, idéal à la fin de l'hiver. On lui prête également des vertus aphrodisiaques.

    UNE SAVEUR DE NOISETTE

    Elle se cuisine simplement, à la manière des épinards. S'il faut la prélever avec des gants, ses éléments urticants, et notamment l'acide formique contenu dans les poils, disparaissent lorsqu'ils sont très finement hachés ou cuits durant à peine cinq minutes. De grands restaurateurs (le chef français triplement étoilé Marc Veyrat a été l'un des premiers) l'inscrivent à la carte, car elle offre une saveur originale, fine et douce, rappelant la noisette.

    CUISINE CHIC

    Prélevez directement l'ortie dans votre jardin ou dans une prairie, en évitant les abords des routes et les zones pulvérisées de pesticides. Période idéale : printemps et été où les jeunes pousses sont les plus goûteuses et tendres. Otez, avec des gants, les feuilles les plus jeunes (extrémités et haut de la plante). Éliminez les tiges et les parties dures. Rincez les orties à l'eau légèrement vinaigrée.
    Aux fourneaux, la plante se transforme en jus, tisane, soupe, soufflé, tapenade, etc. et se marie dans les quiches à d'autres légumes tels que les courgettes, carottes, etc. Elle apporte un goût original aux purées, se transforme en gratin avec le fromage. Et reste un ingrédient vite cuit, plein de saveur et peu onéreux !

    QUELQUES RECETTES

    Soupe aux orties : 500 g d'orties lavées dans une casserole avec 1 l d'eau, 1 cube de bouillon de légumes, épices (sel, poivre, herbes de Provence, cumin...), une pomme de terre ou une courgette en dés. Après 15-20 minutes, le potage est prêt. Servez avec une pointe de crème fraîche.
    Omelette aux herbes : battez 4 à 5 œufs et intégrez-y 200 g d'orties lavées et coupées ou hachées, ajoutez 50 g de fromage râpé, 2 échalotes, sel, poivre. Cuire dans une poêle anti-adhésive.
    Tartinade verte : mélangez environ 100 g de pousses d'orties à un fromage de chèvre frais, un peu d'huile d'olive, du poivre, de l'ail, du jus de citron. Passez le tout au mixer. Utilisez sur des pâtes, des tartines, etc...
    Pistou épicé : Mixez 100 g de feuilles d'orties lavées et égouttées avec 25 g de pignons de pin, 50 g de fromage sec (type Parmesan), 3 gousses d'ail et 10 cl d'huile d'olive. Ajoutez cette dernière jusqu'à l'obtention d'une pâte fluide. Assaisonnez avec sel, poivre et jus de citron.

    http://plusmagazine.levif.be/fr/011-11874-Au-menu-ce-soir-c-est-orties-en-gratin.html

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  • Comment se caractérisent les douleurs et crampes abdominales ?

     

    Les douleurs abdominales sont très fréquentes. Leurs causes sont extrêmement diverses, mais le plus souvent en lien avec les organes digestifs comme l’estomac, l’intestin ou le foie.

    L’origine peut aussi être gynécologique, urinaire, et même cardiaque ou pulmonaire.

    Douleurs et crampes abdominales peuvent être localisées à différents niveaux de l’abdomen, mais on utilise souvent les termes de « maux de ventre » ou « maux d’estomac » pour les définir.

    Ces douleurs peuvent être bénignes ou graves, chroniques ou aiguës, récurrentes ou ponctuelles, et se manifester sous forme de crampes, de douleur lancinante, de « pics » douloureux, etc. Souvent bénigne, une douleur abdominale peut parfois être le signe d’une atteinte grave, qu'il convient de détecter et de soigner rapidement. N’hésitez pas à consulter un médecin en cas de doute.

    Quelles sont les causes des douleurs et crampes abdominales ?

    Parce qu’il existe de nombreux organes dans l’abdomen, les causes des douleurs et crampes abdominales sont très nombreuses et variées.

    D’autres symptômes peuvent leur être associés, notamment de la fièvre, des nausées, des vomissements. Il convient donc de prendre en compte l’ensemble du tableau clinique pour pouvoir orienter le diagnostic, d’où l’importance de consulter son médecin.

    Voici une liste non exhaustive des facteurs pouvant être en cause :

    • les troubles de la digestion, comme la constipation, la formation de gaz dans l’intestin, les spasmes d’origine musculaire (muscle lisse de la paroi de l’estomac, de l’intestin, etc.), le reflux gastro-oesophagien, etc.
    • les ulcères gastriques et duodénaux
    • les infections gastro-intestinales (gastro-entérite, intoxication alimentaire, etc.)
    • une occlusion intestinale
    • l’appendicite
    • les calculs biliaires
    • les calculs rénaux, les coliques néphrétiques et les infections urinaires
    • une grossesse extra-utérine, la présence de kystes ovariens, des règles douloureuses, etc.
    • une inflammation du pancréas, de l’estomac, du foie, du colon, du péritoine, etc.
    • la maladie de Crohn et les autres maladies inflammatoires de l’intestin
    • une atteinte de la plèvre : pneumothorax, pleurésie
    • des pathologies cancéreuses variées.

    La localisation des douleurs abdominales permet parfois de préciser leur cause.

    • dans la zone ombilicale (autour du nombril) : l’organe principal de la zone est l’intestin. Dans une moindre mesure, les douleurs peuvent aussi être reliées à une atteinte de l’estomac ou du pancréas.
    • la zone épigastrique (en haut et au centre du ventre) : les douleurs peuvent être causées par une atteinte au niveau de l’estomac principalement, mais aussi du foie ou du cœur (qui peut à « à distance » provoquer des douleurs à cet endroit)
    • la zone hypogastrique (située entre le pubis et le nombril, autrement dit au centre et en bas) : l’intestin et la vessie sont probablement les organes à l’origine des douleurs à cet endroit. C’est aussi là que se situe l’utérus chez la femme.
    • le flanc gauche (à gauche du nombril) : les atteintes de l’intestin, de la rate et du rein peuvent causer des douleurs à cet endroit
    • le flanc droit (à droite du nombril) : il peut s’agir d’atteintes de l’intestin, de la vésicule biliaire, du rein, etc.
    • hypocondre gauche (à gauche et en haut du ventre) : les douleurs proviennent principalement de l’intestin, mais elles peuvent également témoigner d’une atteinte au pancréas, à l’estomac, au rein, à la rate, ou au poumon
    • hypocondre droit (à droite et en haut du ventre) : les atteintes du foie principalement, mais aussi des intestins et du pancréas
    • fosse iliaque gauche (en bas à gauche du ventre) : le côlon, les reins, les conduits urinaires, ainsi que les ovaires et les trompes de Fallope chez la femme
    • fosse iliaque droite (en bas à droite du ventre) : les atteintes de l’appendice, des conduits urinaires, des reins, et des ovaires et trompes de Fallope chez la femme

    Certaines douleurs peuvent être diffuses et concerner l’ensemble du ventre. Dans ce cas, il peut s’agir d’une inflammation du péritoine, de la maladie de Crohn, ou encore d’une intoxication alimentaire. Cela étant, certaines localisations sont trompeuses et seul un examen médical complet permettra de déterminer la cause.

    Quelles sont les solutions pour soulager les douleurs et crampes abdominales ?

    Les traitements visant à soulager les douleurs et crampes abdominales sont dépendants de leur cause.

    Parmi les médicaments les plus souvent employés pour les douleurs bénignes, citons :

    • les antispasmodiques
    • le charbon et les pansements digestifs
    • les laxatifs
    • la phytothérapie et l’homéopathie peuvent également soulager les douleurs de l’abdomen

    Pour prévenir les douleurs abdominales liées à une mauvaise digestion, il est conseillé de manger doucement et de privilégier les menus équilibrés.

    A lire aussi :

    Notre fiche sur la constipation
    Notre fiche sur l'ulcère gastroduodénal
    Ce qu'il faut savoir sur l'occlusion intestinale
    Informations sur l'appendicite

    Fiche créée en avril 2015

     http://www.passeportsante.net/fr/Maux/Symptomes/Fiche.aspx?doc=douleurs-crampes-abdominales-symptome

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  • Crampes

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  • Le foie est essentiel au bon fonctionnement de l’organisme. Il a plusieurs fonctions vitales d’épuration, de synthèse et de stockage. C’est un organe constamment irrigué, il reçoit 1,5L de sang toutes les minutes. Le foie élimine les déchets internes fabriqués naturellement par le corps et externes, par exemple, ceux liés à l’alimentation. C’est le foie qui fabrique la bile. Cette dernière facilite la digestion des graisses et des aliments ainsi que l’élimination de certains médicaments et des toxines. Enfin, le foie fait des réserves de vitamines et de sucre pour apporter au corps l’énergie nécessaire en cas de besoin.

    En résumé, il est indispensable ! Malgré sa capacité de filtration sanguine, le foie est exposé à des risques d’inflammations. Pour prévenir ces risques ou pour les traiter, les plantes peuvent être une solution.

    Le chardon-Marie assainit le foie

    Le chardon-Marie assainit le foie

    Le chardon-Marie (Silybum marianum) tient son nom de la vierge Marie. L’histoire raconte qu’en nourrissant son fils Jésus lors d’un voyage entre l’Egypte et la Palestine, Marie avait fait tomber quelques gouttes de son lait maternel sur un buisson de chardons. C’est de ces gouttes que proviendraient les nervures blanches des feuilles de la plante.

    Dans son fruit, le chardon-Marie contient la silymarine, son principe actif, reconnue pour ses effets protecteurs sur le foie. Elle favorise son métabolisme cellulaire tout en le prévenant et en le protégeant des dommages causés par les toxines naturelles ou synthétiques.

    La Commission E1 et l’OMS reconnaissent l’usage de la silymarine pour traiter les intoxications hépatiques (usage d’extrait normalisé à 70% ou 80% de silymarine) et son efficacité contre les maladies du foie comme l’hépatite ou la cirrhose, en complément d’un traitement médical classique. En usage quotidien, elle freine le développement de la cirrhose.
    Certaines personnes peuvent avoir une réaction au chardon-Marie, si elles sont allergiques à des plantes telles que la marguerite, l’astre, la camomille, etc.

    Pour les troubles du foie, on préconise la prise d’extrait normalisé du chardon-Marie (70 % à 80 % de silymarine) à raison de 140 mg à 210 mg, 3 fois par jour.

    Bon à savoir : Pour traiter les maladies du foie, il est important d’avoir un suivi médical et de poser un diagnostic sur ses troubles avant d’engager tout traitement thérapeutique classique et/ou naturel.

     

    Sources
    1. Les 24 membres de la Commission E constituaient un panel interdisciplinaire exceptionnel qui comptait des experts reconnus en médecine, en pharmacologie, en toxicologie, en pharmacie et en phytothérapie. De 1978 à 1994, ces spécialistes ont évalué 360 plantes en se basant sur une documentation très fournie comprenant, entre autres, des analyses chimiques, des études expérimentales, pharmacologiques et toxicologiques ainsi que des recherches cliniques et épidémiologiques. Le premier jet d'une monographie était révisé par tous les membres de la Commission E, mais aussi par des associations scientifiques, des experts universitaires et d'autres spécialistes.
    2. La phytothérapie de A à Z, la santé par les plantes, p 31.
    3. Protégez-vous, guide pratique, produits de la santé naturels, tout ce que vous devez savoir pour mieux les utiliser, p36.
    4. Traité de phytothérapie, docteur Jean-Michel Morel, édition Grancher.

     

    Le radis noir nettoie le foie

    Le radis noir nettoie le foie

    Le radis noir (Raphanus sativus var. niger) possède des vertus reconnues notamment pour les personnes sujettes à des troubles digestifs ou hépatiques.

    Pour nettoyer le foie, on utilise généralement le jus du radis noir ou sa poudre de gélule. La commission E1 a approuvé ses vertus car le radis noir stimule l’action de la bile dans son combat contre les déchets grâce à ses propriétés cholérétiques (= favorise la sécrétion de la bile) et cholagogues (= facilite l’évacuation de la bile vers l’intestin). 

    Pour permettre au foie de se refaire une santé et de reprendre son fonctionnement normal, la consommation de cette plante est préconisée après les périodes de Fêtes : moments où le mode d’alimentation a tendance à changer et où la consommation de glucides, de lipides et d'alcool est plus importante. Le radis noir est contre-indiqué en cas d’obstruction des voies biliaires. Pour les personnes qui sont plus sensibles au jus de radis noir (aigreurs d’estomac, brûlures d'estomac), il vaut mieux se tourner vers un autre traitement naturel ou alors l’accompagner d’huile végétale.

    En usage interne, il est recommandé de prendre une cuillère à soupe de jus de radis noir de 2 à 6 fois par jour. Sur une journée, il ne faut pas dépasser les 100ml de jus de radis noir.

    Important : L’usage du radis noir à des fins thérapeutiques (= pour soigner une pathologie du foie) doit faire l’objet d’un diagnostic et d’une préconisation médicale. Pour traiter les maladies du foie, il est important d’avoir un suivi médical et de poser un diagnostic sur ses troubles avant d’engager tout traitement thérapeutique classique et/ou naturel.

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  • Idées recettes

    Pour accéder à d’autres recettes, vous pouvez vous rendre sur le site de recettes de cuisine CuisineAZ.com, qui propose entre autres, les recettes suivantes : confiture de prune, tarte au prune, gâteau au prune

    Prunes


    Le plum-pudding anglais
    • Telle quelle, mûre à point et bien juteuse en collation ou en dessert.
    • Ajoutez des morceaux de prunes fraîches aux céréales du matin.
    • Faites de la compote et servez-la avec du yogourt et du miel ou avec de l'agneau aromatisé au romarin.
    • Farcissez des crêpes de prunes en compote ou nappez des gaufres d'une sauce aux prunes.
    • Dans les tartes, muffins, clafoutis, gâteaux renversés, etc.
    • Sauce aux prunes à la chinoise. Faites cuire, pendant 45 à 50 minutes, des prunes, des pommes et des abricots avec du vinaigre de riz, du sucre, du piment fort et de la badiane (anis étoilé). Passez ensuite au tamis et ajoutez un peu de sauce soya.
    • Gnocchisaux prunes. En Italie, on prépare des gnocchis avec une pâte faite de pommes de terre passées au presse-purée et battues avec des oeufs, du sel et de la muscade. Étalez la pâte au rouleau, découpez des cercles, déposez-y un morceau de prune et refermez. Faites cuire dans l'eau bouillante et roulez dans de la chapelure de pain.

    Pruneaux

    • S'ils sont très secs, trempez-les dans l'eau avant de les apprêter.
    • Le lapin aux pruneaux est un classique de la cuisine française.
    • Dans une farce avec du riz pour accompagner la volaille.
    • Pour renouer avec la vraie tradition du plum-pudding anglais (plum signifie prune), remplacez les raisins secs des recettes par des pruneaux coupés en dés.
    • Farcissez-en des pommes que vous ferez ensuite cuire au four avec des côtelettes de porc ou de veau.
    • En Provence, on prépare une compote de fruits secs avec des pruneaux, des dattes et des abricots secs dénoyautés. Mettez les fruits dans une casserole avec un peu de thé, le jus et le zeste râpé de deux oranges, une pincée de cannelle et du miel. Couvrez et faites cuire à feu doux pendant une quinzaine de minutes. Ajoutez des pignons de pin et laissez reposer quelques heures avant de servir avec une glace ou une crème sucrée.
    • En Égypte, on jette des pruneaux dans du thé fort et on les laisse macérer toute une nuit. Farcissez ensuite les pruneaux d'un morceau de noix et servez-les nappés du thé que vous aurez sucré et fait réduire jusqu'à consistance d'un sirop léger.

    Choix et conservation

    Choisir

    La prune mûre à point doit céder sous une légère pression et être molle à son extrémité. Les fruits plus fermes finiront de mûrir sur le comptoir. Il faut éviter d'acheter des fruits durs, car ils risquent de ne jamais atteindre leur pleine saveur. Choisissez des fruits non abîmés.

    Conserver

    Réfrigérateur. On peut garder les prunes à la température de la pièce, si elles ne sont pas parfaitement mûres. Elles se conservent quelques jours au frigo lorsqu’elles sont mûres. On les sort quelques heures avant de les consommer afin qu'elles reprennent leur pleine saveur et qu’elles soient bien juteuses.

    Congélateur. Il est préférable d'enlever les noyaux avant de congeler les prunes.

    Les pruneaux se conservent quelques mois dans un contenant hermétique au frais, au sec et à l'obscurité. Pour prolonger leur conservation, on peut mettre le contenant au réfrigérateur en veillant à le fermer hermétiquement chaque fois que l'on se sert, afin d'éviter un dessèchement excessif.

    La petite histoire de la prune et du pruneau

     

     

    Nom commun : prune.
    Nom scientifique
     : Prunus domestica, Prunus domestica var. insititia, Prunus salicina.
    Famille
     : rosacées.

     

    Le terme « prune », qui est apparu dans la langue française en 1265, vient du latin populaire prunum. « Pruneau », qui désigne la prune séchée, est apparu beaucoup plus tard, soit vers 1507.

    Les pruneaux : de laxatifs à friandises
    En Grèce et à Rome, on appréciait les vertus laxatives des pruneaux. En France, les célèbres pruneaux d'Agen sont produits depuis le Moyen Âge. Farcis ou enrobés de chocolat, ils constituent aujourd’hui des friandises de luxe.

    Le terme « prunelle », qui a précédé « prune » date de 1175. Il désigne les petits fruits des pruniers sauvages que l'on récolte tard à l'automne, après qu'ils aient subi quelques gelées. On en fabrique une liqueur (par macération dans l'alcool) et une eau-de-vie (par fermentation puis distillation), qui ont pris toutes les deux son nom.

    La prune est le plus répandu des fruits à noyau, appelés drupes. Le prunier est présent sur tous les continents, sauf l'Antarctique. Il en existe une centaine d'espèces, originaires d'Asie, d'Europe ou d'Amérique. Les seules espèces qui ont fait l'objet d'une culture commerciale sont le prunier européen (P. domestica), originaire du Caucase, et le prunier japonais (P. salicina), originaire... de la Chine. On considère parfois le prunier de Damas comme une espèce en soi. En général, les botanistes le classent comme une sous-espèce du prunier européen (P. domestica var. insititia), qui aurait été sélectionnée par les Arabes.

    Le prunier européen pourrait résulter d'un croisement spontané entre 2 pruniers sauvages (P. cerasifera et P. spinosa). Cela se serait produit il y a quelques milliers d'années dans une région proche de la mer Caspienne. De là, le prunier européen se serait disséminé dans tout le Moyen-Orient ainsi qu'en Europe, probablement durant les invasions du IIe millénaire avant notre ère. La prune était connue des Égyptiens, qui l'ajoutaient aux provisions destinées à sustenter les morts dans leur voyage vers l'au-delà. Le fruit était également apprécié des Étrusques et des Romains, qui en cultivaient un certain nombre de variétés, dont la Damas.

    La Damas sera d'ailleurs l'une des premières variétés que Champlain et les pères Récollets introduiront en Nouvelle-France au XVIIe siècle. Sa culture se répandra en bordure du fleuve, si bien qu'on en retrouve à Québec, sur l'Île d'Orléans, sur la Côte-de-Beaupré, dans Charlevoix, à l'Île-aux-Coudres et sur la Côte-du-Sud. Ainsi, autour des jardins potagers, à côté des pommiers de vieille souche, il est d'usage de trouver la mirabelle, la reine-claude, la damas pourpre et la damas jaune.

    Au XIXe siècle, la prune est tellement populaire que c'est par barils entiers que la « p'tite prune d'habitants », comme on l'appelle alors, est chargée sur les goélettes pour être vendue dans les marchés des grandes villes. Dans la région de Kamouraska, une coopérative de mise en marché voit même le jour en 1923. Mais la prune ne résistera pas aux grandes mutations de l'agriculture. Sur les 218 000 pruniers recensés au début du XXe siècle, l'est du Québec n'en comptait plus que 2 000 en 1983.

    Le Musée de la prune
    À Kamouraska, au Québec, l'ethnologue et jardinier Paul-Louis Martin a reconstitué le verger qu'avait planté le marchand Sifroy Guéret dans les années 1840 et qui comptait plus de 1 000 pruniers. Il abrite aujourd’hui la Maison de la prune, un centre d’interprétation consacré au fruit.

    En Amérique du Nord, la prune d'Amérique (P. americana) et la prune du Canada (P. nigra) ont été largement consommées par les Amérindiens qui les mangeaient fraîches ou séchées. Ils les conservaient dans des fosses pendant une partie de l'hiver. Les Blancs, eux, en faisaient des confitures et des gelées. Une centaine de cultivars ont été sélectionnés à cet effet.

    La prune des grèves (P. maritima) pousse à l'état sauvage le long des côtes de l'est de l'Amérique du Nord, depuis le Nouveau-Brunswick jusqu'en Virginie. Elle croît dans les lieux pauvres tels que les dunes. On en fait traditionnellement une gelée que l'on sert avec le canard ou le gibier. En Europe, la prune sauvage, ou prunelle (P. spinosa), sert également à la confection de gelées et de confitures, mais son principal usage reste les liqueurs et les eaux-de-vie.

    Jardinage biologique

    On peut cultiver, même dans une petite cour en ville, un ou quelques pruniers nains. Il faut choisir une variété rustique et auto fertile. Si ce n'est pas le cas, assurez-vous d’avoir 2 ou 3 variétés différentes afin de favoriser une bonne pollinisation. Plantez les arbres dans une terre bien drainée et de préférence dans un endroit protégé des vents du nord et de l'ouest. Les variétés japonaises sont plus résistantes aux maladies que les variétés européennes, par contre, elles sont moins rustiques.

    pH : 5,5 à 6,5

    Plantez le jeune arbre dans un trou profond et large que vous aurez rempli d'un bon compost décomposé et d'un peu de poudre d'os. Formez une cuvette qui pourra recueillir l'eau de pluie, arrosez à fond et paillez. Espacez les arbres de 3 m à 5 m dans le rang et de 6 m entre les rangs.

    La taille, qui s'effectue après la floraison à compter de la seconde année, ne doit pas être trop prononcée. On taille surtout pour éviter que l'arbre ne pousse trop en hauteur et pour dégager le centre de la couronne afin de favoriser l'ensoleillement. L'arbre devrait commencer à produire la 4e année.

    Divers insectes et maladies peuvent attaquer le prunier quoique, dans le verger familial, les dommages devraient être peu importants. Comme première mesure de prévention, diversifiez la production en plantant, à travers, d'autres espèces d'arbres fruitiers.

    Pour lutter contre le nodule noir, taillez et brûlez les branches atteintes dès l'apparition des premiers nodules, qui sont d'abord verdâtres. Coupez au moins 15 cm en amont du nodule. Désinfectez souvent les outils de travail en les aspergeant avec de l'alcool à friction. Éliminez les arbres très infectés. Ces mesures sont d'autant plus importantes que le nodule attire certains insectes qui sont également nuisibles au prunier.

    Écologie et environnement

    Le prunier est l'un des arbres les plus intéressants à planter lorsqu'on veut attirer chez soi un peu de la vie sauvage qui préfère normalement les endroits peu fréquentés par les humains. Abeilles et papillons, colibris et orioles (que l'on appelle loriots en France) y trouvent là un gîte et une nourriture à la hauteur de leurs espérances. Si l'on dispose d'un terrain assez grand, on pourra planter une haie de pruniers sauvages et, au bout de quelques années, on pourra constater qu'une petite faune fort diversifiée y aura installé ses quartiers permanents.

     

    Sections Idées recettes, Choix et conservation, La petite histoire de la prune, Jardinage biologique, Écologie et environnement.
    Recherche et rédaction :
    PasseportSanté.net

    Mise à jour : avril 2011

     

    Références

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    http://www.passeportsante.net/fr/Nutrition/EncyclopedieAliments/Fiche.aspx?doc=prune_nu

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