• Principaux faits

    • 347 millions de personnes sont diabétiques dans le monde.(1)
    • En 2004, on estimait que 3,4 millions de personnes étaient décédées des conséquences d'une glycémie élevée à jeun.(2)
    • Plus de 80% des décès par diabète se produisent dans des pays à revenu faible ou intermédiaire.(3)
    • L’OMS prévoit qu’en 2030, le diabète sera la septième cause de décès dans le monde.(4)
    • Un régime alimentaire sain, une activité physique régulière, le maintien d’un poids normal et l’arrêt du tabac permettent de prévenir ou de retarder l’apparition du diabète de type 2.

    http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs312/fr/

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  • Historique de la Fondation PDF Imprimer E-mail

    fhadimacfront03En janvier 1987, voulant changer le sort des diabétiques démunis, afin de leur permettre de " mieux vivre avec le diabète ", un groupe de volontaires sous le patronnage du Lions Club de Port-au-Prince Central ouvrit 2 cliniques : une au dispensaire de l 'Hôpital Saint-François de Sales et une autre à Cité Soleil au local des Centres pour le Développement et la Santé (CDS). En plus des soins médicaux offerts gratuitement, des séances éducatives avant et pendant la durée des consultations expliquaient aux malades l'importance du traitement, la nécessité de reconnaître les signes et symptômes du diabète et leur aggravation, et l'obligation de les rapporter immédiatement à l'équipe médicale. Ces patients qui à cette époque se présentaient dans un mauvais état clinique, souvent en précoma, ou avec des plaies rebelles, constatèrent rapidement l'amélioration de leur état de santé et encouragèrent les nouveaux venus à suivre les salutaires instructions qui leur étaient données.

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    En mai 1987, l'Association Haïtienne de Diabète (AHD) fut créée avec le concours du Lions Club de Port-au-Prince Central. Les cliniques populaires étaient de plus en plus fréquentées avec plus d'une centaine de malades par séance.

     

    En 1989, l'AHD a inauguré son local au 208 Lalue. Les cliniques de Saint-François de Sales et de Cité Soleil furent transférées à ce local, et l'AHD a pu fournir d'autres services comme des séances d'éducation quotidiennes, la vente de médicaments à meilleur prix aux membres de l'association.

     

    A cause de la fréquence élevée de l'hypertension artérielle et des atteintes vasculaires chez les diabétiques, l'AHD devint la FHADIMAC (Fondation Haïtienne de Diabète et de Maladies Cardio-Vasculaires) en 1993.

     

    Depuis la FHADIMAC accueille tous les jours des malades pour la vente de médicaments à prix réduit, la distribution gratuite de l'insuline aux jeunes diabétiques démunis de la clinique populaire grâce au système de parrainage. La Fhadimac offre aussi 2 cliniques hebdomadaires aux malades des classes demunies et dispense des seances educatives journalieres.


    Avec plus de 6000 membres adhérents, la Fhadimac est une fondation totalement haïtienne et privée. Elle joue un rôle essentiel dans la vie quotidienne de milliers de diabétiques, d'hypertendus et de leurs parents en leur prodiguant des conseils salutaires leur permettant de " Mieux vivre avec le Diabète et l'Hypertension Artérielle".

     

    http://fhadimac.org/index.php?option=com_content&view=article&id=47&Itemid=29&lang=fr

     

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  • AFD - PREMIÈRE ASSOCIATION DE PATIENTS EN FRANCE

     

    Créée en 1938


    Reconnue d’utilité publiqueen 1976


    Agréée par le Ministère de la Santé depuis 2007


    Médaille d’or de l’Académie de Médecine en 2009

     

    Siège à la HAS (Haute Autorité de Santé), à laCNAM (Caisse Nationale d’Assurance Maladie) et participe à des commissions à l’ANSM et à la DGS(Direction Générale de la Santé).

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  • Une étude danoise prouve que pratiquer une demi-heure de sport par jour permettrait de perdre plus de poids que de se dépenser pendant une heure.

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  • Problèmes de thyroïde, son ostéopathe lui conseille de changer de smartphone

    Le Vif

    Source: Belga
    mardi 01 octobre 2013 à 09h02

    Certains ostéopathes conseillent à leurs patients souffrant d'électrosensibilité de troquer leur iPhone pour des smartphones moins puissants. À partir de mars 2014, les fabricants devront indiquer plus clairement le rayonnement de leurs appareils, peut-on lire ce mardi dans L'Avenir.

    Après avoir subi une prise de sang qui révélait un dysfonctionnement de la thyroïde, un patient s'est tourné vers son ostéopathe. Celui-ci a constaté un manque d'énergie dans tout le haut du corps de l'homme. 

    "Ça bloquait au niveau de la thyroïde", raconte ce patient. "Mon ostéopathe a testé mon iPhone en plaçant un émetteur et en captant l'énergie au bout de mes doigts: ça montait dans les tours. Suite à cela, il m'a conseillé de changer d'appareil."

    L'ostéopathe Ivan L'Hoest constate de nombreux troubles liés au GSM. "L'électrosensibilité peut engendrer de grandes fatigues, de la nervosité. Cela perturbe tout un plan: si on considère que la biophysique précède la biochimie cellulaire, automatiquement cette biophysique perturbée envoie un mauvais message au niveau des cellules." 

    Illusion

    À partir de mars 2014, les fabricants de GSM et smartphones devront indiquer l'indice de débit d'absorption spécifique (DAS) de leurs produits, selon un arrêté royal publié récemment au Moniteur. 

    Mais pour André Vandervorst, professeur émérite de sciences appliquées à l'Ecole Polytechnique de l'UCL, cette obligation "noie le poisson". "Le DAS, c'est une mesure qui peut donner l'illusion que l'on se préoccupe sérieusement de la santé de l'utilisateur de GSM. Mais c'est très fallacieux car le DAS ne mesure que la quantité de micro-ondes absorbée", explique-t-il. "Plutôt que de parler du DAS, il faudrait indiquer à l'utilisateur du GSM à quel niveau de champ électrique son organisme est soumis lorsqu'il se trouve à telle distance de la source." 

     

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  • Cinq idées reçues sur le sport

    Jan Etienne

    Jan Etienne

    vendredi 04 octobre 2013 à 10h56

    Comment faire du sport sainement? Les avis assenés comme des vérités absolues sont parfois totalement erronés. Ils sont partagés par le grand public, mais aussi par des coaches professionnels et même par certains professeurs. Voici cinq exemples remarquables.

    © Thinkstock

     

    On ne brûle ses graisses qu’après 30 minutes de sport

    Notre corps consomme des graisses en permanence, même quand nous dormons. Pourtant, de nombreuses personnes pensent qu’il faut se dépenser pendant au moins 30 à 40 minutes pour brûler ses sucres et que ce n’est qu’ensuite qu’on entame ses réserves de graisse. Notre corps brûle plus de graisses que de sucres, car les provisions de sucres dans notre corps sont beaucoup moins importantes que celles de graisses et que notre cerveau fonctionne uniquement aux sucres.

    Quand on s’entraîne calmement, les muscles brûlent plus de graisses que de sucres. Au fur et à mesure que l’entraînement s’intensifie, la consommation de sucres augmente. La consommation de graisse augmente aussi, mais beaucoup moins que celle des sucres. Pour brûler plus de graisses, il faut s’entraîner. Car les personnes qui livrent plus d’efforts physiques consomment davantage d’énergie et le corps tente toujours d’utiliser le moins d’énergie possible. Les sportifs bien entraînés brûlent donc plus de graisses que les sportifs occasionnels. Les débutants brûlent le plus de graisses en s’entraînant calmement. Il est beaucoup plus facile aussi de persévérer à ce niveau d’effort.

    Attention: si vous consommez des sucres ou des hydrates de carbone juste avant ou pendant le sport, vous augmenterez la consommation de sucre et baisserez celle des graisses. Ne buvez donc pas trop de boissons sportives si vous voulez maigrir.

    Il faut manger du sel, du magnésium et boire beaucoup pour lutter contre les crampes

    Il n’existe aucune preuve qu’il faut consommer plus de sel, d’eau, de bananes ou de magnésium pour lutter contre les crampes. L’origine des crampes n’a pas été découverte, mais il ne s’agit certainement pas d’un manque de sel.

    La déshydratation n’est pas en cause non plus: aucune étude ne démontre que les crampes soient plus fréquentes auprès des sportifs plus déshydratés que les autres. Selon le scientifique sportif sud-africain Martin Schwellnus (Université du Cap), les crampes viennent surtout d’efforts trop soutenus et seraient dues à la fatigue. La seule façon de les éviter serait de mieux s’entraîner.

    Quand on fait du sport, il faut boire beaucoup

    Tous les sportifs s’entendent dire qu’il faut boire suffisamment et certainement quand il fait chaud. Et les fabricants de boissons de sport ne sont pas en reste pour souligner ce fait. Mais il s’avère de plus en plus qu’il est plus dangereux de boire trop que trop peu.

    Ces dernières années, au moins 16 marathoniens sont décédés suite à une intoxication à l'eau. Comment savoir si on boit trop? Cela va plus vite qu’on ne le croit, et certainement si on est un coureur lent et que l’on boit un verre d’eau toutes les 15 ou 20 minutes. Si le fluide corporel augmente de deux pour cent, le corps peut se retrouver en zone de danger et n’envoie pas de signaux spécifiques quand il est menacé. Pire, les plaintes ressemblent fort à celles dues à la déshydratation. La meilleure façon de décider s’il faut boire ou non est de répondre à sa sensation de soif: la soif prévient contre la déshydratation et si vous buvez suffisamment, vous n’aurez pas soif.

    "Les sportifs capables de s’entraîner sont rétablis"

    Pendant les entraînements, les footballeurs ne dépassent jamais leurs limites. En revanche, les matchs sont beaucoup plus explosifs et fatigants. Selon Janine Stubbe de l’institut de recherche néerlandais, la moitié des blessures de football sont dues aux caractéristiques des joueurs, l’autre moitié au club qui les remet à l'entrainement trop tôt après une blessure. Les clubs ont donc un rôle important à jouer en matière de prévention de blessures et de programmes d’entraînement adaptés.

    La musculation est dangereuse pour les patients cardiaques

    Le sport est bon pour le cœur et les artères, et pourtant seule une minorité de personnes souffrant de problèmes cardiaques font de l’exercice. Beaucoup de médecins prétendent que le sport peut être dangereux pour le cœur. C’était la théorie de l’époque et certains ont du mal à la désapprendre. On ne souligne pas assez que l’exercice augmente les chances de survie après un infarctus de 20 pour cent. 

    http://www.levif.be/info/actualite/sante/cinq-idees-recues-sur-le-sport/article-4000414560932.htm?nb-handled=true&utm_medium=Email&utm_source=Newsletter-04/10/2013

     

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  • Cystites : paroles de Doctinautes

    Les cystites, vous connaissez ! Mais face à la douleur et aux récidives, on se retrouve souvent seule… Heureusement sur nos forums, les Doctinautes se soutiennent et s’échangent des conseils. Rejoignez-les vite !

    Les symptômes de la cystite sont assez caractéristiques. Extrêmement douloureux, ils sont trop souvent banalisés par les conjoints et même parfois le corps médical. Mais sur les forums de Doctissimo, il y aura toujours quelqu’un pour vous écouter et vous soutenir.

    Une douleur extrême

    Cystite DoctinautesLes femmes qui sont victimes de ces infections vivent parfois un véritable enfer. Et aucune raison d’attendre avant de consulter ! Ainsi, Invite-Stine-44 nous décrit ses symptômes : "Au début : quelques picotements en fin de miction et une sensation lourde au bas ventre. Dans la journée, ça devient très vite très douloureux. Quand je finis d’uriner, j’ai l’impression que tout mon bas ventre se contracte, ça brûle terriblement, les dernières gouttes sont un supplice. Ensuite, ça dure comme ça, je bois beaucoup d’un coup, je vais tout le temps aux toilettes et toujours cette sensation de serrement intense dans la vessie, comme si un poing me la broyait et me brûlait. En général, je n’attends pas. Peu importe ce que je fais ou l’endroit où je suis, je cours chez le médecin chercher un traitement. Une fois j’ai attendu 1/2 journée pour voir si ça passait : ça a été l’horreur...". Notre doctinaute Australian Adventurer nous raconte sa 5e récidive : "Celle-là a été la pire de toutes. Je saignais comme au début de mes règles en allant à la toilette. La douleur était insupportable. Je pleurais en urinant tellement que cela me faisait mal. J’ai dû quitter mon travail 2 heures plus tard pour aller en urgence chez le médecin afin d’avoir des antibiotiques. Il a décidé à ce moment-là de me mettre sous antibiotique chronique".

    De trop nombreuses récidives

    Face à ce trouble qu’elles connaissent bien, les femmes arrivent à en percevoir les premiers symptômes. Malgré des traitements efficaces, les cystites ont tendance à récidiver… pour le plus grand malheur des victimes parmi lesquelles Antigone : "J’ai des infections à chaque mois depuis 8 mois. Je suis pourtant à la lettre tous les conseils qu’on m’a donnés(…). Je suis complètement à bout et tannée d’avoir des infections aussi souvent". Moins seules, nos internautes peuvent trouver du soutien, ainsi Lyzie 1977 déclare : "Je vois que je ne suis pas la seule à souffrir de cette horrible et petite bactérie qui vient se nicher dans notre vessie chérie pour nous en faire baver... Seulement voila, pour moi c’est une première d’en avoir autant en si peu de temps. En effet, j’ai un nouvel amoureux depuis quelques mois et c’est systématique : après chacun de nos rapports sexuels, je déclenche une cystite. Comment cela se

    Partager ses conseils et ses petits trucs

    En plus de soutien moral, les Doctinautes se partagent leurs trucs et conseils pour éviter les récidives. Lyzie1977 rappelle ainsi tous ceux qu’elle a lu sur ce forum : "essuyage de l’avant vers l’arrière, uriner après les rapports, boire de l’eau, laver avec un gel pour toilette intime, bien suivre le traitement…". Elles n’hésitent ainsi pas à parler de leur intimité. Ainsi, le passage aux toilettes après chaque rapport est abordé sans tabou par Pholanie : "C’est une des premières précautions que j’ai prise (conseil du médecin), et déjà rien qu’en faisant ça les infections se sont calmées. L’urètre féminine étant petite (contrairement à celle de l’homme), les bactéries remontent facilement et rapidement à la vessie. Donc oui c’est important d’uriner après un rapport pour éliminer les bactéries susceptibles de remonter !".

    Alors plus d’hésitation, pour plus d’information sur la prévention, les traitements ou la lutte contre les récidives, découvrez nos dossiers et pour les petits trucs et le soutien entre amies,cap sur nos forums !

    David Bême

    Mis à jour le 03 juillet 2009

     fait-il ? Je suis les conseils que l’on m’a donné et j’ai été sous antibiotiques à chaque fois mais rien n’y fait...".

    http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/cystite/articles/10589-cystite-infection-urinaire-doctinautes.htm

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  • Je suis heureux d’être diabétique.

     

     

    Je voudrais vous faire part de quelques réflexions que je crois importantes.

    Je suis diabétique et ce depuis  1977.

    A l’époque une simple analyse de sang avait montré  que je me trouvais réellement en difficulté. Toutefois mon médecin traitant à fait refaire une seconde analyse et celle-ci a confirmé la maladie. Pendant quelques mois des tentatives de soins par comprimés  ont démontré que l’insuline était nécessaire.

    Une fluographie des yeux a montré qu’une rétinopathie très importante existait aussi.

    Mes parents n’étaient pas diabétiques et en bonne santé. Je devais donc faire face. Cela n’a pas été facile au début car je suis un bon mangeur et je ne dédaigne pas la bière et autres boissons alcoolisées. Mon médecin traitant a été assez sévère et m’a rapidement imposé un régime strict.

    J’ai eu au départ assez bien de difficultés à m’adapter. Le régime à respecter était assez exigeant. Peu de pain, mais des collations en cours de matinée, l’après midi et avant le coucher. Aussi manger moins et bien entendu pas de sucre, desserts – pâtisseries etc.

    Il est vraiment important de noter que toutes ces nouvelles obligations ont changé complètement mes notions de la vie quotidienne. Je suis marié, nous avons 3 filles. Tout le monde devait m’aider et m’assister. Ou disons-le autrement. Mes proches doivent savoir que je suis « handicapé » et me surveiller en catimini. Mes occupations professionnelles m’obligent à de fréquents déplacements même à l’étranger et de nombreuses visites à la clientèle en Belgique. Il était donc nécessaire de prendre aussi des précautions en cours de déplacements.

    Je dois donc faire face. Il ne s’agit pas de se laisser aller et de faire la grise mine. Au contraire on ne doit s’apercevoir de rien. Donc il faut le sourire et l’optimisme. C’est la solution.

    Je vais donc imprimer et imposer à ma personnalité l’enthousiasme.

    Au début ce n’est pas facile mais très rapidement l’habitude s’installe  et j’entrevois quelques avantages.  Je suis bien surveillé. Un médecin généraliste qui est un copain d’études et un professeur diabétologue me contrôlent. La rétinopathie est prise en main et stoppée.  Petit à petit les examens, et résultats des prises de sang deviennent meilleures. Je suis donc sur la bonne voie et finalement je le dis et je le proclame :

     Je suis heureux d’être diabétique puisque maintenant je dois me soigner et me surveiller tout le temps. Je dois voir régulièrement mon médecin et enfin je dois suivre les conseils du diabétologue.

    En un mot, je suis surveillé et puisque les résultats sont bons je ne puis être que positif. 

    Actuellement tout cela reste entièrement vrai et les examens restent excellents. La seule chose qui est vraie est que je devrais peut-être encore maigrir un peu. Mais il n’est pas toujours facile de respecter cette règle qui est pourtant  absolue : MANGER UN PEU MOINS. Et puis faire attention aussi à ce que l’on boit. Et, (ne pas oublier) faire un peu d’exercice.

    Je voudrais ajouter que mes entretiens avec le diabétologue sont toujours instructifs. Ainsi j’apprends comment mieux surveiller les doses d’insuline en fonction de ce que je mange.

    Au fond le diabète est entré complètement dans ma vie et les soins sont devenus naturels.

    Stephan ROSENBAUM

     

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  • Être diabétique, c’est vivre avec le diabète dans toutes les situations de la vie courante, personnelle ou professionnelle : école, travail, famille, loisirs, voyage... Dans cette rubrique, retrouvez tous nos dossiers thématiques : des conseils pratique sur la prévention, la prise en charge du diabète et la protection sociale et juridique des diabétiques, ainsi que des fiches pratiques pour choisir un métier, prendre une assurance, une mutuelle de santé ou faire un prêt.

    La prise en charge du diabète et la protection sociale des personnes diabétiques sont une priorité pour l'AFD.

     

    Chocolat et diabète sont-ils compatibles ? Faut-il s’en priver quand on est diabétique ? Les bienfaits du chocolat pour le moral et la santé sont pourtant bien connus.

     

    Le diabète chez la femme a des répercussions spécifiques sur la vie quotidienne et la gestion du diabète.

     

    La grippe est plus dangereuse en cas de diabète car, fragilisé par une maladie chronique, l'organisme est plus exposé aux complications de la grippe qui peuvent être parfois très graves.

     

    Le diabète et l’hypertension artérielle ont en commun des facteurs d’apparition de la maladie (surpoids, sédentarité...) et des risques communs de complications (problèmes cardiovasculaires, cécité

    14/05/2013
     
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  • compteur gratuit

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  • APPELS D'URGENCE 100,112,105

    Appels d’urgence

     

    Les centres 100 reçoivent les appels de détresse, les traitent et les répartissent vers les services de secours compétents.

    Dix centres 100 sont actuellement à votre service 24h/24h et 7j/7 : Anvers, Arlon, Bruges, Bruxelles, Gand, Hasselt, Liège, Louvain, Mons et Namur. Organisés par province, ils garantissent un contact permanent entre les citoyens et les services de secours.

    Lors de leur passage à la technologie Astrid, les centres 100 rassembleront différentes disciplines (services d’incendie – police – discipline médicale) en un même lieu. L’objectif est de :

    • moderniser et d’uniformiser les outils de communication de tous les services de secours
    • favoriser leur coopération mutuelle

    http://www.protectioncivile.be


    112 permettent d'appeler gratuitement les services d'urgence dans les pays de l'Union Européenne depuis un téléphone fixe ou portable

    http:// ec.europa.eu/information_society/activities/112/doc/112_fr
     

     

    Ambulances et transport médical non urgent

     

     

    Les transports secondaires « 105 »


    Le Service de Secours assure les transports en ambulance non urgent. Par non urgent, on entend le transport des patients moins valides qui se rendent à l’hôpital, chez le médecin ou qui doivent être transférés d’un établissement de soins à un autre (consultation, hospitalisation, convalescence…). Les transports non urgents recoupent également lestransports inter-hospitaliers et les transports médicalisés par ambulance spécialisée. Le transport non urgent est organisé dans le respect du décret wallon concernant le "transport médico-sanitaire". Ce service est payant, les demandes se font via le numéro d’appel « 105 ».
    http://www.croix-rouge.be/Page.aspx?PageID=40
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  •  

    Maison ABD Bruxelles Conseil pour diabétiques par des diabétiques et des experts en diabétologue

    Nous vous proposons :

    Des conférences, des tables de discussion, des conseils diététiques :

    Une familiarisation avec le matériel d'injection & d'autocontrôle
    Des activités de détente & loisirs en compagnie des autres membres du groupe

     Notre séance se déroule un jeudi par mois. 
    (excepté jours fériés & congés scolaires),
    de 14 à 17 heures au siège de l' :

    Association Belge du Diabète. 

    Place Homère Goossens 1,

    1180 Bruxelles

    Tél : 02.374.31.93

    Fax : 02/374 81 74

    Ouverture : LU au JE de 9H00 à 17H00 sans interruption – le VE de 9H00 à 16H00 sans interruption

    abd.diabete@diabete-abd.be

    www.diabete-abd.be

    En tram = 4 - 92 - 51- 7  

    En bus = 38 - 41 - 43 - 98

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