• Mycoses : attention aux complications !

    Si les complications d’une mycose banale superficielle sont souvent peu importantes, il faut se méfier des exceptions et ne pas se laisser berner par des mycoses a priori bénignes. Toutes méritent notre attention.

    Une chose est sûre : une mycose non soignée ne partira pas toute seule. Oui, mais peut-elle se compliquer ? Que risque-t-on si l’on ne s’en occupe pas suffisamment tôt ?

    En superficie, attention à la dissémination

    Les mycoses superficielles intéressent la kératine ou la partie superficielle de la peau. Elles sont liées à des dermatophytes ou à des levures type pityriasis et entraînent peu de complications. La gêne est surtout liée à la dissémination locale et à la contamination (surtout pour la teigne et les mycoses génitales).

    MycosesLes dermatophytoses (teigne, intertrigo, onychomychoses) sont les plus à même de s’étendre. En se grattant un pied infecté par l’intertrigo puis une autre partie du corps, on risque l’auto-contamination : le champignon peut aller se loger dans d’autres plis cutanés, surtout à l’aine. Rarement, le contact d’une zone de peau saine avec une zone infectée par un champignon dermatophyte peut aussi déclencher un herpès circiné.

    En ce qui concerne les complications, les formes très inflammatoires de teigne (favus), aujourd’hui très peu rencontrées, peuvent être à l’origine d’alopécies (chutes de cheveux) temporaires. Exceptionnellement, certaines formes peuvent aussi entraîner une chute de cheveux définitive mais dans des cas très isolés.

    Les complications graves des mycoses "banales" sont surtout rencontrées chez les personnes immunodéprimées : les candidoses buccales, responsables du muguet, n’entraînent pas de complications chez les personnes en bonne santé mais dans certaines situations, par exemple chez les personnes malades du Sida, elles peuvent s’étendre, parfois jusqu’à l’oesophage.

    Les mycoses profondes, plus graves et plus complexes

    A côté des mycoses superficielles retrouvées sur la peau, les mycoses profondes (ou systémiques) se transmettent par le sang. Ce sont principalement des candidoses. Elles sont relativement peu fréquentes dans les pays industrialisés et touchent majoritairement des personnes ayant un système immunitaire affaibli (immunodéprimés) : greffés, malades du SIDA, héroïnomanes.

    Elles sont beaucoup plus graves et leurs complications le sont aussi : la diffusion du champignon dans le sang équivaut à une septicémie. Le germe risque alors chez ces personnes immunodéprimées d’entraîner des lésions viscérales tels que des abcès dans le foie, les reins. Ces mycoses profondes sont difficiles à traiter car il existe peu de traitements, ils sont onéreux et souvent toxiques. De plus, pour pouvoir contrôler ce problème infectieux, il faudra au préalable traiter l’abcès.

    Prévenir la fuite vers les profondeurs

    Entre ces deux catégories de mycoses existe une autre catégorie, a priori bénignes mais qui peuvent se compliquer si comme dans les mycoses profondes, des champignons se retrouvent dans le sang. Ce sont les candidoses autour des ongles, sur les pieds ou les mains, dont l’apparition est très favorisée par l’association entre longs séjours dans l’eau et acidité. Ces mycoses doivent être traitées car elles s’installent souvent sur des plaies, portes d’entrées à la circulation sanguine.

    De même, dans les mycoses simples des orteils (intertrigo), certains cas doivent attirer l’attention. Associée à une petite insuffisance veineuse ou à des pieds gonflés en été, une fissure entre deux orteils peut constituer une porte d’entrée aux bactéries (streptocoques ou staphylocoques). Elle risque alors d’entraîner une infection cutanée de la jambe qui nécessitera un traitement antibiotique par voie générale.

    Une question de terrain sous-jacent

    Si les mycoses banales n’entraînent que peu de complications chez les personnes en bonne santé, les diabétiques et les personnes immunodéprimées sont plus à risque car elles ont moins de moyens de défense contre les champignons. A plus forte raison, en cas de mycoses à répétition de type candidoses, il faut savoir s’orienter vers un bilan pour voir s’il n’y a pas de terrain sous-jacent favorable (diabète par exemple).

    Dans tous les cas, pour éviter les complications, pas de secret : il ne faut pas laisser traîner une mycose et la soigner le plus tôt possible. C’est aussi le meilleur moyen pour éviter la dissémination du champignon sur et autour de soi.

    Hélène Jolly


     Les antifongiques

    Forum Mycoses

    http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/mycoses/articles/9444-mycoses-complications-gare.htm

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  • Mycose génitale
    (vaginale et balanite)

    Recouvert d’une muqueuse, le vagin abrite naturellement des bactéries et des champignons. Mais l’équilibre entre ces deux populations est parfois rompu, les champignons prennent le pouvoir et des symptômes bien connus apparaissent : démangeaisons, brûlures, pertes blanchâtres… Heureusement, des solutions efficaces existent face à ces mycoses.

     

    Très douloureuses, les mycoses génitales représentent 20 % des examens pratiqués par les laboratoires.

    Symptômes

    Si une infection à champignon passe rarement inaperçue chez la femme, elle est moins spectaculaire chez l’homme. On distingue ainsi :

    • MycosesMycose vaginale : Alors que la composition microbienne du milieu vaginal est en parfait équilibre chez les femmes en bonne santé, elle peut être perturbée par différents facteurs. Certains champignons peuvent alors proliférer, en particulier l’espèce Candida. Démangeaisons, brûlures, pertes blanchâtres… Ces candidoses ou mycoses génitales très désagréables peuvent être traitées par voie générale (capsules ou comprimés) ou par voie locale (comprimés vaginaux, ovules ou crèmes).
    • Balanite du gland : Une infection mycosique peut être à l’origine d’une inflammation du gland et du sillon entre le gland et le prépuce. La prise en charge dépend du diagnostic, qui repose sur l’aspect des lésions (taches, érosions, érythèmes…) et sur la caractérisation de l’infection. Attention, la balanite du gland est un souvent signe de diabète méconnu.

    Causes et conséquences

    Les mycoses génitales sont attribuables à un champignon appelé Candida albicans. Ainsi, on parle généralement de candidoses. Ces maladies sont dues à la prolifération de champignons qui se trouvent normalement en faible quantité. A la faveur de conditions favorables à leur développement (changement des sécrétions vaginales, antibiotiques, diabète mal contrôlé…), ce champignon va se multiplier en grand nombre entraînant rougeur, tuméfaction des lèvres ou du gland, sécrétons blanchâtres, fortes démangeaisons… En dehors de ces désagréments, les mycoses n’engendrent pas de complications graves.

    Diagnostic

    En dehors des symptômes, le diagnostic repose sur un prélèvement des pertes. Cet échantillon est ensuite examiné au microscope et parfois mis en culture. Ces examens permettent de caractériser le champignon incriminé avec plus de certitude.

    Traitement

    Il existe deux moyens de traiter une mycose vaginale :

    • Un traitement systémique avec la prise de capsules ou de comprimés à prendre oralement. En passant par le flux sanguin, le médicament antifongique atteint les muqueuses où il détruit les champignons ;
    • Plus généralement, un traitement local par des ovules vaginaux à introduire principalement le soir, y compris durant les règles. Il existe aujourd’hui des traitements monodoses, un seul ovule, ou de courte durée (3 jours), très efficaces. Votre médecin vous prescrira aussi une crème ou une lotion à appliquer sur la peau et les muqueuses externes.

    Afin d’éviter les récidives, le partenaire devra être traité, en particulier s’il présente des symptômes de mycose sur son pénis. Mais après le traitement, la prévention est de mise pour éviter les récidives. Pour éviter de nouvelles infections, découvrez nos conseils.

    David Bême


     Les antifongiques


     Candidoses ou mycoses génitales

    Forum Mycoses

    http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/mycoses/articles/9261-mycose-genitale.htm

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  •      

    Hyperglycémie à jeun : Diabète de type 2

    1) La glycémie en fin de nuit et le matin à jeun est due à une production de sucre par le foie.

    Elle n'est pas due à des glucides du repas de la veille au soir qui seraient restés dans le sang jusqu'au lendemain matin.

    La production de sucre par le foie est sous la dépendance de l'insuline fabriquée par le pancréas :
    - s'il y a suffisamment d'insuline, la glycémie à jeun est normale,
    - s'il n'y a pas suffisamment d'insuline, le foie fabrique plus de sucre que nécessaire.

    Les comprimés les plus appropriés pour freiner la production de sucre par le foie sont ceux qui stimulent la fabrication de l'insuline même dans l'intervalle des repas (sulfamides hypoglycémiants).

    Au fil des années, le pancréas a de plus en plus de difficultés pour fabriquer l'insuline, et il est habituel de devoir augmenter le nombre de comprimés et d'utiliser les comprimés les plus puissants.

    2) Une fois sur deux, après une dizaine d'années, l'augmentation du nombre de comprimés, même les plus puissants, ne permet plus d'obtenir une glycémie normale le matin à jeun ou dans la journée.

    Il est assez souvent possible de "garder les comprimés" pendant quelques années supplémentaires en ajoutant au traitement oral maximum, une injection d'insuline retard le soir au coucher.

    Le principe de ce traitement mixte est :
    - d'utiliser l'insuline à la dose permettant de normaliser la glycémie à jeun, de façon à faciliter l'action des comprimés,
    - de conserver les comprimés pendant la journée, de façon à ce qu'ils prennent en charge les repas.

    3) Après 2 à 4 ans de traitement mixte, il est habituel que la glycémie à jeun soit normale grâce à l'injection d'insuline du soir, mais que la glycémie avant le repas du soir soit de plus en plus élevée du fait de l'action insuffisante des comprimés face à l'évolution naturelle de la maladie.

    Dans ce cas, les comprimés peuvent être arrêtés car ils sont inutiles.

    On utilise alors une injection d'insuline avant le petit déjeuner et avant le repas du soir, ou 3 ou 4 injections si cela est nécessaire, comme en cas de diabète de type 1.
     

    http://www.diabsurf.com/Sim/SimImp/Iqfrhgjdt2.php

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  • Les antidépresseurs en question
    Débat croisé entre le Dr. Chantal Henry et le Dr. Serge Hefez

    On prescrit trop d'antidépresseurs en France ! C'est le cri d'alarme que lançait "Psychologies Magazine" début septembre 2008. Mais qu'en est-il réellement ? Pour le savoir, Doctissimo a organisé un débat croisé entre deux psychiatres : le Dr Serge Hefez, signataire de l'appel de psychologies, et le Dr Chantal Henry, spécialiste des troubles bipolaires et de la dépression

    Doctissimo : Y-a-t-il une surconsommation de psychotropes ?
    Dr Chantal Henry, psychiatre à l'hôpital Chenevier (Créteil) :  
     Dr Chantal HenryOn cite généralement le rapport Bégaux-Verdoux1 pour souligner l'augmentation de la consommation d'antidépresseurs. Mais attention, si ce dossier souligne effectivement une surconsommation de psychotropes ceci rentre dans le cadre d'une surconsommation globale de médicaments en France. De plus, ce rapport s'attarde  également sur l'augmentation du coût des antidépresseurs du fait des prescriptions mais également du fait de l'arrivée de médicaments de nouvelle génération. Plus chers, ces produits ont moins d'effets secondaires et une létalité beaucoup moins importante si ils sont ingérés de manière massive. Globalement, dans tous les pays l'augmentation de la prescription d'antidépresseur de nouvelle génération s'est accompagnée d'une diminution du taux de suicide.

     

     

    Dr Serge Hefez, psychiatre à la Pitié-Salpetrière (Paris) :
    Il y a un constat clair sur la sur-prescription et donc la surconsommation des antidépresseurs en France. Une consommation qui se fait en dehors des réelles indications (conditions d'autorisation de mise sur le marché) qui sont les dépressions avérées. S'il reste le meilleur au monde, notre système de santé induit de tels comportements par un accès facile aux médecins et la gratuité au travers du remboursement.         

    Dr Serge HefezOr toutes les études montrent que les antidépresseurs (sérotoninergiques ou non) n'ont aucun effet sur les syndromes dépressifs légers : ce que les gens appellent couramment "la dépression" c'est-à-dire le vague à l'âme, la tristesse, la fatigue, le blues, les situations de souffrance familiale, de deuil...Bref, toutes les situations de la vie normale qui font malheureusement l'objet de prescriptions d'antidépresseurs. C'est sur ce constat que l'on a voulu attirer l'attention, en jetant un pavé dans la mare avec cet appel.

    Dr Chantal Henry : Je comprends que l'on tire une sonnette d'alarme, mais il faut être vigilant sur l'impact de ce type d'appel. Ne stigmatisons pas les patients qui ont besoin de ces traitements. En France, les troubles de l'humeur sont déjà suffisamment tabous, les personnes touchées n'osent pas en parler ou consulter. Et rappelons que le rapport Bégaux-Verdoux met en avant qu'environ 50 % des patients souffrant d'un épisode dépressif avéré ne sont pas traités.  Ce type d'appel ne va pas faciliter les choses pour les patients. Il y a un réel danger à faire du sensationnalisme autour de ces sujets difficiles. .

    Dr Serge Hefez : J'entends bien votre inquiétude face à ce cri d'alarme et l'effet qu'il peut avoir sur les patients qui en ont besoin. Mais que pensez-vous de ce risque par rapport à la masse des Français qui ont un rapport un peu léger aux psychotropes : certains ont 15 boîtes de produits différents dans leur pharmacie, vont les échanger dans leur famille voire le donner à leur ados de 16 ans...Il est important de ramener le projecteur sur le fait que ce sont des médicaments, qu'ils ne sont pas anodins, qu'ils ont des indications, et qu'il ne s'agit pas de les prescrire à tort et à travers !
    Mais il est vrai qu'on assiste à un étrange paradoxe. D'un coté, on a une sous-médicalisation des gens qui en ont vraiment besoin (c'est-à-dire qui ont des dépressions avérées, des troubles bipolaires non traités ou les troubles psychotiques) et une sur-prescription pour l'ensemble de la population qui prend ses médicaments sans en avoir besoin.

    Doctissimo : Comment résoudre ce paradoxe sur la prescription d'antidépresseurs ?
    Dr Chantal Henry : Près de 80 % des prescriptions de psychotropes sont faites aujourd'hui par les médecins généralistes. Il semble d'après le rapport Bégaux-Verdoux que les prescriptions d'anxiolytiques aient diminué en faveur des antidépresseurs. Cela fait sûrement suite à une information et des contraintes de prescription (non-renouvellement automatique) qui ont mis en garde contre l'usage prolongé des anxiolytiques. L'information et la formation doivent se poursuivre en matière de bon usage des antidépresseurs. 

    Dr Serge Hefez : Il est vrai que les médecins généralistes ne peuvent pas être des spécialistes du diabète, de l'hypertension, de la dépression et des milliers de pathologies qu'ils ont à soigner au quotidien. De plus, certains ont plus la fibre psychologique que d'autres, ils vont plus interroger les gens, sont plus proches, aiment créer du lien...
    Je pense qu'il faudrait homogénéiser la formation et renforcer certaines recommandations en matière de prescription. Il faut que les généralistes ne se sentent pas seuls par rapport à la prescription de psychotropes. Les médecins trouvent facilement un relais auprès d'un pneumologue, d'un diabétologue...mais face aux maladies psys, ils sont en difficulté parfois. A nous de créer ces relais !

    Doctissimo : N'est-ce pas aussi de la faute des patients ?
    Dr Serge Hefez : Il y a effectivement les patients qui sont très demandeurs. On sait bien qu'un patient qui va chez son médecin et qui repartirait sans ordonnance aurait le sentiment de ne pas avoir été soigné. Je pense qu'une information du grand public sur les médicaments en général, avec un accent plus prononcé sur les psychotropes, serait utile. Il ne s'agit pas d'effrayer ou de stigmatiser ceux qui en prennent mais, d'expliquer que ces médicaments ne sont pas anodins.

    Dr Chantal Henry : Les patients ne peuvent pas être accusés des prescriptions faites. Une information grand public rationnelle, hors de tout débat idéologique, serait importante en veillant à ne pas banaliser ces produits. Cependant, les antidépresseurs sont parfois tellement stigmatisés dans les discours que les patients qui en ont besoin hésitent à les prendre.

    Doctissimo : Les solutions alternatives aux antidépresseurs, les médecines douces sont-elles efficaces ?
    Dr Chantal Henry : Voyant des patients à l'hôpital, qui souffrent de dépressions souvent graves, je pense que ce type de thérapeutique n'est pas adapté.

    Dr Serge Hefez : Ces approches ne s'adressent effectivement pas à des dépressifs, mais elles peuvent être utiles pour affronter un mal-être. Je ne suis pas un apôtre de la relaxation ou autres, mais à partir du moment où quelqu'un fait une démarche active pour se prendre en main, pour s'occuper de lui ou pour en parler, il est déjà dans un processus de guérison. Après c'est à chacun de trouver sa voie, et là-aussi, le médecin généraliste peut-être une très bonne barrière par rapport à ce qui va être de l'ordre de la secte, du gourou, du charlatan...

    Doctissimo : Quelle place pour la psychothérapie par rapport aux antidépresseurs ?
    Dr Chantal Henry : Les patients qui souffrent d'une dépression avérée, en plus d'un traitement antidépresseur, ont besoin d'un suivi psychothérapeutique.

    Dr Serge Hefez : D'ailleurs, toutes les études sur la dépression ont montré que ce qui marche le mieux pour traiter, c'est l'association antidépresseurs plus psychothérapie. Cela marche mieux que psychothérapie seule ou antidépresseurs seuls.

    Propos recueillis par Alain Sousa, le 25 août 2008.

    1 -Le bon Usage des médicaments Psychotropes, Drs Hélène Verdoux, Bernard Bégaud, sous la direction de Maryvonne Briot, juin 2006.


    Forum Déprime, dépression
    Forum Antidépresseurs

    http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/depression/articles/12556-pour-ou-contre-antidepresseurs.htm

    http://www.diabetesvoice.org/files/attachments/article_580_fr.pdf

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  • La Lécithine

    Un puissant facteur nutritionnel tant sur le plan physique que mental

    Certains suppléments alimentaires demeurent constamment populaires. Ils sont sur le marché depuis très longtemps et continuent toujours d'être appréciés. C'est le cas de la lécithine.

    La lécithine est une substance essentielle au bon fonctionnement du cerveau, du système nerveux, du système cardiovasculaire, du foie et de plusieurs autres organes vitaux.

    Elle est à ce point essentielle que l'organisme doit absolument en fabriquer. Mais l'organisme ne dispose pas toujours des nutriments de base, dans des proportions adéquates, pour s'assurer d'une bonne production de lécithine.

    Il est par conséquent très important d'apporter à l'organisme un supplément de lécithine pour qu'il puisse y trouver les nutriments nécessaires à la production de cette précieuse substance.

    La lécithine doit faire partie des suppléments de base que tout individu devrait prendre régulièrement. La lécithine est notamment disponible sous forme de capsules. On trouve sur le marché des capsules de lécithine pure provenant de la fève de soya. On trouve également des capsules de lécithine renfermant une certaine quantité d'huile de carthame. Ce dernier supplément est utile pour faire baisser le taux de cholestérol sanguin.

    Quelques-uns des bénéfices de la lécithine

    1. Dans le cerveau, la lécithine est transformée en acétylcholine, une substance vitale à la transmission des messages nerveux. Cette fonction de la lécithine assure un meilleur rendement des facultés mentales, notamment de la mémoire et de la capacité de penser. Cette fonction permet également au cerveau de mieux contrôler l'ensemble des autres parties du corps, notamment l'influx nerveux dirigé dans les muscles.
    2. Dans le courant sanguin, la lécithine est impliquée dans le transport du cholestérol et des matières grasses. La lécithine empêche le cholestérol et les gras de se déposer dans les artères. Ce phénomène est le résultat de son pouvoir émulsifiant. La lécithine peut même déloger une partie du cholestérol et des gras qui se sont logés dans les artères.
    3. Dans le foie, la lécithine permet de mieux métaboliser les matières grasses. Elle contribue notamment à limiter les risques de dégénérescence du foie en permettant la mobilisation des dépôts de gras qui se trouvent dans cet organe.
    4. Dans le tube digestif, la présence de la lécithine assure une meilleure absorption des vitamines suivantes: A et D, de même qu'une meilleure utilisation de la vitamine E et de la vitamine K.

    Caractéristiques de la lécithine

    L'action émulsifiante de la lécithine tient à la configuration particulière de sa molécule. Celle-ci est à l'aise autant dans les milieux aqueux que les milieux adipeux. Un bout de la molécule de lécithine est constitué de phosphore et d'azote. Ceci lui permet de s'attacher à une molécule d'eau. La lécithine peut donc faire le pont entre le gras et l'eau. C'est elle qui permet au sang de pouvoir véhiculer autant les matières hydrosolubles que les matières liposolubles.

    Ce sont les phosphatides de la lécithine qui lui confèrent ses précieuses propriétés. Un bon supplément de lécithine doit donc contenir ces phosphatides. La phosphatidyl choline, en particulier, est très importante pour assurer un bon fonctionnement du cerveau et du système nerveux en général. En fait, la lécithine constitue une très bonne source de choline et d'inositol, deux importantes vitamines du groupe B.

    Sans lécithine, la vie animale, telle qu'on la connaît, ne pourrait tout simplement pas exister. Il faut savoir que le poids sec du cerveau (c'est-à-dire le poids de cet organe une fois que l'eau qu'il contient lui a été enlevée) est constitué de 30% de lécithine. Quant aux nerfs, leur poids sec contient 17% de lécithine.

     

     

     

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    http://www.masantenaturelle.com/chroniques/chroniques2/lecithine.php

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  •   EXERCEZ-VOUS AU BONHEUR !
    Une véritable méthodologie pour accéder
    à plus de sérénité et de bien-être.
    Alain CHEVALIER-BEAUMEL
    & Marie-Claire RELIGIEUX
    24.00 €
    EDITION 2008

    Enfin un livre concret sur le bonheur ! Contrairement aux nombreux ouvrages déjà parus sur ce thème, EXERCEZ-VOUS AU BONHEUR ! vous propose une véritable méthodologie pour accéder à plus de sérénité et de bien-être.

    Le bonheur n’est pas qu’un concept philosophique, c’est avant tout une perception, une sensation corporelle et mentale. Les auteurs vous proposent des conseils simples et des exercices pratiques qui développeront votre propre lucidité et vous aideront à progresser vers le bonheur.

    Equilibrer sa vie, gérer ses émotions et son stress, vivre l’instant présent, sont autant de pistes qui vous sont ouvertes. Plaisirs de la réussite, plaisirs sensoriels, plaisirs intellectuels et pratique quotidienne sont les principaux chemins d’accès au bonheur ; mais d’autres solutions vous sont proposées qui vous encourage à développer votre potentiel au bonheur.

    Ce bonheur n’est pas réservé à quelques personnes… vous pouvez aussi y parvenir et le vivre à tout moment de la journée y compris dans l’univers professionnel. Un important chapitre est d’ailleurs consacré à cet aspect.

    ______________________________________________

    Les auteurs :
    Alain CHEVALIER-BEAUMEL est Consultant d’entreprises en management et créativité au sein du Cabinet Innovations et Pédagogies et Sophrologue (Mastère spécialiste en sophrologie prophylactique). Il est par ailleurs, Professeur associé dans différentes écoles supérieures : Ecole Centrale de Paris, Ecole de Management de Normandie Le Havre, Reims Management School, Audencia Nantes, ainsi qu’à l’Institut de Formation des Personnels de Santé de Châlons-en-Champagne.

    Marie-Claire RELIGIEUX est Infirmière D.E. et Sophrologue (Mastère spécialiste en sophrologie - Mastère en Programmation Neuro-Linguistique - Mastère en Hypnose Ericksonienne). Elle accompagne les individus en gestion de stress, préparation d’examens, d’entretiens professionnels, motivation, orientation professionnelle, résolution de conflits, communication. Elle est également Consultante du Cabinet Innovations et Pédagogies ainsi que dans des Établissements de santé (Mission ministérielle d’audit et de sensibilisation en Maisons de retraites en Picardie, Hôpital de Laon, Ecoles d’infirmières de Laon et de Châlons-en-Champagne pour des interventions de gestion de stress et de communication face aux malades).

    ________________________________________________

    Au sommaire (extraits) :

    Partie 1. Mieux connaître les plaisirs

    . La hiérarchie des besoins et la « pyramide des plaisirs »
    . Typologie des plaisirs
    . Les plaisirs élémentaires
    . Les plaisirs élaborés
    . Les plaisirs issus de la réussite
    . Les freins aux plaisirs de la réussite
    . Découvrez les plaisirs sensoriels
    . Les plaisirs intellectuels
    . Le plaisir naît de la nouveauté

    Partie 2. Approchez le bonheur

    . Le bonheur est-il définissable ?
    . Bonheur ou bonheurs ?
    . À quoi reconnaîtrez-vous le bonheur ?
    . Prenez conscience du bonheur
    . Qu’est-ce qu’avoir conscience du bonheur ?

    Partie 3. Exercez-vous au bonheur

    . Equilibrez votre mode de vie
    . Le sommeil
    . L’alimentation
    . Les activités physiques
    . La gestion du temps
    . Diminuez et gérer votre stress
    . Gérez vos émotions et leurs variétés
    . Apprenez à vous aimer
    . Suspendez votre jugement
    . Considérez chaque événement de la vie comme un exercice, une expérience
    . Apprenez à positiver
    . Relativisez
    . Reconstruisez
    . Vivez l’instant présent
    . Il n'y a pas de bonheur sans les autres
    . L’homme social
    . L’amitié et la confiance, sources de bonheur
    . L’intégration sociale
    . Renforcez la qualité de vos relations
    . L’amour source de bonheur
    . Votre bonheur au cœur du monde
    . La beauté de l’art
    . La planète
    . L’univers
    . Les effets du bonheur
    . Le bonheur soigne votre corps
    . Le bonheur soigne votre mental
    . Le bonheur vous fait sortir de vous-même
    . Le bonheur fait évoluer votre personnalité
    . Le bonheur nourrit votre bonheur
    . Donnez un sens à votre vie

    Partie 4. Le bonheur est-il compatible avec le monde du travail

    . Etat des lieux
    . Les conditions matérielles propices au bonheur
    . Le climat relationnel
    . Que faire si vous êtes entrepreneur ?
    . Donnez du sens au travail pour motiver les salariés
    . Mettez les gens à leur place dans leur talent et formez-les
    . Favorisez la créativité à tous les niveaux
    . Faites preuve de reconnaissance en sachant complimenter
    . Favorisez la communication et l’information internes
    . Que faire si vous êtes salarié ?
    . Faites respecter votre univers et sachez dire « non »
    . Prendre des initiatives
    . S’investir mesurément dans le travail
    . Développer votre concentration et votre productivité

    Partie 5. Témoignages. Enquête. Conclusion.


    _______________________________________________

    A noter qu'un CD vient compléter l'ouvrage, Une bonne heure de bonheur ! sur lequel sont enregistrés des exercices de sophrologie de visualisation, de relaxation et de respiration.
    Voir les pages ci-jointes.

    ________________________________________________
    N°EAN13
    978-2-86739-367-9
    288 pages
    Format : 150 x 210 mm
    Guide Pratique
    EXERCEZ-VOUS AU BONHEUR !
    http://www.puitsfleuri.com/fiche.php?pid=265&
    AJOUTER

     

     

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  • LES DIABÉTIQUES PEUVENT-ILS

    CONSOMMER DES FRUITS ?
    Le diabète et les fruits




     

    Les index glycémiques : à se mettre dans la bouche... pas dans l'oeil !

    -  Une histoire récente

    Au cours de la guerre de 1870, Appolinaire Bouchardat, un des premiers diabétologues de l'histoire, avait déjà établi un régime capable de guérir les diabétiques. Les Parisiens, enfermés presquelioraient considé sans nourriture à l'intérieur de leur ville, améliorait considérablement leur diabéte tout en maigrissant. Or, à bien examiner les recommandations de notre précurseur, on s'apercoit qu'il s'agit non seulement d'un régime restrictif en calories mais surtout d'une alimentation ne contenant que des sucres (ou glucides) peu susceptibles de provoquer des montées glycémiques brutales et prolongées.

    Il apparaît donc essentiel de pouvoir identifier les différents types de glucides alimentaires en fonction de leur "pouvoir sucrant" et des implications possibles qu'ils peuvent avoir sur la santé.

    En 1913 Jacobsen avait montré que, chez un sujet sain, un repas fait de pain et de pommes de terre, donc riche en amidon, provoquait une montée glycémique identique à celle d'un repas composé de sucres simples (saccharose).

    Les travaux les plus importants furent effectués par le britannique Jenkins, d'Oxford en 1981 qui inventa la notion d'index glycémique qui devait remplacer progressivement la notion de glucides d'absorption lente (sucres "qui rampent") et d'absorption rapide (sucres "qui courent").

    Comment les calculer ?

    Le pouvoir sucrant est mesuré habituellement sur le chiffre de la glycémie, constatée aprés l'absorption d'un sucre pur ou contenu dans un aliment.

    L'index glycémique est basé sur le calcul de "l'aire sous courbe" (ASC). L'ASC totale est une surface mesurée à partir des chiffres de la glycémie au temps 0, 30, 60, 90, 120, 150 et 180 minutes. L'index glycémique est le rapport, exprimé en pourcentage, entre l'ASC de l'aliment étudié et l'ASC de l'aliment de référence (1).

    Ayant constaté que la solution de glucose, choisie au départ comme référence, posait des problémes de reproductibilité du fait de son osmolarité trop élevée, Jenkins préféra utiliser le pain blanc, malgré sa variabilité dans les préparations (2).

    Lorsque le pain blanc est choisi comme référence, l'index glycémique d'une solution de glucose varie entre 122 et 158. Ce choix peut étre source de confusion car le pain de mie blanc de Jenkins n'est pas celui d'autres équipes. Cependant de nombreuses études permettent de comparer les aliments par rapport au glucose et au pain blanc.

    Une vaste famille de glucides et des pouvoirs sucrants différents

    Les sucres "simples" sont constitués d'une seule molécule, tels le fructose ou le glucose contenus dans les fruits et légumes, ou le galactose des laitages. Ils traversent la barriére intestinale sans étre soumis à une digestion enzymatique.

    -  Le fructose est absorbé plus lentement que le glucose et disparaît deux fois plus vite de la circulation. Il est métabolisé dans le foie par la fructokinase et trés peu par l'intestin et le muscle. Il provoque, à quantités équivalentes, une montée glycémique et une réponse insulinique moindres que celles du glucose. Ces paramétres doivent étre pris en compte dans l'alimentation des diabétiques et des sportifs.

    -  Le glucose est absorbé rapidement et totalement dans l'intestin. Ce transport, conditionné par les concentrations de glucose de part et d'autre de la membrane, est sous la dépendance de transporteurs membranaires du glucose (GLUT) dont on connaît au moins 5 types. Ces transporteurs sont considérablement activés par l'insuline. Les tissus qui utilisent le glucose sont trés ubiquitaires et en dehors du foie, le muscle, l'intestin et surtout le cerveau, sont de trés gros consommateurs.

    Mais, les sucres "simples" peuvent aussi être constitués de deux molécules, comme le saccharose (sucre de cuisine), le maltose et le lactose.

    Le saccharose, aprés hydrolyse intestinale, libére du glucose et du fructose. Ses effets sur les réponses glycémiques et insuliniques sont celles du glucose tandis que son oxydation se rapproche de celle du fructose.

    Le lactose, sucre du lait, est formé d'une molécule de glucose et de galactose. Il n'a pas vraiment d'index glycémique notable à prendre en compte dans l'alimentation de l'adulte.

    Les index glycémiques sont plus élevés pour les sucres simples que les sucres complexes. Entre eux, les sucres simples ont des index trés différents : le moins élevé est le sucre de cuisine (le saccharose).

    Amidons : une digestibilité lente

    Les autres glucides alimentaires sont dits "complexes" parce qu'ils comportent plusieurs molécules comme les amidons ou matiéres amylacées, contenues surtout dans les céréales et tubercules. Ils libérent du glucose et du galactose.

    Les amidons sont des polyméres des sucres simples. Il en existe deux qui se distinguent par leur structure : linéaire pour l'amylose, ramifiée pour l'amylopectine.

    Les index glycémiques (référence glucose) sont les suivants :
    -  Pommes de terre : 70 à 90 %
    -  Riz blanc : 50 à 60 %
    -  Pâtes : 50 à 60 %
    -  Légumes secs : 20 à 40 %

    En pratique : quels repas pour quel pouvoir sucrant ?

    Il ne suffit pas de calculer les index glycémiques des glucides pour composer un repas car la mixité du repas (glucides + lipides + protéines ) influe considérablement sur le pouvoir hyperglycémiant final.

    La présence de protéines dans un repas (30 à 50 g. de protéines ) (4) diminue la réponse glycémique.

    Les lipides diminuent le pouvoir sucrant des glucides. Certaines confiseries réputées trés hyperglycémiantes comme les biscuits ou les barres chocolatées ont, pour cette raison, un index glycémique nettement inférieur à celui du glucose. En revanche les pommes de terre chips ont un index glycémique supérieur car, malgré la présence de graisse, les amidons sont gélifiés et trés assimilables.

    Les fibres alimentaires solubles ou insolubles ont un effet ralentisseur notable sur l'absorption des glucides. Elles diminuent l'effet hyperglycémiant d'un repas.

    Il est cependant possible d'évaluer assez exactement le pouvoir hyperglycémiant d'un repas, chez des diabétiques en tenant compte de chacun des index glycémiques (5) et même, en comparant des repas de composition et de tradition différente (indien, italien, chinois, américain et libanais) (6).

    De la pathologie à la prévention ?

    La question de savoir si, à long terme, la constitution différente des sucres alimentaires entraine des conséquences sur la santé, est loin d'être résolue pour des sujets sains. Pour un diabétique, il est préférable d'absorber des sucres d'index glycémique réduit car cela favorise l'équilibre glycémique en diminuant l'ascension glycémique post-prandiale. Peut-on en pratique orienter le choix des consommateurs vers tel ou tel type d'alimentation ? Si oui, dans quelles situations ?

    Fruits et légumes frais et secs : bons pour les diabétiques

    En substituant aux pommes de terre et au pain, une alimentation à base de riz et de pâtes, on observe une amélioration significative de l'équilibre glycémique, du taux des phospholipides et des triglycérides. Le remplacement de 50 % des hydrates de carbone à fort index glycémique, par des aliments à faible index glycémique, réduit l'hémoglobine glyquée de 9 %, la fructosamine de 8 %, le cholestérol de 6 % et les triglycérides de 9 %.

    Chez les européens du nord, de l'est et de l'ouest, les index glycémiques sont plus élevés en rapport avec une consommation plus importante de pain et de pommes de terre. Chez les européens du sud, l'index glycémique est plus bas en relation avec une consommation plus importante de pâtes et de fruits et légumes (7).

    Les montées glycémiques post-prandiales sont en rapport avec l'ingestion de pain blanc, de farines raffinées, de féculents contenant des amidons rapidement assimilables. Les pains "noirs", les légumes secs, les fruits frais et les légumes verts sont des aliments particuliérement adaptés au régime des diabétiques.

    Cholestérol et obésité : un rôle à jouer !

    Chez des sujets atteints d'hypercholestérolémie, non diabétiques, Jenkins a montré que le choix d'un régime alimentaire, dont l'index glycémique était inférieur de 13 % à l'index glycémique moyen, entraînait une baisse significative de la cholestérolémie totale, du LDL cholestérol et des triglycérides.

    Actuellement, l'obésité est un des problémes de santé les plus importants dans les sociétés développées. Aux USA, 1 enfant sur 4 est obese et 1 adulte sur 2 a un surpoids. La prévalence de l'affection a doublé depuis 1960. Malgré la réduction de l'apport de graisses, recommandée par le gouvernement Fédéral, atteignant maintenant l'apport de 30 % des calories, la prévalence de l'obésité continue de croître de sorte que le gouvernement américain recommande de diminuer la consommation totale des graisses et des sucres. L'utilisation des index glycémiques devrait permettre d'utiliser dans ce sens un outil intéressant (8).

    Des recommandations simples

    Toutes les études, de plus en plus nombreuses, indiquent de conseiller une orientation générale de l'alimentation vers des aliments à index glycémique plus bas que ceux utilisés habituellement. L'index glycémique est toutefois assez difficile à appliquer de façon "pointue" lors de la prescription d'un régime. Un certain nombre de recommandations simples peuvent toutefois être déduites de cet outil diététique.

    Il est ainsi conseillé d'utiliser des céréales à farine "rustique" et le pain complet plutot que le pain blanc. Pour les féculents : les pâtes et le riz plutôt que les pommes de terre instantanées. Pour les légumes : plutôt les légumes secs mais surtout les légumes verts et les fruits (surtout fruits rouges, pommes et poires).

    Il est clair que le probléme n'est pas de jeter l'interdit sur les autres nourritures mais la notion d'index glycémique est cependant trés utile dés lors qu'on désire soigner un diabète, une hypercholestérolémie ou surpoids.

    (source aprifel)

    http://www.123fruits.com/article.php3?id_article=15

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