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  • Mycoses : les atteintes de la tête aux pieds

    Les mycoses cutanées représentent 10 % des maladies de peau. De la tête aux ongles des pieds, ces infections peuvent présenter différents symptômes.

    Souvent bénignes, les mycoses atteignant la peau et les muqueuses peuvent passer inaperçues. Leur diagnostic repose pourtant le plus souvent sur leur localisation et éventuellement une caractérisation du champignon responsable.

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  • Zoom sur la mycose du pied

    Extrêmement fréquent, le pied d’athlète est une mycose qui ne touche pas uniquement les sportifs… Cette infection entraîne une inflammation de la peau, des coupures au niveau des plis, en particulier entre les orteils, ainsi que des lésions squameuses sur la plante des pieds avec démangeaisons et inconfort.

    Les mycoses des pieds sont extrêmement répandues. Ce serait même la maladie cutanée la plus fréquente.

    Symptômes

    Pieds athlèteCette maladie se caractérise par des rougeurs et des cloques entre les orteils, qui finalement se transforment en fissures ou en crevasses. L’espace entre le 4e et le 5e orteil est généralement le plus touché, l’espace y étant plus restreint. L’infection peut se propager à la plantes des pieds ou aux ongles. Des démangeaisons peuvent également intervenir. Ces manifestations cutanées sont fréquentes chez les sportifs, les pêcheurs ou toutes personnes portant deschaussures fermées favorisant la transpiration et la macération.

    Causes et conséquences

    Ces mycoses sont dues à des champignons dermatophytes ou des levures (du genre Candida). La contamination peut se faire dans des atmosphères humides (piscines, sauna, douches publiques…) ou dans des chaussures entraînant des milieux chauds et humides. Ces infections sont favorisées en cas de lésions du pied ou de mauvaise irrigation des extrémités.

    Même si les conséquences d’une telle mycose ne sont pas très handicapantes, elle doit être traitée pour éviter la propagation de l’infection à d’autres zones cutanées ou d’autres personnes et parce que la perturbation de la zone cutanée va favoriser des infections bactériennes plus problématiques (streptocoques par exemple). Enfin, la prudence est de rigueur chez le diabétique, car une mycose des pieds peut évoluer vers des plaies chroniques graves.

    Diagnostic

    Outre l’aspect clinique caractéristique, le dermatologue pourra également demander un prélèvement des squames. Analysés au microscope, ces échantillons pourront être mis en culture afin d’identifier le champignon responsable de l’infection.

    Traitement

    Le traitement repose sur des bains antiseptiques, une désinfection et des crèmes antifongiques à appliquer deux fois par jour pendant deux à six semaines. En cas d’extension de cette infection, un traitement oral pourra également être prescrit pendant une durée variable. Mais une fois le traitement achevé, plusieurs conseils permettront de prévenir les récidives.

    Conseils anti-récidives

    •  Respecter une hygiène rigoureuse des pieds ;
    •  Après les douches et les bains, séchez soigneusement vos pieds, y compris l’espace entre les orteils ;
    •  Eviter autant que possible la transpiration et la macération (en privilégiant notamment les chaussettes en fibres naturelles…) ;
    •  Eviter les échanges de chaussures ou de chaussettes avec d’autres personnes ;
    •  Ne sautez pas l’étape du pédiluve avant et après vous être promené sur les bords des piscines ;
    •  Au bord des piscines, dans les vestiaires, les saunas et les douches publiques, prévoyez de vous munir de sandalettes.
    Luc Blanchot

     

    Forum Mycoses

    http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/mycoses/articles/9254-pied-athlete.htm

     

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  • Diabète : attention les yeux !

    Parmi les complications dues au diabète, l’atteinte des yeux fait partie des plus connues. Mais face à la rétinopathie diabétique, une surveillance particulière et des traitements adaptés permettent d’éviter la cécité.

    La rétinopathie diabétique concerne près de la moitié des diabétiques, qui ont plus de quinze ans de contrôle de leur maladie. Malgré l’existence de traitements, cette pathologie est la première cause de cécité et de handicap visuel dans les pays développés.

    Un dépistage annuel

     

    Diabète et les yeuxPrès de 2 % de toutes les personnes atteintes de diabète il y a 15 ans sont aujourd’hui aveugles, tandis que 10 % d’entre elles souffrent de graves handicaps visuels. Les maladies de l’oeil du diabétique sont la rétinopathie diabétique, l’oedème maculaire et la cataracte.

    http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/diabete/articles/6078-diabete-yeux.htm

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  • Le diabète, une maladie dangereuse pour le coeur et les vaisseaux

    Environ 3 % des Français sont atteints de diabète, une affection qui tend actuellement à se répandre. Or, cette maladie expose à l'apparition précoce de complications cardiovasculaires, qui peuvent être graves.

    Par définition, le diabète correspond à un excès de glucose dans le sang. Dans plus de 9 cas sur 10, il s'agit d'un diabète de type 2, que l'on rencontre chez des adultes ayant dépassé la cinquantaine, souvent sédentaires et en surpoids. Le diabète de type 1 est moins fréquent et on peut le diagnostiquer dès l'enfance ou l'adolescence. Mais, dans les deux formes de diabète, on observe des altérations des gros et des petits vaisseaux sanguins.

    Les grosses artères du coeur, de la jambe et du cerveau sont souvent touchées

    DiabèteEn raison de l'hyperglycémie chronique et/ou de son association à d'autres facteurs de risque cardiovasculaire comme l'excès de triglycérides sanguins, l'obésité, l'hypertension artérielle, la sédentarité..., le diabète favorise le développement de plaques graisseuses (athérosclérose) au niveau des grosses artères (macroangiopathie).

    Le vieillissement accéléré des artères coronaires du coeur détermine ainsi une mortalité prématurée chez les diabétiques, en particulier chez les femmes, habituellement protégées contre les maladies cardiovasculaires jusqu'à la ménopause.

    • La probabilité de développer un infarctus du myocarde est multipliée par deux à quatre chez un diabétique en comparaison d'un non diabétique et ces infarctus sont deux fois plus souvent mortels.
    • Les diabétiques sont deux fois plus enclins que les personnes non diabétiques à développer une artérite des membres inférieurs, un risque encore accru s'ils fument beaucoup.
    • Enfin, ces patients sont plus souvent victimes d'accidents vasculaires cérébraux et ces problèmes sont, en général là aussi, plus graves que chez les non diabétiques.

    Mais, les petits vaisseaux sont également concernés

    Si l'atteinte des gros vaisseaux fait la gravité de la maladie diabétique (infarctus du myocarde, accidents vasculaires cérébraux), celle des petits vaisseaux comme les artérioles et les capillaires induit des complications propres au diabète. Cette microangiopathie est directement en rapport avec l'hyperglycémie. L'atteinte des petits vaisseaux irriguant la rétine détermine ainsi des altérations visuelles, qui passent longtemps inaperçues mais peuvent aboutir à une cécité. La circulation sanguine est également souvent moins bonne au niveau des vaisseaux des pieds. Ceci aggrave les conséquences d'une éventuelle atteinte des grosses artères des jambes et explique la nécessité de recourir parfois à une amputation des orteils lorsque ceux-ci ne sont plus suffisamment irrigués. De plus, le diabète expose à des lésions précoces des petits vaisseaux irriguant les reins, avec le risque de voir se développer une insuffisance rénale.

    Comment limiter les risques pour le coeur et pour les vaisseaux ?

    De nombreux diabétiques, en particulier de type 2, présentent de nombreux facteurs de risque dont les effets négatifs se renforcent mutuellement. S'il est fondamental de normaliser le taux de glucose sanguin grâce au régime alimentaire et à la prise de médicaments anti-diabétiques oraux ou d'insuline, il est également essentiel d'éliminer dans le même temps ces paramètres de risque supplémentaire.

     

    Ces mesures passeront par la correction d'un surpoids, d'une alimentation trop riche en graisses ou en alcool et la pratique régulière d'une activité physique. Bien sûr, la découverte d'un diabète doit également conduire à se débarrasser définitivement du tabac. Enfin, une bonne hygiène des pieds est indispensable pour prévenir l'apparition d'infections au niveau des orteils, qui aggraveraient les lésions vasculaires des extrémités. Il faudra en outre normaliser autant que possible les chiffres de la tension artérielle et corriger d'éventuelles anomalies lipidiques, qui ont persisté après diminution des apports en graisses. Ce qui peut nécessiter la prise de médicaments anti-hypertenseurs ou hypolipémiants.

    Des malades bien suivis sur le plan cardiovasculaire

    Les diabétiques doivent être attentivement suivis sur le plan cardiovasculaire. Il est habituel de pratiquer un électrocardiogramme pour déterminer si les artères coronaires sont atteintes par l'athérosclérose. Néanmoins, les atteintes coronaires s'accompagnent moins souvent de signes électriques au repos chez les diabétiques que chez les autres malades coronariens. De ce fait, on a tendance à demander plus volontiers chez eux une épreuve d'effort ou une échographie-Doppler pour vérifier l'état du coeur, ou même à pratiquer une coronarographie lorsque l'on redoute une sténose, c'est-à-dire le rétrécissement, des artères coronaires. Une échographie-Doppler sera également prescrite, lorsque l'on pense que les artères des jambes ou les artères carotides du cou sont envahies par l'athérosclérose. Enfin, la réalisation régulière d'un fond d'oeil permettra de vérifier la qualité de la circulation rétinienne. La capacité de filtration des reins sera appréciée indirectement en regardant le taux sanguin de créatinine ainsi que la quantité d'albumine qui passe dans les urines.

    Des traitements spécifiques en cas d'anomalie cardiaque ou artérielle

    Hors les médicaments anti-angineux, le traitement des anomalies coronaires repose sur la chirurgie (pontage) ou, de plus en plus souvent, sur l'angioplastie, une technique qui consiste à élargir le diamètre des artères coronaires obstruées en y introduisant un ballonnet puis en le gonflant. Un petit ressort ou "stent" sera ensuite laissé en place. Reste que chez les diabétiques, le risque de rétrécissement secondaire ou "resténose" est particulièrement important, même en présence de stent, car les lésions d'athérosclérose sont souvent longues et multiples. Pour limiter l'ampleur de ce problème, on discute donc aujourd'hui la possibilité d'utiliser prioritairement chez ces malades des stents recouverts de substance anti-sténose, comme le "sirolimus". Malheureusement, si ces stents actifs sont très efficaces, ils ont aussi l'inconvénient d'être très onéreux ! Quant aux lésions des artères des jambes ou des artères carotides, elles se traitent, soit par chirurgie ou angioplastie.

    Dr Corinne Tutin

    Sources :

    Gu K, Cowie CC, Harris MI. Diabetes and decline in heart disease mortality in US adults. JAMA 1999;281:1291-1297.
    Kannel WB, McGee DL. Diabetes and cardiovascular disease: the Framingham study. JAMA 1979;241:2035-2038.
    Manson JE, Colditz GA, Stampfer MJ, et al. A prospective study of maturity-onset diabetes mellitus and risk of coronary heart disease and stroke in women. Arch Intern Med 1991;151:1141-1147.
    Wingard DL, Barrett-Connor E. Heart disease and diabetes. In: Harris MI, Cowie CC, Stern MP, Boyko EJ, Rieber GE, Bennett PH, eds. Diabetes in America. 2nd ed. Bethesda, Md.: National Institutes of Health, 1995:429-48. (NIH publication no. 95-1468.)
    Panzram G. Mortality and survival in type 2 (non-insulin-dependent) diabetes mellitus. Diabetologia 1987; 30: 123-31.



     

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  • La cécité, un des handicaps les plus contraignants

    10 octobre 2013 - Auteur : Belga/L.B.

    Les Belges connaissent mal les déficiences visuelles et sont nombreux à s'inquiéter de la possibilité d'en souffrir eux-mêmes un jour, selon une enquête de l'ONA (Oeuvre nationale des aveugles).
    Plus de six Belges sur dix imaginent selon ce sondage la cécité comme étant un handicap compliquant considérablement le quotidien des personnes qui en sont atteintes. Ils placent ainsi la cécité en première place des handicaps les plus contraignants au quotidien, largement devant la surdité et le mutisme mais aussi légèrement au-dessus du handicap moteur ou mental. 

    Ce regard des Belges sur la déficience visuelle explique sans doute leurs craintes. Sur les 602 personnes majeures interrogées, 72% se déclarent inquiètes du fait de pouvoir devenir un jour malvoyant. "De plus en plus de Belges souffrent d'une déficience visuelle", précise Jean-Marie Doumont, directeur général de l'Oeuvre Nationale des Aveugles. "C'est simplement dû à l'espérance de vie grandissante. Les jeunes (18-35 ans), qui ont aujourd'hui des grand-parents très âgés mais toujours en vie et potentiellement atteints de malvoyance, sont directement confrontés aux difficultés de la malvoyance au quotidien. Cela explique sans doute leur "taux d'inquiétude" (71%), similaire à celui des plus de 56 ans (74%) qui sont pourtant davantage concernés par la déficience visuelle." 

    Les sondés estiment que les pouvoirs publics ne sont pas assez attentifs aux personnes déficientes visuelles (78%) et que celles-ci ne sont globalement pas très bien intégrées dans la société (64%). Ils semblent paradoxalement peu enclins à proposer eux-mêmes leur aide aux malvoyants qu'ils croisent en rue. Ils ne sont que 28% à déclarer aller spontanément vers les passants malvoyants ou aveugles pour les aider. 

    Il apparaît enfin que 32% de la population pense que la malvoyance équivaut à être aveugle, un pourcentage "inquiétant" selon M. Doumont. "Nous nous concentrons surtout sur nos actions d'intégration envers les personnes malvoyantes (accompagnement d'élèves, bibliothèque, aides administratives...), et avons peut-être trop laissé de côté le 'faire savoir'", explique-t-il. "Nous allons renforcer nos démarches de sensibilisation." Le directeur évoque des situations parfois cocasses qu'il observe en rue, de passants confrontés à des personnes aveugles qu'ils ne savent pas comment aider de manière adéquate. 

    Si le directeur général de l'ONA admet que tout est toujours question de budget, forcément limité, il ne se dit pas déçu des pouvoirs publics. "Nous sentons qu'il y a une conscientisation. Les autorités sont à notre écoute et savent ce qu'il reste à faire pour favoriser par exemple la mobilité des personnes malvoyantes et aveugles. Je pense à la gare de Namur, dans laquelle de gros investissements ont été consentis pour la rendre accessible à tous. La Belgique est toutefois à la traîne en ce qui concerne ses infrastructures." 

    L'ONA, uniquement active en Communauté française, pointe également la limite des 65 ans fixée pour la participation des pouvoirs publics à l'achat d'outils d'aide quotidienne. "Une personne reconnue malvoyante avant ses 65 ans pourra bénéficier d'aides pour équiper sa maison d'appareils adaptés (TV-loupe, ...). Une personne reconnue malvoyante sur le tard n'aura rien. C'est du tout ou rien et ce n'est pas l'idéal, mais nous savons qu'étendre les aides est tout simplement impayable pour les autorités".
     
     
     
     
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  • Il ne reste plus que 5 millions de pas pour atteindre l’objectif des 371 millions en soutien à toutes les personnes atteintes de diabète de par le monde ! Au total, notre plateforme en ligne a recueilli plus de 11000 activités de sensibilisationindividuelles ou collectives émanant de plus de 530 personnes et groupes.

    La plateforme continuera de récolter vos pas jusqu’au lancement du Congrès mondial du diabète, qui se tiendra à Melbourne du 2 au 6 décembre. Merci de continuer à nous montrer comment vous faites un pas pour le diabète à l’adressehttp://step.worlddiabetesday.org.

    Voir le top 50 du classement des personnes et des groupes.

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  • avril 2001

    L'insuline: protéine du 20ème siècle

    par Vivienne Baillie Gerritsen

    (traduction : Sylvie Déthiollaz)


    Si l'on devait décerner le titre de "protéine du 20ème siècle", ce serait sans doute l'insuline qui l'emporterait. En 1926, cette hormone fut l'une des premières protéines à être cristallisée dans sa forme pure. Elle fut également la première protéine à être complètement séquencée en 1955, puis la première à être synthétisée chimiquement en 1958 - en quantité cependant insuffisante pour une production commerciale - et finalement, la première protéine humaine produite par la biotechnologie en 1979, alors que sa séquence nucléotidique n'était même pas encore connue ! L'insuline est ainsi sur le devant de la scène scientifique depuis plus de 50 ans. Pour quelle raison ? Son rôle central dans une certaine affection nommée "diabète" n'y est bien sûr pas étranger. [PDF]

    Le diabète est une maladie causée par un taux trop élevé de glucose dans le sang. C'est dans le "Papyrus d'Ebers", vendu à l'égyptologue allemand Georg Moritz Ebers en 1872, que se trouve la première description de cette "maladie du sucre". Retrouvé à côté d'une momie dans la tombe de Thèbes, ce papyrus aurait été écrit entre 3000 et 1500 ans avant J.C. Il s'agit d'une collection de textes médicaux décrivant diverses maladies. A l'époque et jusqu'au début du 20ème siècle, seuls l'opium et toutes sortes de régimes étaient employés pour traiter les diabétiques. Malgré l'utilité de l'opium pour diminuer l'angoisse des malades et des régimes pour contrôler le niveau de glucose dans le sang, la plupart ne survivait pas plus d'une année. Aujourd'hui, il y a plus de 15 millions de diabétiques à travers le monde et un grand nombre d'entre eux peut vivre grâce à une injection quotidienne d'insuline.

    Mais quel est le rôle de l'insuline ? Ce sont les cellules pancréatiques b qui produisent l'insuline en réponse à la présence de glucose dans le sang. Une fois relâchée dans la circulation sanguine, l'insuline contrôle le taux de glucose en inhibant sa libération par le foie et en le dirigeant vers les muscles et le tissu adipeux via des récepteurs à insuline présents sur la membrane plasmique de la plupart des cellules. Là, le glucose est converti en carbohydrates complexes, protéines et graisses, qui seront ensuite stockés. Lorsque l'insuline est déficiente ou n'est pas relâchée dans le sang, le taux de glucose sanguin augmente et celui-ci n'est pas distribué aux cellules qui en ont besoin pour fonctionner. A long terme, un diabétique qui n'est pas soigné peut tomber dans le coma, parce que son corps n'est littéralement "pas rechargé".

    C'est le chirurgien canadien Frederick Banting qui fut le premier à isoler l'insuline en 1922. Cependant, la recherche sur le diabète date déjà des années 1880. Deux physiologistes et pathologistes allemands, Oskar Minkowski et Joseph von Mering, pratiquèrent l'ablation de la glande pancréatique sur des chiens qui développèrent alors tous les symptômes du diabète et moururent rapidement. Une recherche plus approfondie permit par la suite de cibler plus précisément l'origine du diabète dans les îlots de Langerhans, des amas de cellules spécialisées au sein du pancréas. En 1910, un physiologiste anglais, Sir Edward Albert Sharpey-Schafer, suggéra qu'un seul composant chimique manquait dans le pancréas des diabétiques. Il l'appela "l'insuline".

    [ Tableau de Banting et son assistant Best dans le laboratoire où fut pour la première fois isolée l'insuline ]

    Avec l'aimable autorisation de Dr. Brenda J. Andrews, Professor & Chair, Banting & Best Department of Medical Research

    Tableau de Banting et Best, son assistant, dans le laboratoire où fut pour la première fois isolée l'insuline


    En 1920, Frederick Banting isola un extrait à partir des îlots de Langerhans (qu'il appela "isletin") et l'injecta à des chiens diabétiques. Le taux de glucose anormalement élevé dans le sang de ces chiens diminua et ils survécurent aussi longtemps qu'on leur administra l'extrait. Le même extrait fut ensuite injecté à un adolescent atteint du diabète, qui vit sa condition s'améliorer de jour en jour. La nouvelle se répandit à travers le monde comme une traînée de poudre et en 1923 déjà, de grands laboratoires produisaient de l'insuline.

    Il existe deux formes principales de diabète : le diabète insulino-dépendant (type I) et le diabète insulino-indépendant (type II). A l'époque, on administrait aux patients qui souffraient de diabète de type I de l'insuline de bœuf ou de porc, qui diffèrent très peu de l'hormone humaine. Cependant, des complications pouvaient surgir, telles que des allergies. Aujourd'hui, grâce au génie génétique, c'est de l'insuline humaine que l'on injecte aux malades. Evidemment, l'insuline recombinante coûte chère et de nombreux pays du Tiers Monde ne peuvent s'offrir que l'hormone d'origine bovine ou de porc, avec ses complications.

    En 1941, Banting se tua dans un accident d'avion. Sa maison est aujourd'hui devenue le "Banting Museum and Education Centre". Une "flamme de l'espoir" y brûle dans une immense boule de granit de 5 tonnes. Le jour où l'on trouvera un remède contre le diabète, cette flamme sera éteinte.

    Une fois établi que l'insuline était bel et bien une protéine, il fallut encore attendre 1955 pour que Frederick Sanger, un biochimiste britannique, réussisse à la séquencer. Cette date est importante pour la bioinformatique et, en particulier, pour les banques de données de séquences de protéines. Aujourd'hui, il semble évident pour tout biologiste qu'une protéine est une séquence d'acides aminés. Pourtant, lorsque Sanger commença à étudier la molécule d'insuline, il ne savait pas de quelle manière les acides aminés interagissaient entre eux. Dans le discours qu'il fit à l'occasion de la remise du Prix Nobel qu'il reçut en 1958, il déclara à ce propos : "Les résultats […] indiquent que les protéines sont des substances chimiques définies, qui possèdent une structure unique dans laquelle chaque position de la chaîne est occupée par un, et un seul, résidu d'acide aminé". Sanger ne se contenta pas de séquencer la molécule d'insuline, il établit aussi que les acides aminés formaient une chaîne. Par la suite, il développa également des méthodes de séquençage de l'ADN, ce qui lui valut un deuxième Prix Nobel en 1980 ! "Le problème de base du séquençage était le même", écrivit-il "ce thème fut au centre de toute ma recherche depuis 1943, à la fois par sa fascination intrinsèque et par ma conviction que la connaissance de la séquence contribuerait de manière importante à notre compréhension de la matière vivante". Le célèbre Centre Sanger situé en Angleterre - un centre de recherche dédié à la cartographie et au séquençage de génomes, parmi lesquels le génome humain - fut nommé ainsi en l'honneur du biochimiste britannique.

    Ainsi le séquençage de l'insuline fut à l'origine du séquençage automatique des protéines et de ce qui allait bientôt devenir un besoin croissant de banques de données de séquences de protéines. La première banque de ce type fut éditée sous la forme d'un livre en 1965 par la défunte Margaret O. Dayhoff et portait le nom de "Atlas of Protein Sequence and Structure". De là naquit la bien connue Protein Information Resource (PIR), créée en 1984 par la National Biomedical Research Foundation. Naturellement, Swiss-Prot fait aussi partie de la descendance de cette toute première séquence protéique. En effet, sans l'insuline, Banting et Sanger, les sciences biomédicales et la bioinformatique n'en seraient pas là où elles en sont aujourd'hui.

    La version anglaise de cet article est disponible sur Protein Spotlight: Insulin: the protein of 20th century

    Pour en savoir plus
    1. Discovering insulin (thèse de doctorat)
    2. The Early Story of Insulin, F. Banting
    3. Frederick Sanger - Autobiography
    4. Sanger F., "Chemistry of insulin; determination of the structure of insulin opens the way to greater understanding of life processes", Science 129:1340-1344(1959) PMID: 13658959

    Références vers UniProtKB/Swiss-Prot

    • Insulin, Bos taurus (bovin): P01317
    • Insulin, Sus scrofa (porc): P01315
    • Insulin, Homo sapiens (humain): P01308
     
    Veuillez utiliser le lien suivant pour référencer cet article:
    <http://web.expasy.org/prolune/annexes/a03_insuline/>
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  • Les épices qui font du bien

    17 septembre 2009 - Auteur : Michèle Rager

    Les épices ont le don de flatter nos papilles et de nous faire voyager grâce à leurs arômes envoûtants. Riches en antioxydants, elles peuvent aussi nous protéger de certaines maladies. 

     

    Des remèdes de bonne femme n'incitant guère à secouer son flacon de curry au-dessus du poulet ? Faux ! Depuis que le monde médical s'y intéresse, il reconnaît bon nombre de leurs propriétés, preuves scientifiques à l'appui. C'est d'ailleurs dans les épices qu'a été découverte, en 1971, la première enzyme antioxydante (SOD pour superoxydedismutase). N'empêche, si on les plébiscite dans nos cuisines, c'est d'abord pour leurs saveurs qui nous aident à supporter les régimes tristounets et les légumes fadasses... Car, avouons-le, nous ne les utilisons que de manière irrégulière, ce qui ne leur permet pas de nous faire profiter de leurs bienfaits. Sauf si nous modifions nos habitudes culinaires...

    RICHES EN SUBSTANCES ANTI-CANCER 

    Le Centre de recherche sur le cancer de l'université du Texas (Houston) a dressé, en 2006, une liste d'aliments permettant une prévention des tumeurs. Les épices contenant ces agents anti-cancer y figurent en bonne place : cardamome, gingembre, curcuma ainsi que tous les aromates de la cuisine méditerranéenne...  

    LA CANNELLE, BONNE POUR LES DIABÉTIQUES

    On utilise fréquemment la cannelle pour améliorer les inconforts digestifs et réduire les flatulences. Mais aussi parce qu'elle fournit du tonus aux plus raplaplas. Elle passionne aussi les diabétologues car elle stabilise la glycémie (sucre dans le sang) en ralentissant le passage du bol alimentaire de l'estomac vers l'intestin. Elle diminue le taux de certains lipides sanguins (cholestérol total, triglycérides...) : une cuiller à café de cannelle moulue par jour prévient les yoyos de la glycémie.

    En bâtons (à la saveur plus marquée) ou en poudre, elle apporte un goût de vacances aux gâteaux, aux compotes, aux plats de poulet exotiques (couscous, tajine...). Elle constitue l'un des ingrédients du curry.

    LE GINGEMBRE, UN DOPANT NATUREL

    Le gingembre est surtout connu pour ses actifs stimulants et antiseptiques. Consommé trois fois par jour, il élimine les nausées chez les futures mamans. En laboratoire, des solutions de gingembre provoquent la mort de cellules impliquées dans les cancers ovariens. En revanche, ses qualités aphrodisiaques n'ont jamais été démontrées...

    On le retrouve dans les cuisines du monde entier : les Anglais l'utilisent en boissons, les Japonais le mangent avec les sushis, les Indiens le servent dans les currys... Un poulet mariné dans un mélange de gingembre, de sauce soja, de miel et d'huile est délicieux.

    LE CURCUMA, ARME ANTI-CANCER

    En Asie, le curcuma fait partie de la pharmacopée courante destinée à soigner : fièvres, troubles digestifs, plaies, douleurs, affections dermatologiques. C'est l'une des épices qui présente le plus de vertus antioxydantes et anti-inflammatoires, grâce à la curcumine, la molécule responsable de sa couleur jaune.

    En mars 2008, un article paru dans le Journal of clinical investigation note que, chez le rat, la curcumine soigne l'insuffisance cardiaque. Une piste intéressante pour l'élaboration de nouveaux médicaments... D'autres études,indiquent que cette épice pourrait prévenir la maladie d'Alzheimer et/ou ralentir son évolution. Attention, à très fortes doses, il n'est pas supporté par ceux qui souffrent de troubles gastriques.

    Vous pouvez réaliser une vinaigrette, en le diluant dans l'huile d'olive avant d'ajouter le vinaigre : le curcuma a besoin d'être solubilisé dans l'huile pour être absorbé par l'organisme. Afin d'en profiter pleinement, faites donc revenir les aliments (légumes, oignons, viande...) dans la matière grasse avant d'ajouter le curcuma.

    LE POIVRE, AVEC MODÉRATION

    Comme les épices agressives, le poivre devrait être utilisé avec modération car son actif (la pipérine) est susceptible d'aggraver une inflammation du tube digestif. Ce n'est cependant pas une raison pour le zapper totalement : une portion homéopathique de poivre favorise l'absorption des principes actifs d'autres épices. Voilà pourquoi il est intégré dans certains mélanges comme le curry. Marié avec du curcuma, le poivre noir multiplie son action par 2.000 !

    Dans les légumes, la viande, le poisson, à petites doses et avec d'autres épices, il relève aussi la saveur de fruits, tels les fraises ou le melon.

    LA CARDAMOME, POUR SOUFFLER LE FRAIS

    Ses bienfaits sont quasiment identiques à ceux du gingembre mais la cardamome est moins irritante. Elle améliore les troubles digestifs. Mâchée, elle rafraîchit l'haleine et est souvent considérée comme aphrodisiaque. Elle fait partie des épices aux promesses anti-cancer et ce parce que sa teneur en terpènes et en phénols antioxydants est inégalable.

    Les Indiens réalisent un thé au lait aromatisé en y écrasant plusieurs gousses de cardamome : faites chauffer doucement et dégustez sucré. 

     

     

    http://plusmagazine.levif.be/fr/011-623-Les-epices-qui-font-du-bien.html

     

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  • La douleur neuropathique, qu'est-ce que c'est ? 

    La neuropathie diabétique est une atteinte des nerfs due au diabète.  L’hyperlycémie entraîne des lésions au niveau des vaisseaux sanguins et notamment ceux qui irriguent les nerfs, entraînant l’obstruction des vaisseaux et l’absence d’irrigation de certaines parties du corps. L’exposition des nerfs à un taux élevé de sucre pendant une longue période peut également les endommager et entraîner certaines dysfonctionnements nerveux. On parle de neuropathie diabétique.

    http://www.diabete-abd.be/checkabd2011insuline.html

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  • Vivre avec des acouphènes

    01 octobre 2013 - Auteur : Ariane De Borger

    Les acouphènes sont des bruits « parasites » qu'on entend sans que ceux-ci existent réellement et qui résultent d'un dysfonctionnement du système nerveux auditif. Ils peuvent vraiment empoisonner la vie de ceux qui en souffrent.

    J’ai l’impression d’entendre siffler une bouilloire sur le feu tout au long de la journée, » raconte Bert Ghysels, 63 ans, chef de production à l’Institut des Beaux-Arts de Gand, qui a oublié depuis bien longtemps ce qu’est le silence...

    « Cela a commencé il y a environ six ans. J’ai trébuché et me suis cogné la tête sur un tuyau métallique. J’avais le crâne ouvert et j’ai entendu le médecin qui me soignait dire : « Aïe, un nerf est atteint ». Je n’y ai pas attaché beaucoup d’importance sur le moment, sans doute parce que j’étais légèrement commotionné. J’ignore s’il y a un lien direct mais, deux semaines plus tard, j’ai commencé à avoir des sifflements dans les oreilles. Loin de s’estomper, le bruit s’est mis à augmenter. Au début, il semblait situé entre mes oreilles, puis il a migré vers l’arrière du crâne.

    AVEZ-VOUS DES TENDANCES SUICIDAIRES ?

    La première fois que je me suis rendu dans l’unité spécialisée d’une clinique universitaire, je ne me rendais pas encore compte de la gravité de mon cas. Je me suis assis dans la salle d’attente, pleine de gens qui remplissaient des questionnaires à choix multiples. J’ai également dû en remplir un dans lequel on me demandait si j’avais des tendances suicidaires... J’ai coché « non ». Mais, pour la première fois, j’ai commencé à me demander sérieusement de quoi je souffrais !

    A ce moment, je pensais encore que ma gêne pouvait être soignée. Les acouphènes touchent en général ceux qui sont devenus sourds à certains sons. Comme les nerfs ne sont plus capables de transmettre certaines tonalités au cerveau, ils produisent des bruits fantômes. On m’a installé dans une cabine, un casque sur les oreilles et le médecin m’a fait écouter le son aigu que j’entends en permanence. Lorsqu’il a coupé le son et que j’ai ôté le casque, le bruit avait disparu ! J’affichais déjà un grand sourire lorsque, petit à petit, le son aigu s’est réinstallé... Chez certains, cette technique est efficace, mais chez moi pas !

    UNE SORTE DE PROTHÈSE AUDITIVE

    Un peu plus tard, un jeune audiologue a tenté le même type d’approche avec un appareil que je devais porter pendant quatorze jours. Il ressemblait à une prothèse auditive mais émettait « le fameux son » en continu afin de leurrer les nerfs. Cela n’a rien donné non plus. Je suis ensuite passé aux appareils auditifs : plus mon ouïe s’améliorerait, plus mes nerfs devraient avoir de travail et plus les bruits fantômes seraient susceptibles de disparaître. Au début, cela a donné certains résultats : j’entendais mieux lors des réunions, un immense soulagement ! Mais plus les bruits extérieurs étaient nets, plus les acouphènes s’intensifiaient. C’est devenu intenable : j’avais l’impression que ma tête allait exploser. J’ai donc renoncé à l’appareil.

    TROUVER SA MÉTHODE

    L’acteur Karel Vingerhoets (Ndlr : un acteur belge néerlandophone), souffre également d’acouphènes et a raconté son expérience dans un livre. On me conseille de le lire, mais je n’en ai pas envie. C’est son histoire, je ne me sens pas vraiment concerné. Chacun doit apprendre à vivre avec ses acouphènes, et trouver sa méthode pour les gérer.

    C’est très personnel. Je suis plutôt philosophe et cela m’aide. Quand j’en parle, je suis conscient de mes acouphènes, mais il suffit que je me concentre sur autre chose pour qu’ils passent au second plan. Comme mon métier ne m’oblige pas à rester assis toute la journée face à un écran d’ordinateur, je bouge pas mal. Je m’arrange donc pour allonger mes journées de travail de façon à être bien fatigué quand je vais me coucher. Grâce à cela, je m’endors assez facilement, malgré le sifflement. C’est parfois très gênant mais pas insurmontable. Le matin, je me réveille naturellement. Mes acouphènes me tirent rarement du sommeil.

    DEUX COURTES TRÈVES

    Mes acouphènes se sont interrompus à deux reprises. La première fois, je conduisais et, tout d’un coup, le sifflement s’est arrêté. Je me suis arrêté pour voir si je ne rêvais pas. Mais, pas de chance, il est revenu peu après. La fois suivante, cela a duré plus longtemps. J’étais à table et je bavardais lorsque j’ai ressenti un petit déclic dans la nuque et les sifflements ont disparu. Un moment de pur bonheur ! J’ai mis un doigt devant ma bouche pour indiquer à ma compagne de se taire... Mais les acouphènes sont revenus, environ une minute plus tard.

    Je comprends que les gens qui en souffrent se désespèrent. Certains n’en peuvent plus et se suicident. J’ai la chance d’être optimiste et plutôt résistant : je ne laisserai pas ce sifflement conditionner ma vie ! J’ai lu que 10 % de la population souffre d’acouphènes, c’est énorme. J’estime pourtant que je n’ai pas à me plaindre ! La tante d’une connaissance à l’impression d’entendre en permanence un hélicoptère. Alors, une bouilloire...

     

     
     
     
     
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  • Qu’est-ce que le diabète sucré du chat?

    On estime qu’environ 1 chat sur 500 souffre de diabète. Rassurez-vous, vous n’êtes pas le seul maître à avoir un chat diabétique!

    Le métabolisme du glucose chez le chat non-diabétique

    La nourriture est digérée en nutriments que le corps utilise. La conversion des hydrates de carbone (amidon) donne des sucres et notamment du glucose. Une fois passé à travers la paroi intestinale, le glucose circule dans le sang et fournit de l’énergie aux cellules du corps.

    Le passage du glucose dans la plupart des cellules dépend de la présence d'une hormone, l'insuline. L’insuline est produite par une glande spéciale située près des intestins : lepancréas.

    Qu’est-ce que le diabète sucré ?

    Un manque d’insuline disponible peut entraîner le diabète sucré.

    Les causes du diabète chez le chat sont :

    • Le pancréas des chats diabétiques ne produit pas suffisamment d’insuline
    • Les cellules du corps n’arrivent pas à répondre à l’insuline

    Les conséquences du diabète chez le chat sont :

    • Une incapacité de la part des cellules à absorber suffisamment de glucose
    • Des concentrations en glucose bien trop élevées dans le sang

    Tous les chats sont-ils susceptibles de souffrir de diabète sucré?

    Tous les chats, mâle ou femelle, quel que soit leur âge et leur race sont susceptibles de souffrir un jour de diabète sucré. La maladie atteint volontiers les chats les plus âgés. Les plus touchés sont les mâles castrés. On a observé une fréquence du diabète sucré plus élevée chez les chats birmans.

    Si vous êtes propriétaire d'un chien ou d'un chat diabétique, nous vous rappelons que votre vétérinaire traitant reste votre seul interlocuteur pour toute question médicale concernant votre animal ou le suivi de son diabète.

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  • Les symptômes du diabète chez le chien

    Chez l’animal, on parle aussi bien de «symptômes» que de «signes cliniques» ou tout simplement de «signes». Les signes du diabète sucré sont provoqués par un fort taux de glucose dans le sang.

    Lorsque le taux de glucose dans le sang dépasse le " seuil" ou limite de glucose possible pour les reins, on assiste à un passage du glucose en excès dans les urines. Le fait que votre chien urine beaucoup plus fréquemment entraîne une trop forte déshydratation du corps de l’animal l’incitant à boire encore plus.

    Un animal diabétique peut souffrir d’une perte de poids en dépit d’un appétit plus grand dû à sa perte en glucose, lequel représente un carburant (source d’énergie) essentiel pour le bon fonctionnement du corps.

    Pour plus d’informations sur le métabolisme du glucose, consultez la page sur le diabète sucré chez le chien.

    Signes typiques du diabète chez le chien

    1. la polyurie - miction (action d’uriner) excessive
    2. la polydipsie - soif excessive
    3. la perte de poids malgré une polyphagie (un plus grand appétit)
    4. la léthargie

    http://www.diabete-chien-chat.com.fr/symptomes-diabete-chiens.asp

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  • Le diabète chez le chien

    On estime qu’environ 1 chien sur 500 souffre de diabète. Rassurez-vous, vous n’êtes pas le seul maître à avoir un chien diabétique!

    Le métabolisme du glucose chez le chien non-diabétique

    La nourriture se désintègre en composants que le corps utilise. La conversion des hydrates de carbone (amidon) donne des sucres et notamment du glucose. Une fois passé à travers la paroi intestinale, le glucose circule dans le sang et fournit de l’énergie aux cellules du corps.

    Le passage du glucose dans la plupart des cellules dépend de la présence d'une hormone, l'insuline. L’insuline est produite par une glande spécifique appelée pancréas, qui se situe près des intestins.

    Qu’est-ce que le diabète sucré?

    Le diabète sucré est dû à un manque en insuline disponible.

    Les causes du diabète chez le chien:

    • Le pancréas des chiens diabétiques ne produit pas suffisamment d’insuline
    • Les cellules du corps n’arrivent pas à répondre à l’insuline

    Les conséquences du diabète chez le chien:

    • Une incapacité de la part des cellules à absorber suffisamment de glucose
    • Des concentrations en glucose bien trop élevées dans le sang

    Tous les chiens sont-ils susceptibles de souffrir de diabète sucré?

    L'affection atteint plus volontiers les chiens d’âge moyen et les chiens âgés. Les femelles non-castrées sont les plus touchées.

    Les races qui semblent connaître un risque accru de diabète sucré sont :

    • spitz-loup
    • caniche
    • samoyède
    • teckels
    • malamute d’Alaska
    • schnauzer nain
    • chow-chow
    • beagle
    • doberman
    • labrador retriever
    • puli
    • golden retriever
    • pinscher nain
    • bobtail
    • cocker anglais
    • schipperke
    • berger finnois de Laponie
    • west Highland white terrier (westie)
    • cairn terrier
     

     

    Cependant, la popularité de certaines races peut biaiser ce classement.

    La liste ci-dessus cite les races pour lesquelles les chercheurs et certains praticiens vétérinaires pensent qu’un lien significatif existe entre l’affection et la race. Aucune étude permettant de déterminer le mode d’héritage ou la fréquence par rapport à la race n’a été conduite à ce jour ou n’a donné de résultats concluants. Néanmoins, une analyse de pedigree a permis l’identification d’une prédisposition génétique chez le spitz-loup et le samoyède.

    Si vous êtes propriétaire d'un chien ou d'un chat diabétique, nous vous rappelons que votre vétérinaire traitant reste votre seul interlocuteur pour toute question médicale concernant votre animal ou le suivi de son diabète...

     

    http://www.diabete-chien-chat.com.fr/diabete-sucre-chiens.asp

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  • Les principaux troubles de la vision

    Myopie, hypermétropie, astigmatisme, presbytie. Bien que connus de tous, connaissez-vous la signification de ces troubles de la vision ? Parce qu'un dessin vaut parfois mieux qu'un grand discours, Doctissimo vous aide à y voir plus clair grâce à une petite animation.

    La vision normale

    La vision normale est le résultat de la focalisation des rayons lumineux exactement sur la rétine. Schématiquement, les rayons de lumière entre dans l'œil, à travers la cornée, puis la pupille située au centre de l'iris (partie colorée de l'œil). Les rayons atteignent ensuite le cristallin qui en fonction de la distance de l'objet regardé va modifier sa forme pour focaliser les rayons au niveau de la rétine, où l'énergie lumineuse va être convertie en influx nerveux traduits par le cerveau.

    La myopie

    L'allongement du globe oculaire a pour conséquence de bomber la cornée et le cristallin. Les rayons lumineux convergent alors non pas directement sur la rétine, mais légèrement en avant. L'image transmise au cerveau par le nerf optique n'est qu'imparfaitement restituée et le myope a une vision floue du monde qui l'entoure.

    L'hypermétropie

    L'hypermétropie est un trouble fréquent de la réfraction oculaire, qui représente en quelque sorte l'inverse de la myopie. Les rayons lumineux convergent en arrière de la rétine, d'où une vision floue de près alors que la vision de loin est correcte. Dans d'autres cas, un cristallin trop plat ou une cornée pas assez bombée sont en cause car ils focalisent mal les images.

    L'astigmatisme

    Ce défaut de la vision est du à une anomalie de courbure de la cornée, qui au lieu d'être ronde est plutôt ovale. La vision des astigmates est imprécise aussi bien de près que de loin. Par exemple, ils ont du mal à différencier les contrastes entre les lignes horizontales et verticales ou à distinguer un M d'un N ou d'un H, le B du D, le O du 8. Il peut en résulter une fatigue visuelle et des maux de tête. Ce trouble est rarement isolé et est souvent associé à une myopie ou une hypermétropie.

    David Bême
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  • Peut-on manger du sucre quand on a du diabète ?

    C'est vrai

    Le sucre est indispensable à la vie, il faut continuer à manger des aliments contenant du sucre quand on est diabétique. Pour le corps humain, le sucre c'est comme l'essence dans une voiture, c'est l'énergie qui nous permet de vivre et fait marcher notre cerveau.

    Il y a deux sortes de diabète, nous parlerons du plus fréquent, le diabète de type 2 qui atteint 1,5 millions de personnes en France et qui touche de plus en plus de monde. Le diabète est dû à un excès de sucre dans le sang (ce sucre est le glucose), on le diagnostique par une prise de sang (c'est le dosage de la glycémie - gly veut dire sucre et émie, sang). Schématiquement, quand on a du diabète, on assimile mal le sucre, il se trouve alors en excès dans le sang.

    Pourquoi devient-on diabétique ?

    Diabète et consommation de sucreLe diabète est dû aux excès alimentaires. Les personnes diabétiques mangent en effet trop par rapport à leurs besoins et à leurs dépenses énergétiques et sont donc trop grosses. L'alimentation n'est pas la seule raison, les facteurs génétiques sont également importants. En effet, toutes les personnes trop grosses ne sont pas diabétiques, cette maladie ne survient que chez les personnes qui y sont prédisposées.

    Depuis 50 ans, les diabétiques sont de plus en plus nombreux, pourquoi ? Parce que nous mangeons trop et que nous ne nous dépensons pas assez. Le traitement du diabète est alors logique : se dépenser davantage et manger moins, en fait surtout manger mieux en évitant les erreurs qui font prendre des kilos, au fil des années, sans qu'on s'en aperçoive. Ce traitement efficace est simple, mais difficile à mettre en pratique, car il nécessite de changer ses comportements. Pourtant, en perdant quelques kilos, le taux de sucre peut revenir à la normale.

    Quant à se dépenser plus, là encore les conseils ne sont pas compliqués. Le plus simple est de réapprendre à marcher : pour ceux qui vivent en ville descendre une station de métro avant la destination et finir à pied par exemple, à l'aller comme au retour. Prendre les escaliers à la place de l'ascenseur ou des escaliers mécaniques et le week-end programmer une heure de marche le samedi et le dimanche. La natation ou le vélo sont également excellents. On sait que 45 minutes de marche par jour sont très bénéfiques pour la santé.

    Quelles sont les erreurs alimentaires à éviter ?

    Nous mangeons trop de graisses et pas assez de sucres. Où se trouvent les graisses ? Dans le beurre, le fromage, les produits laitiers entiers, les charcuteries, les viennoiseries. Choisissez des produits laitiers demi-écrémés. Certains sucres sont à éviter mais pas forcément complètement : limitez vos consommations de sodas, sucreries et confiseries, de même que les boissons alcoolisées. En revanche, n'hésitez pas manger du riz, des pâtes, mais n'y ajoutez pas systématiquement de beurre, de la crème fraîche ou du gruyère ! Ces aliments (les féculents) contiennent du sucre et celui-ci doit représenter la moitié environ des calories de votre alimentation. N’hésitez pas non plus à manger des légumes secs, des pommes de terre, du pain et des fruits à la fin du repas.

    Vous avez donc besoin de sucre. L'idéal est de consulter une diététicienne qui vous apprendra à manger différemment, en respectant vos goûts.

    Dr Emmanuel Zinski

    Mis à jour le 12 janvier 2011

    Allo diabète propose gratuitement d'être entendu par une diététicienne. 80 % des questions posées concerne actuellement la diététique.

    Allô diabète 
    Tel : 01 40 09 68 09

    Diabétologue, spécialiste de la sexualité, diététicienne, infirmière et/ou assistante sociale répondent du lundi au vendredi de 9 h à 13 h et de 14 h à 18 h à tous ceux concernés par le diabète.

     
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  • Alimentation équilibrée : 100 000 cancers évités

    Plus d’un cancer sur trois pourraient être évités chaque année en France grâce à une bonne alimentation. C’est ce que révèle un rapport du Fonds mondial pour la recherche sur le cancer (WCRF). Plus de fruits et légumes, moins d’alcool, de sel… Mangez malin pour tenir ce fléau à distance.

    Selon les spécialistes, faire les bons choix nutritionnels permettrait de réduire de 100 000 les cas de cancer en France.

    Des règles simples

    Le WCRF propose plusieurs recommandations spécialement adaptées à l’alimentation des Français :Alimentation équilibrée : 100 000 cancers évités

    • Manger équilibré et diversifié. Le WCRF insiste sur le fait que nos repas doivent comporter tous les groupes d’aliments et principalement ceux d’origine végétale. L’organisme international épingle notamment les habitudes alimentaires des hommes (qui consomment plus de pain, de pommes de terre, de viandes, de matières grasses et de vin) et des jeunes (qui consomment plus de produits et de boissons sucrés, de pâtisseries et de pizzas) ;

    • Plus de fruits et légumes. Car en France, ces végétaux sont "sous-consommés", avec 285 g en moyenne par adulte et par jour. Pour les spécialistes, il est nécessaire d’en avaler au moins 400 à 800 g par jour. Cela correspond aux préconisations du Programme National Nutrition Santé, à savoir au minimum cinq fruits et légumes par jour ;

    • Pas trop de kilos ! Le WCRF conseille d’éviter la surcharge pondérale, mais aussi la minceur excessive. Globalement, il ne faudrait pas prendre plus de 5 kilos au cours de sa vie d’adulte ;

    • Une activité physique régulière. Même si cette recommandation n’est pas d’ordre nutritionnel, une alimentation équilibrée doit s’accompagner par exemple d’une heure de marche rapide par jour et une heure d’exercice intense par semaine ;

    • Gare à l’excès d’alcool. Les boissons alcoolisées sont fortement impliquées dans l’augmentation du risque de nombreux cancers (bouche, larynx, foie, colo-rectal, sein…). Or il y a plus de cinq millions de buveurs excessifs en France. Le WCRF recommande de ne pas dépasser plus de 2 verres par jour pour les hommes et un verre par jour pour les femmes ;

    • Pas trop de viande. La viande fait partie des aliments qui participent à l’équilibre alimentaire, mais elle ne doit pas dépasser plus de 10 % des apports énergétiques totaux. De plus, il est recommandé d’opter plus souvent pour de la volaille ou du poisson ;
    • Réduire les matières grasses. Il faut que les Français réduisent leurs apports de lipides. Et il est nécessaire de privilégier les graisses végétales à celles d’origine animale ;
    • Halte au sel. La consommation en sel ne doit pas dépasser 6 g par jour. Préférez les assaisonnements  aux herbes ou aux épices !

    • Optez pour une bonne conservation. Les aliments périssables doivent être stockés dans un endroit frais et sec, afin d’éviter les moisissures ;

    • Respectez la chaîne du froid. En France, la température des réfrigérateurs est souvent trop élevée ;

    • Prenez de bonnes habitudes. Préserver sa santé passe également par les bons gestes dans la cuisine et à table : faites cuire les aliments à température modérée, ne consommez qu’occasionnellement des charcuteries et des jus de cuisson. Enfin, limitez les grillades et les barbecues, surtout s’ils ne sont pas réalisés dans de bonnes conditions.

    Plusieurs cancers évitables

    Ces recommandations si elles sont suivies, auront un effet sur tous les cancers, mais plus particulièrement sur trois d’entre eux :

    • Le cancer du sein : 30 à 50 % des cas pourraient être évités en France, soit 17 000 sur les 34 000 qui apparaissent chaque année ;

    • Cancer colorectal : l’application de bonnes pratiques aurait un effet important, puisque 60 à 70 % des cas pourraient être évités, soit 23 000 cas sur les 33 000 qui apparaissent chaque année en France !

    • Cancer du poumon : l’arrêt du tabac n’est pas la seule mesure de prévention, puisqu’une bonne alimentation permettrait de réduire de 20 à 30 % les nouveaux cas (5000 de moins sur 20 000).

    Mais bien sûr, difficile de changer ses habitudes alimentaires du jour au lendemain ! Pourtant le jeu en vaut la chandelle, et les bénéfices de ces quelques petits efforts sont immenses ! Essayer de changer petit à petit votre alimentation, en intégrant ces recommandations progressivement. Bon appétit… et bonne santé !

    Alain Sousa

    Mis à jour le 19 mars 2010Alimentation équilibrée : 100 000 cancers évités

     

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  • La cécité, un des handicaps les plus contraignants

    10 octobre 2013 - Auteur : Belga/L.B.

    Les Belges connaissent mal les déficiences visuelles et sont nombreux à s'inquiéter de la possibilité d'en souffrir eux-mêmes un jour, selon une enquête de l'ONA (Oeuvre nationale des aveugles).
    Plus de six Belges sur dix imaginent selon ce sondage la cécité comme étant un handicap compliquant considérablement le quotidien des personnes qui en sont atteintes. Ils placent ainsi la cécité en première place des handicaps les plus contraignants au quotidien, largement devant la surdité et le mutisme mais aussi légèrement au-dessus du handicap moteur ou mental. 

    Ce regard des Belges sur la déficience visuelle explique sans doute leurs craintes. Sur les 602 personnes majeures interrogées, 72% se déclarent inquiètes du fait de pouvoir devenir un jour malvoyant. "De plus en plus de Belges souffrent d'une déficience visuelle", précise Jean-Marie Doumont, directeur général de l'Oeuvre Nationale des Aveugles. "C'est simplement dû à l'espérance de vie grandissante. Les jeunes (18-35 ans), qui ont aujourd'hui des grand-parents très âgés mais toujours en vie et potentiellement atteints de malvoyance, sont directement confrontés aux difficultés de la malvoyance au quotidien. Cela explique sans doute leur "taux d'inquiétude" (71%), similaire à celui des plus de 56 ans (74%) qui sont pourtant davantage concernés par la déficience visuelle." 

    Les sondés estiment que les pouvoirs publics ne sont pas assez attentifs aux personnes déficientes visuelles (78%) et que celles-ci ne sont globalement pas très bien intégrées dans la société (64%). Ils semblent paradoxalement peu enclins à proposer eux-mêmes leur aide aux malvoyants qu'ils croisent en rue. Ils ne sont que 28% à déclarer aller spontanément vers les passants malvoyants ou aveugles pour les aider. 

    Il apparaît enfin que 32% de la population pense que la malvoyance équivaut à être aveugle, un pourcentage "inquiétant" selon M. Doumont. "Nous nous concentrons surtout sur nos actions d'intégration envers les personnes malvoyantes (accompagnement d'élèves, bibliothèque, aides administratives...), et avons peut-être trop laissé de côté le 'faire savoir'", explique-t-il. "Nous allons renforcer nos démarches de sensibilisation." Le directeur évoque des situations parfois cocasses qu'il observe en rue, de passants confrontés à des personnes aveugles qu'ils ne savent pas comment aider de manière adéquate. 

    Si le directeur général de l'ONA admet que tout est toujours question de budget, forcément limité, il ne se dit pas déçu des pouvoirs publics. "Nous sentons qu'il y a une conscientisation. Les autorités sont à notre écoute et savent ce qu'il reste à faire pour favoriser par exemple la mobilité des personnes malvoyantes et aveugles. Je pense à la gare de Namur, dans laquelle de gros investissements ont été consentis pour la rendre accessible à tous. La Belgique est toutefois à la traîne en ce qui concerne ses infrastructures." 

    L'ONA, uniquement active en Communauté française, pointe également la limite des 65 ans fixée pour la participation des pouvoirs publics à l'achat d'outils d'aide quotidienne. "Une personne reconnue malvoyante avant ses 65 ans pourra bénéficier d'aides pour équiper sa maison d'appareils adaptés (TV-loupe, ...). Une personne reconnue malvoyante sur le tard n'aura rien. C'est du tout ou rien et ce n'est pas l'idéal, mais nous savons qu'étendre les aides est tout simplement impayable pour les autorités".
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  • Adieu, carte SIS !

    04 octobre 2013 - Auteur : Nicolas Evrard

    A partir du 1er janvier 2014, plus aucune nouvelle carte SIS ne sera délivrée : désormais, vos données d’assurabilité seront directement disponibles via votre carte d’identité électronique

    http://plusmagazine.levif.be/fr/011-9083-Adieu-carte-SIS.html

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  • Quand la vision ne tourne pas rond

    Myopie, hypermétropie, strabisme, astigmatisme… Vous avez certainement entendu parler de ces troubles de la vue mais en connaissez-vous la signification exacte   Doctissimo vous aide à y voir plus clair.

    http://www.doctissimo.fr/html/sante/bien_voir/sa_4971_vision_appli.htm

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