• Le Groupe des Personnes Diabétiques de Bruxelles vous souhaite à tous et à toutes de Joyeuses Fêtes de fin d'année, une excellente année 2013 et une bonne santé.

     

    Axel Dierckx, Brigitte Secat, Stephan Rosenbaum, Florentine Rossi, Pierre Robert, Dan Thomas, Nadine Quinn

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  • Du bonheur de cuisiner avec ses petits-enfants

    Parmi les relations qui se tissent entre les grands-parents et les petits-enfants, on néglige souvent de mentionner une expérience de partage savoureuse :  le lien culinaire. Pourtant, faire la cuisine le dimanche avec Mamie, apprendre ses recettes, ses tours de main et ses astuces constituent une part essentielle du patrimoine familial. Apprenez à renouer avec les traditions.

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    Grand-mère cuisineLes liens entre grands-parents et petits-enfants sont souvent privilégiés, basés sur l’échange, la convivialité, la douceur et le plaisir. Entre eux la complicité est souvent le bon moyen pour transmettre ses valeurs. Et dans ces moments que l’on partage avec ses grands-parents, l’alimentation tient une place essentielle : aller faire le marché, cueillir les légumes du jardin, les éplucher, écosser les petits pois, faire la pâte à crêpes, les tartes ou les confitures… Ces instants qui sont autant de souvenirs magiques pour les enfants.

    Les liens familiaux

    Et lorsque les enfants grandissent, ces moments se transforment en transmission du savoir "culinaire". Celui-ci est essentiel à l’heure ou les générations ont d’autant moins le temps de faire la cuisine et se tournent de plus en plus vers des plats préparés ou vite faits. Ces mets, qui sont parfois des recettes transmises depuis des générations et dont le secret est jalousement gardé, font réellement partie de l’identité familiale. Ces recettes que l’on a pris l’habitude de savourer en famille sont une partie intégrante des liens. Ce patrimoine doit être transmis aux différents membres pour être préservé. Car il n’est inscrit nul part et risque d’être perdu. Qui n’a pas goûté les biscuits aux amandes d’une amie et tenté sans succès d’en obtenir la recette secrète issue des fourneaux de sa grand-mère ? Il suffit de parler des recettes familiales pour voir s’allumer des étoiles dans les yeux de nombre d’enfants.

    Les incontournables

    Chaque famille a bien sûr ses recettes, et ses petits plats favoris. Mais il existe tout de même quelques "incontournables" pour des moments à partager entre petits et grands. Ce sont par exemple les confitures, un moment gourmand que les enfants adorent faire avec les grands-parents. Ensuite les desserts sont une valeur sûre, les tartes notamment (rhubarbe, abricots…) mais aussi l’incontournable clafoutis, ou la charlotte. N’oublions pas les crêpes pour lesquelles on trouve autant de recettes savoureuses que de grands-mères.

     

    Pour les plats, les recettes sont souvent celles liées aux origines familiales, mais adaptées "maison". A l’heure des préparations clefs en main, il faudra aussi certainement se tourner vers Mamie pour obtenir LA recette de la sauce béchamel ou de la sauce au beurre blanc qui accompagnera votre poisson. A noter, plusieurs livres ont d’ailleurs essayé de réunir ces recettes traditionnelles et familiales (La cuisine des grands-mères, Tante Marie, la véritable cuisine traditionnelle, La bonne cuisine de Maman Saint-Ange…).

    Revenir aux traditions et aux origines

    Ce "savoir" culinaire va bien sûr au-delà des recettes. Il s’agit aussi des "tours de main" et conseils qui vont permettre de personnaliser les plats, de réussir les mets. Sans oublier la transmission de cette sagesse populaire qui ne s’apprend pas à l’école : choisir les fruits et légumes, composer les bouquets aromatiques, etc. Et puis notre monde est fait de diversité, nos grands-parents sont parfois issus de pays différents du notre et les traditions culinaires y sont souvent riches et variées. Apprendre à retrouver ses racines dans la cuisine est aussi un moyen de créer ce lien fort avec ses grands-parents. Sans oublier l’amour de faire la cuisine et de déjeuner en famille, qu’aucun livre ou aucune mission ne pourra transmettre comme le fait un grand-père ou une grand-mère.

    Alain Sousa et Anne-Aurélie Epis de Fleurian
    Mis à jour le 18 février 2011

    La cuisine de grand-mère, éditions Atlas, 9,99 Euros
    Tante Marie, la véritable cuisine traditionnelle, Editions Taride, 14, 50 Euros
    La bonne cuisine de Maman Saint-Ange, Editions Larousse, 24,90 Euros

     Forum Cuisine des enfants
     Forum Grands-parents

    http://www.doctissimo.fr/html/nutrition/equilibre_plaisir/articles/10397-cuisine-grand-mere-enfants.htm

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  • Petit ABC des vitamines

    Vitamine A, B, C, PP… Vous commencez à y perdre votre alphabet. Quel est le rôle de chaque vitamine ? Que peuvent entraîner les carences ? Quels sont les apports recommandés ? Tour d'horizon des vitamines et de leurs propriétés…

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    Les vitamines sont des substances organiques nécessaires, en très petite quantité, à l'organisme. A l'exception de la vitamine D, les vitamines ne peuvent être synthétisées par notre corps et doivent être présentes dans l'alimentation. Des apports insuffisants en vitamines provoquent à plus ou moins long terme des perturbations biologiques plus ou moins graves. Mais rassurez-vous, notre alimentation nous permet généralement de couvrir tous nos besoins en vitamines. Dans les pays industrialisés, les cas de déficit graves sont rares.

    Vitamine A (ou rétinol)

    La vitamine A est présente uniquement dans les aliments d'origine animale, surtout le foie. Néanmoins, certains végétaux contiennent des provitamines A (carotènes), c'est-à-dire des substances que l'organisme est capable de transformer en vitamine A. Elle est indispensable à la vision et à la croissance des bronches, des intestins ou encore de la peau. La vitamine A intervient également dans la croissance osseuse, dans la synthèse de certaines hormones telle la progestérone et dans les mécanismes immunitaires.
    Les apports journaliers recommandés en vitamine A varient selon l'âge. Sa carence entraîne des problèmes de vision et des lésions oculaires pouvant aller jusqu'à la cécité. Cette maladie, la xérophtalmie, touche à des degrés divers de nombreux enfants dans les pays en développement. De nombreuses recherches, souvent contradictoires, sont en cours sur le rôle de la vitamine A dans la prévention de cancers, notamment broncho-pulmonaires.

    En savoir plus sur la vitamine A

    Vitamine B1 ou thiamine

    La vitamine B1 intervient dans la dégradation des sucres et donc dans l'utilisation des réserves énergétiques de l'organisme. La carence grave en vitamine B1 provoque le béribéri que l'on trouve dans des pays en développement. En France la carence en vitamine B1 peut provoquer des polynévrites, pathologie qui peut être aggravée par l'alcoolisme. Les céréales complètes, les légumes secs, la viande de porc et les oeufs sont riches en vitamine B1.

    En savoir plus sur la vitamine B1

    Vitamine B2 ou riboflavine

    La vitamine B2 est nécessaire à la fabrication de nombreuses enzymes. Les dérivés de cette vitamine interviennent dans la dégradation des acides gras, des acides aminés et des protéines. Il n'existe pas de maladie due à la carence en vitamine B2 mais celle-ci peut faire partie d'un manque plus général en vitamines du groupe B (polycarences).

    En savoir plus sur la vitamine B2

     

    Vitamine PP ou B3 ou niacine

    La vitamine PP intervient dans la dégradation du glucose. Sa carence entraîne une maladie appelée la pellagre avec des problèmes cutanés, digestifs et nerveux. 
    Les apports conseillés en niacine sont de 6 à 14 mg par jour chez l'enfant selon l'âge, 15 à 18 mg chez l'adolescent et l'adulte et 20 mg chez les femmes enceintes ou allaitantes. Les viandes et abats, les poissons, les légumes secs, certains fruits et le café torréfié sont riches en vitamine PP.

    En savoir plus sur la vitamine B3

    Vitamine B6 ou pyridoxine

    La vitamine B6 joue un rôle important dans la synthèse des lipides et des protéines telles que l'hémoglobine. Sa carence provoque des signes cutanés, des dépressions, des anémies et des problèmes immunitaires. Ce manque peut être favorisé par certains contraceptifs et médicaments.
    Les apports conseillés en vitamine B6 sont de 2 à 2,2 mg par jour chez l'adulte et de 2,5 mg par jour chez les femmes enceintes et allaitantes.

    En savoir plus sur la vitamine B6

    Vitamine B9 ou acide folique

    L'acide folique intervient dans le métabolisme des acides aminés. La carence chez l'homme entraîne une anémie et peut parfois conduire à l'anorexie ou à la dépression. Chez la femme enceinte la carence entraîne des risques pour la formation du système nerveux du foetus.
    Les apports conseillés en acide folique sont d'environ 400 microgrammes par jour chez l'adolescent et l'adulte, et de 800 microgrammes chez les femmes enceintes.

    En savoir plus sur la vitamine B9

    Vitamine B12 ou cobalamine

    La vitamine B12 intervient dans de nombreuses réactions chimiques de l'organisme. Sa carence entraîne principalement une anémie. 
    Les apports conseillés en vitamine B12 sont très faibles, environ 3 microgrammes par jour. Les aliments qui contiennent le plus sont les viandes, les poissons et les crustacés.

    En savoir plus sur la vitamine B12

    Vitamine C ou acide ascorbique

    La vitamine C est nécessaire à la synthèse des vaisseaux sanguins et des muscles. Elle favorise l'absorption du fer présent dans les aliments. Elle intervient dans plusieurs mécanismes hormonaux. Elle joue également un rôle dans l'élimination des substances toxiques. Enfin, elle a des propriétés anti-oxydantes, c'est-à-dire qu'elle limite les effets néfastes des radicaux libres. Une déficience en vitamine C peut diminuer la résistance aux infections. La carence grave se traduit par une maladie appelée le scorbut : fatigabilité extrême, douleurs, altération des gencives. Cette maladie était observée autrefois sur les bateaux : les équipages manquaient de fruits et légumes frais pendant des mois et ne recevaient pas suffisamment de vitamine C.

    En savoir plus sur la vitamine C

     

    Vitamine D ou calciférol

    La vitamine D intervient dans le l'absorption du calcium et du phosphore. Elle joue un rôle essentiel dans la minéralisation des os. Pour être utilisable par l'organisme la vitamine D a besoin de l'action des rayons ultraviolets du soleil. Elle est en effet modifiée au niveau de la peau par les UV. Un minimum d'exposition au soleil est ainsi nécessaire.
    Chez l'enfant, la carence en vitamine D entraîne le rachitisme. Cette atteinte apparaît lorsqu'il n'est pas assez exposé aux rayons du soleil et que ses apports en vitamine D sont insuffisants. C'est pourquoi il est nécessaire de fournir de la vitamine D en supplément aux enfants dans les pays faiblement ensoleillés en hiver, soit sous forme de médicament, soit par enrichissement d'un lait par exemple. En France, les enfants reçoivent d'ailleurs des suppléments en vitamine A, D, E et C. Les enfants qui ont la peau pigmentée ont des besoins encore plus importants en vitamine D. 
    Les aliments les plus riches en vitamine D sont les oeufs, le beurre et le foie, le poissons gras et surtout les huiles extraites du foie de certains poissons (morue).

    En savoir plus sur la vitamine D

    Vitamine E ou tocophérol

    La vitamine E a un effet protecteur particulièrement important vis-à-vis des cellules de l'organisme. Elle joue un rôle important dans les mécanismes de la procréation et intervient dans la synthèse des globules rouges.
    Les carences en vitamine E sont très rares. Souvent, les déficiences viennent de problèmes d'absorption.

    En savoir plus sur la vitamine E

    Vitamine K

    La vitamine K est nécessaire à la coagulation du sang. Elle est à la fois produite dans l'organisme par les bactéries intestinales et apportée par l'alimentation. Compte tenu des besoins très faibles, la carence en vitamine K est rare sauf chez le nouveau-né, si les apports ont été insuffisants pendant la grossesse. C'est pourquoi on recommande de donner un supplément en vitamine K à la naissance.
    Les besoins en vitamine K sont largement couverts par l'alimentation. On en trouve dans les légumes-feuilles (choux, épinards etc.) et dans les tomates.

    En savoir plus sur la vitamine K

    Béatrice Sénémaud et Alain Sousa - Mis à jour le 7 décembre 2011

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    http://www.doctissimo.fr/html/nutrition/mag_2001/mag0202/nu_3499_vitamines.htm

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  • Les principaux coupables

    La migraine résulte d'un dysfonctionnement des systèmes vasculaire et nerveux. Et incontestablement, la maladie est une affaire familiale. Voici ce qu'on sait des raisons de la migraine. Autrement dit, peu de choses. On en sait davantage sur les événements qui déclenchent les crises, une fois la maladie migraineuse installée.

    Pour apprivoiser la migraine, et mieux encore la prévenir, il est indispensable de connaître les situations à risque de crise, qui réveillent la maladie. De nombreux facteurs peuvent les déclencher, dont les patients n'ont pas toujours conscience : manque de sommeil, alcool, règles, stress, chocolat...

    Les facteurs psychologiques

    Les facteurs déclenchantsDans plus de la moitié des cas, ce sont des problèmes psychologiques : une contrariété, une émotion, de l'anxiété, un stress... qui déclenchent la crise. Ce qui entretient d'ailleurs la réputation de la migraine, étiquetée à tort "maladie psychique" dans l'esprit du public. D'autant qu'elle a la particularité de se manifester à des moments bien déterminés chez certaines personnes, systématiquement le week-end par exemple, ce qui gâche le repos et les loisirs de toute la famille.

    De la répétition naît l'agacement... Et les migraineux ont très souvent l'impression d'être pris pour des "enquiquineurs". La migraine peut encore survenir exclusivement pendant les périodes scolaires et les enfants qui s'en plaignent sont alors soupçonnés d'avoir trouvé le moyen de manquer la classe...

    Le manque de sommeil ou à l'inverse l'excès de sommeil, grasse matinée ou sieste, déclenche une crise, qui paradoxalement peut céder avec le sommeil.

    Une dépression aussi peut augmenter la fréquence des crises. Et la crainte que la douleur (redoutée puisque connue) réapparaisse, ne corrige pas ces troubles de l'humeur.

     

    Les facteurs alimentaires

    L'alimentation ensuite est jugée "coupable" pour un quart des migraineux, peut-être parce que les nausées et les vomissements, caractéristiques des fortes crises, semblent révéler un problème digestif. Cela dit, le chocolat et les boissons alcoolisées sont des déclencheurs parfaitement repérés des migraineux. Autres situations favorables à la survenue d'une crise, sauter un repas, en particulier le petit déjeuner, diminuer sa consommation de café à l'occasion du week-end, pour les grands buveurs...

    Les migraineux tolèrent en général mal le tabac, mais celui-ci n'est pas un générateur de crise.

    Quant aux odeurs, lumières et autres stimuli, difficile de savoir la part qui leur revient dans la genèse d'une crise... On est sûr en revanche que les migraineux en crise ne les supportent pas.

    A chaque migraineux, ses facteurs déclenchants !

    Habituellement, un seul facteur ne suffit pas pour déclencher une crise, et c'est par exemple la conjonction d'une soirée bien arrosée et d'un coucher tardif, assortis d'un zeste de grasse matinée, qui est un possible détonateur... Enfin, les crises surviennent parfois sans qu'aucun facteur déclenchant n'ait été apparemment activé, de façon tout à fait imprévisible !

    Dr Brigitte Blond

    Quand le stress monte à la tête

     Forum Migraine
     Forum Maux de tête

    http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/migraine/migraine_facteurs_declenchants_02.htm

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  • Quand la migraine s'invite au réveillon

    En cette période de fin d'année, il serait dommage qu'une crise de migraine vienne jouer les trouble-fêtes. Malheureusement de nombreux facteurs sont réunis pouvant déclencher la crise. Quelques précautions permettront de limiter les risques.

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    Si l'on examine les résultats des enquêtes menées sur les facteurs déclenchant les crises de migraine, on retrouve toujours en bonne place alcool, chocolat, manque de sommeil, stress ou bruit. Autant dire que les fêtes de fin d'année sont une période périlleuse pour les migraineux, qui, entre les repas bien arrosés et les nuits blanches, doivent faire face à une concentration inhabituelle de facteurs bien connus pour précipiter la survenue des crises.

    Des abus qui peuvent provoquer des crises

    Migraine céphalées maux de tête traitementLes facteurs alimentaires d'abord. Il est difficile de passer les réveillons sans faire quelques excès de table et de boissons. Or beaucoup de migraineux savent bien que l'alcool joue, pour eux, un rôle particulier. Certains ne sont sensibles qu'aux vins blancs ou au champagne, d'autres seulement aux vins rouges ou encore aux apéritifs. La bière est fréquemment citée. Le chocolat est également connu pour pouvoir déclencher une crise de migraine, tout comme les fromages vieillis (gruyère, brie, camembert, roquefort, bleu…), les agrumes ou l'aspartam et les additifs alimentaires, notamment le glutamate utilisé dans les plats chinois, qui ne font pas partie, il est vrai, des repas de réveillon classiques. Si le café a plutôt tendance à prévenir la migraine, au point que des crises peuvent survenir après sevrage chez de gros consommateurs, bu en grande quantité il peut également constituer un facteur déclenchant. Attention donc à ne pas en abuser dans l'espoir de mieux résister aux soirées prolongées.

    Les douleurs fugaces au front ou aux tempes provoquées par l'ingestion de glaces ou de boissons glacées n'ont, en revanche, rien à voir avec la migraine. Ces douleurs extrêmement banales, puisqu'elles toucheraient une personne sur deux ou sur trois, durent quelques secondes ou au plus une à deux minutes et sont donc peu gênantes.

    En ces périodes d'abus, il n'est pas inutile de remarquer que le jeûne est parfois, lui aussi, un élément déclenchant, ce qui explique que des horaires de repas décalés puissent entraîner une crise avant même de passer à table. Si vous craignez un dîner trop tardif, n'hésitez pas à prendre un petit acompte, quitte à être plus raisonnable après.

    Un bon sommeil permet d'éviter la migraine

    La fatigue et le manque de sommeil jouent un rôle majeur pour de nombreux migraineux. Souvent, plus qu'une nuit blanche, c'est la fatigue accumulée qui est en cause. Il est tentant de rattraper ces heures de sommeil perdues en faisant la grasse matinée ou en dormant plus les nuits suivantes. Mais, là encore, attention ! L'excès de sommeil ou les levers tardifs par rapport aux habitudes peuvent aussi déclencher les crises.

    Si c'est vous qui organisez les festivités, un autre élément entre en jeu : le stress. La migraine peut se produire au moment où la tension augmente ou, au contraire, lorsqu'elle s'apaise après la bataille.

     

    Froid, spots, fumée... gare aux atmosphères délétères !

    Certains migraineux signalent que leurs crises sont parfois déclenchées par des stimulations sensorielles : odeurs, notamment parfums et atmosphère enfumées, lumières violentes ou clignotantes, bruits. Les ambiances de soirées ne sont évidemment pas des plus propices pour éviter les crises. Pour compléter ce panorama, il convient d'ajouter que le froid fait également partie des facteurs déclenchant de la migraine.

    Traiter vite les crises de migraine

    Si vous êtes migraineux, vous êtes le mieux placé pour savoir quels éléments ont tendance à provoquer vos crises. Ils sont souvent multiples. Evitez de les accumuler parait une précaution élémentaire si vous voulez  passer des fêtes sans souci. Cela suppose, en particulier, de boire et manger raisonnablement et de ne pas perturber de manière trop répétée vos habitudes de sommeil. Cependant, il faut bien admettre que la migraine reste capricieuse, ne se manifestant pas toujours quand on la redoute et survenant volontiers au moment où l'on s'y attend le moins. Il est donc inutile de se priver du plaisir de réveillonner dans l'espoir de s'en prémunir et illusoire de penser qu'il existe des recettes pour l'éviter à coup sûr. En revanche, il est important de connaître les médicaments efficaces pour traiter la crise. Ceux-ci varient selon les personnes. Certains de ces produits ne sont délivrés que sur prescription médicale. Si les antalgiques en vente libre n'ont pas d'effet sur vos crises, la précaution la plus sage est de consulter votre spécialiste. Cela vous permettra de déterminer quel est le meilleur traitement adapté à votre pathologie : des traitements spécifiques de la migraine tel que des triptans ou des traitements non spécifiques tels que des antalgiques ou encore des anti-inflammatoires. Il est conseillé de prendre ses médicaments dès l'apparition des céphalées. En effet, plus ils sont pris tôt, plus ils sont efficaces.

    Dr Chantal Guéniot - 15 décembre 2008
    Mis à jour le 20 décembre 2012

     Les traitements de la migraine
     Les triptans
     Les antalgiques

     Forum Migraine
     Forum Maux de tête

    http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/migraine/8303-migraine-fetes-02.htm

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  • La France est le pays des 300 fromages, et il existe plusieurs familles de fromages, qui sont le plus souvent classés selon leur fermeté et la teneur de leur croûte. Fromages à pâte molle, à croûte fleurie, fromages à pâte pressée non cuite, fromages à pâte dure… retrouvez et comprenez les caractéristiques des grands fromages français !

    Avant le fromage, il y a… le « caillé », un produit solide issu du lait. C'est l'état premier de tout fromage.

    Les variétés de fromage selon leur fermeté (ou teneur en humidité)

    Le fromage obtient sa forme définitive en extrayant le lactosérum du caillé. On obtient alors du fromage à pâte molle, mi-dure ou dure, en fonction de la teneur en humidité.

    Le fromage à pâte molle, le plus onctueux, est du caillé dont la teneur en lactosérum est élevée. Le fromage à pâte dure se caractérise par la teneur en humidité la plus basse, jusqu'à moins de 40 %. Le fromage vieux a perdu au cours de la longue période de maturation encore davantage d'humidité, il est donc sec et friable.

    Les fromages à pâte pressée

    • Fromages à pâte pressée non cuite pour lesquels le caillé est pressé, puis laissé à l'affinage : cantal, saint-nectaire, bethmale, salers, morbier, reblochon…
    • Fromages à pâte pressée demi-cuite : abondance, pyrénées.
    • Fromages à pâte pressée cuite ou pâte dure : emmental, comté, beaufort, gruyère… pour lesquels, après pressage, le caillé est chauffé à 65 °C puis laissé à l'affinage.

    Les fromages à pâte molle

    Les fromages dits « à pâte molle » ne subissent au moment de leur fabrication ni chauffage, ni pressage. La pâte est alors onctueuse voire coulante à pleine maturation du fromage.

    • Fromages à pâte molle à croûte fleurie : camembert, carré de l'Est, brie, coulommiers, neufchâtel… tous ces fromages sont recouverts en surface d'une moisissure comestible qui provoque pendant l'affinage en cave l'apparition d'une croûte dite « fleurie ».
    • Fromages à pâte molle à croûte lavée : livarot, munster, maroilles… la croûte subit, au cours de l'affinage, des lavages à l'eau salée et des brossages qui favorisent le développement d'une flore bactérienne souple rouge orangé, conférant à ces fromages une saveur et une odeur prononcées. L'époisses est lavé avec de l'eau enrichie au Marc de Bourgogne.
    • Fromages à pâte molle à croûte naturelle : chabichou du Poitou, chevrotin, crottin de Chavignol, rocamadour, pélardon…

    Les fromages à pâte fraîche

    Les fromages dits « frais » sont les fromages qui ne sont pas affinés, comme par exemple le fromage blanc. Parmi ces fromages, on trouve le caillé du midi de la France, la faisselle du nord de la France, le brocciu corse ou encore la tome fraîche de cantal, qui sert à fabriquer des plats typiques de la Haute Auvergne et de l'Aveyron comme la truffade ou l'aligot.

    Les pâtes à moisissures internes ou fromages à pâte persillée

    Dans le cas des fromages à pâte persillée tels roquefort, bleus d'Auvergne, de Bresse…, le caillé est ensemencé et percé pour que le champignon se développe. Ces fromages sont tous fabriqués à partir de lait de vache, sauf le roquefort fait exclusivement avec du lait de brebis.

    L'AOP, c'est quoi ?

    L'Appellation d'Origine permet de préserver un patrimoine culturel et gastronomique. C'est une garantie d'origine et de typicité. C'est l'assurance qu'un produit a été fabriqué selon un savoir-faire transmis de génération en génération et transcrit dans un cahier des charges précis. Pour être reconnu Appellation d'Origine Protégée, un produit laitier doit :

    • provenir d'une aire de production délimitée,
    • répondre à des conditions de production précises,
    • posséder une notoriété dûment établie,
    • faire l'objet d'une procédure d'agrément de reconnaissance en AOC par l'Institut national des appellations d'origine (Inao) et puis, en AOP par l'Union européenne.

     Au 1er janvier 2012, sont enregistrées 46 AOP laitières françaises : 43 fromages, 2 beurres et une crème.Depuis le 1er mai 2009, le logo européen AOP ou la mention littérale "Appellation d'Origine Protégée", est obligatoire sur les emballages de tous les produits bénéficiant du logo AOC français et qui ont rejoint la famille des AOP européennes..

    http://www.france.fr/gastronomie/fiche-synthetique/les-grandes-familles-des-fromages-francais

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  • Des herbes de Provence qui viennent de l’Est!

    Les herbes de Provence, un mélange censé amener des saveurs de garrigue gorgée de soleil dans votre assiette ! Sauf que la production locale ne couvre que 10% des besoins du marché. Et surprise, le reste est importé principalement d’un pays qui n’a rien de méditerranéen, la Pologne. La culture du thym polonais est en plein boom. ABE a remonté la filière, en allant voir sur place à quoi ressemble cette production à très grande échelle.

    Les herbes pas toujours provençales…

    A l'origine, les herbes de Provence se trouvaient à l'état sauvage. Il suffisait de se baisser pour ramasser les plantes aromatiques et composer son mélange. Avec l'explosion de la demande à partir des années 60, la production s'est tournée vers la culture avant d'aller chercher différentes variétés d'herbes hors des frontières de l'Hexagone, jusqu'en Pologne. Et comme l'expression "herbes de Provences" n'est pas protégée légalement, le consommateur ne sait pas si le produit qu'il achète a vu le jour dans le sud de la France. Mais la bataille est lancée. Certains producteurs ont déposé un dossier afin d'obtenir une Indication Géographique Protégée qui mettra en valeur l'un des composants de la recette,  le thym de Provence.

    Les herbes de Provences: le test 

    Pour  voir ce qui se cache dans  les différents mélanges d’herbes de Provence disponibles dans le commerce,   nous avons acheté  11 échantillons dans des grandes surfaces ou sur des marchés de Suisse romande. Nous les avons confiés  au Laboratoire  français de la répression des fraudes à Marseille, un organisme  spécialisé dans l’analyse des composants alimentaires.

    Recette: poulet et pommes de terre aux herbes de Provence

    Nadine Alberto vit depuis toujours dans la région de Trets, tout près d’Aix-en-Provence. Ses herbes, elle les cueille dans la colline ou au jardin et se retrouvent dans tous ses plats. Un exemple avec une recette de poulet.

    Prenez une quinzaine de gousses d’ail entières, non pelées et fendues, une généreuse quantité d’oignons rouges pelés et émincés, de l’huile d’olive, de la moutarde gros grains et une cuisse de poulet par convive.

    On commence par verser de l’huile d’olive au fond du plat, puis on dépose une bonne couche d’oignons, à laquelle on ajoute les gousses d’ail. Salez et poivrez, puis saupoudrez de  4 cuillères à café d’herbes de Provence séchées.  Ajoutez un nouveau filet d’huile d’olive, mouillez avec un peu d’eau afin que le mélange reste moelleux, puis déposez vos cuisses de poulet, que vous badigeonnerez de moutarde gros grains. Pour terminer, saupoudrez le tout de 2 cuillères de mélange d’herbe, avec un dernier filet d’huile d’olive.

    Et pendant que le poulet cuit, passons aux pommes de terre à l’ancienne. Les ingrédients de base sont les mêmes, sauf que les herbes seront fraîches.

    Une dernière couche de moutarde gros grains, et notre plat achevé  va  rejoindre le poulet au four pour une durée de 30 minutes.

    Les herbes de Provence ont-elles des vertus thérapeuthiques? Entretien avec Pierre-Olivier Tauxe, médecin généraliste et aromathérapeute

    Notre rubrique: des primes d'assurance ménage et responsabilité civile fixée en fonction de la nationalité

    Monsieur Coral a eu une drôle de surprise. Souhaitant renouveler son assurance ménage et responsabilité civile, il demande une offre par Internet à Allianz. Il corrige son offre en modifiant sa nationalité. Et là, surprise, sa prime annuelle se voit majorée de quelques francs. Une situation qui ne pose pas de problème à la FINMA, l’autorité fédérale de surveillance des marchés financiers. Si les différences sont justifiées par des données statistiques fiables, il n'est pas illégal de majorer les primes selon la nationalité des contractants.

     

    Voir la vidéo sur :

    http://www.rts.ch/emissions/abe/alimentation/4229314-des-herbes-de-provence-qui-viennent-de-l-est.html

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  • DES SPOTS RADIO ET TV CONTRE LA CRUAUTÉ DU GAVAGE

    Home > Actualité > Des spots radio et TV contre la cruauté du gavage

    17/12/2012

    Bruxelles, le 17 décembre. « Le foie gras, n'oubliez jamais comment on le fabrique ; choisissez l'alternative éthique » : c'est sous ce slogan que l'organisation de défense des animaux GAIA lance sa campagne de fin d'année contre la cruauté du foie gras. Dès aujourd'hui et jusqu'à la fin 2012, des spots TV saisissants (visible ici) seront visibles plus de quarante fois au total sur La Une, Een et Canvas. A partir de jeudi et jusqu'à fin décembre également, des spots radios seront aussi diffusés sur Classic 21, Pure FM, NRJ, Bel RTL, Radio Contact, Nostalgie, Fun Radio et Vivacité ainsi que cinq autres chaînes flamandes.

     

    Ecœurement au marché de Noël

     

    Les spots TV montrent des passants sur un marché de Noël être invités à déguster un toast de « foie gras ». Au moment où ils s'apprêtent à goûter l'apéritif, un écran s'allume soudainement pour diffuser des images de canards soumis à la pratique du gavage. Les palmipèdes se voient administrer de force une bouillie de maïs dans l'œsophage et sous haute pression, par le biais d'un embuc métallique enfoncé dans la gorge. Choqués, les passants ont du mal à contenir leur écœurement. Un jeune homme repose le toast sur le plateau. Le spot se termine par le message : « Le foie gras, n'oubliez jamais comment on le fabrique. Choisissez le Faux Gras de GAIA », l'alternative de GAIA, respectueuse des animaux, notamment à base de truffes et de champagne.

     

    Lignes de bus

     

    Par ailleurs, des bus entièrement recouverts du message de GAIA circulent un mois durant dans cinq villes : à Bruxelles, Mons, Charleroi, Namur et Liège. Les autocollants tapissant les véhicules attirent l'attention des passants et des navetteurs sur la cruauté qu'endurent les canards et les oies pour la production de foie gras, et sur l'alternative 100 % respectueuse des animaux que GAIA propose.

     

    But de la campagne

     

    « Afin de mettre un terme à la pratique du gavage, nous voulons convaincre un nombre toujours croissant de consommateurs à tourner le dos au foie gras, c'est à dire à ne pas en acheter et à refuser quand on leur en propose », explique Michel Vandenbosch, le président de GAIA, à propos du but de la campagne. Pour y parvenir, nous confrontons le public aux procédés cruels employés pour fabriquer le foie gras : des millions de canards et des dizaines de milliers d'oies subissent le gavage, jusqu'à ce que leur foie soit malade et atteigne un volume de sept à dix fois supérieur à la normale. Parallèlement, nous expliquons clairement que de très bonnes alternatives existent, comme le Faux Gras de GAIA. Un produit entièrement végétal et qui n'a pas nécessité la souffrance ou la mort d'un animal. »

     

    Soutien de Paul McCartney et de Roger Moore

     

    La campagne de GAIA peut compter sur le soutien de personnalités telles que Sir Paul McCartney et l'acteur de James Bond Sir Roger Moore. « J'appelle tous les Belges à soutenir la campagne de GAIA », écrit Paul McCartney dans son message à GAIA. « Le gavage des canards et des oies me rend malade. C'est cruel et ça devrait être interdit. » Roger Moore est, lui, conquis par le Faux Gras de GAIA : « Le foie gras, c'est de la souffrance animale en boîte. Le Faux Gras de GAIA en revanche est fantastique. »

     

    Le Faux Gras de GAIA dans les supermarchés

     

    Le Faux Gras de GAIA est disponible chez Bioplanet, Carrefour, Champion, Colruyt, Cora, Delhaize, Intermarché, Lidl, Makro, Match, Albert Heijn et de nombreux magasins bio.

     

    Plus d'infos sur www.fauxgras.be

    http://www.gaia.be/fr/soutenez-gaia
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  • 10 questions sur les cheveux après une chimio

    01 octobre 2012 - Auteur : Plus Magazine 9/2012

    La perte des cheveux est un des grands soucis des patients qui doivent subir une chimiothérapie. Nous avons posé 10 questions à un coiffeur spécialisé et à une dermatologie.

    1 TOUS LES TRAITEMENTS CONTRE LE CANCER OCCASIONNENT-ILS UNE PERTE DE CHEVEUX ?

    La dermatologue : « La croissance des cheveux se déroule en phases. Au cours de la première phase, dite anagène, un nouveau cheveu ou poil apparaît au niveau du bulbe situé sous le cuir chevelu. Le bulbe contient des cellules à division rapide responsables de la fabrication du poil. Le nouveau cheveu est progressivement poussé vers la surface à travers le cuir chevelu, jusqu'à apparaître à l'air libre. Chaque cheveu ou poil a ainsi une certaine durée de vie. A la fin de ce cycle, il entre en phase de repos, puis en phase de chute. Une chimiothérapie vise toutes les cellules de l'organisme qui se divisent, y compris celles contenues dans les bulbes capillaires. Le fait de perdre ou non ses cheveux dépend des produits utilisés, mais aussi de la durée du traitement et de son dosage. Certains patients sont plus sensibles que d'autres à ces effets toxiques. Les rayons peuvent causer une alopécie quand on vise la racine des cheveux. »

    EST-CE DOULOUREUX ET QUE PEUT-ON FAIRE POUR PRÉVENIR CETTE CHUTE ?

    Le coiffeur : « Au début, il arrive que les patients se plaignent d'avoir mal aux racines ou de ressentir des démangeaisons. »

    La dermatologue : « Il est impossible d'éviter totalement la perte des cheveux. Certaines cliniques proposent de rafraîchir le cuir chevelu pendant la chimio proprement dite - généralement par le biais d'un casque glacé à poser sur la tête. Cela fait-il vraiment une différence ? Certaines études l'affirment, d'autres sont plus prudentes. Ceci dit, nombreux sont ceux qui y renoncent, estimant que c'est contraignant, douloureux ou désagréable à un moment où ils doivent déjà subir beaucoup de désagréments. »

    COMMENT PEUT-ON S'Y PRÉPARER ?

    Le coiffeur : « Mieux vaut prendre rendez-vous aussi vite que possible chez le coiffeur. Nous sommes alors en mesure de vérifier l'état des cheveux avant le traitement, de discuter des possibilités et de voir comment en limiter les effets. Il faut compter une petite heure, pour pouvoir aborder toutes les questions. On fixe ensuite un second rendez-vous. Les patients sous chimio commencent à perdre leurs cheveux entre le 15e et le 20e jour après le début du traitement. La perte de cheveux n'est pas régulière, elle peut se faire par plaques. C'est pourquoi nous choisissons de couper les cheveux assez ras, à environ 6 mm. Il est important de ne pas blesser le cuir chevelu, vu que la chimio réduit les défenses de l'organisme. »

    La dermatologue : « Ces rendez-vous me semblent extrêmement judicieux, à la fois pour préparer psychologiquement le patient à ce qui l'attend et pour le soutenir par la suite. La perte de cheveux est souvent mal ressentie et beaucoup y voient l'effet secondaire le plus pénible de leur traitement. »

    4 LE PORT D'UNE PERRUQUE EST-IL CONFORTABLE ?

    Le coiffeur : « Au début, il faut s'y faire mais, en général, cela apporte beaucoup de soulagement. Une perruque n'est pas un bonnet; le cuir chevelu n'est pas enfermé hermétiquement en-dessous. On croit souvent qu'une perruque risque de bouger ou de s'envoler, mais pas du tout. On la fixe à l'aide de strips et rien n'empêche de courir, de faire du vélo ou du sport dans le vent... Ces strips nous permettent d'adapter parfaitement la perruque sur la tête au cas où le patient perdrait du poids. »

    5 EST-CE QU'ON NE VOIT PAS TROP QU'IL S'AGIT D'UNE PERRUQUE ?

    Le coiffeur : « Le dessous est translucide pour que le cuir chevelu apparaisse sous les cheveux, ce qui donne un effet extrêmement naturel. On adapte également la perruque à la coiffure que la personne porte d'habitude. »

    6 COMMENT DOIT-ON ENTRETENIR CE TYPE DE PERRUQUE?

    Le coiffeur : « On l'entretient toutes les trois semaines environ, en la nettoyant à la vapeur, puis en lui appliquant un shampooing et un conditioner. Ensuite, nous remettons les cheveux en forme et nous faisons les éventuelles adaptations. »

    7 QUELLE SOLUTION EXISTE-T-IL SI ON PERD SES SOURCILS ?

    Le coiffeur : Pendant le traitement, on redessine les sourcils à l'aide d'un kit spécial, avec des pochoirs. On peut aussi opter pour le maquillage permanent, avant ou après le traitement, mais pas pendant. Le tatouage oc- casionne une série de micro-lésions, ce qui n'est jamais conseillé lorsqu'on subit une chimio, en raison de l'affaiblissement du système immunitaire.

    8 QUAND PEUT-ON ESPÉRER VOIR SES CHEVEUX REPOUSSER ?

    Le coiffeur : « On peut en général se passer de perruque six à huit semaines après l'arrêt du traitement. On voit d'abord repousser du duvet, puis de nouveaux cheveux plus épais. Les cheveux poussent à raison d'1 à 1,5 cm par mois. Après un traitement à base de rayons, il arrive que les cheveux repoussent très peu ou mal. Un postiche peut alors aider. On en prend très vite l'habitude, comme de chausser une paire de lunettes solaires. »

    9 LES NOUVEAUX CHEVEUX QUI VONT POUSSER SERONT-ILS DIFFÉRENTS ?

    Le coiffeur : « Cela arrive parfois mais les patientes se teignent souvent les cheveux depuis si longtemps qu'elles sont tout étonnées de (re)découvrir leurs cheveux naturels, avec leur teinte d'origine. Ou de voir que leurs cheveux sont devenus tout gris dans l'intervalle.

    Souvent, ce sont des cheveux bouclés qui apparaissent, alors qu'avant ils étaient raides. Mais, en général, ces boucles disparaissent au fur et à mesure. »

    La dermatologue : « Une récente étude scientifique a démontré que le cheveu peut repousser soit plus fin, soit plus épais. Il peut aussi avoir une autre teinte qu'avant ou se mettre, en effet, à boucler. Environ 50 % des patients constatent ce type de modification. Il arrive, mais très rarement, que les cheveux soient définitivement endommagés et ne repoussent plus. Heureusement, ce cas-là est tout à fait exceptionnel. »

    10 QUAND PEUT-ON RECOMMENCER À SE COLORER LES CHEVEUX ?

    Le coiffeur : « On peut recommencer à se colorer les cheveux après 3 ou 4 mois. Mais nous travaillons alors avec des produits sans ammoniaque, formulés à base d'huiles et nous appliquons tout d'abord un produit protecteur sur le cuir chevelu. »

    Tous nos remerciements aux coiffeurs André et David Schroeven (Sanké Duffel- www.hair2care.be) et à la dermatologue Ria Willemsen, chef de clinique à l'UZBrussel.

    http://plusmagazine.levif.be/fr/011-5773-10questions-sur-les-cheveuxapresune-chimio.html

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  • Douleurs musculaires : que faire ?

    10 décembre 2012 - Auteur : G.A.

    Douleurs musculaires ? Avec près de 650 muscles dans notre corps, difficile d'y échapper ! Ces douleurs peuvent être liées au sport, au stress, ou, pour une minorité d'entre nous, à un syndrome peu connu, la fibromyalgie.

     

    Table des matières: 

    • Cause : le sport  
    • Cause : le stress 
    • Cause : la fibromyalgie 
    • Bon à savoir avant de bouger...

     

     

     

     

    Mais que se passe-t-il exactement à l'intérieur du muscle? Voici comment faire pour éviter les douleurs. 

    CAUSE : LE SPORT

    LES COURBATURES

    Enfin un beau jour de printemps, et vous voilà parti pour une randonnée. Mais le lendemain, réveil difficile : vos muscles sont raides, douloureux. Ces courbatures surviennent 24 à 48 heures après un effort un peu soutenu. La douleur vient de l'inflammation causée par de micro-déchirures des fibres musculaires.

    Solution : Bénignes, les courbatures disparaissent généralement en 2 ou 3 jours. Buvez de l'eau riche en potassium, prenez un cachet d'aspirine si nécessaire, et prenez un bain chaud pour détendre et assouplir les muscles. Vous pouvez aussi masser le muscle avec une crème décontractante et chauffante.

    LES CRAMPES

    Vous êtes sur votre vélo, il fait chaud. Soudain, une crampe : le muscle de votre mollet se contracte violemment, vous êtes tenté de plier la jambe. La crampe musculaire, contraction douloureuse, localisée, involontaire, soutenue, survient durant ou après l'effort, que vous soyez sportif régulier ou occasionnel. Elle est favorisée par la déshydratation, le froid ou le chaud, une carence en sels minéraux, de mauvaises chaussures... Les crampes nocturnes sont à part : leur origine reste mal connue.

    Solution : Etirez le muscle, même si le réflexe est de se replier sur soi. Tendez la jambe en poussant le talon le plus bas possible et en relevant les orteils. Les crampes sont généralement bénignes. Mais si elles persistent, demandez l'avis du médecin.

    L'ÉLONGATION

    L'élongation est un étirement des fibres d'un groupe musculaire (souvent dans la jambe) au-delà de leurs capacités. Elle survient sur un muscle mal échauffé, lors d’un effort rapide ou violent. La douleur disparaît au repos.

    Solution : Mettez de la glace matin et soir durant 15 minutes, laissez le muscle au repos pendant quelques jours : reprendre trop tôt peut conduire au claquage. Prenez un antalgique (Paracétamol), mais évitez l'aspirine en cas d'aggravation et de saignement.

    LA DÉCHIRURE (OU CLAQUAGE)

    De gravité variable, elle survient dans les sports dits explosifs : sports de balle, de sprint. Le muscle est étiré au-delà de ses limites, il y a rupture d'un nombre de fibres musculaires, après un effort violent, soudain. Un hématome se forme entre les fibres lésées. Via l'échographie, le médecin peut préciser l'ampleur des lésions.

    Solution : repos total. Appliquez des compresses froides dont l'effet vasoconstricteur ralentira le débit sanguin, diminuera hémorragie et douleur. Compressez le muscle avec un bandage, surélevez le membre, si possible. Pas d'aspirine, qui fluidifie le sang et augmente l'hémorragie. Repos jusqu'à cicatrisation complète. Ensuite, il y aura une rééducation de plusieurs semaines.

    LA RUPTURE

    Lésion musculaire la plus grave, il s'agit d'une déchirure transversale partielle ou totale du muscle. Impossible de marcher, pour un membre inférieur, ou de bouger pour les membres supérieurs. Au toucher, le médecin sentira la lésion. Œdème et hématome apparaissent.

    Solution : après les premiers soins (bandage,compresses froides, etc.), repos total suivi d'une rééducation. Dans les cas plus sérieux, la chirurgie est nécessaire.

    PRÉVENTION

    Sans constituer une garantie infaillible, ces précautions diminuent certainement le risque :

    Commencez par un échauffement méthodique, progressif, assez long (au moins 10 minutes) sur les muscles qui seront sollicités pendant l'effort. Il est également utile de bien connaître les gestes techniques : si vous vous lancez dans une nouvelle discipline, interrogez un spécialiste.

    Gardez une activité physique régulière, une activité facile à réaliser, telle la marche. Et gardez des objectifs raisonnables le jour où vous vous y (re)mettez ! Marchez, par exemple, à un bon pas, près de chez vous. Et si vous vous sentez fatigué, inutile de forcer.

    Buvez régulièrement, notamment après l'effort, une eau riche en sels minéraux. Emportez des fruits secs (abricots, bananes...) riches en minéraux (potassium, magnésium, sodium...).

    Après l'exercice, étirez, sans forcer, les muscles sollicités : maintenez un mouvement de tension une dizaine de secondes, puis relâchez.

     

    CAUSE : LE STRESS

    Epaules dures, nuque raide : le stress aussi peut faire mal... « Le stress est une réaction normale, et il peut être positif, explique Christophe Fauconnier, licencié en kinésithérapie, rattaché à l'école du dos du CHU Brugmann. Mais son excès en fréquence aura des effets indésirables. Le haut du dos, les épaules, la nuque, entre la région cervicale et la région dorsale, sont la zone de prédilection du stress. Il y a sollicitation au point carrefour entre ces deux zones. »

    PAS SEULEMENT LES MUSCLES

    Les troubles musculo-squelettiques (TMS) touchent muscles, articulations, tendons, vaisseaux et nerfs. Et il existe une forte corrélation entre stress, organisation du travail, et TMS.

    « Surtout si le travail est répétitif, le rythme élevé. Et si l'on travaille en position assise, la tête penchée en avant, ou sur le côté. » Le muscle est en souffrance, « à cause de la tension entre le tendon et l'articulation. On a aussi remarqué que, même dans une situation professionnelle de faible intensité physique mais maintenue, certaines fibres musculaires ont tendance à être activées de manière continue, alors que d'autres, dans le même muscle, sont au repos. Il y a alors absence de récupération de ces fibres, donc fatigue importante. »

    Le stress agit aussi sur la circulation sanguine. « Il active le système nerveux autonome, qui déclenche une réaction hormonale favorisant la vasoconstriction, la tension artérielle. La circulation se fait moins bien au niveau musculaire et au niveau du tendon moins bien irrigué. »

    PRÉVENTION

    Pour diminuer ou éviter les douleurs, plusieurs gestes possibles :

    • Au bureau ou à la maison, bougez régulièrement, changez de position, même en restant assis. Ne négligez pas les pauses... 
    • Bons mouvements : pensez à vous agrandir, vous redresser, que vous soyez assis, debout, ou couché. 
    • Pour la nuque : diminuez la courbure cervicale en reculant le menton vers l'arrière, ce qui réaligne les articulations. 
    • Réglez votre plan de travail : placez l'ordinateur à hauteur des yeux, évitez les rotations. Evitez d'être voûté, penché. Assurez-vous que le mobilier (bureau, siège) n'est ni trop bas, ni trop haut.

    Solution : la gestion du stress ! « L'approche psychologique est utile, précise Christophe Fauconnier. Une psychothérapie peut être indiquée si les douleurs sont récurrentes malgré les thérapies physiques. Pourquoi ne pas essayer aussi la relaxation, les étirements, le stretching, et des techniques actives pour traiter le stress ? Faire du sport (vélo, marche, aquagym...) permet d'évacuer le trop plein de tensions. » 

    CHAUD OU FROID ?

    Faut-il appliquer du chaud ou du froid sur un muscle endolori ? « A choisir, la chaleur aura le plus d'effet sur le muscle : elle diminue l'impact douloureux et améliore la circulation sanguine. Utilisez, par exemple, une crème chauffante locale. »

    Et le Baume du tigre ? Un gadget, en pleine euphorie chinoise ? « Pas du tout : sa réaction thermique sur la peau fait naître une chaleur qui se propage vers le muscle, avec action vasodilatatrice, permettant d'évacuer et de soulager les tensions. »

    Et le froid ? « Pas particulièrement recommandé pour les muscles stressés, car il a un effet vasoconstricteur. »

    Le massage est également indiqué : « Il procure détente et relâchement, ainsi que l'étirement des différentes couches musculaires, tout en activant la circulation. »

    Enfin, une bonne douche chaude ou un sauna apportera certainement une détente bénéfique.

     

    CAUSE: LA FIBROMYALGIE

    Avoir mal partout... C'est ce que ressentent les patients atteints de fibromyalgie. Des douleurs diffuses, changeantes, survenant à différents endroits du corps, et qui, associées à des raideurs musculaires et à un mauvais sommeil, perturbent la vie sociale, familiale, ou professionnelle.

    UN ENSEMBLE DE SYMPTÔMES

    « On parle de syndrome, pas de maladie, car il s'agit d'un ensemble de symptômes, sans cause spécifique, précise le Dr Etienne Masquelier, médecin spécialiste en médecine physique et en réadaptation (Cliniques universitaires Saint-Luc et Cliniques universitaires de Mont-Godinne). Deux éléments sont à prendre en compte : l'existence de douleurs musculo-squelettiques diffuses, depuis plus de 6 mois, au niveau de la colonne vertébrale, de la nuque, du bas du dos, des membres inférieurs et supérieurs... Ensuite, il faut qu'un examen clinique mette en évidence des « tender-points » : une pression d'environ 4 kilos exercée sur ces points provoque une perception de la douleur. Il y a 18 points reconnus par l'American College of Rheumatology, il faut en déceler 11 chez un patient pour parler de fibromyalgie. »

    Des critères peut-être difficiles à identifier, et parfois controversés. L'Organisation mondiale de la santé ne reconnaît d'ailleurs la fibromyalgie que depuis 1992. Environ 2 à 3 % de la population serait touchée, les femmes davantage que les hommes. Et, aujourd'hui encore, avant de pouvoir mettre un nom sur leur mal, les patients enchaînent souvent examens médicaux et prises de sang, fausses pistes et déceptions...

    Les causes de la fibromyalgie ? « Elles sont multifactorielles : il y a sans doute un mode de fonctionnement trop intense pendant des années, auquel s'ajoutent un traumatisme physique ou émotionnel, et, peut-être, une prédisposition individuelle aux problèmes musculo-squelettiques. »

    FONCTIONNER DIFFÉREMMENT

    Chaque histoire est unique : pour les uns, la douleur sera supportable, pour les autres, non. Elle peut varier selon les activités ou être omniprésente. « Mais le malade doit fonctionner différemment. Certains gestes demandent des niveaux d'endurance importants : repasser, suspendre du linge... Si on fait tout comme avant, les douleurs vont s'intensifier. Et le muscle ne supporte pas non plus de rester sans bouger : difficile de rester assis deux heures immobile, difficile de travailler, donc. De plus, les capacités cognitives sont également perturbées. »

    Une fois le syndrome identifié et traité, le patient peut retrouver une certaine qualité de vie. Le mot d'ordre : fractionner les activités, en faire peu à la fois. « Pour certains, c'est un renversement des valeurs à 180°, pas facile à accepter. La rééducation fonctionnelle a son importance : le patient doit redévelopper tout ce qui développe la capacité d'endurance cardio-respiratoire (marche, vélo, natation...). Car l'endurance peut influencer les mécanismes de la douleur. Les traitements médicamenteux, eux, doivent être intégrés dans une approche globale, pour éviter l'escalade. Le danger est d'avoir un médicament par symptôme. Il y a les antidouleurs, mais aussi la gestion du stress, la relaxation, le bain chaud...

    Le patient doit devenir acteur du processus de réadaptation. Mais la société doit évoluer : beaucoup de patients souhaitent travailler, mais avec lenteur, en fractionnant, ce n'est pas évident. »

     

    BON À SAVOIR AVANT DE BOUGER...

    Les bons gestes

    • Pliez les genoux pour soulever un objet lourd ou un enfant, et tenez-le contre vous avant de vous relever. 
    • Pour ramasser un objet à terre, posez un genou sur le sol, ou utilisez la position du balancier : penchez-vous en avant en soulevant une jambe loin derrière vous, comme contrepoids.
    • Rapprochez-vous de l'objet à soulever, pour ne pas le porter à bout de bras. 
    • Portez vos courses dans deux sacs au lieu d'un, un dans chaque main pour répartir le poids équitablement. 
    • Si l'objet est en hauteur, mettez-vous d'abord au même niveau, avec un escabeau par exemple.

    Les mauvais gestes

    • Les torsions : évitez-les en bougeant vos pieds pour ajuster votre position. L'objectif est de ne pas faire pivoter le bassin.
    • Les mouvements brusques : évoluez en douceur, vous contrôlerez mieux la situation, et les risques de blessure.
    • Se baisser en gardant les jambes tendues : vous pourriez vous faire mal au dos en vous relevant. 

    Sortir de son lit d'un seul mouvement : asseyez-vous d'abord, puis levez-vous.

    http://plusmagazine.levif.be/fr/011-97-Douleurs-musculaires-que-faire.html_0?m_i=7v47A%2BxN4zSU4bJ3XclElR3LF8zd697BVq9hOJ_DofdyQaWBH

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  • MINI VERRINES DE MOUSSE D’AVOCAT, PICS DE PAMPLEMOUSSE ET CREVETTES

    Recette nutritive, fraîche et peu grasse qui constitue une alternative au traditionnel guacamole avec des chips !

    Ingrédients pour 6 personnes


    1 avocat mûr
    1 cc de moutarde
    1 cc de vinaigre de cidre
    1 blanc  d’oeuf
    sel fin et poivre moulu
    2 pamplemousses
    120 g de crevettes roses décortiquées






     

    Préparation de la mousse :

    • Epluchez et dénoyautez l’avocat, puis mixez le avec la moutarde et le vinaigre, assaisonnez avec sel fin et poivre moulu.
    • Montez le blanc en neige et incorporez à la préparation d’avocat, rectifiez l’assaisonnement si nécessaire et réservez au frais.
    • Lavez et épluchez les pamplemousses à vif, séparez les quartiers, puis découpez les encore en 3.
    • Lavez et décortiquez les crevettes, puis découpez les en 2 ou 3 selon leur grosseur.
    • Préparez les pics avec 1 morceau de pamplemousse et 1 crevette.

    Remplir au 2/3 des mini verrines avec la mousse d’avocat et servir avec un pic de pamplemousse et crevette.

     

    Equivalence (pour m’aider à l’intégrer dans ma ration) : 1 crudité et 1 complément protéique
    http://www.afd.asso.fr/recette/mini-verrines-de-mousse-d-avocat-pics-de-pamplemousse-et-crevettes
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  • TIRAMISU AU CRABE

    Cette recette est une version salée allégée du classique dessert. La présence de pain d’épices donne une saveur sucrée et épicée qui se marie à la saveur salée du crabe. Pour un apéritif tout en légèreté le mascarpone a été remplacé par un mélange fromage blanc-crème fraîche.

    Ingrédients pour 6 personnes :

    Une boite de 120 g de miettes de crabe
    1 cc de jus de citron
    120 g de fromage blanc à 4 %
    10 cl de crème fraîche à 15 %
    Une dizaine de brins de ciboulette
    Un œuf 
    4 tranches de pain d’épices
    1 cc de paprika en poudre






    Préparation :

    • Emietter la chair de crabe et la mélanger dans un bol avec une cuillerée à soupe de fromage blanc et le jus de citron.
    • Faire griller les tranches de pain d’épices.Mélanger le fromage blanc avec la crème fraîche et le jaune d’œuf. Saler, poivrer et ajouter la ciboulette ciselée.
    • Fouetter au batteur électrique jusqu'à ce que le mélange épaississe.Monter le blanc d'œuf en neige bien ferme et l’incorporer délicatement à la préparation.
    • Verser la moitié de la préparation dans 6 verres. Emietter dessus le pain d’épices et ajouter la chair de crabe. Verser le reste de la préparation.
    • Mettre au frais pendant au moins 4 h avant de déguster. Saupoudrer de paprika au moment de servir.

    Valeur nutritionnelle par personne : Protéines : 4 g - Lipides : 5 g - Glucides : 12 g - soit 109 kcal



    Equivalence (pour m’aider à l’intégrer dans ma ration) : 2 carrés de sucre ou 20 g de pain ou 20 g de chips ou 20 g de bretzel.

    Auteur : Nicole Kucharski
    Diététicienne nutritionniste diplômée
    Site internet

    http://www.afd.asso.fr/diabete-ressources/recettes/tiramisu-au-crabe-002596

    Crédit photo : © Maksim Shebeko - Fotolia.com

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  • PARFAIT AUX CLÉMENTINES

    Ce dessert frais et désaltérant termine parfaitement un repas festif. La clémentine est l’un des fruits intéressants en hiver pour sa richesse en vitamine C anti-fatigue.

    Ingrédients pour 6 personnes :

    10 clémentines ou 1 litre de jus de clémentines
    1 citron
    150 g de sucre
    1 sachet de sucre vanillé
    20 cl de crème fraîche épaisse à 15 %
    300 ml d’eau




    Préparation :

    • Faire fondre le sucre dans l’eau et porter à ébullition pendant 15 minutes.
    • Laver et éplucher 2 clémentines en séparant la chair des membranes blanches. Presser les autres clémentines avec le citron. Ajouter le sirop de sucre dessus. Remettre le tout dans la casserole.
    • Faire bouillir et épaissir. Plonger les tranches des 2 clémentines durant 2 minutes, puis les égoutter et les réserver.Faire glacer au congélateur pendant 1 heure ou dans une sorbetière pendant 25 minutes.
    • Dès que la préparation commence à durcir, ajouter la crème fraîche légèrement fouettée. Battre à nouveau et remettre à glacer au congélateur pendant 3 à 4 heures. Placer des coupelles ou des verres au réfrigérateur.

    Remplir les coupelles et ajouter les quartiers de clémentine sur le dessus avant de servir.



    Valeur nutritionnelle par personne : Protéines : 1 g - Lipides : 5 g - Glucides : 38 g - soit 201 kcal





    Equivalence (pour m’aider à l’intégrer dans ma ration) : 2 yaourts aux fruits ou une semoule au lait et un yaourt nature sucré ou un flan pâtissier ou une tarte aux pommes.

    Auteur : Nicole Kucharski
    Diététicienne nutritionniste diplômée
    Site internet

     

     

    Crédit photo : © unpict - Fotolia.com

    http://www.afd.asso.fr/diabete-ressources/recettes/parfait-aux-clementines-002600


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  • Les facteurs de risque de l'arthrose

    Le diagnostic de l'arthrose est avant tout clinique, il repose sur un interrogatoire du patient et des radiographies des articulations. Pour aider au diagnostic, il est important dans la pratique quotidienne de savoir rechercher tous les facteurs de risque de l'arthrose. Découvrez-les.

    Ces facteurs de risque de survenue de l'arthrose sont multiples et peuvent être distingués en facteurs de risque généraux (concernant l'ensemble de l'individu) et facteurs de risque locaux (qui concernent uniquement les articulations).

    Les facteurs généraux sont principalement :

    • Facteurs de risque arthroseL'âge et le sexe : l'âge est sans aucun doute un des critères majeurs de l'apparition de l'arthrose. La prévalence et l'incidence de la gonarthrose sont plus élevées chez les femmes à partir de 50 ans. Dans l'arthrose de la hanche, même si l'arthrose augmente avec l'âge, il n'y a pas de différence nette entre les sexes. Les oestrogènes auraient par ailleurs un effet protecteur, cela expliquant que l'arthrose soit plus fréquente chez les femmes après la ménopause.
    • L'obésité : Alors que le lien qui relie l'arthrose du genou à l'obésité semble bien établi, il semble beaucoup moins clair en ce qui concerne l'arthrose de la hanche.
    • Les facteurs génétiques : l'arthrose n'est pas une maladie génétique, mais il peut exister une prédisposition génétique, notamment féminine.

     

    Les facteurs locaux sont principalement

    • Les traumatismes articulaires : Les hommes ayant eu un traumatisme important du genou (entraînant notamment des lésions des ligaments croisés) ont un risque de survenue de l'arthrose 5 à 6 fois plus important que ceux n'ayant pas eu de traumatisme. La coxarthrose post-traumatique est, quant à elle, rare et ne représente que 5 % des cas.
    • Certaines activités professionnelles et sportives sollicitant de manière répétée et intense les articulations peuvent favoriser l'apparition d'arthrose. Le port de talons hauts peut également favoriser l'arthrose du genou.
    • Les anomalies anatomiques des articulations (particulièrement de la hanche) sont également reconnues comme des facteurs de risque.

    Chaque individu est différent et présente donc des facteurs de risque qui peuvent être spécifique. La reconnaissance de ces facteurs est essentielle afin d'optimiser la prise en charge de l'arthrose qui constitue la pathologie articulaire la plus fréquente.

    Luc Blanchot - Le 20 septembre 2011

    Forum Arthrose

    http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/rhumatismes/articles/15242-facteurs-risque-arthrose.htm

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    • Physiopathologie

    * Les facteurs de virulence

    • Liés au virus: virulence associée à plusieurs gènes ou protéines du rotavirus : VP4 impliquée dans l’attachement et NSP4 qui agirait comme une entérotoxine.
    • Liés à l'hôte: âge, immunodépression.
    • Tropisme et histopathologie : Multiplication dans les entérocytes matures à desquamation des cellules assurant l’absorption et une hypertrophie des cellules sécrétoires au niveau des cryptes.

    Mécanisme de la diarrhée

    Les rotavirus infectent les entérocytes de l’intestin grêle et provoquent une diarrhée selon un mécanisme complexe et probablement multifactoriel associant une malabsorption et une composante sécrétoire (tableau 1). L’infection virale, le virus lui-même et sa protéine NSP4 sont responsables, directement ou via un messager, d’une activation du système nerveux entérique (SNE) et d’une augmentation du calcium intracellulaire ([Ca2+]i) provoquant une succession d’évènements conduisant à une fuite de chlore, une désorganisation de l’architecture de la cellule et à sa lyse.

    Diarrhée osmotique par malabsorption

    • Destruction des entérocytes du sommet des villosités remplacés par des cellules cryptiques immatures et les fonctions d’absorption des villosités s’en trouvent altérées. Les villosités s’atrophient et les entérocytes meurent, la lamina propria (LP) est infiltrée par des cellules mononuclées.


    Aspect des muqueuses de l’intestin grêle. (A) Muqueuses non infectées ; (B) Muqueuses infectées par le rotavirus avec vacuolisation (flèches bleues) et desquamation (flèches rouges) des entérocytes.

    • Altération fonctionnelles de la digestion :

      - diminution de l'activité enzymatique (dissaccharidase, lactase, maltase et saccharase-isomaltase) au niveau de la muqueuse et fermentation des nutriments entraînant une augmentation de la pression osmotique intraluminale.

      - de l’activité des systèmes de transport, notamment des co-transporteurs sodium-glucose (SGLT1) et sodium-leucine, qui pourraient être liées directement au virus et/ou à sa protéine NSP4.

    Il en résulte une absence de digestion des nutriments et une diminution de leur absorption avec comme conséquence une diarrhée de type osmotique.

    • Le virus et la protéine NSP4, directement ou via l’augmentation du calcium intracellulaire, désorganisent l’architecture cellulaire en agissant sur les protéines  du cytosquelette les jonctions serrées. Le résultat est une augmentation de la perméabilité transépithéliale aux macromolécules.
    • Ischémie des villosités due à une substance vaso-active produite lors de l’infection.

    Diarrhée sécrétoire

    • L'entérotoxine NSP4 du rotavirus induit une augmentation du calcium intracellulaire. Un des résultats est l’ouverture d’un canal chlore calcium dépendant (différent du CFTR) responsable d’une fuite d’ions Cl- et d’eau.
    • Induction des sécrétions par le système nerveux entérique. L’origine de l’activation du SNE pourrait être des médiateurs libérés des myofibroblastes et des cellules inflammatoires lors de l’infection et/ou la sécrétion de peptides et d’amines à partir des cellules paracrines.

    Schématisation des mécanismes de la diarrhée à rotavirus. L’augmentation du calcium intracellulaire par mobilisation du calcium du réticulum endoplasmique est l’évènement pivot expliquant les modifications au niveau des entérocytes des villosités et des cellules des cryptes. La protéine NSP4 et le système nerveux entérique sont les principaux inducteurs de la composante sécrétoire de la diarrhée.

    http://www.microbe-edu.org/etudiant/gastro-enterites.html

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  • 2 .Les virus responsables de gastro-entérites

     2.1 Les rotavirus

    • Classification
    Les rotavirus apartiennent à la famille desReoviridae,ils forment le genreRotavirus.

    On distingue 7 groupes A à G. sans communauté antigénique (protéine VP6).

    Seuls,les groupes A (surtout), B et Csont impliqués dans des infections humaines et animales.
    Différentiation en sérotypes (deux protéines externes VP7 et VP4).

    Classification desReoviridaeet du genre Rotavirus

    • Caractéristiques virologiques
           
      * Morphologie

    Virus non enveloppés.

    Diamètre : 70 nm.

    Capside : icosaédrique en forme de roue (d’où son nom « rota »).

    Particules de rotavirus en microscope électronique en coloration négative (x 198000)

    (Cliché : collection du Pr. M. Castets, service de microscopie électronique (Pr. Ph. Rabin) CHU de Poitiers, France)

    •     * Le génome

      11 segmentsd’ARN bicaténaires.
      Modifications du génome :réassortimentde segments entre différentes souches d’un même groupe ou réarrangement des séquences d’un même segment.

          * Les protéines et caractères antigéniques

      Ces 11 segments du génome codent6 protéines structurales(VP1 à 6) et6 protéines non-structurales(NSP1 à 5).

          * Les protéines structurales - VP1 à VP7 - s’organisent en 3 couches entourant le génome.

    - Capside externeconstituée de :

    • la glycoprotéineVP7 : antigène majeur de neutralisation, déterminent 14 sérotypes G dont seulement 10 infectent l’homme, G1 à G10 ; ces sérotypes correspondent à autant de génotypes.
    • la protéineVP4(spicules : attachement du virus aux cellules, neutralisation, virulence) détermine 13 sérotypes dont 9 infectent l’homme). Il n’y a pas de concordance entre sérotypes et génotypes. La majorité des souches humaines sont de sérotype 1A et 1B (respectivement génotypes P[8] et P[4]).

    -Capside intermédiaireconstituée par la seuleprotéine VP6(antigènes de groupe et de sous-groupe, protéine majeure du virion).

    -Capside interne oucore : 1 protéine majoritaireVP2, 2 protéines minoritairesVP1etVP3. Ces trois protéines du core permettent latranscriptionet laréplication.

    Les protéines non structurales – NSP1 à NSP6 - apparaissent durant le cycle de multiplication, elles ne sont pas présentes dans le virus mature. NSP4 rôle important dans le mécanisme de la diarrhée.

    Structure du rotavirus : (a) Les 11 segments d’ARN double brins sont séparés en fonction de leur poids moléculaire sur gel de polyacrylamide. Les protéines correspondant à ces segments sont indiquées sur la droite. (b) Schéma simplifié de la particule virale. Les sérotypes et génotypes G et P les plus fréquents sont indiqués.

    • Variabilité génétique et antigénique

    Les rotavirus présentent une très grande diversité génétique et antigénique :
    Les souches les plus courantes en Europe et aux USA sont : G1P[8]; G2P[4]; G4P[8] ; G3P[8] et G9P[8].
    D’autres souches sont observées dans certains pays : P[8];G5 au Brésil; P[8];G8 en Afrique et P[11];G10 ou P[4]/P[6];G12 en inde.


    Comparaison des distributions des génotypes de rotavirus entre l’Europe et l’Afrique

    Mécanismes de cette diversité génétique :

    • Les arrangements génétiques sont fréquents mais ont peu d’impacts sur l’épidémiologie.
    • Les mutations peuvent entraîner une dérive génétique avec pour conséqunce l’apparition de mutants d’échappement voire de souches épidémiques.
    • Réassortiments entre génomes humains et entre génomes de différentes espèces. Ils sont à l’origine de l’emergence de nouveaux génotypes humains comme par exemple les rotavirus G9.


    Réassortiments entre rotavirus d’espèces différentes aboutissant à l’émergence d’une nouvelle souche. Ces échanges sont favorisés par les infections mixtes.

    http://www.microbe-edu.org/etudiant/gastro-enterites.html

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  • Les gastro-entérites virales

    1. Introduction

    Les agents responsables des gastro-entérites peuvent être des bactéries, des parasites ou des virus :

    • Bactéries (Salmonella, Shigella, Campylobacter, E. coli, Yersinia et Vibrio cholerae)
    • Parasites (Giardia, Cryptosporidium, amibes...).
    • Les virus représentent l’étiologie la plus fréquente, notamment dans les pays développés, où ils sont à l’origine de plus de 80% des gastro-entérites. Mais leur importance relative varie selon différents facteurs : saison, âge, contexte épidémiologique et niveau sanitaire des populations.

    Les virus responsables de gastro-entérites sont présentés dans le tableau 1. Chez le jeune enfant (6 mois à 2 ans), les rotavirus sont la première cause de diarrhée. Ils provoquent souvent des épidémies hivernales extensives et sont responsables d’infections communautaires et nosocomiales (dans les services de pédiatrie). Chez l’adulte, les virus les plus souvent responsables de diarrhée sont les norovirus(Caliciviridae) qui provoquent souvent des épidémies d’origine alimentaire ou hydrique. Les astrovirus sont également responsables de gastro-entérites chez l’enfant, les personnes âgées et les immunodéprimés. Les adénovirus entériques sont responsables de gastro-entérites sans caractère saisonnier.

    Ces virus se multiplient dans les entérocytes de l’intestin grêle. Leur transmission se fait surtout par voie digestive (féco-orale)et la contamination peut être soit directe, de personne à personne, soit indirecte par l’intermédiaire d’eau ou d’aliments contaminés.

    Les gastro-entérites virales représentent l’un des premiers motifs de consultationen médecine et principalement en pédiatrie. Les gastro-entérites virales surviennent souvent chez les enfants de moins de trois ans. Il s’agit normalement d’infections de courte durée caractérisées par des troubles digestifs aigus (diarrhée, douleurs abdominales, vomissements), accompagnés de signes généraux habituellement discrets.

    Dans les pays tempérés ces infections surviennent dans un contexte épidémique et saisonnier. Elles s’observent surtout pendant l’hiver. les pays développés, la prise en charge précoce et adaptée a permis de réduire la gravité de ces infections qui restent cependant d’un coût économique important (par exemple aux USA ces infections induisent un coût médical direct et indirect de 4 et 600 millions de dollars.

    En revanche, dans les pays tropicaux les gastro-entérites surviennent tout au long de l’année et la mortalité reste élevée dans les pays en développement (environ 4 à 600 000 morts par an).



    Virus
    Cellules infectées Localisation de l’infection
    Fréquence
    Méthode de détection(1)
    Rotavirus
    Reoviridae
    Entérocytes matures,villosités de l’intestin grêle Rota. gpe A>50%(2)
    Rota. Gpe B et C : ?
    ELISA, Agglutination latexImmunochromatoRT-PCR
    Norovirus
    Sapovirus
    Caliciviridae
    Entérocytes maturesvillosités de l’intestin grêle 8 à 14% RT-PCR
    Astrovirus
    Astroviridae
    Entérocytes matures, sommet des villosités (intestin grêle)Cellules M, Plaques de Peyer 2 à 8% ELISART-PCR
    Adénovirus 40/41
    Adenoviridae
    Entérocytes maturessommet des villosités de l’intestin grêle 2 à 6% ELISAPCR
    Virus Aichi
    Picornaviridae

    0,7%, 2,3% ( ?) Culture cellules ;ELISA ; RT-PCR
    Torovirus
    Coronaviridae
    Entérocytes de l’intestin grêle Cellules M, Plaques de PeyerCellules épithéliales et cryptes : Colon ? ELISART-PCR
    Picobirnavirus ? ? électrophorèse ARN ; RT-PCR

    (1) : La microscopie électronique permet de visualiser l’ensemble de ces virus si la concentration virale est suffisante (environ 106 particules /ml)(2) :

    En France les types G1[P8] et G4[P8] sont les plus fréquents (92%).

    Tableau 1 : Principaux virus responsables de gastro-entérites infantiles


    Incidence des gastro entérites virales et mortalité selon le niveau économique des pays.


    Source : Parashar et al, 2003
    Répartition de la mortalité par gastro-entérites virales à rotavirus

    http://www.microbe-edu.org/etudiant/gastro-enterites.html

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  • Résultats du concours du Premier Fromager de Belgique 2012

     

    Le meilleur Fromager de Belgique est une femme originaire d'Oudenaarde, Nathalie Vanhaver, suivie du Liégeois Frédéric Joassart et de la Hannutoise Maud Mirot, épouse du lauréat 2010, Pascal Fauville.

    Le concours du Premier Fromager de Belgique, après ceux du Premier Sommelier et du Premier Cuisinier de Belgique, est le 3e concours d'excellence professionnelle agréé par le Ministère des Affaires Économiques. Il vise à authentifier les réelles qualifications de la profession de fromager et de fromager-affineur !

    Ce dimanche 23 septembre, le Marché couvert de Hannut a accueilli 5 fromagers déterminés à remporter le titre protégé de "Premier Fromager de Belgique". Au terme des 7 épreuves ouvertes au grand public, les jurés ont procédé à la délibération suivante : 

    Premier Fromager de Belgique 2012 : 
    Nathalie VANHAVER
    "Kaasmeesters Callebaut"
    Markt, 16 - 9700 OUDENAARDE
    055/30.02.22
    kaasmeester.callebaut@telenet.be
    www.kaasmeester-callebaut.be

    Deuxième Fromager de Belgique 2012 : 
    Frédéric JOASSART
     "Uguzon, le Fromager"
    En Neuvice, 36 - 4000 LIEGE
    04/223.30.35
    info@uguzon.be
    www.uguzon.be

    Troisième Fromager de Belgique 2012 : 
    Maud MIROT
    "A table"
    Rue Albert 1er, 80 - 4280 HANNUT
    019/51.10.59
    maud-pascal@atablehannut.be
    www.atablehannut.be

    Les 2 autres fromagers participants sont :

    Caroline ZWARTJES - "De Kaasplank" - Potenstraat, 6 - 8000 BRUGES - 050/31.86.54
    caroline.zwartjes@telenet.be 
    www.dekaasplank.com

    Philippe WAGMAN - "Camenbière" - Laar, 19 - 2630 AARTSELAAR - 03/887.78.49 
    info@camembière.be
    www.camembiere.be

    Ce dimanche, les fromagers ont commencé par réaliser un plateau composé d'au moins 30 fromages sur la thématique "Hannut au coeur de la Hesbaye". Parmi ceux-ci, 15 fromages devaient être belges, 12 européens d'appellation d'origine protégée (AOP) et 3 d'appellation d'origine contrôlée (AOC) suisses, dont au moins 1 de la gamme Gruyère AOC suisse.

    Les fromagers ont poursuivi la compétition avec la composition d'une assiette de dégustation, parmi la sélection du plateau précédemment présenté. Le jury a alors dégusté les différents fromages et jugé non seulement l'aisance du candidat à conseiller, mais aussi la pertinence du choix, ainsi que la qualité et la justesse de l'affinage des produits.

    S'en est suivie une dégustation à l'aveugle de 5 fromages AOP, consistant à spécifier la famille, le lait et la région d'origine, ainsi que le nom précis des produits.

    Les candidats ont ensuite dû découper, selon les principes traditionnels, une meule de Noord Hollandse Gouda AOP extra-vieux. Puis le jury a évalué la netteté du pliage lors de l'emballage d'une dizaine de fromages de formes différentes. 

    Les connaissances générales des candidats sur les AOP laitières européennes, les AOC suisses et la fabrication fromagère en Belgique ont par aileurs été évaluées, avant qu'ils ne présentent chacun au jury un Gruyère AOC suisse et le soumettent à sa dégustation.

    http://www.apaqw.be/page.asp?id=1684&langue=FR

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  • Carrefour retire également des salades qui pourraient être contaminées aux salmonelles(Belga) Après la chaîne de supermarchés Colruyt, c'est au tour du distributeur Carrefour de retirer des salades au jambon qui pourraient contenir des salmonelles, annonce l'entreprise vendredi.

    Carrefour retire le "salad bowl" de sa marque dénommé "craq craq" qui contient des concombres, de la tomate et du jambon. Le code barre du produit est le 5400101246621 et ses dates limites de consommation vont du 15 au 19 décembre 2012. Plus tôt dans la soirée, Colruyt avait également annoncé retirer son produit "salad bowl" dénommé "Verse Salade Snack Frais/Ham-Jambon 300 g", portant le code EAN 5410773969803 et avec comme dates limites de consommation les 16/12, 17/12, 18/12, 19/12 ou 20/12. Les retours de produits concernent également les magasins Spar du groupe Colruyt. Là, le produit est dénommé "Fresh Selection / Ham Jambon bowl 300 gr" (code EAN 5400210741208 et dates limites de consommation jusqu'au 13, 15, 16, 17, 18 et 19 décembre). Colruyt a également rappelé des filets de poitrine de poulet de 2,5 kg vendredi en raison de présence de coccidiose. Il s'agit des numéros de lot 0427800320024, 0427800305025, 0427800300025, 0427800283021 et 0427800277021 et du numéro d'article 30416. Les clients peuvent contacter Colruyt et Spar au numéro 02/363.54.54; le service clientèle de Carrefour est disponible au 0800/9.10.11. (FUL)
    http://yahoo.skynet.be/actualites/economie/article/937075/carrefour-retire-egalement-des-salades-qui-pourraient-etre-contaminees-aux-salmonelles
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