• Piqûre de méduse : risques et solutions

     
    Piqûre de méduse : risques et solutions
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    Voici une conséquence bien désagréable du réchauffement climatique : la reproduction des méduses qui pullulent sur nos côtes… Et leur piqûre, souvent douloureuse, peut gâcher quelques jours de vacances. Car désormais l’année des méduses, c’est chaque année.

    1. Quels sont les risques d’une piqûre de méduse ?
    2. Que faire en cas de piqûre de méduse ?
    3. Piqûre de méduse : les remèdes qui soulagent
    4. Les crèmes anti-méduses : arnaques ou solutions ?

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  • Le potiron permet de réaliser de délicieux desserts, ainsi ces gaufres aussi agréables en dessert qu’au goûter... Elles ravissent les enfants.

    Ingrédients

    Préparation : 10 minutes
    Attente : 1 heure
    Cuisson : 15 minutes

    Ingrédients :

    Pour 10 gaufres

    • 500 g de potiron
    • 125 g de farine
    • 75 g de sucre
    • 50 g de beurre demi-sel
    • 2 œufs
    • 10 cl de lait
    • 1 c. à café de vanille en poudre
    • 3 c. à s. de rhum
    • sucre glace
     

    Découper le potiron

    1. Eplucher le potiron, le couper en dés et le faire cuire 10 minutes à la vapeur. Bien égoutter.

     

    Mélanger farine, oeufs, sucre...

    2. Mélanger la farine, les œufs, le sucre.

     

     

    Ajouter le beurre

    3. Ajouter le beurre fondu et le lait chaud.

     

    Mixer le potiron

    4. Mixer le potiron et le mélanger à la préparation.

     

    Ajouter le rhum dans la préparation

    5. Ajouter la vanille et le rhum.

     

    Faire cuire les gaufres

    6- Laisser reposer au moins 1 heure et cuire dans un gaufrier.

     

    Gaufres au potiron

    Servir chaud saupoudré de sucre glace.

    Régalez-vous !

     

    Les petits conseils d’Eloïse :

    Pensez à adapter les proportions selon les dimensions de votre gaufrier.
    Vous pouvez accompagner les gaufres de confiture, de crème chantilly, de crème de marron.

    Shopping :

    Sujets :

    http://www.gerbeaud.com/cuisine/gaufres-au-potiron,775.html

     

    Remplacer le beurre par de l'huile

    Remplacer le lait par le lait de riz

    Remplacer le sucre par du Tagatose

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  • A la mi-octobre, le jardinier rentre ses courges. C’est le moment de les utiliser dans de multiples préparations.

    Poêlée de potimarrons : ingrédientsPréparation :15 minutes
    Temps de cuisson :25 minutes

    Ingrédients :

    Pour 4 personnes

    • 500 g de chair de potimarron
    • 150 g de riz
    • une branche de céleri
    • un petit oignon
    • une gousse d’ail
    • sel, poivre
    • 2 cuillères à soupe d’huile d’olive
    • ½ litre de bouillon de volaille
     

    on râpe l'ail1. Peler l’oignon et le couper en morceaux, ciseler la branche de céleri et râper la gousse d’ail.

     

    Evider le potimarron2. Vider le potimarron, séparer la chair et les pépins. Conserver l’écorce pour la présentation.

     

    Verser le riz3. Dans une poêle, faire fondre l’oignon dans l’huile d’olive, jeter le riz dessus. Lorsque celui-ci est translucide, verser la moitié du bouillon.

     

    Ajout de la chair de potimarronAjouter le céleri et le potimarron. Remuer et couvrir. Au fur et à mesure de la cuisson, rajouter du bouillon.

     

    Remplissage du potimarron avec la poêlée4. La cuisson terminée (il faut compter vingt bonnes minutes) verser le contenu de la poêle dans le potimarron évidé.

     

    Poêlée de potimarrons : serviceServir imédiatement.

    Régalez-vous !

     

    Les petits conseils d’Eloïse :

    Vous pouvez également réaliser cette recette avec du potiron, de la courge longue de Nice .

    Vous pouvez déguster cette préparation aussi bien avec de la viande que du poisson.

    Sujets :

    http://www.gerbeaud.com/cuisine/poelee-potimarron.php

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  • Antiseptique, anti-inflammatoire, anticholestérol, antioxydant, antiallergique et même…aphrodisiaque (mais là, gare à ses effets « tue-l’amour » sur l’haleine) l’ail serait-il un remède miracle ? Utilisé voici plus de 5.000 ans dans les steppes d’Asie centrale, il servait d’antipoison dans la Rome antique. Depuis, son succès ne s’est jamais démenti.

    Les multiples bienfaits de l'ail

    Grâce à ses acides phénoliques, l’ail agit comme un antiseptique puissant du système digestif et de l’appareil respiratoire. Son effet fluidifiant sur le sang, sa capacité à dissoudre les petits caillots freineraient l’évolution de l’athérosclérose. Par ailleurs, ses principes actifs soufrés dilateraient les artères coronaires, contribuant à prévenir l’angine de poitrine. Consommé régulièrement, il aiderait à prévenir le cancer de l’estomac, du côlon et du rectum et serait efficace contre les vers intestinaux. Il aiderait également à la digestion, en favorisant le développement de la flore intestinale, grâce à l’inuline, prébiotique qu’il contient naturellement. À tous ces avantages, il faut rajouter son effet préventif et thérapeutique contre le rhume, son contenu en vitamines A, B, C et E, ou la présence d’allicine, molécule antibiotique. Et naturellement (mais est-il utile de le préciser ?), il ferait fuir les vampires !

    Point trop n’en faut, sinon l’ail, ça fait mal

    Attention néanmoins aux excès. Consommé en trop grandes quantités, l’ail peut entraîner des brûlures gastriques. Et même en applications locales, le « remède » n’est pas anodin et peut provoquer des nécroses localisées de la peau. Il ne faut donc pas abuser de l’ail.

     

    L'ail a de multiples propriétés, mais attention à ne pas le consommer en excès. © Trgobal, pixabay.com, DP

    L'ail a de multiples propriétés, mais attention à ne pas le consommer en excès. © Trgobal, pixabay.com, DP

    http://www.futura-sciences.com/magazines/sante/infos/qr/d/nutrition-bienfaits-ail-1624/

     

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  • Souriez, vous êtes filmés… de l'intérieur !

    Explorer l'intérieur du tube digestif pourrait rapidement devenir aussi simple que de prendre une gélule. En effet, une firme israélienne a déjà inventé une caméra… à ingérer. Ce dispositif pourrait remplacer certains examens endoscopiques classiques. Déjà d'autres équipes envisagent même un mini-robot télécommandé. Dur à avaler ?

    Saignements digestifs, dépistage de polypes, pour toutes les pathologies de l'intestin la méthode d'exploration la plus efficace est, sans aucun doute, de regarder ce qui se passe à l'intérieur du tube digestif, par endoscopie. Mais demain, une nouvelle technique pourrait compléter voire concurrencer ces explorations indigestes.

    Un véritable progrès diagnostic

    L'endoscopie consiste à introduire par la bouche ou par l'anus, un long tube muni de fibres optiques, permettant de filmer l'intérieur du conduit digestif, de réaliser des prélèvements, voire d'enlever des polypes ou de colmater un vaisseau endommagé.

    Mais l'endoscopie a quelques inconvénients majeurs :

    • Sans anesthésie, elle est parfois désagréable, et source d'appréhension par les patients ;
    • Du fait de la longueur de l'appareil digestif, certaines zones sont difficiles ou impossibles à explorer.

    "Ainsi, on a longtemps considéré l'intestin grêle comme une véritable "boîte noire". Du fait de sa longueur de 3 à 9 mètres, les procédures classiques telles que l'entéroscopie ne permettent pas d'explorer plus d'un mètre de sa partie proximale - le jéjunum - et 70 cm de sa partie distale - l'iléon" nous précise le professeur Gérard Gay du CHU de Nancy, vice-président de la société française d'endoscopie digestive.

    "L'intestin grêle n'est plus la dernière frontière !"

    En l'an 2000, des chercheurs israéliens de la société Given Imaging ont présenté une "gélule-caméra". Certes de bonne taille (un centimètre sur trois), mais beaucoup plus facile à avaler que le corps d'un endoscope 1, le dispositif baptisé M2A serait l'avenir des explorations endoscopiques.

    Capsule ImagingLa gélule contient une minuscule caméra vidéo et une source lumineuse, indispensable pour éclairer l'intérieur du tube digestif. Une fois avalée, elle progresse naturellement à l'intérieur du corps, propulsée par les contractions habituelles de la muqueuse digestive et la gravité. La caméra permet d'enregistrer des images vidéos, transmises par télémétrie à un enregistreur externe que le patient porte à la ceinture. La personne peut continuer à vaquer à ses occupations, notamment travailler, tandis que la gélule explore son tube digestif. La capsule est éliminée dans un délai de 24 heures avec les selles.

    "Cette capsule est un véritable progrès en matière de diagnostic des maladies de l'intestin grêle. Au terme de l'exploration, huit heures d'images sont stockées et doivent être analysées. Un tel volume d'informations nécessite une analyse d'une heure et demi à trois heures", précise le Pr. Gay.

    Sécurité et indications

    L'utilisation de ce procédé a été validée lors de différentes expériences animales 2. Le risque lié aux batteries (oxyde d'argent) peut être considéré comme mineur. "De plus, les cas d'ingestion accidentelle de telles batteries dans des services pédiatriques n'ont pas causé de conséquences très facheuses 3. Le seul risque est un blocage en cas de sténose digestive que le praticien aura le soin d'éliminer", nous précise le Pr. Gay.

    Les indications sont aujourd'hui limitées aux anémies extériorisées par des hémorragies ou occultes découvertes lors d'une prise de sang. Il peut s'agir de saignements dont l'origine se trouvent au niveau de l'intestin grêle 4. "Cette technique est également en cours d'évaluation pour d'autres indications : maladie coeliaque ( intolérance au gluten), recherche de tumeur de l'intestin grêle, maladie de Crohn et autres maladies inflammatoires de l'intestin grêle… Attention, ce dispositif ne peut pas remplacer les examens actuels pour le diagnostic du cancer du côlon. On peut dire aujourd'hui que M2A complète l'endoscopie mais ne la remplace pas !" nous précise le Pr. Gay.

    L'aventure intérieure continue

    Les explorations de l'oesophage, de l'estomac ou du côlon ne sont pas possibles grâce à cette gélule endoscopique pour des raisons d'éclairage, de durée de vie des batteries et de volume à explorer. Différents développements sont en cours pour venir à bout de ces obstacles techniques. Par ailleurs, une miniaturisation du dispositif pourrait bientôt permettre le recours à ce procédé chez les enfants.

    Mais déjà, de nombreux groupes de recherche s'attèlent au problème de locomotion dans le système digestif. La microcapsule pourrait, dans un proche avenir, acquérir et envoyer des informations médicales et recevoir des commandes d'un opérateur. Elle pourrait ainsi être dirigée, comme un robot, afin de voyager à l'intérieur du tube digestif et d'y administrer des traitements.

    microcapsule

    "La progression dirigée est déjà possible et a été testée chez des chiens. Mais dans les dix ans, on peut espérer des dispositifs capables d'administrer localement des traitements, de procéder à des biopsies ou d'engager des procédures thérapeutiques" conclut le Pr. Gay.

    David Bême

    Sources :

    1 - Nature 2000;405 :417
    2 - Gastronenterology 2000 ;119 :1431-1438
    3 - Pediatrics 1992 ;83 :747-757
    4 - Gastrointest Endosc. 2002;56:758-62.

    http://www.doctissimo.fr/html/sante/mag_2000/mag0901/sa_2236_gelule_endo.htm

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